Bagarre De Femmes En Afrique

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Bagarre De Femmes En Afrique
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© JOSH EDELSON Source: AFP L’activiste Sara Warner montre son soutien au dĂ©filĂ© de la Gay Pride de San Francisco, le 24 juin 2018
Une bagarre impliquant une dizaine de femmes a Ă©clatĂ© le 26 juin au cours de la manifestation annuelle de la Gay Pride de San Francisco. L’incident se serait produit aprĂšs un diffĂ©rend entre deux participantes.
Tirages de cheveux, coups de poing ou encore placages au sol : la Gay Pride de San Francisco qui s’est dĂ©roulĂ©e le 24 juin a Ă©tĂ© entachĂ©e par une impressionnante bagarre impliquant une dizaine de femmes, sous l’Ɠil des passants, nombreux Ă  immortaliser la triste scĂšne. 
Toujours selon le site britannique, la police a affirmĂ© que personne n’avait Ă©tĂ© interpellĂ© et qu’elle ne souhaitait pas faire de dĂ©claration Ă  ce sujet.
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Elle a Ă  peine 18 ans et subit dĂ©jĂ  les foudres de son mari violent. «L’affaire Ndeye Coumba Diop» a suscitĂ© une vague d’indignation au SĂ©nĂ©gal fin juillet 2018. Les photos de la jeune femme ensanglantĂ©e postĂ©es sur les rĂ©seaux sociaux sont venues rappeler le calvaire que vivent des milliers de SĂ©nĂ©galaises, dans le silence et l’anonymat. GĂ©opolis fait le point avec deux sociologues sĂ©nĂ©galais.




France Télévisions




RĂ©daction Afrique




Publié le 20/08/2018 11:58


Mis Ă  jour le 22/08/2018 09:24





























Femmes sénégalaises au pélerinage annuel de Touba, à 200 km de Dakar. C'est dans cette ville qu'a éclaté «l'affaire Ndeye Coumba Diop» fin juillet 2018. (Photo Reuters/Fibarr O'Reilly)




C’est un dĂ©ferlement d’atrocitĂ©s au quotidien que dĂ©crit le SĂ©nĂ©galais Pierre SanĂ©, prĂ©sident d' Imagine Africa Institute et Ă©ditorialiste de Seneplus . Il dĂ©nonce le calvaire des femmes sĂ©nĂ©galaises « battues, niĂ©es, tuĂ©es, violĂ©es, mutilĂ©es, harcelĂ©es » par les hommes.

«Etouffées dans le carcan familial ou villageois»
Dans un appel adressĂ© aux hommes de ce pays de l’Afrique de l’Ouest en janvier 2018, Pierre SanĂ©, ancien secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral d’Amnesty International, pointe de nombreuses agressions et brutalitĂ©s subies par les femmes. Des violences qui, malheureusement, sont passĂ©es sous silence : « Ă©touffĂ©es dans le carcan familial ou villageois ».

C’est ce qui a failli arriver, fin juillet 2018, Ă  Ndeye Coumba Diop. Une jeune SĂ©nĂ©galaise de 18 ans, violentĂ©e par son mari et chassĂ©e de la maison en pleine nuit, le corps en sang. La vidĂ©o de son calvaire postĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux a suscitĂ© une vive Ă©motion au SĂ©nĂ©gal.

Sous la pression de sa famille, la victime a Ă©tĂ© obligĂ©e de retirer la plainte dĂ©posĂ©e contre son mari pour coups et blessures. Une pratique courante qui n’a pas surpris le sociologue sĂ©nĂ©galais Mamadou Wane.

«Il y a une tendance trĂšs lourde dans la sociĂ©tĂ© sĂ©nĂ©galaise Ă  faire des mĂ©diations et Ă  privilĂ©gier des mĂ©canismes de rĂ©conciliation et de gestion des conflits au sein des mĂ©nages. Il ne s’agit pas d’une volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e d’étouffer ces violences contre les femmes», explique-t-il Ă  GĂ©opolis.

«Une prison discrĂšte faite d’inquiĂ©tude»
L’ancien activiste des droits de l’homme Pierre SanĂ© tire la sonnette d’alarme. Beaucoup de SĂ©nĂ©galaises vivent dans «une prison discrĂšte , voire invisible, faite de harcĂšlements, d’étouffements et d’inquiĂ©tude» . C’est comme si cette violence quotidienne Ă©tait sournoisement admise par notre culture, observe-t-il.

Un constat inquiĂ©tant dans une sociĂ©tĂ© globalement patriarcale dans laquelle l’homme dispose souvent de plusieurs Ă©pouses. La polygamie contribue-t-elle Ă  banaliser les violences faites aux femmes au SĂ©nĂ©gal ?

Le sociologue sĂ©nĂ©galais Mamadou Moustapha Wone explique Ă  GĂ©opolis que la violence polygamique est beaucoup plus une violence entre femmes jalouses qui se battent entre-elles, qui se maraboutent pour avoir les faveurs de l’homme. Mais il reconnaĂźt que cette pratique, parfaitement lĂ©gale dans le pays, donne lieu parfois Ă  des abus.

«Certains en abusent croyant qu’il s’agit d’un droit que la sociĂ©tĂ© et la religion leur a donnĂ©. Et ils pensent que les hommes peuvent Ă©pouser autant (de femmes) qu’ils veulent et qu’ils peuvent les rĂ©pudier et les violenter Ă  leur guise.»

«Le linge sale se lave en famille»
Mamadou Mustapha Wone observe qu’au SĂ©nĂ©gal comme dans la plupart des sociĂ©tĂ©s africaines, les couples ne se forment pas sur des histoires d’amour. Il s’agit le plus souvent de mariages arrangĂ©s.

«Il faut se mettre Ă  l’évidence que tout ce qui se passera ensuite, ça va ĂȘtre arrangĂ© Ă©galement. Et ça va ĂȘtre arrangĂ© par les autres. C’est-Ă -dire par la famille et par la communautĂ©. Comme on le dit souvent ici, le linge sale se lave en famille. Il ne faut pas que ça sorte. Que ça s’ébruite. C’est Ă  nous de rĂ©gler le problĂšme. Pas devant les tribunaux», analyse-t-il.

Les femmes sĂ©nĂ©galaises sont-elles condamnĂ©es Ă  souffrir dans le silence et dans l’anonymat ? Le sociologue sĂ©nĂ©galais Mamadou Wane compte sur l’activisme des organisations de la sociĂ©tĂ© civile, sur les leaders politiques et tous les intellectuels sĂ©nĂ©galais pour changer la donne.

« Quand vous voyez l’émotion collective que cette affaire de la femme violentĂ©e a suscitĂ© dans le pays. Et que vous constatez qu'elle a donnĂ© lieu Ă  un procĂšs et Ă  une condamnation malgrĂ© la pression de la famille, on peut en dĂ©duire que c’est le dĂ©but de quelque chose. Un signal fort contre le rĂšgne de l’impunité», espĂšre-t-il.

Un optimisme que ne partage pas totalement son collÚgue Moustapha Wone. Il fait remarquer que les quelques ONG engagées dans la lutte contre les violences faites aux femmes ne mobilisent pas au-delà de ceux qui en ont fait leur gagne-pain.

«Ces ONG sont tournĂ©es vers le modernisme et l’Occident alors que la population fonctionne sur la base de ses propres mentalitĂ©s. Je pense qu’il faut Ă©viter de la brutaliser», estime-t-il.

Mamadou Mustapha Wone conseille d’y aller doucement pour faire Ă©voluer cette mentalitĂ© de l’intĂ©rieur. Sinon vous risquez de braquer la population, prĂ©vient-il.
 

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