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Cette histoire s’est passée à mon travail. Ça fait 2 ans que je suis secrétaire de direction dans une petite société et j’ai un patron vraiment formidable. On peut pas dire que ce soit une grande beauté, il est petit, plus ou moins les 110 kg, dégarni mais il a un caractère génial et n’a jamais d’arrière pensée. Un très grand sens de l’humour. Mais, voilà, il part pour une retraite dorée. Pour son dernier jour de travail parmi nous, on a fêté ça comme il se doit.

Le lendemain, on savait qu’on devait avoir un nouveau patron. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque au matin, on la vit rentrer. C’était une grande et belle femme d’une trentaine d’années, des longs cheveux noirs lui tombant dans le milieu du dos, 58kg pour un bon mètre 75, un 90C de tour de poitrine et de très longues jambes. Elle était habillée d’un tailleur classique de couleur bleu nuit et d’un petit chemisier blanc. Je me suis alors présentée à elle (on a plus ou moins le même gabarit sauf que je suis un peu plus grande). Elle dégageait un charme incroyable et elle avait un sourire sublime. Je me sentais toute bizarre devant elle.
La journée se passa tout à fait normalement jusqu’à ce que j’entre par habitude dans le bureau de mon ex-patron sans frapper et que je la découvre assise sur la chaise de bureau, une jambe posée sur le bureau, sa jupe remontée très haut sur ses jambes. Elle ne me vit pas tout de suite car elle avait la tête renversée sur son siège, la bouche ouverte et la respiration haletante. J’étais comme pétrifiée devant ce que je voyais et en même temps fascinée. Elle gémissait lentement et c’est à ce moment que le parquet de son bureau a craqué sous moi. J’ai sursauté et elle aussi. Elle a rougit quand elle m’a vu et moi aussi, faisant semblant que je venais à peine de rentrer. Elle me demanda de fermer la porte et d’entrer. Je me défendis rapidement en lui disant que je n’avais rien vu mais elle me regarda droit dans les yeux et me dit :
-« Ma petite Sophie, tu étais là depuis quelques minutes déjà et j’ai sursauté car je pensais que c’était une autre personne qui rentrait dans le bureau. »
Je savais plus ou me mettre. Alors, elle me dit :
-« Tu n’en parleras à personne, hein ? »
Je répondis que je resterais muette comme une tombe. Elle se rassit et me dit que ça lui arrivait fréquemment ce genre de chose, que c’était pour se détendre. Elle m’a remit un peu à l’aise ; en fait, elle était vraiment très gentille et on aurait même dit qu’elle me faisait du charme. Le fait d’avoir vu une telle scène faisait que mon ventre se réchauffait. Elle m’a alors demandé si j’acceptais d’aller prendre le déjeuner en ville avec elle. J’opinai sans hésitation.
Nous sommes parties avec sa voiture et nous sommes sorties de la ville pour arriver dans la nature et dans un joli petit restaurant. Nous avons bu un apéritif maison puis un deuxième. La conversation a débuté sur le travail et devint de plus en plus détendue et amicale. Elle m’expliqua qu’elle était seule depuis 6 mois, qu’elle n’avait pas envie de voir de mec pour l’instant car on l’avait fais souffrir. Moi, je lui disais que j’étais avec Benoît depuis 4 ans et que j’étais très heureuse avec lui (elle ne pouvait pas savoir à quel point depuis quelque temps). L’alcool faisant son effet, elle ôta la veste de son tailleur pour me dévoiler son chemisier blanc en soie. Elle était vraiment charmante et magnifique avec ses cheveux qui tranchaient sur la couleur blanche du chemisier. J’étais vêtue d’un tailleur gris clair, d’une jupe courte, de bas noirs Dim up et, bien entendu, je ne portais pas de slip. Nous mangions tout en conversant gaiement. Nous nous entendions vraiment bien. Le repas passa très vite.
Le serveur venait de débarrasser la table. Elle s’approcha une main des miennes. Elle les frôla au début tout en continuant à me parler, puis vraiment les caressa tendrement tout en me fixant droit dans les yeux. Ses yeux bleus étaient plongés dans les miens et je me sentais comme si j’étais déshabillée devant elle. Je me sentais toute bizarre et en même temps, je sentais comme mon excitation monter. Elle paya rapidement l’addition mais pendant ce temps, …
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Article mis à jour le 27/09/19 08:58


Caroline Michel

Mis à jour le 27/09/19 08:58



Il y a dix ans, Manon a croisé le chemin de Boris, âgé de 17 ans, sans expérience sexuelle. Lors d'une soirée, ils ont couché ensemble. Avoir été la première fois de ce garçon laisse à la jeune femme, honorée et touchée qu'il la choisisse, un tendre souvenir et une dose de fierté. Confidences.
J'avais 27 ans (et ma valise d'expériences) quand j'ai connu Boris. A cette époque-là, j'étais célibataire. Je vivais pas mal d'histoires sans lendemain. C'était à l'anniversaire de son père – qui était un ex collègue - que nous nous sommes vus pour la première fois. Boris avait 17 ans. Je ne connaissais personne et je traînais plutôt du côté des "jeunes" et avec les enfants. L'ambiance était plutôt sympa. La soirée se déroulait à l'extérieur, dans un grand jardin orné de lampions.
J'ai tout de suite senti que Boris me draguait et je trouvais ça plutôt rigolo. Il était en formation dans le bâtiment et ne faisait pas son âge. Grand, musclé, blond, super beau. Il me lançait des regards, il tentait d'attirer mon attention. J'aimais bien. C'était même attendrissant. C'est quand je me suis levée pour aller chercher de l'eau à l'intérieur de la maison qu'il m'a suivie. Et soudainement, il m'a plaquée contre le buffet et embrassée. Téméraire le garçon. Surprise, je me suis laissé complètement faire.
Nous avons regagné le jardin sans cesser de nous rouler des pelles… devant sa famille. Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait. J'avais 27 ans mais l'impression d'en avoir 14. Je trouvais ça génial. J'aurais adoré sortir avec un mec comme lui à 14 ans, chose qui ne s'est jamais produite ! Quelque part, je me retrouvais et revivais ma jeunesse par procuration.
Boris. a proposé que nous allions faire un tour. Nous avons marché. C'est là qu'il m'a dit qu'il avait très envie de coucher avec moi. Véto : je lui ai dit que je ne pouvais pas faire ça car il était le fils d'un collègue. Il m'a alors demandé si je lui plaisais. Bien sûr qu'il me plaisait ! Il ne comprenait pas pourquoi je me prenais la tête. C'est là qu'il a murmuré : "En plus, ce serait ma première fois". Et j'ai trouvé ça trop mignon. Ce mélange d'envie, d'initiative et en même temps cette candeur, cette innocence
Sans aucun doute, il m'attirait. Son petit look de surfeur, son charme… Mais a priori, ce n'était pas mon genre. Je préférais les mecs plus âgés. D'ailleurs, je n'avais jamais été attirée par les mecs plus jeunes. Toujours est-il qu'il y avait ce petit truc irrésistible dans ses yeux. Je pense que lui était séduit par mon côté un peu fofolle, et puis mon âge, probablement.
L'alcool aidant assurément, je n'étais pas stressée à l'idée de faire l'amour avec un mec de dix ans de moins que moi. Et nous sommes donc passés à l'acte. Dans le bois à côté de la propriété de ses parents. Ce qui est fou, c'est que j'ai des souvenirs sans en avoir. Chose sûre, ça n'a pas duré très longtemps. L'émotion, la fougue... Il était dans la précipitation. Et un peu perdu. Il voulait m'offrir du plaisir, il ne pensait pas qu'à lui, mais je dois dire ne pas avoir ressenti grand-chose. Je n'ai pas eu d'orgasme et, à un âge où je connaissais bien mon corps, je sentais bien que ça n'arriverait pas. La seule chose qui m'excitait, je crois, c'était de savoir qu'il s'agissait de sa première fois à lui. C'était le fait de lui donner une part de mon intimité, de satisfaire son désir, de constater combien lui il aimait ça. J'essayais d'être la plus douce et la plus tendre pour lui. Nous n'avons pas échangé un mot.
Il avait la peau très douce et ça, ça m'a marquée. Mais pour le reste, les détails, les caresses, ça ne me revient pas. Je me rappelle plus aisément de l'avant, de son jeu de séduction, du baiser dans la cuisine. Et de l'après aussi.
Quand nous sommes revenus à la fête, il n'y avait plus personne, plus de lumière, plus de musique. Le rapport sexuel avait été court, mais nous avions beaucoup discuté avant. Puisque la fin de soirée sonnait, je suis alors rentrée chez moi. Le lendemain matin, son père m'a appelée. J'ai un peu flippé en découvrant que c'était lui. Il m'a dit sans détour qu'il savait ce qu'il s'était passé la veille. Il a dû sentir ma gêne et ne m'a pas laissé le temps de réagir. Il a ajouté : " J'aime autant que ce soit avec toi. Cependant on a un problème, Boris. ne veut plus sortir de sa chambre et ne veut parler à personne. Je pense que ce serait bien que tu viennes." Petit coup de pression tout de même.
Je me suis rendue chez Boris. et lui ai parlé à travers la porte. Il a fini par ouvrir. Il avait beaucoup pleuré. Beaucoup. En fait, il était paniqué. Il pensait que parce que nous avions couché ensemble, nous nous devions de démarrer une histoire. Je l'ai rassuré en lui expliquant que non, nous n'étions pas obligés de commencer quoi que ce soit. Qu'un jour il referait l'amour avec une fille dont il serait fou amoureux et que ce serait mille fois mieux qu'hier. Que j'étais honorée et touchée qu'il m'ait choisie pour sa première fois à lui. Et qu'il y repenserait peut être un jour. Ou peut-être pas... J'ai senti que mes mots l'apaisaient. Après ça, soulagée aussi, j'ai filé. Je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles. Non plus de son père que j'ai perdu de vue.
C'est vrai, sur le coup, je trouvais ça chouette de lui offrir cette première fois, mais je n'en tirais pas de fierté particulière. Quand je l'ai vu pleurer, j'ai même légèrement douté. Et failli regretter. Et puis aujourd'hui, avec beaucoup de recul, je trouve ça super mignon et je préfère qu'il l'ait fait avec moi plutôt qu'avec une pauvre fille. Je pense avoir été attentive pour lui... J'aurais aimé vivre la même chose à sa place. Et j'avoue, j'aimerais bien le revoir ! Pour le plaisir. Parce que je n'oublie p
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