Aventures anales avec une étudiante

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Quand notre jeune fille au pair nous a plantés à Noël, j’ai organisé un casting sauvage pour la remplacer au pied levé. Julien, mon mari, directeur financier d’un groupe industriel, n’étant jamais là, moi même travaillant d’arrache-pied aux ressources humaines d’une grosse société, j’ai besoin de quelqu’un pour s’occuper de Madeleine, 10 ans, et Thomas, 8 ans. Ce jour-là, j’ai tout de suite flashé sur Terry, grande rousse américaine de 25 ans, étudiante en histoire de l’art. Quelques jours plus tard, Terry s’installe dans le petit studio attenant à notre appartement. Au fil des semaines, l’ambiance à la maison se transforme en une vraie vie de famille. Chaque soir, Terry, Madeleine, Thomas et moi dînons ensemble et chacun se bouscule pour raconter sa journée. Je découvre toutes les activités que Terry organise : planétarium, ateliers, concerts… Je change mes habitudes. J’appelle Terry en fin de journée pour savoir si je dois faire des courses, je rentre un peu plus tôt… Parfois même je prends une baby-sitter pour que nous puissions, elle et moi, aller au cinéma ou visiter une expo en nocturne. Je n’y connais rien mais, avec elle comme guide, tout me passionne ! Bref, à part le fait que nous n’avons pas de vie sexuelle, Terry et moi formons le couple idéal.
Quelque temps plus tard, on décide, avec Julien, de partir en Guadeloupe pour les vacances de février. Mais, au dernier moment, Julien me dit qu’en raison d’une urgence au boulot il ne pourra nous rejoindre qu’à la fin du séjour ! Le jour du départ, phobique de l’avion, je m’en remets à Terry, qui prend tout en charge. Une première pour moi, qui ne lâche jamais prise. Je la regarde soudain autrement, saisie par la beauté de cette liane à l’épaisse chevelure rousse, médusée par la grâce de ses gestes. Plus tard, assise à côté d’elle dans l’avion, je suis troublée lorsqu’elle pose la tête sur mon épaule pour s’endormir... J’ai envie de l’embrasser, de la réveiller… Mais je n’ose pas. J’ai peur de ce qui se passe en moi. Lorsque nous arrivons dans notre maison de location, écrasée par la chaleur, Terry se dénude. Je découvre son corps athlétique, ses attaches fines, sa peau claire parsemée de taches de rousseur. Je baisse les yeux, je bredouille... et me réfugie dans ma chambre pour déballer mes a ffaires. Elle me suit, s’approche de moi... plonge son regard dans le mien et presse sa poitrine contre la mienne. Je rêve ? Non, elle est bien là... le soyeux et la douceur de sa langue, sa mâchoire étroite, son parfum qui agit sur moi comme un aphrodisiaque, ses caresses tendres qui descendent le long de mon ventre... Un tonitruant « Maman, on va à la plage ? » nous arrête brutalement. Le souffle court, les lèvres gonflées de désir, Terry et moi reprenons nos esprits. « Yes, let’s take a swim ! » Terry assure, l’air de rien. Je l’imite. Nous courons tous à la mer.
Sportive, excellente nageuse, Terry a des allures de déesse aquatique. Nous jouons tous les quatre à nous éclabousser, à nous faire couler. Dans nos ébats, je sens la main de Terry serrer la mienne, sa poitrine glisser contre mon dos... Alors que les enfants regagnent la plage, Terry plonge sous l’eau, et, en apnée, me retire le bas de mon maillot et m’embrasse le sexe, tout en me tenant la taille. Incroyablement excitée, je vois Terry remonter à la surface prendre de l’air... elle est superbe... et replonge poursuivre ses caresses. En voie vers l’orgasme, mon corps ne m’appartient plus. Vidée, je reprends mon souffle. Je flotte en faisant la planche, comprenant que ma vie est en train de basculer. Le soir, après s’être assurées que les enfants dorment, nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre et roulons vers mon lit. Nous nous murmurons des mots tendres. « I fell for you the first time I laid eyes on you », me murmure-t-elle. Je m’habitue déjà à son corps ferme et léger, sa peau douce, sa poitrine magnifique, sa taille délicate. Nos gestes sont sensuels, précis, nous savons nous exciter et nous faire jouir. Elle me raconte qu’elle a eu des aventures avec d’autres femmes. Moi, je ne savais même pas comment, concrètement, une femme pouvait faire l’amour à une autre femme. Pourtant, avec elle, c’est comme si je l’avais toujours fait.
Lorsque Julien nous rejoint, comme prévu, il met notre bonne humeur sur le compte du soleil et des cocktails. Faussement bienveillante, je l’incite à multiplier les siestes pour se reposer de sa vie harassante et à s’inscrire au club de voile avec les enfants. Ça marche ! Avec Terry, toujours en manque l’une de l’autre, nous faisons l’amour à la moindre occasion. Une fois rentrées à Paris, nous dormons ensemble à chaque fois que Julien est en déplacement. Quand il est là, nous avons mille alibis solides pour nous retrouver : weekend à Disneyland, vacances de Pâques dans les Alpes... Personne ne se doute de rien ! Un soir, début juin, alors que Terry et moi sommes en train de préparer le dîner des enfants, elle se tourne vers moi, l’air grave et décidé : « I want you to tell him everything. » Au pied du mur, j’ai le vertige. Mais impossible de me défiler. « I’m going back to New York. Come live with me ! » Amoureuse de Terry, je suis déchirée. Pourquoi ne pas vivre avec celle que j’aime de tout mon être ? Mais comment assumer de faire subir ça à Julien ? Comment expliquer aux enfants que leur mère les arrache à leur père, à leur confort, à leur ville natale ? Comment affronter l’incompréhension de mes proches ? L’échéance du départ de Terry approche : à la maison, Madeleine et Thomas sont tristes, l’ambiance est tendue. Terry me fait confiance et me laisse réfléchir sans me presser. Et elle a raison. Car je décide que je la suivrai. Après tout, je n’ai que 33 ans, je suis bilingue, et je ne vois pas pourquoi je passerais à côté de ma vie !
Le jour du départ de Terry, les enfants pleurent, mais Terry et moi sommes heureuses. Car, à l’insu de Julien, de mes amis, de mes collègues, de mes enfants, je prépare ma nouvelle vie à New York. Je prends des contacts, j’envoie ma candidature dans di fférentes sociétés, j’inscris Madeleine et Thomas dans une école. De son côté, Terry m’envoie des photos des appartements qu’elle visite pour nous. Plus c’est concret, plus je rassemble mes forces pour tout avouer. Ce soir-là, les enfants sont chez leur grand-mère et j’attends Julien. Il tarde. Toujours pas de nouvelles... Vers 2 heures du matin, la porte s’ouvre : en vrac, le visage creusé, Julien est fracassé. Il vient d’apprendre qu’il est accusé d’abus de biens sociaux. Il a besoin de moi pour se battre à ses côtés car il est innocent, me jure-t-il. Dévastée, je ne me sens pas capable de l’enfoncer davantage, et je n’avoue rien. Le lendemain, j’appelle Terry pour la prévenir que mes plans sont retardés de plusieurs mois : meurtrie, elle coupe les ponts. Je passe l’été à pleurer, ce que Julien met sur le compte de son accusation.
C’était il y a sept ans. Aujourd’hui ? Lavé de tout soupçon dix-huit mois après sa mise en accusation, Julien a repris son travail avec la même frénésie. Les enfants, de grands ados désormais, désertent la vie familiale. Moi ? Plus mûre, je suis prête à me lancer, contre vents et marées, dans le cas où je rencontrerais une autre Terry...
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Je m’appelle Wendy, j’ai 18 ans, et je suis étudiante en première année de licence d’histoire de l’art et d’archéologie en France. J’ai décidé un jour de créer ce blog pour pouvoir partager avec un plus grand nombre mes petites découvertes personnelles, que ce soit celles étudiées en cours, celles trouvées dans des bouquins, ou trouvées au coin d’une ruelle.
J’ai également décidé de créer ce blog pour ne pas tout partager sur mon Facebook, pour ne pas embêter ceux pour qui l’histoire de l’art et l’archéologie ne signifie que « Indiana Jones » et des trucs anciens ne servant pas à grand chose.
Ceci est mon premier vrai blog. Je vais donc faire de mon mieux pour le faire vivre et pour vous partager ma passion. Je vous expliquerai donc différentes choses vues en cours par exemple. Vous pouvez également me suggérer des sujets, à votre guise !
Nous sommes aujourd’hui le samedi 9 janvier 2016. Lundi, nous commencerons le second semestre de la première année de la licence. Je ne suis donc pas une professionnelle :p
J’espère que mon blog vous plaira, que grâce à lui, vous découvrirez des choses passionnantes !
PS : Au moins de septembre, si j’ai mon année, je pars en Erasmus en Italie pendant un an. Ce blog sera donc également dédié à mon séjour, et également à mes petites anecdotes d’étudiantes et de presque adulte, avec les petits soucis et les plaisirs croisés au cours de la vie !
Et n’hésitez pas à mettre des commentaires et à partager !
Merci !
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«Faun and a Girl», de Max Slevogt via Wikipedia, License CC




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Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcompliq ue.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus âgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'âge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon âge...
Il avait des «goûts très spéciaux», je lui ai dit de m'initier, après avoir quand même hésité plusieurs semaines. Mais bon, d'un côté cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguée. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisième séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense à lui. Je lui ai trouvé une belle excuse pour ce viol: c'était du sado-masochisme, il cherchait juste à repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais même partir en voyage avec. J'ai en revanche refusé que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complètement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivité de cette relation et j'y cours quand même, j'en suis limite à me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un être bienveillant? Bref, quel est votre avis?
Chère Clémence , il me semble que, avec les éléments dont vous me faites profiter, vous êtes loin d’être détraquée mais juste très curieuse. Et, dans le domaine de la sexualité en particulier, la curiosité est une merveilleuse qualité.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques années, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme légèrement plus âgé, plus expérimenté dans ce domaine, séduisant et, pour ne rien gâcher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profité de son argent mais ça participait à une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous étions engagés, il a profité de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en étant moins à mon écoute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie à l’origine pour m’humilier psychologiquement à coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il était mon amant «punition». J’étais attirée par lui mais je ne prenais aucun plaisir à nos rencontres. Il me rabaissait perpétuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service…), me faisait souffrir (une souffrance confirmée par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignées d’heures dans cet appartement indécent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’îlot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’être l’image qu’il m’avait donnée de moi: ronde et bête, entichée d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vérité c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais été sensuelle, mais violente et agressive. À la manière de votre propre expérience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises à des règles strictes. Elles sont encadrées pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais été une pratique où le but est d’atteindre un point de non-retour où, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-même de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisé la route, vous avez rencontré quelqu’un qui cherche plu
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