Baisant le gars fort
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Baisant le gars fort
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par Au Feminin
Créé le 12/12/2012 à 00:00 , modifié le 12/12/2012 à 00:00
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Accueil / Mariage / aufeminin.TV / Son enterrement de vie de jeune fille va trop loin et fait le tour du web !
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Série : AprÚs le repas
Premier texte : AprÚs le repas (01)
Texte précédent : AprÚs le repas (01)
Texte suivant : AprÚs le repas (03)
Ils discutĂšrent encore un peu, se douchĂšrent et se
quittÚrent. Bastien se retrouva tout à coup bien seul, il téléphona à deux de
ses connaissances féminines, hélas occupées, à son copain qui lui fit
comprendre quâil ne pouvait discuter. Alors il sâhabilla et erra dans les rues,
et sans sâen rendre compte ses pas le conduisirent dans les quartiers chauds. En
raison du premier janvier certains bars Ă©taient fermĂ©s, il en dĂ©nicha un quâil
nâavait jamais vu, malgrĂ© son allure louche il entra, il sâemmerdait trop,
alors là ou ailleurs. Sans savoir, il était entré dans un bar gay, ambiance
plutĂŽt cuir. En cette fin dâaprĂšs midi, presque le dĂ©but de soirĂ©e, de jour
fĂ©riĂ©, il nây avait pas trop de monde, ceux qui Ă©taient lĂ Ă©taient comme
Bastien, seuls, ils recherchaient de la compagnie.
â Salut, lui dit le barman, tâes nouveau toi, je ne tâai
jamais vu ?
â Oui, je mâemmerdais seul chez-moi, en passant jâai vu que
câĂ©tait ouvert alors je suis entrĂ©, je ne savais pas que câĂ©tait un bar cuir,
je peux tout de mĂȘme rester ?
â Bien sĂ»r que tu peux rester, aussi longtemps que tu le
souhaites, ce soir on ferme Ă minuit. Tu verras lâambiance est bonne, je suis
certain que tu vas te faire des copains, je te sers quoi ?
â Une biĂšre, sâil te plaĂźt, mais dis-moi, ça ne te fais rien
de travailler un jour de fĂȘte ?
â Bien sĂ»r que non, de plus ce bar appartient Ă mon ami et Ă
moi, il faut bien le faire tourner si on veut vivre.
â Non, il est chez ses parents, sa mĂšre est gravement malade.
Bastien avait déjà bu une biÚre tout en regardant ce qui se
passait autour de lui. Câest la premiĂšre fois quâil voyait autant de cuir sur
un si petit nombre dâhommes, il trouvait ça beau et se demandait quel effet
avait cette matiĂšre sur la peau pour ĂȘtre si bien adoptĂ©. Il se dirigea vers
les toilettes qui Ă©taient assez petites, commença Ă se soulager dans lâurinoir
quand tout Ă coup, il aperçut deux mecs, lâun debout sexe bandĂ© Ă lâair sucĂ©
par lâautre accroupi, cul Ă lâair se masturbant, cette scĂšne excita Bastien qui
continuait Ă regarder, le mec debout lui sourit, lui fit un clin dâĆil, un
mouvement de tĂȘte et un appel du doigt pour lâinvitation Ă les rejoindre, sans
problĂšme, il sâapprocha, le mec lâattira
par le cou et lâembrassa goulĂ»ment, lâautre se jeta sur ce morceau de choix
quâĂ©tait la bite de Bastien qui rĂ©pondait au baiser en laissant courir ses
mains sous la chemise de cuir, lâautre se releva et voulut Ă©galement embrasser,
Bastien sâabaissa et suça, un court instant les deux bites des mecs, lâautre
reprit sa place et trĂšs vite les fit jouir tous les deux, Bastien les embrassa
tous les deux et regagna sa place. Quand il réapparut, il vit le barman lui
sourire avec un clin dâĆil.
Il nâĂ©prouvait aucun regret de ce qui venait de se passer,
au contraire il se sentait bien, il but une autre biĂšre quand les deux mecs le
rejoignirent.
â Tâes nouveau ici, on tâa jamais vu, en bas il y a une piĂšce
réservée pour se distraire, si tu veux, tu peux nous y rejoindre.
â Merci de la proposition, je verrai.
Il descendit, tout étonné de découvrir des hommes en chaps
de cuir, dâautres complĂštement nus en train de se sucer, se sodomiser, sur un
banc un mec avait droit Ă une double pĂ©nĂ©tration. Il nâen pouvait plus,
quelquâun lâenlaça par derriĂšre, lui Ă©carta la chemise, plongea la main dans
son jeans, libĂ©ra le sexe trop Ă lâĂ©troit, appuyant sa bite sur ses fesses,
trĂšs vite le gars retourna Bastien, lâembrassa et le mit complĂštement Ă poil,
ils se dirigĂšrent vers un sling, le mec sâallongea et sâoffrit Ă Bastien qui ne
sâen priva pas, indiffĂ©rent aux regards
des autres, ce qui lâexcita davantage au profit de lâautre envahit par le
plaisir, quand il eut joui, il prit place sur le sling oĂč il reçut la bite du
mec, Ă droite et Ă gauche de sa bouche se trouvaient les deux mecs des
toilettes pour se faire sucer, ensuite ils se masturbĂšrent sur son torse et le
massÚrent sur tout le corps. Il était épuisé, il se rhabilla et regagna sa
place.
â Alors mec, tu ne regrettes pas dâĂȘtre entrĂ© ici ? lui
demanda le barman.
â Putain que non, tu peux ĂȘtre sĂ»r que je reviendrai de temps
en temps mais avant il faudra que je complĂšte ma garde robe, au moins dâun
jeans en cuir.
Bastien rĂ©gla et tendit la main au barman qui lâattira et
lâembrassa.
â Au plaisir de te revoir, Ă bientĂŽt, dors bien et fais de
beaux rĂȘves.
Et câest le cĆur lĂ©ger et la tĂȘte pleine de fantasmes que
Bastien regagna son domicile pour un sommeil réparateur nécessaire pour la
reprise du travail le lendemain.
Depuis son réveillon de la saint-sylvestre, Bastien
travaillait beaucoup, il avait fort Ă faire pour que son service soit
opérationnel à tous moments. Depuis deux semaines, il rentrait tard le soir,
crevé, fatigué, le vendredi soir une de ses amies passait le saluer et passer
la nuit avec cet amant extraordinaire, ce quâignorait la belle câest que
Bastien ne pensait pas Ă elle en la besognant avec fougue mais au peu quâil avait
vĂ©cu en rapports homos.Â
Nâen pouvant plus, tellement il se sentait excitĂ©, un jeans,
sans rien dessous, un marcel et un blouson il se dirigea au bar dâAurĂ©lien et
Thomas, quand il entra il fut accueilli par le copain de Thomas qui lâembrassa
à pleine bouche quand arrivÚrent Aurélien et Thomas.
â Quelle surprise de te revoir Bastien, plus dâune fois jâai
voulu passer chez toi mais notre pĂšre nous as dit que tu travaillais dur et
tard, je suis trop content, viens, suis-moi je tâemmĂšne pour la nuit.
Pendant le trajet, Bastien ou AurĂ©lien, plaquait lâautre
pour lâembrasser avec passion, les mains voyageuses dĂ©couvrirent quâils Ă©taient
tous les deux nus sous le jeans. ArrivĂ©s, Bastien reconnut le bar oĂč il Ă©tait
venu seul, il fut surpris de voir le barman embrasser Aurélien sur la bouche.
â Ne sois pas Ă©tonnĂ© lui dit le barman, AurĂ©lien est un
habitué des lieux, je suis bien content que tu sois pote avec lui, et toi, je
mâĂ©tonnais de ne pas tâavoir revu depuis le jour de lâan, venez, je vous offre
une biĂšre.
Ils sâassirent Ă une table, cĂŽte Ă cĂŽte, Ă la deuxiĂšme biĂšre
ils enlevĂšrent le maillot et le blouson, sâembrassĂšrent, se caressĂšrent, la
bite tendue bien visible dans le jeans, quand ils se levĂšrent pour aller
pisser, le barman sâapprocha pour caresser ces deux morceaux.
â Ce soir, il y en a qui vont ĂȘtre Ă la fĂȘte, mes salauds
vous nâallez pas chĂŽmer.
Quand ils arrivĂšrent aux toilettes, il y avait justement un
plan uro, AurĂ©lien avait envie dây participer mais il rĂ©alisa que Bastien Ă©tait
tout nouveau chez les homos et il ne voulait surtout pas le choquer, câest lui-mĂȘme
qui fut Ă©tonnĂ© de voir Bastien, les jambes Ă©cartĂ©es, bite Ă lâair, se soulager
sur le mec assis bouche ouverte sur le carrelage, alors Aurélien le rejoignit
pour, lui aussi, se soulager. Arrivés dans la salle des plaisirs, ils
sâapprochĂšrent du sling oĂč un mec baraquĂ©, sous lâeffet du poppers, se laissait
enculer, Bastien lui prĂ©senta sa grosse bite tandis quâAurĂ©lien lui donnait la
sienne Ă sucer, ils intervertirent les rĂŽles et lâabandonnĂšrent Ă dâautres, ils
ne voulaient pas jouir si tÎt dans la soirée. Bastien se dirigea vers un mec,
lâempoigna par derriĂšre tout en lui baisant le cou et en lui triturant les
tĂ©tons, le mec tourna la tĂȘte en tendant sa bouche entrouverte bien vite
remplie de la langue de Bastien qui avait abandonné les tétons pour lui
titiller la rosette, le mec se pencha sur la queue tendue dâAurĂ©lien allongĂ©
sur un banc, Bastien était trop excité pour résister encore une fois, alors il
fit durer le plus longtemps possible avant de jouir dans le type, Aurélien le
remplaça aussitÎt, Bastien présentant au mec sa queue toute dégoulinante,
AurĂ©lien fit de mĂȘme quand il eut dĂ©chargĂ©, le type avait joui sans se toucher,
Ă en juger par la quantitĂ© de sperme sur le sol, il nâeut pas de mal Ă faire
croire à ses compagnons combien il avait pris son pied, espérant que ça se
reproduise. Ils allĂšrent au bar pour boire une biĂšre.
â Dis-donc, tu mâas drĂŽlement Ă©tonnĂ©, tu agis comme si tu
faisais ça depuis toujours, je tâavais dit que tâĂ©tais fait pour le sexe, mais
lĂ , jâen suis sur le cul, tu ne peux pas savoir combien je suis content quâon
se soit rencontrĂ©s, tu veux bien quâon devienne amis, sans arriĂšre
pensée ?
â Bien-sĂ»r que jâaccepte dâĂȘtre pote avec toi, nâoublie
jamais que câest toi qui mâa amenĂ© lĂ oĂč jâen suis aujourdâhui, depuis notre
premiĂšre fois jâai souvent envie de baiser, mes copines passent de temps en
temps mais quand je les baise, je pense aux mecs, remarque, elles nây voient
que du feu, au contraire, elles me trouvent encore plus actif. Pour ce soir, si
tu veux on en reste lĂ , on rentre tous les deux chez moi, jâai envie dâun
cĂąlin.
AurĂ©lien qui nâen espĂ©rait pas tant accepta, ils saluĂšrent
le barman et rentrĂšrent. Surprise devant la porte de lâappartement, Thomas et
son copain venaient demander si Bastien pouvait les héberger pour la nuit,
accord immĂ©diatement donnĂ©, quant Ă eux ils gagnĂšrent la chambre oĂč ils firent
tendrement lâamour une grande partie de la nuit.
Le lendemain vers les onze heures, on carillonnait Ă la
porte de lâappartement, Bastien passa son jeans, demanda Ă AurĂ©lien et aux
autres de ne pas bouger de la chambre.
â Paul !, Câest toi qui fais ainsi tinter la sonnette,
quâest-ce quâil y a, pourquoi tu es dans cet Ă©tat. Entre prendre un cafĂ©.
â Excuse-moi, câest vrai, je suis un peu inquiet, hier
jâavais prĂȘtĂ© la voiture aux enfants avec les papiers, Ă leur retour ils nous
ont dit quâils dormiraient chez le copain de Thomas, or ce matin en voulant
prendre la voiture, impossible de trouver les papiers, jâai appelĂ© chez le
copain de Thomas sans que personne ne
rĂ©ponde, oĂč sont-ils alors ? JâespĂšre que rien de fĂącheux ne leur est
arrivĂ©, on les aime nos enfants mĂȘme si souvent on ne se comprend pas.
â Pourquoi vous ne vous comprenez pas ?
â Certes, les Ă©tudes vont bien mais tu as vu leur genre, les
jeans serrĂ©s, blousons ou bombers, cheveux courts, mĂȘme pour une rĂ©union de
famille ils refusent la tenue de ville, jâose espĂ©rer quâils ne font pas partie
dâun gang ou dâune secte pour commettre des mauvais coups et se retrouver en
prison.
â Toi et ta femme, vous nâavez jamais essayĂ© de savoir le fin
mot ?
â On a bien une idĂ©e, elle et moi, personnellement on
sâen fout mais câest pour le reste de la famille et les connaissances.
â Quâils soient homos, Ă part ce que je viens de te dire, ça
nous est Ă©gal, on nâaura pas de petits enfants de ce cĂŽtĂ©-lĂ .
â Paul, tu vas ĂȘtre doublement surpris, peut-ĂȘtre vas-tu me
dĂ©tester mais il fallait quâun jour tu le saches, suis-moi.
Bastien ouvrit brusquement la porte de la chambre, les trois
garçons sont là , nus et inquiets des suites prévisibles.
â Quâest-ce, quâest-ce que ça veut dire ? A poil chez
Bastien, mais, mais je ne comprends plus rien.
â En fait câest simple Paul, tu vois tes fils sont bel et
bien PD à 100%, ils ont essayé avec des filles, échec complet, tu connais mon
succĂšs auprĂšs des femmes, en fait grĂące Ă AurĂ©lien jâai dĂ©couvert que jâĂ©tais
BI, et jâaime ça. Cette nuit Thomas et son copain mâont demandĂ© de les hĂ©berger
alors que je ressortais dâune boite cuir avec AurĂ©lien, on a fait lâamour une
grande partie de la nuit. Ne les blĂąme pas, ils ne savaient pas comment aborder
le problĂšme avec toi et ta femme.
â Merde, jâen reviens pas, comment on a fait pour avoir deux beaux garçons si bien membrĂ©s ?
â Je sais Papa, pour tâavoir aperçu te masturber que tu as un
beau morceau entre les cuisses, câest un trĂšs bel hĂ©ritage que tu nous as fait
là , dit Aurélien.
Ăclat de rire gĂ©nĂ©ral, cependant Bastien remarqua que Paul
Ă©tait un peu embarrassĂ©. Pendant que les trois jeunes se douchaient et remettaient de lâordre, Bastien sâisola dans son bureau avec Paul.
â Paul, avec ce que tu viens dâapprendre on est un peu
intime, dis-moi ce qui ne va pas, depuis quâAurĂ©lien a plaisantĂ© avec ton sexe,
tu sembles bizarre, quâest-ce quâil y a ?
â Bastien, je vais te faire une confidence, ma femme que
jâadore nâa jamais Ă©tĂ© trop portĂ©e sur le sexe mais enfin cela allait jusquâĂ
lâannĂ©e derniĂšre oĂč elle a dĂ» subir une importance opĂ©ration chirurgicale,
depuis, le rapport sexuel est devenu impossible, elle se sent malheureuse car
par sa faute elle sait que je suis privĂ© de sexe moi qui aime tant ça, câest
pourquoi je me branle dans la salle de bains, jamais je ne me serais douté
quâun de mes fils me voit en pleine activitĂ©.
â Et alors ? Tu sais pour AurĂ©lien et Thomas ça leur
semble normal car je suppose quâils sont au courant pour ta femme et toi ?
â Oui, ils savent quâon sâaime comme avant mais sans le sexe,
un jour ma femme mâa mis Ă lâaise en me disant quâelle comprendrait que jâaie
une aventure par-ci par-lĂ , pour lâinstant ça ne me dit rien.
â Paul, sache que dorĂ©navant si tu as envie de parler
librement, tu peux venir ici comme tu veux.
Paul téléphona à sa femme pour lui demander de préparer des
pĂątes pour la famille plus deux personnes, sur le chemin il achĂštera des
escalopes. Câest au cours du repas que Paul informa sa femme sur lâorientation
sexuelle de ses fils accompagnés de leurs amants occasionnels, surprise,
muette, larme Ă lâĆil, se leva et embrassa ses fils.
â Lâimportant pour nous,Â
mes chĂ©ris, câest que vous soyez heureux, on vous aime.
Plusieurs mois venaient de passer quand lâemployeur de
Bastien et Paul les envoyĂšrent Ă Berlin pour quelques jours afin dâassister au
salon international de lâinformatique. Le dĂ©part Ă©tant prĂ©vu dans deux jours le
temps nécessaire pour prendre leurs dispositions. Deux couchettes étaient
réservées dans le train pour Berlin.
Bastien et Paul sâĂ©taient entendus sur les tenues
vestimentaires pour le salon, tenue de ville décontractée et sport pour le
reste du temps libre. La famille tenait Ă les accompagner Ă la gare, ils
dĂźnĂšrent au buffet, AurĂ©lien attira lâattention de Bastien sur un mec attablĂ©
seul, la quarantaine trÚs bien entretenue, visage carré, cheveux courts, bras
puissants, un Allemand probablement.
â QuâĂ ta place, si le hasard fait que je rencontre un mec si
bien foutu, sâil est dâaccord, je nâhĂ©site pas, blague Ă part Bastien, tĂąche
dâaccompagner papa chez les putes pour quâil tire une fois un bon coup, ça lui
fera du bien.
â OK, ma puce, je ne laisserai pas tomber ton pĂšre.
AprĂšs les embrassades, ils se mirent Ă chercher leur wagon,
leur compartiment de quatre places, le contrĂŽleur indiqua une place en haut,
une en bas, lâautre place du bas est rĂ©servĂ©e, celle du haut, libre, doit le
rester pour un besoin de dernier ordre. Lâoccupant de lâautre couchette
infĂ©rieure arriva, câĂ©tait celui qui Ă©tait seul Ă sa table. Allemand
effectivement qui parlait parfaitement le français, il salua Bastien et Paul
dâune ferme poignĂ©e de mains. Ils Ă©changĂšrent de banals propos et dĂ©cidĂšrent de
se coucher. Le train roulait depuis plusÂ
dâune heure quand Bastien fut rĂ©veillĂ©Â
par la veilleuse du voisin, qui tourné vers la cloison se masturbait en
regardant la photo dâun mec, sa respiration Ă©tait haletante, Bastien, excitĂ©
commença Ă faire de mĂȘme puis dĂ©cida de se lever, complĂštement nu la queue
raide, sâapprocha du type, par lâĂ©paule
le remit sur le dos.
â On a les mĂȘmes envies, on peut sâentraider, quâen
dis-tu ?
â Pourquoi pas, quand je tâai vu au buffet je nâaurais jamais
imaginé que le hasard nous réunisse dans ce compartiment, la vache, quel
morceau. Ils se placĂšrent en position 69.
Paul avait été
réveillé par les chuchotements, de sa couchette supérieure son regard plongeait
sur la couchette infĂ©rieure de lâautre cĂŽtĂ©. CâĂ©tait une vĂ©ritable dĂ©couverte
pour lui de voir deux mecs se sucer, sans sâen rendre compte sa main plongea
dans son slip saisissant son sexe grossissant, Bastien trÚs excité releva les
jambes de Peter pour lui lécher la rondelle, Peter était aux anges, en ouvrant
les yeux il vit, malgré la pénombre Paul
se masturber.
â Ne reste pas lĂ -haut, seul, rejoins-nous, Bastien stoppa et
regarda Paul en lui disant, fais comme tu le sens, laisse-toi guider par ton
instinct mĂȘme sâil ne sâagit que de voyeurisme.
Peter se leva et tendit la main Ă Paul, lui enleva son slip,
lâembrassa et entreprit de le sucer pendant que Bastien avait repris son
activité sur la rondelle de Peter. Paul, était paralysé, incapable de réaliser
ce quâil vivait, instinctivement, il avait placĂ© ses mains de chaque cĂŽtĂ© de la
tĂȘte de Peter, comme pour suivre les va-et-vient buccaux. Paul, qui nâavait
jamais connu une telle pipe rĂ©alisa combien câĂ©tait bon pourvu que ça dure
longtemps, hĂ©las Paul, trop excitĂ© prĂ©vint Peter quâil ne pouvait plus tenir,
quâil allait jouir, Peter redoubla dâardeur et reçut en pleine bouche plusieurs
jets de sperme, il se releva et embrassa Paul, lui faisant ainsi goûter sa
propre semence, il appuya sur les Ă©paules de Paul et lui tendit son sexe dur
comme du fer pendant que la grosse queue de Bastien sâenfonçait dans lâintimitĂ©
de Peter couinant de plaisir par le va-et-vient de ce pieux si dur. Au début,
Paul sentait quâil Ă©tait maladroit de la façon dont il suçait Peter, il se rappela
comment Peter lâavait sucĂ©, il se dĂ©tendit et sâappliqua Ă la grande
satisfaction de Peter qui agrippa les fesses de Paul au moment oĂč Bastien
lâinondait de son foutre, nây tenant plus, Ă son tour il Ă©jacula dans la bouche
de Paul qui, surpris, dégoûté et résigné, finit par tout avaler en admettant
que ce nâĂ©tait pas si mauvais que cela, alors il prit lâinitiative dâembrasser
Peter en lui rendant un peu de sa semence.
â Merci les mecs, je suis vraiment bien content de vous avoir
comme compagnons de voyage, merci surtout Ă toi Bastien dâavoir pris
lâinitiative, allez, mes poules on dort et on
Une mĂšre et sa fille se font prendre par des mecs
Elle est convaincue
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