Baise Jumelles

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Témoignages


Ma soeur jumelle et moi — Les madmoiZelles témoignent




Melissa

02 juil 2017


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madmoizelle



Témoignages



Qu’est-ce que ça fait de grandir avec une soeur jumelle ? Quel lien y a-t-il vraiment entre des jumeaux ? Des madmoiZelles témoignent.




Famille



Soeur




Bonjour à tous.
Je tenais à vous faire partager mon histoire, une histoire un peu différente de la vôtre. J'ai également une sœur jumelle, mais elle est aussi ma pire ennemie.
Quand on était petite, notre lien était très fort, on était inséparables, de vraie âme sœur. Mais on se querellait aussi beaucoup. Puis nous avons grandi, et petit à petit j'ai cherché à être différente, à découvrir le monde toute seule.

Ma soeur est une personne très compétitive, elle a toujours besoin d'être supérieure à moi.

Bref, à l’adolescence les choses se sont gâtés, elle est devenue une véritable peste, Le genre de fille populaire au lycée. Tout l'inverse de moi. Elle voulait être la plus forte, la plus jolie, la plus intelligente de nous deux. À tel point qu'elle manipulait mes proches, J’étais devenue la méchante jumelle, immature, idiote, susceptible, menteuse, hypocrite et j'en passe.

Et elle est restée au lycée et je suis partie à la fac.
C'était la plus belle année de ma vie ! personne ne savait que j'avais une jumelle, j'étais enfin quelqu'un d'unique avec une personnalité propre. Je n'ai jamais supporté être considérée comme partie d'un lot.
Avec ma sœur, on se retrouvait seulement à la maison. Mais moins on se voyait et plus on se supportait.

Puis certain problèmes sont arrivés, mes parents ont divorcé, ma mère est tombée malade, mon frère est partie en Australie.
Les malheurs nous ont rapprochées, je l'ai laissée à nouveau entrer dans ma vie, rencontrer mes amis, découvrir ce que j'avais crée autour de moi.
Une énorme erreur puisqu'elle a aussitôt tout détruit, elle a, à nouveau, manipulé mes proches. Elle a réussi à me faire douter de moi, je me trouvais laide, idiote, inutile, sans intérêt pour personne.
Aujourd'hui je n'ai plus rien, même plus ma propre école, à la rentrée elle part dans la même fac que moi.
J'aime ma soeur, de tout mon cœur, mais elle me détruit chaque jours un peu plus. Bonjour Moonforest,
Ton témoignage est vraiment très intéressant.
Je travaille pour une émission de témoignages France 2 liée à la thématique des jumeaux "ennemis" qui sera enregistrée très prochainement.
Si un témoignage dans l'émission est susceptible de t'intéresser, peux-tu m'envoyer un mail avec tes coordonnées à eriviere@reservoir-prod.fr ?
Je t'appellerai pour que tu me parles de ton histoire.
Merci à toi !

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— Article publié le 2 novembre 2015
*Certains prénoms ont été modifiés.
La gémellité est souvent source de fascination, et génère bien des légendes. Des madmoiZelles ayant une soeur jumelle nous ont raconté leur relation un peu particulière avec elle, ainsi que le regard des autres.
Alors, qui arrive à dire ce que sa soeur jumelle a mangé à midi ?
Avoir une soeur jumelle, cela veut dire qu’on grandit à deux, côte à côte, et que l’on franchit les mêmes étapes à peu près en même temps, ensemble. De nombreux parents font attention à bien marquer les identités propres des soeurs jumelles, comme Camille s’en souvient :
« Nous sommes de vraies soeurs jumelles avec ma soeur, nées à sept minutes d’écart une petite soirée de fin de printemps. Nos parents ont toujours cherché à nous distinguer avant même notre naissance, et bingo : je suis née avec un petit grain de beauté au milieu du front !
Petites, je crois qu’on ne percevait pas vraiment la gémellité : on se percevait comme un tout, on ne se dissociait pas l’une de l’autre jusqu’à un certain âge. Nous parlions de nous comme d’un ensemble : « NOUS voulons jouer à ça », « NOUS avons faim »…
Pourtant, jusqu’à l’âge de cinq ou six ans nos parents faisaient attention à nous appeler une par une, et pas « les filles ». Et même si ma soeur jumelle et moi avions des vêtements presque identiques, ils n’étaient jamais de la même couleur (et de moins en moins de la même taille en grandissant, vu que je m’étais mise plus à l’aise dans le ventre de maman). En fait, l’école a sûrement joué : nous avons toujours été dans la même classe, sauf une année de maternelle pour faire un « test » de séparation qui a moyennement fonctionné — au début parce que nous nous manquions, et après au niveau éducatif, comme chacune était dans une classe à double niveau mais que celle d’Élisa tirait plus vers le bas.
L’éducation, que ce soit celle des parents, de la famille ou encore de l’école, est pour moi ce qui marque vraiment notre rapport à la gémellité. Ainsi que les autres enfants, qui la voient généralement tout de suite.
Par la suite mes parents ont fait attention à ce que les instits nous distinguent bien, ne nous mettent pas dans la même case : nous commencions à avoir nos propres personnalités, et cela se voyait aux copains que nous choisissions, à nos goûts en développement… »
L’importance de la distinction et de l’ouverture aux autres est également quelque chose qui a marqué Alix :
« Ma sœur et moi sommes de vraies jumelles. Arrivées dans une famille déjà composée d’un frère et d’une sœur, nous avons été appelées « les petites sœurs » toute notre enfance !
Mes parents ont toujours plus ou moins voulu nous différencier ; nous n’avons donc pas eu droit aux habits ou aux coiffures identiques. Par contre, nous avons toujours été scolarisées dans les mêmes établissements, et donc parfois dans les mêmes classes. Ma mère a tout de même fait la demande de nous mettre dans des classes séparées quand nous sommes entrées au collège.
Pour moi c’était sans grande importance puisqu’on avait déjà été séparées dans certaines classes du primaire, mais ma mère trouvait ça très important pour que l’on apprenne à se construire seules, à devenir indépendantes l’une de l’autre et à ne pas rester tout le temps collées ensemble.
Avec le recul je pense qu’elle avait tout à fait raison, il me semble important d’obliger les jumeaux et jumelles à s’ouvrir aux autres, et de veiller à ce qu’ils ne restent pas dans leur bulle. »
Enfants, les filles restaient cependant très proches de leur soeur jumelle, et avaient une relation forte. Camille se souvient ainsi avoir été soutenue et aidée par Élisa dans la cour de récré :
« J’avais plus de facilités à l’école alors que ma soeur jumelle était beaucoup plus sociale, tournée vers les autres. Avec du recul je me suis rendu compte qu’elle a été mon soutien au niveau social jusqu’à la fin du collège : elle m’a m’aidée à me trouver des amis, à m’intégrer dans des petits groupes déjà faits. Sans elle, personne n’aurait voulu traîner avec la « chouchoute de la maitresse », « l’intello »… »
Grandir signifiait en effet pour elles se distinguer de sa soeur jumelle, chacune se développant et cultivant ses goûts et sa personnalité.
« Nous faisions les même activités physiques et culturelles jusqu’à ce qu’on décide de ce qu’on voulait vraiment faire, complètement à l’opposé l’une de l’autre. Même si nous avions beaucoup d’intérêts en commun, nous nous sommes développées, et nous continuons de nous développer différemment.
À notre arrivée au lycée, nous avons demandé à laisser faire le hasard, qui nous a mises dans des classes séparées. Finalement, c’était beaucoup mieux comme ça ! Ça nous a permis de nous émanciper l’une de l’autre, surtout moi de ma soeur je pense. J’en avais besoin et ça m’a permis d’apprendre à me connaître moi, pas à travers ce que pouvait aimer ma soeur, de bien montrer que j’avais une personnalité différente de la sienne.
Petit à petit, nous avons chacune pris des chemins un peu différents, et cette année nous ne vivons plus ensemble à cause de nos études respectives. »
Pygypuff cultive les différences qui la distinguent de sa soeur jumelle :
« Physiquement je trouve que ma soeur jumelle et moi, on se ressemble : on fait la même taille, on a les mêmes cheveux, la même forme de tête etc. Mais on reste très différentiables : on n’a jamais été habillées pareil et on a rarement eu la même coupe. En effet, comme en primaire les gens nous confondaient parce qu’on était coiffées de la même façon, ma sœur a dit stop et s’est fait couper les cheveux très courts.
Puis elle en a eu marre qu’on la prenne pour un garçon, donc elle les a laissés repousser, mais plus court que moi qui les avait longs. Puis je les ai coupés aux épaules et elle les a laissés pousser. Et là je les laisse repousser et elle a la plus jolie coupe garçonne que je connaisse. Personnellement je ne me les couperai jamais à ce point car c’est SA coupe ; elle a déjà pris ce risque trois fois, ça lui va très bien et je trouve que ce serait la copier. C’est un truc auquel je tiens beaucoup, qu’on ait chacune notre identité. »
Alix ne s’est jamais sentie seule, et fait état d’une grande proximité avec sa soeur jumelle :
« On a toujours été assez proches. Petites, nous étions toujours fourrées ensemble, parce qu’avoir une jumelle veut dire qu’on a toujours une partenaire de jeu, ce qui est quand même chouette ! La présence de ma sœur jumelle m’a donc permis de ne jamais me sentir seule en étant enfant.
En grandissant nous sommes restées proches, mais en ayant aussi chacune notre vie de notre côté. Chacune avait ses ami•e•s et ses loisirs. Je me souviens qu’on aimait bien se raconter toute notre journée et tout pleins de trucs insignifiants quand on rentrait du collège/lycée. Ça pouvait durer des heures, et même si des fois on parlait sans trop s’écouter ; le fait d’avoir quelqu’un à qui raconter tout ce qui nous passait par la tête, sans avoir peur du jugement, c’est le truc le plus cool qui existe !
Du coup on se racontait pleins de choses, mais on restait aussi un peu secrètes sur d’autres sujets. C’est toujours le cas aujourd’hui, on se parle beaucoup, mais on garde aussi certaines choses pour nous. Par exemple je ne connais pas la vie sentimentale de ma sœur jumelle en détails, comme elle ne connait pas la mienne. Je pense que c’est une histoire de pudeur, et ça se retrouve dans notre relation. On ne parle pas de nos sentiments ; on sait qu’on s’aime très fort et qu’on ne pourrait pas se passer l’une de l’autre, mais on ne se le dit pas vraiment, ou de façon détournée, on ne se fait pas de câlins ou de bisous etc.
Ce que j’aime dans ma relation avec ma soeur jumelle c’est qu’on communique entre nous comme si on vivait ensemble. C’est-à-dire que quand on discute, par SMS par exemple, on ne va pas s’embêter à se demander comment ça va ou quelles sont les nouvelles : nos conversations sont très spontanées, on discute finalement comme on le ferait si on était l’une à côté de l’autre. On se raconte aussi toutes les choses les plus insignifiantes de notre journée (j’ai raté mon métro, j’ai mis des chaussures qui me font mal aux pieds, j’ai un pull qui gratte). Cette façon d’échanger, je ne la retrouve avec personne d’autre, et ça nous permet de nous sentir proches même en habitant à plus de 300km l’une de l’autre !
Aujourd’hui je dirais donc qu’on est toujours très proches, et si on pouvait habiter dans la même ville je n’hésiterais pas. Je pense qu’on a un peu le même genre de relation que deux meilleures amies, sauf qu’on sait qu’on sera toujours là l’une pour l’autre quoi qu’il arrive, et ce pour tout le restant de notre vie.
On cherche beaucoup moins à se différencier qu’avant, je pense que ça vient du fait qu’on a réussi à se construire chacune à sa façon, donc on a plus ce besoin de montrer qu’on est différentes, car c’est acquis (pour nous en tous cas !). On joue d’ailleurs un peu sur nos ressemblances par moment, alors qu’on ne le faisait jamais étant plus jeunes !
Pour résumer, avoir une sœur jumelle permet d’avoir toujours à ses côtés quelqu’un qui grandit au même rythme que soi, qui traverse la même chose en même temps que soi, et ça permet donc de ne jamais se sentir seule. »
Pygypuff est elle aussi très proche de sa soeur, et s’inquiète de leur grande soeur qui n’a pas forcément une place facile :
« Nous avons des caractères assez proches, et du coup je pense qu’on a naturellement fini par avoir les même amies. Au point que nous avons la même meilleure amie : ma sœur jumelle est devenue amie avec elle vers la cinquième, et moi en quatrième. C’est comme si on l’avait intégrée dans notre couple de jumelles, et que c’était un peu la triplée. Cela fait plus de cinq ans que l’on est séparées les unes des autres, mais nous sommes toujours aussi proches.
Cela m’amène à parler de notre grande sœur. Je ne crois pas que ce soit une situation facile. Je n’ose pas vraiment lui demander, mais je me demande si elle s’est sentie exclue de notre petit groupe, comme on jouait beaucoup à deux avec ma jumelle. En même temps cela ne l’empêche pas de « remplir son rôle » très bien. Mais cela m’a aussi causé un peu de jalousie à un moment, parce que ma jumelle vivait avec notre sœur pour ses études, et elles faisaient des choses ensemble, et j’étais triste de ne pas avoir une relation plus privilégiée moi aussi avec notre grande sœur. »
Les parents d’Alix lui ont reproché ce « cocon » dans lequel les soeurs semblaient s’enfermer :
« Concernant nos relations avec « l’extérieur », je me souviens de mes parents qui nous reprochaient de très peu leur parler lorsqu’on était au collège. On ne leur racontait jamais rien, ils savaient donc très peu de choses sur ce qu’on vivait à l’extérieur de la maison. Je pense que ça venait en partie du fait qu’on ne sentait pas le besoin de leur parler de ce qu’on vivait puisqu’on se le racontait déjà entre nous. C’est sûrement dur pour l’entourage de comprendre que l’on
Fille Qui Se Doigt
Il Encule Sa Belle Mere De Force
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