Avec une jeune étudiante au pieu

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Avec une jeune étudiante au pieu
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Tendance ou mode ? La pratique est devenue assez courante aujourd’hui à Dakar : des messieurs d’âge mûr sortant avec des jeunes filles qui ont peut-être l’âge de leurs enfants. Des relations qui misent souvent sur l’intérêt de chaque partie.
Car même si les filles sont très bien entretenues, par des hommes qui leur donnent quasiment tout, de l’argent, et tant d’autres choses, les messieurs d’âge avancé ne se laissent pas faire non plus, et entendent bien profiter de la vie.
Que la vieillesse soit le crépuscule de la vie ou une occasion de se reconvertir pour effacer les erreurs du passé, certains messieurs d’âge mûr n’ont pourtant pas l’air d’avoir peur d’en profiter, se cherchant même une seconde jeunesse, avec de jeunes copines ; par-ci ou par-là. Des hommes souvent assez nantis, que cela ne gêne apparemment pas d’’entretenir des relations amoureuses avec des filles moins âgées ou aussi jeunes que les leurs. D’aucuns vous diront que dans ces couples-là, chacun y va de son propre avantage, sans aucune sincérité parfois. Si c’est le plaisir charnel pour l’homme, c’est l’argent pour la fille. Certains personnes d’âge avancé vous avoueront même que cela leur «plait» d’avoir une demoiselle à leurs côtés, pour les «chérir», tandis que d’autres tenteront de vous convaincre que ce sont des relations sincères, parce que «l’amour n’a pas d’âge». 
Dans ce salon de coiffure de la Gueule Tapée où nous mettons les pieds, l’ambiance est plutôt bon enfant, avec des clientes qui négocient le prix de leurs tresses, pendant que d’autres se font déjà coiffer. En plus de l’émission Kouthia Show, qui vient rajouter son grain de sel. Et lorsque nous abordons le sujet, l’atmosphère devient nettement plus gaie, et chacune y va de son point de vue. 
De taille moyenne et de teint clair, Binta, emmitouflée dans sa tenue traditionnelle, fait partie de ces filles qui sortent avec des personnes d’âge mûr. La propriétaire du salon est «fière» de «l’homme de sa vie», un homme de près d’une soixantaine d’années, qui la soutient financièrement. Lorsque la jeune fille a fait sa connaissance à l’époque, elle venait tout juste de rompre une relation avec un jeune homme qui «ne disait jamais la vérité, sans autre intérêt que le sexe», et, en plus, susceptible de «trahir» dit-elle. 
Aujourd’hui, la demoiselle vit une relation «aisée» avec son petit ami de commerçant marié. «Notre relation est vraiment sincère, car on s’aime et nous projetons d’ailleurs de nous marier», confie Binta, qui continue à entrelacer les cheveux de sa cliente. Mieux, dit-elle, «si je continue à sortir avec cet homme, qui a presque le même âge que mon père, c’est parce qu’il est gentil, me donne de l’argent et qu’il n’a jamais demandé qu’on ait des relations charnelles. Et en plus, il est vraiment pieux». Et lorsqu’on demande à la coiffeuse si elle ne se sent pas gênée par les cheveux grisonnants ou par les rides du monsieur, voilà ce qu’elle répond :«Je me moque de cela, l’essentiel, c’est la sincérité». Avant d’ajouter qu’elle «préfère sortir avec une personne âgée qui connait (sa) valeur, plutôt qu’avec de jeunes déloyaux, infidèles par-dessus le marché, et qui ne font que vous faire souffrir». Entre deux confidences, la coiffeuse nous apprendra qu’elle a d’ailleurs présenté cet homme à sa mère, qui ne s’oppose pas à leur mariage.
Comme Binta, qui se dit «fidèle et sincère» dans sa relation, certains messieurs d’âge mûr vous expliqueront aussi qu’ils aiment leurs copines et qu’ils sont loyaux. C’est le cas de ce père de famille souriant que nous avons rencontré, jeans bleu, T-shirt, et cigarette à la main. Avec l’allure du parfait «gentle boy», ni barbe, ni cheveu blanc, alors qu’il est sexagénaire. Pa Diop aura bientôt une deuxième femme, qui est moins âgée que sa fille cadette. «L’amour n’a pas d’âge, je sors avec une belle fille et je l’assume, parce que c’est sincère en moi, mais je fais tout dans la discrétion jusqu’au jour du mariage», révèle t-il.
Pour ce fonctionnaire, qui s’est marié très jeune avec sa cousine, qui avait presque le même âge que lui et qui «ne lui donne plus le vrai plaisir comme avant», s’il envisage d’en épouser une autre, ce n’est pas parce qu’il ne veut plus de sa femme, mais c’est tout simplement parce qu’il a besoin de «caresses, de baisers plutôt doux… ». Et l’homme ne s’imagine même pas que la société puisse porter un regard critique sur ce qu’il fait, parce qu’il est «sincère» dans sa façon de faire. 
Quand la relation se base sur le sexe et l’argent
Si nos premiers interlocuteurs décrivent une relation plutôt sincère, le contraire est tout à fait possible : la jeune fille et l’homme d’âge mûr sont dans un jeu d’intérêts, où chacun trouve son compte. Assis au bord de la route à la Médina, cet homme d’un âge avancé avoue avoir une «dulcinée» à ses côtés. Tout en gardant l’anonymat, il accepte de parler mais à une condition, que je ne l’enregistre pas ; chose acceptée.Vêtu d’une tenue traditionnelle avec une petite barbiche grisonnante, ce formateur dans plusieurs écoles à Dakar a l’air d’un bon «religieux». Que nenni ! L’anonyme sort avec une étudiante de 24 ans qui est sa maîtresse. «Ma femme est jeune et fait tout pour moi, mais je ne peux pas me retenir en voyant ces belles filles qui ont belle allure ; et plus tu prends de l’âge, plus tes désirs sexuels augmentent », confie «Papa» comme le surnomme sa copine. 
A en croire ce monsieur d’âge mûr, qui a beaucoup voyagé et qui ne cesse de jeter un coup d’œil à mon téléphone pour vérifier si je l’enregistre ou pas, aucune fille ne peut le tromper. «Je donne beaucoup d’argent à ma copine, et il arrive de nous amuser quand j’en ai envie». Selon lui, «si c’est pour ne rien recevoir en retour, autant rester fidèle à sa femme». Et même s’il n’envisage pas d’épouser sa copine, il est «prêt» à donner tout ce qu’il a, tant que cela lui convient. L’homme qui rencontre souvent sa maîtresse quelque part dans une auberge, ici à Dakar ou sur la petite côte, les week-ends surtout, laissera aussi entendre que cela lui importait peu que sa jeune maîtresse collectionne les copains : «Tant qu’elle me donne satisfaction, elle peut bien faire tout ce qu’elle veut, ce n’est pas mon problème». 
Des femmes comme lui, on en trouve, adeptes de la relation basée sur le sexe, ou sur l’argent. La preuve avec cette femme divorcée qui vient tout juste de souffler sa 28èmebougie. Fatou Ndoye, gérante d’une boutique de cosmétiques, porte une mini-jupe, sur son haut de couleur rose. Selon elle, c’est une lapalissade que de dire que les filles n’aiment pas les hommes âgés et qu’elles profitent tout juste de leur argent. «Je ne vais jamais me marier avec un homme âgé, mais puisque je suis divorcée et que je n’ai pas assez de moyens pour me faire belle, comme toutes les Dakaroises, il faut que je trouve une porte d’entrée», confie-t-elle. Greffage blond et teint clair, Fatou tient à préciser : «Mon mec est âgé et je connais bien sa femme et ses enfants. Il me donne tout ce que je veux. Je prends juste mes précautions, mais j’utilise tous les moyens pour lui donner du plaisir charnel car sa femme n’est plus en mesure de le faire». La jeune femme n’est point gênée de raconter son histoire. Elle nous apprend même que son copain passe parfois la journée chez elle, et qu’elle lui prépare de «bons» petits plats. «Chez moi, c’est pratiquement lui qui assure la dépense quotidienne et cela ne pose pas le moindre problème à ma mère, puisqu’on n’a pas les moyens». Fatou, qui précise qu’elle n’acceptera jamais de l’épouser, ajoute que son copain est vraiment «riche» et qu’à «chaque fois qu’il revient du voyage, il passe d’abord chez elle pour lui donner des cadeaux». « Je ne l’aime pas, je veux juste qu’il s’occupe de moi pour que je puisse retrouver mon physique de jeune fille et enfin trouver le jeune homme avec qui je me remarierais».
Ils assurent la formation et la location de leurs copines…
Certaines jeunes filles profitent de ces relations avec les hommes âgés pour assurer leurs frais de scolarité ou de loyer. Cette étudiante en témoigne, elle qui n’est pas de Dakar et dont les parents ne sont pas très riches. L’homme d’âge mûr avec qui elle sort, paie la location de sa chambre, «assure toutes (ses) dépenses quotidiennes», lui paie même des cours d’informatique en ce moment. Mieux, dit-elle, «c’est là-bas même que l’on se voit parfois, lorsqu’il quitte le bureau, ou alors au restaurant». Et d’ajouter : «Je ne suis pas de Dakar, ce qui veut dire que mes parents ne le connaissent même pas, et je ne vais pas le leur présenter parce que je ne projette pas de me marier avec lui, et d’ailleurs lui n’en parle même pas». Ce qui fera encore dire à l’étudiante, que «ce n’est même pas de l’amour, c’est juste profiter des largesses de quelqu’un. Le mec aime s’amuser, mais je n’ai jamais couché avec lui», avant de préciser qu’elle le «maîtrise plutôt bien» Du coup, le mec lui donne beaucoup d’argent. «J’ai même un copain jeune, mais il ne fait pas ce que fait le vieux», dira la thièssoise.
A côté, il y a cet homme qui nous sert qu’il est conscient que les filles en général n’ont besoin de lui qu’à l’occasion des fêtes, parce qu’il leur faut de l’argent à ce moment-là, et que cela ne l’inquiète pas du tout. «Peu importe», dit Gorgui Fall, «cela me plaît de l’entretenir». Lui qui assure le paiement de la ligne téléphonique de sa copine, et ses autres dépenses quotidiennes, n’accorde pas trop d’importance au regard de la société. Pour se faire plaisir, le «bailleur » entretient parfois des relations sexuelles avec sa copine ou bien ils jouent «au téléphone rose». Notre interlocuteur passe même aux aveux : «après ces actes, je suis en pleine forme, je dors bien et cela me ragaillardit car ma femme est un peu âgée et je ne ressens rien même si on partage le lit».
…et ne laissent pas la dépense chez eux
Dans ces relations entre jeunes filles et messieurs d’âge mûr, il arrive donc que ce soit sincère. Quand ce n’est pas pour le sexe ou pour l’argent, le crédit téléphonique, avec un appareil high class de préférence, ou alors pour les fameux «cheveux naturels». Et dans toute cette histoire, vous trouverez même quelques hommes d’âge mûr prêts à tout pour les beaux yeux de leurs jeunes dulcinées, alors qu’ils n’assurent même pas les dépenses quotidiennes chez eux, et encore moins les études de leurs enfants. Ou pour d’autres, assurer tout à la maison pour que les familles ne puissent porter un regard critique sur eux.
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Par
Sophie de Tarlé •

Publié le 04/10/2017 à 17:00
• Mis à jour le 29/01/2018 à 17:17

INTERVIEW - Dans son livre «Les nouvelles courtisanes», la journaliste Nadia Le Brun a mené une enquête fouillée sur ces sites spécialisés qui mettent en relation des hommes mûrs avec des étudiantes.
«Améliorez votre style de vie, sortez avec un “sugardaddy”». La semaine dernière, un site de rencontres d’un genre très particulier a fait polémique en Belgique . Le principe? Il met en relation des hommes âgés, de préférence riches, avec des étudiantes, de préférence jeunes et jolies. Une pratique sulfureuse répandue dans le monde entier, mais qu’il est difficilie de quantifier.
La journaliste Nadia Le Brun a mené l’enquête auprès de ces hommes d’âge mûr et auprès de ces étudiantes afin de connaître leurs motivations et la teneur de leurs relations. Les nouvelles courtisanes, publié le 4 octobre chez Kero, est un livre sans tabou sur un sujet qui l’est hautement.
Le Figaro - Comment avez-vous eu l’idée d’enquêter sur les «sugar babies»?
Nadia Le Brun - J’ai eu l’idée de faire cette enquête parce que les jeunes et jolies étudiantes sont entrées dans
ma vie personnelle et ont mis à mal ma féminité de quadra. Un soir, où je retrouve un homme à une soirée, il me présente sa «sugar baby». Une étudiante en sciences po qui préparait l’Ena. Une jeune fille ravissante, sans aucun attribut d’escort, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession. Il l’entretenait. Autrement dit, il était son protecteur et subvenait à tous ses besoins financiers, le temps de ses études. En échange de rendez-vous réguliers et intimes avec elle, il lui payait le loyer de son appartement, ses factures, ses frais quotidiens, l’invitait dans des grands restaurants ou en voyage…
Quand il m’apprend cela, je suis mal à l’aise, mille questions me traversent l’esprit et le champagne aidant, j’interroge l’étudiante sans passer par quatre chemins. ‘Comment à 20 ans, peux-tu coucher avec un mec de 60 ans passés? Pourquoi te fais-tu entretenir, plutôt que de chercher un job d’étudiant? As-tu conscience que tu te prostitues? Y en a-t-il beaucoup comme toi?’ Elle me répond en toute transparence. J’oscille entre incompréhension, stupéfaction et indulgence. Bref, ça attise ma curiosité et me donne l’idée de réaliser ce livre sur les relations tarifées entre ces étudiantes qui font de grandes écoles ou de hautes études et ces hommes aisés et bien plus âgés.
Dans quelle mesure cette pratique s’apparente-elle à de la prostitution?
Les sites de mise en relation entre ces jeunes filles et ces hommes ne sont pas condamnables par la justice pour proxénétisme. Ils contournent les lois en revendiquant qu’ils ne sont qu’une plateforme de mise en relation et profitent du vide juridique qui entoure le web. Jamais, le mot prostitution n’est évoqué. Le succès de ces sites est basé sur la force de leur marketing: ils sont déculpabilisants! Ils vantent des relations romanesques et hédonistes.
Quoi de mal pour les jeunes filles désargentées de trouver un arrangement financier pour leur permettre de faire de grandes écoles ou de hautes études avec un protecteur, présenté comme altruiste et philanthrope? Ainsi, les jeunes filles ne se voient pas prostituées, et les hommes ne se considèrent pas comme des clients. C’est un jeu de dupe, un jeu de rôle, un double jeu où chacun trouve son compte.
Mais l’argent est tout de même le moteur de ces rencontres?
Oui, bien sûr. Ce phénomène sociétal vient des Etats-Unis, royaume des «babies», où les frais de scolarité sont très élevés. Il a pris son essor via Internet. C’est ainsi qu’il y aurait 679.407 babies au Royaume-Uni, 49.637 en Allemagne, et 40.000 françaises sur le seul site le plus important. En France, plus d’un quart des étudiants déclarent avoir connu de grandes difficultés à se nourrir, à se loger ou régler leurs factures. Face à cette précarité, certains opportunistes ont crée ces sites de rencontres, il y a plus d’une dizaine d’années. Ce qui permet à certaines jeunes filles d’avoir recours à ce genre de liaisons suivies et tarifées… sans pour autant se considérer comme des prostituées.
Quels sont les dessous de ces relations tarifées?
Au fil de mon enquête, je me suis rendue compte que ces jeunes filles avaient, pour la plupart, un passé ponctué de violences physiques ou psychologiques. Et en même temps une farouche détermination de s’en sortir et de réussir. Pour cela, elles jouent le jeu de la séduction qui n’est pas sans rappeler les codes des courtisanes des siècles passés. Elles flattent, elles admirent, elles écoutent et donnent l’illusion aux hommes qu’ils sont des pygmalions.
Sont elles amoureuses de leur sugar daddy? Parfois elles les aiment bien. Quid aussi de la sexualité qui est au cœur de cette relation rémunérée? A tous et à toutes, j’ai posé la question et ils m’ont répondu sans tabous. Beaucoup de ces jeunes filles m’ont dit qu’elles prenaient du plaisir et qu’elles se révélaient sexuellement avec ces hommes mûrs. Ce qui n’est pas le cas avec les garçons de leur âge, trop influencés par les films pornos et qui les déçoivent. S’agissant des hommes, en dépit de leur position sociale élevée, je les ai trouvés souvent étonnement crédules: ils idéalisent leur relation avec une sugar baby, et minimisent le rôle de l’argent dans leur relation.
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Chacun y trouve son compte. En quoi est-ce dérangeant? Si j’avais les moyens je prendrais une sugar baby et peut-être même plusieurs!
bertrand barbet le 05/12/2020 à 15:08
Ce qui est dommage, c'est qu'elles préfèrent vendre leurs corps, plutôt que d'essayer de faire autrement. Il y a le marché de l'emploi, certes fermé et bouché, d'autant plus vrai qu'aujourd'hui avec la crise du Covid, mais il y a un marché en plein essor, comme le marketing de réseau, avec des sociétés légales faisant parti intégrante de la Fédération de la Vente Directe (au même titre que EDF, Engie, KparK, Bonduelle...) Que, malheureusement, en France, beaucoup s'imaginent un système pyramidal à effet boule de neige ou système de Ponzi qui eux, sont illégaux. C'est dommage que les personnes fassent encore la confusion. Car mal compris par les médias qui influencent les gens. Certes il y a des '' faux'' qui ne sont pas référencés par la FVD. Mais il y en a des honnêtes. Ce n' est pas de l'argent facile et rapide comme certains se l'imaginent (vendre du rêve), mais c'est possible d'avoir des compléments (une centaine d'euros) supplémentaires par mois et pourquoi pas plus.
Le Comte de MAQUENS le 27/10/2017 à 20:33
Bonjour, Il s'agit bien d'une entreprise qui incite à la prostitution. Elle commet donc un délit puisque cela est interdit en France. Cela dit, 2 choses : 1). si c'est un délit, il faut interdire et sanctionner. Comment ? La Justice devrait communiquer là-dessus. 2). dans certains quartiers "spécifiques" de Paris, Lille, Marseille, Lyon, Toulouse, etc...on se prostitue au nez et à la barbe des forces de l'ordre, y compris chez les étudiants. Pour ces derniers, soit qu'ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, parce que "pauvres", soit qu'ils ont simplement besoin d'acquérir plus de produits que leurs camarades qui ont les moyens, acquièrent. Qui interdit et sanctionne fortement cette deuxième catégorie des prostitués ? Conclusion : avec les nouveaux moyens de communication, les initiateurs de cet étalage vont faire travailler leur imagination et changer de modes de "recrutement". On peut supposer que, face à cela, l'imagination des brigades anti-prostitution en tous genres va se mettre en mouvement pour contrer la contre-offensive potentielle des initiateurs de cette publicité "osée" il faut bien le reconnaître. Le Comte de Maquens.

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Frais de scolarité, nourriture, loyers élevés... dans les grandes villes la vie étudiante coûte cher. Et si certains ont la chance de pouvoir bénéficier du soutien financier de leur famille, d'autres n'ont parfois pas d'autres choix que de se prostituer pour financer leurs études. Des sites internet encouragent d'ailleurs les jeunes gens à céder à cette pratique dangereuse.
Faire des études supérieures est un véritable casse-tête financier. Les heures passées à étudier ne le sont pas à travailler. Il faut pourtant assurer, entre autres, le paiement des loyers, de la nourriture et des frais de scolarité parfois exorbitants. Problème, les aides sociales et les « petits boulots » dont les horaires ne sont pas toujours compatibles avec les études ne suffisent pas quelquefois à payer les factures .
Pour financer leurs études, certains jeunes n'ont alors pas d'autre choix que de se prostituer. Loin d'être une prati
Jamais un black ne l'avait fait autant jouir
Angelica Raven s'amuse avec une queue en pov - Video porno films xxx sexe en streaming
Avoir comme matresse cette latina est un vrai bonheur

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