Avec un cul pareil elle va devenir une star

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Avec un cul pareil elle va devenir une star

Vie privée des actrices X : le porno, par derrière

Avec l’industrialisation du porno, le statut de star du X a fini par disparaître. Les actrices porno sont devenues des starlettes éphémères, et relativement accessibles. Néanmoins, la profession fait encore fantasmer, et l’on se pose toujours les mêmes questions sur ces travailleuses du sexe : quelle est leur sexualité, en dehors des plateaux de tournage ? Comment arrivent-elles à concilier leur vie de famille et leur carrière ? Comptent-elles parler, plus tard, de leur métier à leurs enfants ?
Interviews croisées de quatre actrices en activité : Catalia Mia, Rachel Adjani, Julie Valmont, Valentina Ricci, et d’une jeune retraitée du X, Elodie (son vrai prénom)…
Quelles conséquences a eu ce choix professionnel sur ta vie privée ?
Catalya Mia : Comme on est tous les deux dans ce métier, que mon mari filme, que les montages se passent à la maison, et que l’on ne parle que de cela entre nous, cela peut devenir pesant et influer sur la libido. Alors, pour éviter cela, on a besoin de se changer les idées, de sortir, voir des amis, rencontrer des gens, et couper un peu avec le X !
Julie Valmont : Le X nous a apporté une plus grande ouverture d’esprit sur le sexe. Nous étions déjà libertins avant le X, nous le sommes toujours, mais le X nous a donné envie de nouvelles positions, de nouvelles expériences. Nous étions déjà un peu barges avant, nous le sommes encore plus !
Valentina Ricci : Cela m’a apporté de l’épanouissement, car j’exerce le métier qui me correspond, et pour le moment, je n’ai subi aucune conséquence négative.
Elodie : Maquée très jeune avec un mec plus âgé que moi, et très superficiel dans ses relations, j’ai très vite baigné, à 16 ans déjà dans la polygamie et dans un vécu de couple assez libéré et particulier.
Nous avons pratiqué l’échangisme assez tôt, et dès mes 18 ans, le défi a été de tourner un film. J’ai pris ça comme un jeu, je me suis mise très vite à fond dedans, en rencontrant des gens qui m’admiraient, qui m’entouraient, etc.… oubliant assez vite de prendre soin de mon couple et de ma propre intimité. J’ai donc un peu laissé tomber mon compagnon de l’époque, pour me perdre dans des relations « one shot », dans lesquelles je pensais avoir une importance en tant que « maîtresse ». Lui, il a fait sa vie de son côté, il ne me trouvait plus pareille. Je me suis perdue, et j’ai eu du mal à m’en remettre.
A une période de grande errance, j’ai rencontré mon compagnon actuel. Il m’a posé l’ultimatum : soit lui, soit le X. Alors j’ai choisi et cela fait trois ans que je suis heureuse dans ses bras, non sans peine. Pour un homme, accepter que sa femme ait eu autant de partenaires, que des vidéos circulent encore, c’est très difficile…
Qu’est-ce que le X a changé dans ta sexualité « privée » ?

Catalya Mia : Rien, nous sommes libertins et donc nous avons l’habitude de soirées coquines, qui sont certainement plus chaudes et débridées que le tournage d’une scène X !
Rachel Adjani : Le sexe a toujours été très important pour nous. Depuis qu’on est dans ce milieu, c’est encore plus chaud. J’ai appris des façons de baiser bien plus hard !
Valentina Ricci : Le X n’a absolument rien changé dans ma sexualité. A la base, j’étais déjà assez coquine, et j’aimais explorer sans cesse de nouvelles choses.
Elodie : Ça m’a rendue plus extrême, m’a donné le gout du défi, de la performance, du sexe pour le sexe. J’ai réglé ça en travaillant sur moi, sur mes désirs profonds, et sur ce que représente la sexualité en mon for intérieur. Par ailleurs, le X m’a permis de mieux connaitre mon corps, d’en assumer les imperfections, et de savoir comment séduire !
Quand tu as décidé de faire du X, tu étais en couple ?

Catalya Mia : Oui, c’est un choix que nous avons fait ensemble.
Julie Valmont : Oui, depuis plus de 15 ans.
Valentina Ricci : Oui, nous avons pris cette décision ensemble.
Elodie : Oui, on l’a décidé ensemble, lui était dans le mannequinat, il rêvait d’une vie mondaine, d’une femme qui en fasse fantasmer d’autres, et moi je voulais, comme toutes les ados, jouer à la princesse, et j’étais curieuse surtout d’expérimenter. Pourtant, je ne regardais pas de films X ! Il ne se rendait pas compte à quel point ça allait nous éloigner !
Si ton compagnon ne travaille pas dans le X… Comment gères-tu le fait d’avoir un compagnon qui n’est pas dans le business ? Cela apporte-t-il un équilibre ?

Julie Valmont : Mon mari travaille dans l’informatique, un monde loin du X. On discute beaucoup sur mon travail, on décide ensemble de mes futurs tournages, de ce que j’accepte de faire ou pas. On a des choses que l’on veut garder pour nous, et ne pas donner au X. Le fait que mon mari soit étranger au X m’apporte une tranquillité.
Valentina Ricci : Nous gérons bien cette situation, il m’aide dans mes démarches et me soutient beaucoup, ce qui me motive encore plus ! Il projette lui aussi de se lancer dans le milieu prochainement, et j’en suis ravie !
Elodie : D’un côté, le fait de rentrer à la maison et de ne plus être dans le milieu me faisait du bien, car c’est un véritable microcosme, et on a besoin parfois de revenir à la vraie vie. Mais de l’autre, mon compagnon ne pouvait pas trop comprendre ce qui se passait entre les acteurs, alors il se sentait exclu…
Comment ton partenaire voit-il le fait que tu sois actrice X ?

Catalya Mia : Mon mari est réalisateur de films X, et assume donc parfaitement le fait que je sois actrice.
Rachel Adjani : Me voir me faire prendre par d’autres, oui, ça lui fait du mal. C’est pour ça que je refuse ce qui est trop hard . C’est lui qui donne son accord sur les scènes qu’on me propose. Par exemple, un Legal Porno , il ne veut pas. Trop trash !
Julie Valmont : Forcément bien, s’il en était autrement il est évident que je ne serai pas actrice X…
Valentina Ricci : On peut dire qu’il le vit bien. Nous sommes très complices, on se fait totalement confiance, ce qui facilite la situation.
Elodie : Mon ancien compagnon était fier de ça, il vivait son délire à travers moi, c’était assez malsain. Le compagnon que j’ai actuellement vit cela comme un malaise, comme une partie de moi qui lui fait peur, un côté superficiel, volage, et, narcissique.
Ton partenaire t’accompagne-t-il sur les tournages ?
Catalya Mia : Je tourne principalement pour lui, donc il est bien sur présent à chaque fois, puisqu’il cadre ! Je ne tourne plus pour les autres. Excepté pour de très rares personnes, les amis que nous apprécions, dont dernièrement Pablo Ferrari pour Evil Angel et Private (mais mon mari n’est pas venu).
Nous nous entendons avec peu de gens dans ce métier, nous avons découvert une connerie sans faille chez les réalisateurs ! Tout le monde s’épie et se critique, c’est assez pathétique. Ils feraient mieux de changer vite d’attitude pour qu’il y ait encore du porno en France…
Rachel Adjani : Ça dépend des tournages. Parfois il m’accompagne, mais en général il ne va pas regarder la scène. Quand ce sont des tournages hyper pro, c’est impossible d’être accompagné. C’est peut-être difficile à comprendre, mais pour moi, quand je vais sur un tournage, ce n’est pas un acte sexuel. Je prends du plaisir, mais ça reste très pro. Je ne me concentre pas sur la bite du mec, mais uniquement sur la caméra. Après, le plaisir, ça ne se contrôle pas…
Julie Valmont : Au tout début il m’a accompagné, mais c’est compliqué. Il a son travail, les enfants… En même temps, ce n’est pas trop son kif. Un tournage, quand on est spectateur, c’est chiant, faut rester dans son coin pendant des heures…
Elodie : Les seules fois où mon partenaire de l’époque est venu sur un tournage, il m’a mise mal à l’aise, j’avais peur de le blesser, et en même temps je le surveillais car cela me faisait mal au cœur de le voir séduire les autres actrices. Parfois il ne s’occupait plus de moi. Ce que je ne pouvais pas lui reprocher étant donné que je faisais aussi ma vie… Il ne s’entendait pas non plus super bien avec les acteurs.
T’arrive-t-il de regarder tes scènes avec ton compagnon ?
Catalya Mia : Quand on regarde les films ensemble, on se concentre surtout sur la partie comédie.
Rachel Adjani : Ça arrive, mais ça lui fait du mal.
Julie Valmont : Rarement. Si Yann, mon mari, me demande de regarder une scène avec lui, c’est soit qu’il veut me montrer un truc qui cloche, soit que ça l’a excité et qu’il veut me baiser !
Valentina Ricci : Oui, nous en rions même ensemble !
Elodie : Je n’ai jamais regardé mes scènes avec mon compagnon, ni celui de l’époque, ni celui avec qui je suis actuellement. Je me trouve niaise dans les scènes, ça ne met pas en valeur… J’aime les photos, mais pas hard, perso je ne trouve ni mon anatomie ni ma gynécologie attrayantes !
Que dirais-tu à un homme qui s’imagine que dans la vie privée, une actrice X, « c’est comme dans les films » ?

Catalya Mia : Qu’il se trompe, pour ma part dans le privé je suis quelqu’un de très réservée, et dans l’intimité je ne fais pas autant de positions que dans les films ! Je ne passe pas la majeure partie de mon temps à m’envoyer en l’air, je ne suis pas en porte jarretelles, bas, et talons hauts toute la journée, même si j’aime bien en porter. Je ne négocie jamais mes factures de garage contre des règlements en nature ! Je suis comme tout le monde : ménage, courses, gestion du quotidien.
Julie Valmont : Je dirais qu’en effet, on est peut-être un peu plus portées sur le cul, mais que de manière générale on reste une femme comme une autre, avec ses envies ou non, ses humeurs changeantes, ses ragnagnas, des moments pyjamas pilous, qu’on a besoin comme les autres femmes d’être dorlotée, se sentir aimée, désirée, bref il ne faut pas s’attendre forcément à avoir une nymphomane à domicile 24/24. Quoique (clin d’œil) !
Valentina Ricci : Je lui répondrais que c’est pareil que dans tout autre métier, une personne n’agit pas de la même manière avec son collègue et son patron qu’avec sa famille. Néanmoins, je pense qu’une actrice X doit probablement avoir une vie sexuelle plus mouvementée que la moyenne !
Elodie : Dans la vie, rien n’est comme dans les films. La seule chose qui est vraie, c’est que normalement une actrice de X aime le sexe, et a une vie privée assez libérée. Mon compagnon peut dire qu’il a la chance que je porte en permanence des tenues sexy à la maison, et que sexuellement il ne s’ennuie pas…
As-tu connu des couples qui tiennent le coup dans ce métier ?
Catalya Mia : Oui, Tony Caliano et Kelly Pix, cela a l’air de bien fonctionner entre eux, peut être aussi parce qu‘ils ne tournent qu’entre eux. Mais j’ai plutôt l’impression, pour les jeunes surtout, que c’est un métier de célibataires. Il faut que les deux partenaires soit du métier ou libertins, et avoir une grande ouverture d’esprit, sinon à un moment ça dérape, j’ai entendu plusieurs fois des actrices sur un tournage se disputer au téléphone avec le petit ami du moment…
Rachel Adjani : Lorenzo et moi, nous sommes très amoureux, très proches, nous avons du mal à nous séparer. Mais c’est vrai, j’ai remarqué que dans ce milieu-là les couples ne tiennent pas. Certains utilisent leur couple pour une question d’image. Je connais des actrices qui ont un mec, et l’amour n’est pas réciproque. Parfois, il n’y a même pas d’amour. Chez nous, ce n’est pas le cas. C’est pour cela que je ne tourne pas beaucoup. Si je devais enchaîner tous les week-ends un tournage sans lui, ça ne marcherait pas
Julie Valmont : Oui le mien (clin d’œil) ! Il y a des couples solides dans ce métier :
Jessyca Wilson et Franck, Tiffany Doll et Bruno SX…
Valentina Ricci : Oui, Tristan Seagal, le réalisateur de mon premier film, La Sextape , et sa compagne Laly. Ils sont ensemble depuis de nombreuses années et le vivent très bien. C’est pour moi un bel exemple.
Elodie : Oui, comme dans le libertinage, ça existe, et j’ai toujours été fascinée et touchée par ces couples, car ils font preuve d’un don de cloisonnage très pointu, d’une ouverture et d’une lucidité qui n’est pas donnée à tout le monde. Souvent, ce sont des personnes qui ont un vécu assez difficile, qui ont traversé de nombreuses étapes ensemble.
Quand tu t’es lancée dans le X, as-tu pensé à ta famille ?
Catalya Mia : Pas du tout, je vis ma vie, ils ont la leur, je pense ne rien avoir à leur demander. J’ai commencée à 50 ans, à cet âge on se passe de l’avis des autres, et surtout, s’ils ont un problème avec ça, ce n’est pas le mien. On construit sa vie en fonction de ses envies, et non du regard des autres.
Julie Valmont : Oui bien sûr, ça a même été la plus grande interrogation, surtout pour mes enfants.
Valentina Ricci : Oui j’y ai pensé et j’y pense encore d’ailleurs, mais j’estime qu’il faut tout d’abord penser à soi-même pour être heureux.
Elodie : Ma famille l’a appris un an après, et ils ont été étonnés et choqués du nombre de films que j’avais tournés en cachette. On a eu une période compliquée, des conflits, et puis finalement, ils ont fini par l’accepter, par y voir du positif, même s’ils sont plutôt rassurés du fait que j’ai arrêté. Ils se sont surtout demandé, au départ, ce qu’ils avaient pu rater pour que j’en arrive là !
A quel moment as-tu commencé à en parler avec ta famille ?

Catalya Mia : Quand mes petits neveux sont tombés sur des vidéos (rires) !
Rachel Adjani : Ma mère et ma sœur adoraient mon mec au début. Mais dès que je leur ai dit que je faisais du porno, ma mère a pensé que mon mec me forçait à faire ça, qu’il ne m’aimait pas et qu’il ne voulait que mon argent ! Mon père s’en fout, il aime bien mon mec. Il n’accepte pas forcément ce que je fais, mais il voit que je suis heureuse, c’est ce qui compte pour lui. Ma cousine, qui est très croyante, m’a expliqué qu’un démon me possédait. Elle a même contacté un exorciste pour m’en libérer. Ma grand-mère, elle, ne sait pas ce que je fais. C’est compliqué d’ailleurs, parce que j’habite chez elle !
Julie Valmont : Je préférais leur dire quel était mon métier avant qu’ils ne l’apprennent par d’autres…
Valentina Ricci : À vrai dire, je n’ai pas encore réellement abordé le sujet avec eux…
Elodie : J’ai participé à une émission de télé, et du coup, ma belle-famille de l’époque a été mise au courant, ce qui a déclenché un raz-de-marée dans tout mon entourage.
Complicité entre Catalia et Franck, son compagnon
Catalya Mia : Je n’ai pas d’enfants, c’est aussi ce qui nous a poussé à faire ces choix, je ne sais pas, si j’avais eu des enfants, si j’aurais fait du X. Je ne pense pas…
Rachel Adjani : Je ne pourrai jamais leur cacher. Mes scènes resteront au moins pendant trente ans sur internet ! Je sais que beaucoup d’actrices n’envisagent pas d’avoir d’enfants, pour ne pas être confrontées à ce problème !
Valentina Ricci : Je suis un peu indécise sur le fait d’avoir des enfants. Pour le moment, je ne compte pas en avoir car je crains qu’ils subissent la méchanceté des autres vis-à-vis de mon métier. Si je change d’avis, je leur expliquerai la vérité quand ils seront en âge de comprendre pour ne pas brusquer leur esprit.
Elodie : Il me semble que je vais être obligée de leur expliquer les choses. J’ai vu Rocco, Ian Scott en parler à leurs enfants, et ils ont eu les bons mots, au bon moment. Je crois qu’on doit tout dire à nos enfants, car tout est ancré dans leur inconscient, et le passé finit toujours par ressortir.
Catalya Mia : J’aime le calme, les longues promenades en forêt, dans les prés, avec un appareil photo, toujours dans l’espoir d’apercevoir un chevreuil, et puis je m’occupe de mes trois chats.
Rachel Adjani : Je ne perds jamais de vue l’importance de la vie privée. Je n’imagine pas annuler des vacances à cause d’un tournage ! Sinon, dans ce milieu, on se perd vite. Avec Lorenzo, on a eu des conflits à cause de ça. On ne pensait plus à nous, on ne parlait que de porno. Maintenant on garde du temps pour nous. On va au cinéma, au restaurant… Lorenzo a des enfants. Une fois tous les quinze jours, nous passons du temps avec eux, nous sommes bien obligés de redescendre sur terre !
Julie Valmont : Candy Crush , le sport, faire la fête, coquiner… J’aime avoir une vie sociale très riche entourée d’amis, boire l’apéro !
Valentina Ricci : J’aime pas mal de choses : la musculation, me détendre aux thermes avec mon compagnon (surtout du côté naturiste), regarder des documentaires sur les tueurs en série, lire des revues, m’occuper de Chicco, mon petit chien, passer du temps avec ma famille…
Elodie : J’ai toujours pratiqué les arts martiaux, la méditation, la lecture, ce qui m’a permis de savoir patienter dans les tournages, avec un livre, ou des sons de méditation. J’aime voyager, le sport, apprendre… et cuisiner, ce qui est parfois utile sur les tournages !
Qu’est-ce que tu préfères dans la vie ?
Catalya Mia : L’ambiance des tournages, y retrouver les personnes que j’aime bien, les fous rires au moment des comédies. J’aime aussi me promener main dans la main avec mon chéri, tranquille au bord de la mer…
Julie Valmont : Sans aucun doute dormir ! Ensuite le sexe et la bouffe, je suis une vraie épicurienne !
Valentina Ricci : Passer du temps avec mon compagnon, et ma famille.
Elodie : J’aime la vie en elle-même, sous tous ces aspects. Les moments où on a le temps de prendre son temps, de parler, d’écrire, de contempler la nature…
Moment d’intimité volé chez Julie Valmont
Lorsque des gens te reconnaissent dans la rue, ils réagissent comment ?

Catalya Mia : En général, quand les gens me reconnaissent, c’est assez positif. Ils sont respectueux, on échange brièvement quelques mots, on fait une photo…
Julie Valmont : Ils sont discrets. Soit je vois leur regard timide sur moi, suivi d’un sourire en coin, soit ils viennent me demander un petit selfie. Les plus timides m’apprennent sur les réseaux que l’on s’est croisé…
Valentina Ricci : Je débute… Je n’ai jamais fait face à une telle situation.
Elodie : Il y a des gens sympa, surtout les couples, mais je suis toujours en stress quand j’entends mon nom de scène. Les remarques sont souvent insultantes, et il m’est arrivé d’avoir peur de certains « fans » qui pensaient que je leur appartenais…
Pour toi, c’est un « statut » agréable d’être une star du X ?
Catalya Mia : C’est encore mal perçu par la plupart des gens, donc je n’en parle jamais autour de moi…
Julie Valmont : J’ai du mal à me considérer comme telle, et j’ai un peu de mal avec toutes ces actrices qui se proclament comme telle très rapidement…
Mais si je dois me considérer ainsi, oui, bien sûr que oui c’est agréable d’être « starisée » par une partie des gens, d’avoir des fans, des gens qui vous aiment.
Valentina Ricci : Oui, j’adore ce statut !
Elodie : Dès l’instant où l’on est exposé, on doit faire face aux critiques, le problème avec ce statut, c’est qu’il renvoie à la pute, il n’inspire pas le respect. C’est plus une étiquette qu’un statut, avec tous les stéréotypes que ça engendre. J’ai souvent eu la remarque : « en fait, tu n’es pas trop conne pour une actrice X ! ».
Si tu ne faisais pas du porno, que ferais-tu ?
Catalya Mia : Mon métier. Je suis aide-soignante.
Julie Valmont : Je serai certainement encore aide-soignante, par contre quand je pense à l’après porno, je ne me vois pas le redevenir ! Pour ma reconversion, je me verrai bien coach sportive.
Valentina Ricci : Je pense que j’aurais travaillé dans une entreprise de pompes funèbres, étant donné que j’ai étudié le domaine.
Elodie : À l’époque où j’en faisais, j’étais encore étudiante, donc je dirais que si je n’en avais pas fait, je me serais consacrée à mes études, et j’aurais voyagé dans l’humanitaire. Désormais, j’ai terminé mes études (sauf celles de mon moi profond !), et je suis sur des projets professionnels importants. Surtout, je me bats pour vivre plus que pour exister, car être actrice c’était répondre à un besoin d’exister
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