Baise d'une argentine

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Baise d'une argentine


Publié le 26/03/13 à 00h00
— Mis à jour le 26/03/13 à 16h41



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T'as vu ? Argentine: Un médecin et une infirmiÚre font l'amour pendant que les patients attendent
Il y a des besoins qui n'attendent pas. Un médecin argentin de 32 ans et une infirmiÚre de dix ans de plus ont été surpris en train de faire l'amour ce mardi matin à l'aube dans la salle d'examen pédiatrique d'un centre de santé de Salta (Argentine), rapporte El Tribuno . 
MalgrĂ© l'heure matinale, des parents patientaient dĂ©jĂ  dans la salle d'attente avec leurs enfants lorsqu'ils ont entendu des gĂ©missements. Pensant qu'il s'agissait dans un premier temps de cris de douleur, ils se sont rapidement rendus compte que la personne qui en Ă©tait Ă  l'origine Ă©prouvait plutĂŽt du plaisir. Selon un tĂ©moin interrogĂ© par El Tribuno , ces cris faisaient mĂȘme «vibrer les vitres» de la salle d'attente. 
Excédé, un parent a fini par rentrer dans la salle d'examen et trouvé le médecin et l'infirmiÚre «complÚtement nus». Cette derniÚre a tenté de masquer son acte en expliquant que son amant lui faisait une piqûre. 

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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis Ă  jour le 10/11/2017 10:35



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Des mineures enrĂŽlĂ©es comme prostituĂ©es dans certaines banlieues françaises... Pour "ComplĂ©ment d'enquĂȘte", Rola Tarsissi a rencontrĂ© Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxĂ©nĂšte, l'autre prostituĂ©e. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un flĂ©au qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numĂ©ro de "ComplĂ©ment d'enquĂȘte" sur les nouveaux trafics d'ĂȘtres humains, une jeune fille confie s'ĂȘtre prostituĂ©e jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet . 
"Je pouvais gagner jusqu'Ă  20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-ĂȘtre davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rĂŽle de la proxĂ©nĂšte. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser". 
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficultĂ© la photo aguicheuse qu'elle avait postĂ©e sur la Toile. La premiĂšre fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment dĂ©crire, en fait, sur l'instant
 C'Ă©tait bizarre
 Genre tu te dis 'ah ouais
 je me suis donnĂ©e pour de l'argent'. AprĂšs, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides Ă  se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes." 
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusĂ© dans "ComplĂ©ment d'enquĂȘte" le 9 novembre 2017.
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prostitution
RĂ©publique Dominicaine
Travailleuse de sexe


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RĂ©publique Dominicaine
Travailleuse de sexe


LicenciĂ© en Psychologie, diplĂŽmĂ© en communication sociale. PassionnĂ© des mĂ©dias, durant plusieurs annĂ©es, j’ai collaborĂ© avec plusieurs radios et tĂ©lĂ©visions en HaĂŻti. Amoureux des lettres, je fais du blogging tout d'abord par passion Ă  l’écriture. Je suis un photographe "amateur" qui veux tout immortaliser sur mon passage.

À Puerto Plata (RĂ©publique dominicaine), particuliĂšrement Ă  SosĂșa, quand le soleil se tourne le dos Ă  la surface de la terre, laissant libre pouvoir aux ombres de la nuit. C’est toute une autre forme de vie qui s’ouvre aux amateurs des ambiances nocturnes. Les trottoirs, les casinos, les boĂźtes de nuit, les bars [
], pour des raisons diverses, Ă  chacun sa destination. Il suffit d’ĂȘtre quelque part, qui invite aux divertissements.
VoilĂ , un samedi soir d’étĂ© comme je les aime. Je laisse la maison Ă  l’idĂ©e d’un nouveau flirt avec l’intimitĂ© de la vie nocturne de SosĂșa, une zone rĂ©putĂ©e pour son attitude insomniaque. Ce soir, contrairement Ă  certaines fois oĂč je sors en compagnie de copains, c’était juste le mec qui partait jouir en solo son petit plaisir, sans une quelconque compagnie qui aurait pu ĂȘtre nuisible Ă  certaines expĂ©riences.
AprĂšs une vingtaine de minutes en taxi, me voilĂ  bien arrivĂ© Ă  City Light, lieu trĂšs frĂ©quentĂ© par des compatriotes haĂŻtiens. Peut-ĂȘtre parce que le DJ de service est-il un HaĂŻtien. Bref. MĂȘme si je suis un habituĂ© de l’espace, c’est toujours avec les mĂȘmes Ă©motions d’avant que je frĂ©quente ce bar, oĂč les occupants sont souvent d’humeur festive. Un Ă©tat d’allĂ©gresse qui laisse peu de place aux problĂšmes d’hier, aux inquiĂ©tudes de demain. Ici, le client est invitĂ© Ă  oublier ses soucis, Ă  vivre l’instant prĂ©sent, mĂȘme si cela demande parfois d’avoir une attitude dĂ©pensiĂšre.
Entre trois morceaux de musique et un verre Ă  moitiĂ© vidĂ©, il est dĂ©jĂ  dix heures trente minutes. La nuit est jeune. Les jeux de lumiĂšre, l’exhibitionnisme de certaines filles qui tentent d’attirer la clientĂšle sexuelle, la synchronisation des corps en mouvement, des salutations et des accolades [
], autour de moi l’ambiance gagne de plus en plus en intensitĂ©. Entre-temps, dans une courte robe moulante, mettant Ă  l’honneur l’impeccable architecture de son corps, une jolie demoiselle, assurĂ©e comme elle seule sur ses pas bien articulĂ©s fait son apparition.
Il fallait ĂȘtre aveugle pour ne pas accepter de perdre volontairement quelques secondes de son temps Ă  regarder son postĂ©rieur; une vĂ©ritable mine de tentation. Elle arrive avec son corps remplit d’attirance, sa bouche pleine de sĂ©duction. Ses habits, son regard, sa beautĂ© [
], elle mobilisait autour d’elle une bonne partie de la salle, accrochĂ©e Ă  son charme. Ne me demandez surtout pas si, moi aussi, j’ai Ă©tĂ© sĂ©duit.
Soudain, une chose exceptionnelle vient de se passer : la gazelle s’assoit juste Ă  cĂŽtĂ© de moi. On dirait une espĂšce invisible a exaucĂ© ma demande en secret. Le parfum de la jeune femme me rappelle au passage l’odeur de Fabie ; ce qui Ă©tait dĂ©jĂ  une invitation Ă  m’adresser Ă  elle. Mais elle m’a devancĂ©, prĂ©textant vouloir savoir quelle heure il est. À peine arrivĂ©e, je doute fort qu’elle en ait eu rĂ©ellement besoin. D’ailleurs, je remarque qu’elle a un sourire facile et une gĂ©nĂ©rositĂ© douteuse. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce sa maniĂšre d’entamer la conversation avec moi. Ce qui ne m’a dĂ©rangĂ© en rien. Au contraire !
Le premier contact est Ă©tabli. Chacun de son cĂŽtĂ© est sur ses gardes : pas question de tomber dans une espĂšce d’impolitesse anticipĂ©e. Mais, aprĂšs deux ou trois plaisanteries, on s’est lĂąchĂ©s un peu. Ce qui a facilitĂ© le dialogue, qui sera une suite mĂ©morable.
Amis lecteurs, permettez-moi d’identifier mon interlocutrice par Clara. Elle vient Ă  peine de fĂȘter ses vingt-deux ans. Elle est nĂ©e d’un pĂšre dominicain, de qui elle garde peu de bons souvenirs, et d’une mĂšre haĂŻtienne dont elle n’a pas eu les nouvelles depuis quelques annĂ©es. Les parents de Clara se sont sĂ©parĂ©s, alors que la fille allait atteindre l’ñge de la pubertĂ©. Elle a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  une tante, la sƓur de son pĂšre, qui avait apparemment d’autres occupations bien plus importantes que la garde d’une gamine, exposĂ©e Ă  des mauvaises frĂ©quentations dans un quartier marginalisĂ©. Ayant abandonnĂ© trĂšs tĂŽt, Ă  dix-sept ans, Clara est tombĂ©e enceinte. Elle en aura gardĂ© d’intenses remords.
Il est bientĂŽt minuit. L’ambiance s’intensifie. L’espace est de plus en plus chauffĂ©. Entre-temps, je viens d’apprendre que Clara est travailleuse de sexe. Donc, contrairement Ă  mes premiĂšres idĂ©es, elle n’est pas au club pour se relaxer en fin de semaine. Elle y est pour travailler. D’ailleurs, c’est son mĂ©tier depuis tantĂŽt trois ans. Dans l’intervalle, elle s’arrange pour faire de moi un nouveau client.
Plus l’heure avance, plus le club devient de plus en plus compact. Les hĂ©lices des ventilateurs ne peuvent presque rien contre la chaleur. Clara me tient toujours compagnie. Alors qu’une bonne partie de la salle bouge au rythme du tube planĂ©taire « Despacito », Clara essaie plutĂŽt d’esquisser son sourire Ă  certains admirateurs, pendant qu’elle maintient notre conversation. MĂȘme si par moment elle paraĂźt un peu ennuyĂ©e par la curiositĂ© de certaines de mes questions.
Ne se montrant pas avoir ouvertement une dent contre ses sƓurs se livrant au mĂȘme mĂ©tier que lui, la jeune maman exprime des inquiĂ©tudes quant Ă  la rentabilitĂ© Ă©conomique de ce travail auquel elle se livre, Ă  cause de la dure rĂ©alitĂ© quotidienne. La frustration pour Clara et pour beaucoup d’autres pratiquantes, parfois, est de passer toute la nuit Ă  charmer une clientĂšle de plus en plus difficile, puis rentrer Ă  la maison sans un centime.
« D’ailleurs, n’était-ce pas pour rĂ©pondre aux besoins notamment de ma fille sans papa, je ne me livrerais jamais Ă  une telle activitĂ© humiliante », lance t-elle froidement. Et on pouvait lire sur son visage une sorte de honte d’appartenir Ă  cette catĂ©gorie de femmes, qui tentent de gagner leur vie avec ce qu’elles possĂšdent de plus intime en tant que personne.
Plus de deux minutes se sont Ă©coulĂ©es. Elle reste figĂ©e sur son siĂšge comme une statue. Elle a voulu sortir une cigarette, peut-ĂȘtre Ă  l’idĂ©e d’apaiser son angoisse. Mais, le fait que je ne fume pas, elle se cherche plutĂŽt un soulagement dans son verre de rhum vidĂ©e d’une seule gorgĂ©e. On avance vers les deux heures du matin. Elle ne sait toujours pas si elle pourra nĂ©gocier avec moi pour le reste de la nuit. C’est ainsi que quelqu’un l’a saluĂ© de la main. C’est un client de longue date. Elle s’est gentiment excusĂ©e pour rejoindre le type, n’ayant aucune ressemblance d’un HaĂŻtien ou d’un Dominicain.
Une dizaine de minutes aprĂšs, Clara est de retour, mais avec un visage beaucoup plus dĂ©tendu qu’avant, car elle a pu trouver un client. AprĂšs le club, elle va passer du temps avec ce touriste qu’elle a rencontrĂ© pour une fois sur une plage. Et en parlant de clients, Clara appartient Ă  ces travailleuses de sexe haĂŻtiennes en RĂ©publique dominicaine, qui dĂ©testent avoir affaires avec des HaĂŻtiens. Elle reproche Ă  ces derniers d’ĂȘtre trop exigeants, pendant qu’ils ne payent pas assez le service.
À vingt-deux ans, Clara traĂźne derriĂšre elle une carriĂšre de travailleuse de sexe de plus de trois ans. Elle a frĂ©quentĂ© presque tous les bordels de la ville. Parfois, elle va mĂȘme tenter sa chance dans d’autres rĂ©gions du pays. Entre-temps, elle rencontre tous types de clients ; des gens de bien, des vagabonds, des touristes, des hommes mariĂ©s, des cĂ©libataires [
].
Il est bientĂŽt trois heures du matin. La fatigue se fait sentir. Si certains refusent de partir et jurent de rentrer chez eux Ă  l’aube, d’autres profitent d’aller se reposer ou de s’offrir quelque chose de plus intime. Le temps pour Clara de me dire au revoir et de retrouver le barbu qui l’attend Ă  la porte de sortie, l’air impatient. Et moi d’avaler ce qui restait de mon verre, avant de rentrer chez moi, surtout avec les images de la jeune femme qui traĂźnent dans ma tĂȘte jusqu’à la publication de ce billet.
Sauf s'il y a des non-dits dans le texte, mais pour ta premiÚre nuit avec une prostituée tu n'as pas vraiment dévoilé grande chose de cette soirée. Est-ce que tu crois que t'as réussi ta soirée avec cette prostituée? Docteur love, que tu es, conseillerais tu as certains hommes de voir fréquemment des prostituées ?
Il y aura toujours des non-dits en communication. . Mais pour ce qui est de la soirée, étant consommateur des ambiances nocturnes, je l'ai passée super bien. Face à certaines choses, on ne peut vraiment se permettre de conseiller à l'homme ce qu'il doit faire ou non, c'est une question de choix, bien souvent trÚs personnelle.
Un peu triste! Les travailleuses du sexe se disent presque toujours obligées de faire ce travail là, plutÎt qu'un autre. J'espere que tu lui as conseillé d'autres chemins potentiels. Merci pour ce billet que j'ai pris plaisir à deguster!
Merci beaucoup pour la visite. À bientît Mireille.
Bonjour Osman,
Je m'interdis et j'interdis de porter tout jugement de valeur a l'Ă©gard de ces jeunes femmes. Dans le dur combat pour la survie ,surtout dans ces pays, on se sert des armes que l'on a !!.
Histoire trés touchante Osman .
ça prouve que la prostitution n"est pas volontaire
TrĂšs touchante, Titon. Oui je peux affirmer que, dans certains cas ce n'est pas un choix volontaire. C'est la situation qui s'impose.
Bande de sale porcs tout ces blancs nord américains canadiens québécois ou étasuniens ou européens qui viennent en republique dominicaines ou autres iles des antilles pour faire du tourisme sexuel avec nos femmes moi je dis il est temps que les dominicains ou autres antillais aillent baiser toutes leur femmes blanches a ces blancs les plus belles celles quils désirent le plus dans leur pays en amérique du nord au etats unis ou au canada et quebec puisquil viennent chez nous aux antilles et prennent nos femmes des antilles pour des putes ca doit aller dans les deux sens et pas que dans un seul !!!!!!!!
Vous détruisez notre peuple et prenez nos femmes pour des putes sans morale nous on va détruire le votre a la base en prenant vos femmes dans vos pays et pas les vieilles...
Vous nous respectez pas on respectera pas.
Bonjour
Tu préfÚres sosua ou "boca chica
moi je voudrai me pacse avec une jolie dominicaine et la faire venir en france pour vie maritale, en la sortant de sa misĂšre mais je ne trouve pas d agence matrimoniale, je suis celibataire et trop gentil pour les filles gravitant autour de moi
cherche agence matrimoniale en republique dominicaine pour me pacse pret a sortir une de ces pauvre filles exploité
y a du glamour , y a du gospel , vos écrits nous fascinent , votre style est sublime ... merci pour votre générosité
Quel commentaire de pleutre qui nous apprend en rien a ce que peut ressembler une nuit avec une fille de compagnie de la république. Non mais quel con

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