Bébé il fait froid dehors

Bébé il fait froid dehors




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Bébé il fait froid dehors
Auteure : Kelly O’Neil, mère skieuse native de Collingwood
Une sage femme de plein air m’a un jour dit que le mauvais temps n’était qu’une illusion; il s’agit en fait de s’habiller en conséquence. Habiller votre bébé ou votre tout-petit pour l’hiver représente sa première ligne de défense contre les éléments.
Peu importe le temps qu’il vous faut pour habiller votre bébé avant de l’amener sur les pentes et le stress que cela peut vous occasionner, vous ne le regretterez point, c’est promis! Si vous respectez quelques techniques de superposition de base, vous vous assurerez une expérience chaude et heureuse à l’extérieur.
Voici quelques petites choses que je vous recommande d’essayer avec votre bébé ou votre tout-petit pour le préparer à profiter des pentes.
Superposez les couches en fonction de la température.
La superposition constitue la clé à mon avis. En tant que parent, vous savez si votre bébé a habituellement chaud ou froid. Habillez-le selon sa température interne typique. Ma fille de 4 ans, Audrey, a habituellement chaud. Ainsi, j’aime choisir des couches de base intelligentes. Mountain Equipment Co-op conçoit une fantastique couche de base qui offre une qualité exceptionnelle pour le prix. Voyez ici la gamme Bambini . Tant que cette couche est fabriquée d’un tissu technique sec qui colle à la peau, vous ne vous trompez pas!
La couche suivante dépend du degré d’activité physique de votre enfant sur la montagne.
Que vous transportiez votre bébé dans un sac à dos ou que vous appreniez à votre tout-petit à skier ou à surfer, vous devez adapter la couche suivante à la quantité d’activité physique qu’il exercera. C’est une excellente idée d’investir dans une couche rembourrée de base une pièce pour votre nouveau-né sur laquelle vous pouvez superposer des couches extérieures. Patagonia fabrique une option incroyable. J’ai cherché un vêtement de seconde main pour Audrey afin d’épargner. Quel bon investissement j’ai fait!
Maintenant que ma fille a 4 ans et qu’elle skie depuis 2 saisons complètes, elle est très active sur les pentes. De haut en bas, de gauche à droite, elle se promène partout sur les pistes que nous essayons! Je mets habituellement à Audrey une couche en molleton chaud supplémentaire sur le dessus, généralement dotée d’une glissière, afin qu’elle puisse facilement l’enlever si elle a chaud. Par-dessus cette couche, elle porte ses vêtements d’extérieur. Columbia Kids est ma gamme préférée pour elle, puisqu’elle offre des pièces polyvalentes à bon prix. La collection Outgrown Extend vous permet d’utiliser les pantalons de neige, les habits de neige une pièce et les vestes pendant au moins deux saisons.
Skis d’entraînement.
J’ai ri quand j’ai vu ces skis pour la première fois. Voici le cousin d’Audrey, Bruce, qui s’habitue à avoir des skis dans les pieds. Ils peuvent être utilisés sur du tapis ou à l’extérieur avec des bottes d’hiver ordinaires. Il s’agit d’une excellente façon d’habituer les tout-petits à la façon dont ils doivent bouger quand ils portent des skis. Cette paire est faite par Komperdell.
Un chocolat chaud à l’après-ski.
Oui, Audrey a commencé le rituel de l’après-ski à un très jeune âge. Qui n’aime pas se détendre après une froide séance sur les pentes avec une boisson chaude? Son choix : le chocolat chaud pour enfants de Starbucks.
Se préparer à une vie de plaisir hivernal avec son tout-petit est une expérience gratifiante. Mes parents ont investi dans l’apprentissage du ski quand j’étais jeune, et je leur en remercie en tant qu’adulte. J’espère qu’Audrey partagera ma passion pour les sports de montagne et aimera l’hiver autant que moi. En attendant, c’est merveilleux pour moi de la regarder apprendre et devenir une enfant saine, active et pleine d’énergie!
This post is also available in:
Anglais

Parents respecte votre vie privée ! Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal



En ce moment :


Astro bébé et maman
Coronavirus France
Palmarès Prix Parents 2022
Application Grossesse


Les premiers jours, on reste à la maison
Porte-bébé ou landau : les parades contre le froid
On couvre bébé de la tête aux pieds

Article mis à jour le 21 févr. 2017
Inscrivez-vous aux newsletters Parents de votre choix

Renseignez votre email pour recevoir vos newsletters :


Renseignez votre date d’accouchement prévue pour recevoir votre newsletter suivi de grossesse personnalisé :

Durant les premières semaines et les premiers mois avec notre bébé, on a envie de lui montrer le monde, de lui ouvrir les yeux sur ce nouvel environnement. Oui mais c'est l'hiver, et on a peur qu'il attrape froid ! Les précautions à prendre avant d'aller prendre l'air.

Les nouveau-nés sont trois fois plus sensibles au froid que les adultes. Alors autant que possible, on évite les sorties . Et on demande de l'aide à notre entourage pour les courses, ce qui nous permettra de rester bien au chaud à cocooner bébé ! On pense toutefois à aérer chaque jour notre logement, car une atmosphère confinée favorise la prolifération des bactéries.
S'il fait trop chaud chez nous, bébé sera encore plus vulnérable au froid extérieur. Comme il régule mal sa température, il aura des difficultés à s'adapter aux écarts extrêmes. 19 °C à la maison, c'est l'idéal . Au besoin, on achète un thermomètre pour contrôler notre chauffage.
On profite des éclaircies pour partir en promenade avec notre bébé . En cas de brouillard, mieux vaut s'abstenir : le plafond nuageux est bas, d'où une pollution plus forte. Quant au vent, il est presque plus néfaste qu'une température très basse et refroidit dangereusement bébé . S'il fait moins de 0°C, on prend davantage de précautions : on écourte la promenade et on l'emmitoufle au maximum !
Le bébé reste immobile et ne peut donc pas se réchauffer. En hiver, le meilleur créneau de promenade se situe entre 11 heures et 16 heures , et la sortie doit être courte dans tous les cas.
Le plus du porte-bébé ventral, c'est que le nouveau-né profite de la chaleur de sa mère. Mais il s'engourdit rapidement. Pensez aussi aux courants d'air et placez par exemple le porte-bébé sous votre manteau pour lui couvrir les jambes. Le landau est plus confortable, à condition de relever le tablier et d'ajouter une petite couverture. Une idée : si on est obligé de laisser le landau à l'extérieur ou dans un local froid, on conserve l'oreiller et le petit matelas chez nous, afin qu'ils ne soient pas glacés lorsqu'on y installera notre bébé.
On retient deux principes pour l'habiller.
Un air sec et froid irrite la peau du tout-petit, et les variations fréquentes de température la dessèchent. Alors on applique une crème hydratante sur son visage , c'est en effet une zone particulièrement fragile. On peut demander conseil à notre pédiatre avant de la choisir, pour éviter les allergies.
Au cours de la promenade, on touche régulièrement les mains de notre bébé pour vérifier qu'elles ne sont pas glacées. Un tout-petit ne peut s'exprimer, c'est donc à nous de guetter les moindres signes de refroidissement. Et si on trouve ses mains froides, hop, on rentre à la maison. Et là, on le réchauffe sur nos genoux, bien emmitouflé dans une couverture ou sa gigoteuse. 
Les informations vous concernant sont destinées à l'envoi des newsletters afin de vous fournir ses services, des informations personnalisées et des conseils pratiques. Elles sont conservées pendant une durée de trois ans à compter du dernier contact. Ces informations pourront faire l’objet d’une prise de décision automatisée visant à évaluer vos préférences ou centres d’intérêts personnels. Conformément à la loi française « Informatique et Libertés » n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement Européen 2016/679, vous pouvez demander à accéder aux informations qui vous concernent, pour les faire rectifier, modifier, ou supprimer, pour vous opposer à leur traitement par mail à dpo@uni-medias.com ou par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris, ou pour demander leur portabilité, en écrivant par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris ou par mail à dpo@uni-medias.com. Vous pouvez également définir les conditions d'utilisation, de conservation et de communication de vos données à caractère personnel en cas de décès. Pour toute demande relative à vos données personnelles, vous pouvez contacter le délégué à la protection des données à l’adresse mail suivante : dpo@uni-medias.com, ou introduire une réclamation auprès de la Commission Nationale Informatique et Libertés.

Parents respecte votre vie privée ! Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal



En ce moment :


Astro bébé et maman
Coronavirus France
Palmarès Prix Parents 2022
Application Grossesse


Quand les tout-petits font la sieste... à l'extérieur
Dormir dehors, à l’abri de la pollution intérieure
Des siestes plus longues à l’extérieur
La sieste en extérieure reprise par la pédagogie Lóczy

Article mis à jour le 28 févr. 2013
Inscrivez-vous aux newsletters Parents de votre choix

Renseignez votre email pour recevoir vos newsletters :


Renseignez votre date d’accouchement prévue pour recevoir votre newsletter suivi de grossesse personnalisé :

Pour les Suédois, les Danois ou les Islandais, c’est une évidence: pendant la journée, les bébés dorment mieux à l’extérieur, même quand les températures affichent des valeurs négatives. Une pratique adoptée par la pédagogie Lóczy et qui a même des adeptes en France (où il fait quand même un peu plus chaud).

Des bébés emmitoufflés qui font la sieste dehors alors que les températures avoisinent zéro degré… Faut-il appeler les services sociaux ? Non, pas vraiment, à moins de vouloir placer la moitié des nourrissons scandinaves. Car dans les pays nordiques –au contraire de nos contrées où les moindres frimats nous paralysent-, faire dormir les enfants dehors, même en plein hiver, ne relève pas de la maltraitance. Il s’agirait d’une tradition centenaire censée garantir un sommeil réparateur et une meilleure santé. Dans les jardins des crèches de Stockholm il est habituel de voir des rangées de landaus dans la neige. A Copenhague, lorsque les familles ou les amis se retrouvent dans les cafés, les adultes entrent à l’intérieur boire leur consommation et les bébés restent dormir dehors. On considère en effet que l’air confiné des logements, des services publics ou des restaurants nuit aux tout-petits. Petur, 38 ans, est Islandais. « Je suis né au mois de novembre, on ne m’a pas fait dormir dehors tout de suite mais au bout de quelques mois, dans une petite cour ensoleillée. Et ça se fait encore beaucoup. Les gens utilisent les balcons ou des endroits où ils peuvent surveiller les bébés. Mais attention, on tient compte du temps qu’il fait. Si les températures sont vraiment basses, les enfants sont bien couverts. C’est une pratique qui remonte à loin quand les maisons traditionnelles étaient en tourbe et mal aérées, que la cuisine se faisait à l’intérieur à feu couvert. Il était considéré comme plus judicieux pour les enfants qu’ils soient à l’extérieur.» 
L’habitat s’est transformé mais la tradition est restée. Et étant donné les dernières études sur la pollution intérieure , ce n’est peut-être pas si bête. En France, l’observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) a réalisé en 2006 une étude portant sur 486 foyers. La majorité des polluants ont été observés dans l’ensemble des logements étudiés. La plupart des composés organiques volatiles (COV) se retrouvent dans 80 à100 des habitations. Or il existe un lien très net entre la fréquence de l’asthme t de la rhinite et l’exposition aux COV. 22 des logements dépassent la valeur maximale proposée au niveau européen pour le formaldéhyde. Une étude de l’Inserm publiée en mars 2012 montre également que 30 des enfants des écoles primaires françaises sont exposés à des niveaux de polluants de l’air intérieur supérieurs au valeurs recommandées par l’OMS et l’ANSES. Ce qui a, toujours selon cette étude, des conséquences directes sur la prévalence des rhinites et des asthmes allergiques.
Faire dormir les enfants à l’extérieur présente-t-il d’autres bénéfices ? Un chercheur finnois, Marjo Tourula, a publié en 2011 une vaste étude sur cette coutume. Il a notamment conclu que les siestes des enfants dormant à l’extérieur duraient plus longtemps. « La restriction des mouvements en raison des vêtements d’hiver, comme dans les cas d’ emmaillotage , augmente la durée du sommeil et peut aider les enfants à se rendormir seuls, sans l’intervention des parents ». Autre enseignement : une quantité suffisante de vêtements combinée à l’utilisation d’un landau procure un niveau suffisant d’isolation pour une température ambiante de -17° ( !). Mais le chercheur estime qu’au-delà de -5 degrès, la sieste ne doit pas dépasser 3 heures. Il a également noté que cette habitude favorise le bien-être de la famille en instituant un rythme particulier et en facilitant le quotidien. 
Dans cette pouponnière de la région parisienne où l'on s'inspire de la pédagogie Pikler-Lóczy, les bébés dorment dehors, même lorsque le thermomètre affiche 2°C. Comme ce jeudi 28 février 2013, jour où a été prise cette photo. 
Cette pratique n’est pas l’apanage des pays du nord. Elle a également gagné l’Europe de l’Est. La pédagogie Lóczy(du nom de cette pouponnière hongroise où la pédiatre Emmi Pikler a mené un travail approfondi sur les bébés et leurs besoins en motricité libre) fait elle aussi dormir les bébés dehors. « La vie en extérieur est très favorisée par cette approche, explique Myriame Rasse, psychologue en crèche et directrice de l’association Pikler-Lóczy.Elle permet les déplacements, les grands mouvements, elle a une fonction de régulation du rythme et même de l’agressivité. Pourquoi faire dormir les enfants dehors ? Pour leur permettre de changer d’air, pour les effets bénéfiques sur la santé. Quand l’hiver les parents sortent faire des courses ou en balade, avec leur bébé, ils peuvent constater que leur enfant dort dans sa poussette ou son landau, même quand il fait froid .» A Lóczy, on considérait même que les enfants atteints de bronchite avaient droit à une double ration de sieste en extérieur ! « Mais attention, prévient Miriam Rasse, tout cela était très pensé. Le personnel fabriquait lui même les sacs de couchage pour que les enfants puissent sucer leur pouce, il s’agissait d’un emmaillotage très particulier. Les bébés ne savent pas réguler eux-mêmes leur température, les vêtements étaient donc très adaptés.» 
Dehors, oui, mais bien emmitoufflés! Toujours la même pouponnière française, le même jour.
Carole, pédiatre exerçant dans des crèches de région parisienne a institué la sieste en extérieur jusqu’à ce qu’un changement de municipalité l’oblige à faire marche arrière.. « Les enfants dormaient plus longtemps, ils respiraient mieux, ils avaient moins d’ affections de la sphère ORL». Là aussi, l’application des principes d’Emmi Pikler ont fait l’objet d’une réflexion approfondie. Les vêtements, dont des doudounes, étaient commandés au Vieux Campeur. Le meilleur moment de la journée était choisi, en général autour de midi. Les jours de brouillard, de vent ou d’humidité, les enfants dormaient à l’intérieur. « Le froid en soi n’est pas un problème, assure cette pédiatre, c’est la sensation de froid qui en est un. Il faut donc l’éviter à tout prix. Et il faut être à l’écoute des enfants, il ne s’agit pas de tomber dans le systématisme. Ce qui nécessite un dialogue permanent au sein des équipes, une proximité de l’encadrement. Ce que j’ai pu constater : les enfants étaient plus calmes, plus détendus, ils se mettaient moins en danger pendant les phases d’éveil.» Evidemment il a fallu convaincre les parents, le sommeil étant associé à une phase de vulnérabilité . « On peut très vite avoir le fantasme qu’on abandonne des enfants dans le froid, explique la pédiatre. Il faut donc en permanence avoir un œil sur la santé de l’enfant pour apporter les preuves de son bien-être physique ». 
Les informations vous concernant sont destinées à l'envoi des newsletters afin de vous fournir ses services, des informations personnalisées et des conseils pratiques. Elles sont conservées pendant une durée de trois ans à compter du dernier contact. Ces informations pourront faire l’objet d’une prise de décision automatisée visant à évaluer vos préférences ou centres d’intérêts personnels. Conformément à la loi française « Informatique et Libertés » n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement Européen 2016/679, vous pouvez demander à accéder aux informations qui vous concernent, pour les faire rectifier, modifier, ou supprimer, pour vous opposer à leur traitement par mail à dpo@uni-medias.com ou par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris, ou pour demander leur portabilité, en écrivant par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris ou par mail à dpo@uni-medias.com. Vous pouvez également définir les conditions d'utilisation, de conservation et de communication de vos données à caractère personnel en cas de décès. Pour toute demande relative à vos données personnelles, vous pouvez contacter le délégué à la protection des données à l’adresse mail suivante : dpo@uni-medias.com, ou introduire une réclamation auprès de la Commission Nationale Informatique et Libertés.


La mettre à la blonde sur le canapé rouge
Monica Mattos baisée par un transsexuel
Célébrité serrée qui baise

Report Page