Baise avec le directeur de la miniature

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Le premier intĂ©rĂȘt de l’exposition ‘Le corps dĂ©couvert’ Ă  l’Institut du Monde Arabe (jusqu’au 15 juillet 26 aoĂ»t) est de bousculer les stupides idĂ©es reçues sur la reprĂ©sentation du corps en terre d’Islam (ou en tout cas dans le monde arabe) et de montrer comment, Ă  partir de prĂ©misses acadĂ©miques et orientalistes, les artistes arabes contemporains en sont arrivĂ©s Ă  une libertĂ© crĂ©ative brisant bien des tabous. Cette premiĂšre toile, qu’il faut regarder attentivement, orne la couverture des brochures et catalogues consacrĂ©s Ă  l’exposition. L’artiste Huguette Caland (par ailleurs fille du premier prĂ©sident du Liban) rĂ©alise ici son Autoportrait : ce n’est pas un aplat rose que nous voyons ici, car cette plage colorĂ©e est perturbĂ©e par un petit dĂ©crochage en bas, qui lui donne tout son sens. Comment montrer plus Ă©lĂ©gamment une nuditĂ© fĂ©minine, comment oser reprĂ©senter le corps, son corps, ainsi sans tabou et sans provocation ?
Le dĂ©but de l’exposition est plutĂŽt historique, montrant comment la Nahda (Renaissance) post-napolĂ©onienne amĂšne tardivement, Ă  partir de la fin du XIXĂšme siĂšcle, des artistes arabes Ă  se former en Europe et Ă  adopter les Ă©lĂ©ments clĂ©s des styles occidentaux de peinture, qui impressionniste, qui symboliste ( Khalil Gibran !), qui cubiste ou rodinesque, plus tard pop ou kitsch, sans qu’il y ait vraiment de spĂ©cificitĂ© orientale, sans grand lien avec les traditions artistiques anciennes de la rĂ©gion, Ă  de rares exceptions prĂšs (les sculptures de Mahmoud Moukhtar ou les miniatures de Mohamed Racim , par exemple : ci-contre Femmes Ă  la cascade , oĂč la finesse du trait et l’élĂ©gance des corps crĂ©e une oeuvre Ă©rotique et intime).
MĂȘme si un Khalil Saleeby , Ă©lĂšve de Puvis de Chavannes et ami de Renoir, revisite avec force le thĂšme d’Adam et d’Eve, montrĂ©s ici ĂągĂ©s et bedonnants (1901-1913), mĂȘme si les annĂ©es 1920 et 1930 voient une floraison de peintures de femmes nues (et quelques hommes), il n’y a lĂ  qu’un intĂ©rĂȘt historique, pas vraiment une rĂ©volution esthĂ©tique. De plus l’orientalisme est intĂ©grĂ© dans le travail de beaucoup de ces peintres, tout prĂȘts Ă  se prĂȘter aux fantasmes Ă©rotiques occidentaux sur le harem et l’hĂ©taĂŻre.
Cette Endormie de Mahmoud SaĂŻd (1933), lascive rĂȘveuse Ă  la peau vibrante sur son drap bleu, en est un des plus beaux exemples. A la mĂȘme Ă©poque (mais Ă  l’autre Ă©tage) la photographie se rĂ©pand dans toute la rĂ©gion, principalement sous l’impulsion d’ArmĂ©niens, et la Fondation Arabe pour l’Image prĂ©sente ici une partie de son immense collection, avec force athlĂštes et danseuses plus ou moins dĂ©vĂȘtues, lĂ  encore avec une charge Ă©rotique forte, mais encore discrĂšte. Les Ă©coles d’art se crĂ©ent : 1908 au Caire, 1923 Ă  Tunis, mais seulement 1950 Ă  Casablanca (et celle d’Alger, crĂ©Ă©e en 1883, n’accepte que des EuropĂ©ens jusqu’en 1920
), permettant peu Ă  peu une Ă©mancipation de la vison esthĂ©tique coloniale complĂ©mentant le ‘Grand Tour’ des artistes arabes en Europe.
Mais c’est la pĂ©riode contemporaine qui permet aux artistes arabes, enfin Ă©mancipĂ©s, de dĂ©voiler les corps, d’affirmer leur Ă©rotisme (hĂ©tĂ©ro ou, assez souvent ici, homo) et de faire exploser les tabous. DĂšs la premiĂšre salle, face aux nus trĂšs classiques de Georges Daoud Corm , peintre libanais des annĂ©es 1920, la photographe Majida Khattari inverse les rĂŽles : ce n’est plus le peintre homme qui se dĂ©lecte de son modĂšle nue, c’est la femme photographe qui dĂ©nude et dĂ©voile (au sens propre) ses Parisiennes . Plus loin on trouve Halida Boughriet qui se joue avec tendresse des mythes orientalistes avec ses vieilles femmes, anciennes combattantes du FLN, en odalisques, et Zoulikha Bouabdellah dont le cĂ©lĂšbre Dansons marie le Nord et le Sud, la France et le monde arabe (beaucoup d’artistes femmes parmi les contemporains).
Youssef Nabil (rĂ©cemment montrĂ© Ă  la MEP ) est aussi expert dans la dĂ©construction du fantasme hollywoodien-orientaliste avec ses photographies retouchĂ©es kitschissimes (ici la chanteuse Natacha Atlas en costume de danseuse du ventre, endormie). Si, ensuite, les salles dĂ©diĂ©es au corps souffrant, torturĂ©, martyrisĂ© introduisent une dimension bien plus tragique au milieu de cette exposition trĂšs sensuelle (avec, en particulier, une belle vidĂ©o d’un visage envahi par dessin et couleurs d’ Amal Kenawy et des tableaux du Gazaoui Hani Zurob , qui, ancien prisonnier en IsraĂ«l, sait de quoi il parle), j’ai Ă©tĂ© moins convaincu par la salle consacrĂ©e Ă  la sculpture, trop abstraite par rapport au thĂšme choisi.
Les salles du fond (‘non recommandĂ©es aux juniors’) sont un dĂ©lice car elles montrent l’irreprĂ©sentable, l’origine du monde arabe (commande d’un Ottoman d’Egypte , rappelons-le), de maniĂšre subtile, drĂŽle ou poignante. On y retrouve les broderies de vulves aux riches Ă©toffes de Lamia ZiadĂ© , les terrifiantes compositions Ă©rotiques de Laila Muraywid et cette injonction de Mourad Salem , ‘ Open your eyes ‘ devant une fleur-clitoris gĂ©ante bien plus engageante que celles de Georgia O’Keeffe . Oui, il est temps d’ouvrir les yeux

Pour conclure, nul n’oubliera cette vidĂ©o sur grand Ă©cran d’ Adel Abidin oĂč deux joueurs de Ping-Pong jouent un match acharnĂ© devant trois juges impassibles dans la pĂ©nombre : le filet est une femme nue, rousse plantureuse Ă  la peau laiteuse, moderne odalisque nonchalamment allongĂ©e sur la table. Elle frĂ©mit chaque fois que la balle l’effleure et son corps se couvre de tavelures rondes et rosĂ©es comme des arĂ©oles, empreintes sur son corps de la rage maladroite des joueurs. La partie est sans fin : la femme en est-elle le trophĂ©e impossĂ©dable pour un rĂ©sultat jamais atteint ?
Beaucoup de talent chez ces artistes. Parler de nuditĂ© arabe est trĂšs abusif. La plupart d’entre eux vivent et crĂ©ent en Europe et s’y sont formĂ©s. Leur peinture est europĂ©enne pas arabe.
« La plupart d’entre eux vivent et crĂ©ent en Europe et s’y sont formĂ©s. Leur peinture est europĂ©enne pas arabe. » (Zyx)
Vous soulevez effectivement un problĂšme qui n’est pas anodin. Est-ce, parce qu’on est parti vivre et crĂ©er loin de son pays, cela entraĂźne-t-il forcĂ©ment qu’on est loin de ses rĂ©alitĂ©s culturelles, socio-politiques et autres ?
Mais ne part-on pas avec son background qui fait qu’on garde son identitĂ© culturelle mĂȘme si on est Ă  mille lieues, gĂ©ographiquement parlant, de son pays d’origine ?
Par exemple, il m’est arrivĂ© de parler de l’Iranienne, et star, Shirin Neshat Ă  des Iraniens, dont des galeristes dans des foires, mais aussitĂŽt ils me prĂ©cisaient – « Oui, mais elle vit loin de son pays, elle est moins Iranienne qu’AmĂ©ricaine dĂ©sormais. »
NB : cette question en rejoint souvent une autre : Ă  l’ùre de l’internationalisation et de la globalisation du systĂšme marchand de l’art, n’y a-t-il une uniformisation des pratiques et des oeuvres d’art proposĂ©es ?
@ Zyx :
Et Matisse qui peint à Tanger est ainsi un artiste arabe alors

Barnabé (arabe).
Ce n’est pas tant une question de l’endroit oĂč l’on vit que de la maniĂšre dont on hiĂ©rarchise les influences reçues. Saleeby, Corm et bien d’autres peintres Ă©gyptiens ou libanais du dĂ©but du XXĂšme siĂšcle sont des peintres occidentaux de par leur style et leur rapport Ă  l’art (et ici singuliĂšrement, au corps) mĂȘme s’ils sont de culture arabe. Mahmoud SaĂŻd l’est dĂ©jĂ  moins, il me semble.
A contrario, le fait que Huguette Caland vive aux Etats-Unis se traduit sans aucun doute par des influences, mais n’enlĂšve rien Ă  son ‘arabité’, je pense. idem pour Majida Khattari qui vit Ă  Paris, dont le travail est certes irriguĂ© par la grande peinture française, mais qui sait digĂ©rer ces influences pour en faire un travail enracinĂ© dans sa culture marocaine. Etc.
Je ne crois pas qu’il y ait uniformisation, Vintage, en tout cas pas quand il s’agit d’Arabes, de Chinois, d’Indiens, etc. D’influences partagĂ©es, oui, mais pas d’uniformisation, comme ce peut ĂȘtre le cas entre EuropĂ©ens, plus souvent. Et je pense qu’au contraire le marchĂ© pousse vers cette diffĂ©rentiation, au lieu de gommer les diffĂ©rences, qu’il s’agisse des collectionneurs occidentaux, avides de dĂ©couvrir ‘autre chose’, ou des collectionneurs de ces pays, dĂ©sireux de tenter aussi dans leurs achats l’impossible (?) synthĂšse entre les cultures.
Vous semblez oublier dans vos commentaires un Ă©lĂ©ment essentiel . Peindre un nu pour un artiste Arabe,c’est tout simplement dĂ©fier la « morale islamique »,c’est Ă  dire l’interdiction formelle dĂ©ja de peindre l’humain(surtout pour les sunnites) ,alors peindre le nu c’est impensable.
Je crois que j’ ai dĂ©ja parlĂ© de ce problĂšme,nous avions Ă  mon Ă©poque le modĂšle vivant aux Beaux Arts d »Alger en 70,puis les annĂ©es 80?90 ?cela a Ă©tĂ© supprimĂ©.Aujourd’hui,les peintres ont Ă©vacuĂ© d’eux meme cette thĂ©matique.Avec la difficultĂ© d’etre dĂ©ja reconnu comme artiste dans une sociĂ©tĂ© qui se « religiose » de plus en plus (sans oublier ceux qui ont perdus leur vie durant la dĂ©cennie noire,entre autre le directeur de l’Ecole des Beaux Arts d’Alger et son fils),il ne reste donc que le passĂ© des peintres qui ont plus ou moins abordĂ© ce thĂ©me,et pour reprendre Zyx,je dirais que les peintres Arabes du nu ,ne l’ont fait et ne le feront que dans des ambiances occidentales.
J’ai Ă  la maison des dessins de nus de l’époque Beaux arts ,et lorsque je ne serais plus de ce monde ,je suis sur que mes filles les jetteront!!! Il n’y aura plus de peinture du Nu dans les pays Arabes,ca je peux l’affirmer,sauf dans les bastions ChrĂ©tiens,et encore!!
Rachid, certes, certes, mais cette morale islamique a Ă©tĂ© souvent dĂ©fiĂ©e, surtout par des Musulmans non-Arabes (Iraniens, Moghuls,..) alors que la religion leur imposait la mĂȘme interdiction, mais qu’ils se sentaient plus libres de ne pas la respecter, mais aussi par des Arabes musulmans.
Voici une miniature érotique , sans doute azéri, de 1540.
Je me souviens avoir visitĂ© il y a quelques annĂ©es un des ‘chĂąteaux du dĂ©sert’ en Jordanie en allant vers l’Irak, Qasr Amra, lieu de dĂ©lassement des califes omeyyades loin des contraintes de la cour (et des clercs). J’ai retrouvĂ© l’image de cette danseuse nue sur la fresque; le vin coulait Ă  flot aussi (sur ces fresques).
Cette autre est au MusĂ©e de Pergame Ă  Berlin, j’irais bientĂŽt la voir.
Je comprends votre pessimisme, vu les poussées islamistes, mais ne le partage pas, vu la résistance que beaucoup leur opposent. Regardez par exemple Aliaa Magda Elmahdy .
Quant à vos dessins, venez les sauvegarder de l’obscurantisme ici.
Ceci dit l’exposition a dĂ©libĂ©rĂ©ment choisi de ne pas aborder cette question de l’interdit religieux, et de ne pas faire une histoire du nu dans le monde arabe avant le XIXĂšme siĂšcle, mais de se concentrer sur l’art moderne et contemporain.
LR,ce n’est pas du pessimisme du tout,je suis connu pour etre jovial,mais la rĂ©alitĂ© est la rĂ©alitĂ©,on n’y peut rien.
J’ai une amie artiste Russe qui a exposĂ© quelques nus type boite de jazz;croyez moi elle est passĂ©e inapercue,sans compter que les quelques visiteurs ,font partie du petit milieu des artistes,pour dire que c’est nul comme impact,d’ailleurs ses travaux Ă©taient accrochĂ©s au fond de la salle et discrĂštement s’il vous plait.
Je sais qu’il y a plein de peintures Ă©rotiques dans le monde de la miniature ancienne du monde musulman ,mais aujourd’hui c’est un retour Ă  la » rigueur morale « comme jamais.
Etienne Dinet a laissĂ© des peintures de nus ,mais elles doivent etre bien cachĂ©es et le MusĂ©e des Beaux arts n’en fera pas acquisition.
Pour l’anecdote il y avait une dame du sĂ©nat qui avait suggĂ©rĂ© que le MusĂ©e des Beaux Arts se dĂ©barrasse des Nus qu’il a dans de sa rĂ©sĂ©rve depuis l’époque coloniale,cela n’a pas Ă©tĂ© fait ,mais bon!!
J’ai parcouru cette expo en ayant Ă  l’esprit tous les remous suscitĂ©s par la burqa et ses dessous
HĂ©ritiers de la civilisation grecque qui en en avait tirĂ© la quintessence, nous sublimons le corps dĂ©couvert depuis des millĂ©naires, alors voilĂ  une expo qui n’a rien pour nous surprendre et pas grand chose Ă  nous apprendre.
AprĂšs un succĂšs critique inĂ©vitable sur la place parisienne, l’Institut du Monde Arabe devrait envisager de dĂ©placer cette expo Ă  Riyad oĂč elle prendrait toute sa force, sauf que les artistes encore vivants qui ont confiĂ© leurs Ɠuvres risqueraient fort d’ĂȘtre retrouvĂ©s Ă©gorgĂ©s avec femmes et enfants.
La culture n’est pas un tranquille havre de paix, pas innocente, les idĂ©es sont bien plus redoutables que les pires armes !
[Visiblement, vous n’ĂȘtes jamais allĂ© Ă  Riyad, ni probablement Ă  Beyrouth, Tunis, JĂ©rusalem ou Le Caire. C’est bien connu, ils Ă©gorgent artistes, femmes et enfants, ces sauvages
 Merci de votre commentaire, bien typique , ce sera sans doute le dernier sur ce blog.]
Votre blog est une source d’infos, je suis un lecteur assidu et je vous souhaite bonne continuation .
Le dernier commentaire sera peut etre le mien LR;pour dire encore une fois qu’à Riyad on a autre chose à faire que d’exposer des nus!!
Un trÚs bon travail de la part de la rédaction. On y apprend un tas de choses nouvelles, et jŽaime bien cette pose provocante trÚs rafraichissante de votre part en ce qui concerne les pratiques du regard et la corporalité, érigés en discours totalisants et néanmoins totalitaires, vues à travers les maintes interprétations existantes dans ce soidisant monde « arabo-musulman ».
Par la mĂȘme occasion, on voit aussi une critique du naivisme orientaliste du siĂšcle dernier. Ceci Ă©tant aussi liĂ© au dĂ©sir de « lÂŽeuropĂ©en » (catĂ©gorie bizarre qui nÂŽa rien dÂŽuniversel, ni de globalisant, ni dÂŽhomogĂšne, combien de gens Ă  cette Ă©poque avaient-elles accĂ©s Ă  ce type de pratiques consommatrices?) de se dĂ©nuder et dÂŽaccĂ©der liibrement Ă  la pleine jouissance de sa sexualitĂ©, bien bridĂ©e Ă  cette Ă©poque chez tout un chacun, mais qui nÂŽapparaĂźtra que plus tard dans la rĂ©volution sexuelle des annĂ©es soixante.
[« La rĂ©daction », en fait l’homme-orchestre qui fait tout ici, vous remercie. Vous avez tout Ă  fait raison, c’est la frustration sexuelle occidentale qui est une des racines de cette forme d’orientalisme; voir les lettres d’Egypte de Maxime du Camp, par exemple. L’autre racine, Ă  mes yeux, est coloniale.]
AprÚs le choc visuel que me fut la découverte des zelliges et plùtres sculptés maghrébins (hélas bien sous-estimés), je ressens toujours un peu de difficulté devant ces travaux. Mais merci à LR de nous tenir au courant.
(Garnerius Del JESUS semble n’ĂȘtre pas au courant de qui furent les « hĂ©ritiers des Grecs » : qui est restĂ© le plus longtemps fidĂšle Ă  l’institution du gynĂ©cĂ©e ?)
LEs odalisques arabes s ne sont pas bienvenues dans l’art arabe car dire arabe c’est s’identifier musulman de naissance et par essence.
La législation pour ceux qui y adhÚrent regroupe les textes formels à ce sujet.
[arabe = musulman ? Quel contresens !]
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Des embouteillages dans l'Ouest en direction de St-Denis suite Ă  deux accidents


Par NP - Publié le Mercredi 13 Juin 2018 à 07:28

Photo contributrice du groupe FB Radar974


1. Posté par
JMR974
le 13/06/2018 08:22


2. Posté par
gogote
le 13/06/2018 08:33 (depuis mobile)


3. Posté par
Romain
le 13/06/2018 09:08


4. Posté par
Gabu
le 13/06/2018 08:38


5. Posté par
Tony
le 13/06/2018 11:20 (depuis mobile)


6. Posté par
JMR974
le 13/06/2018 13:07


7. Posté par
antiRĂ©gion
le 13/06/2018 14:50


8. Posté par
Sophie
le 13/06/2018 17:23


9. Posté par
TICOQ
le 13/06/2018 22:16


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