Avaler toute la vie

Avaler toute la vie




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Avaler toute la vie


 
Accueil
 
Portail lexical
 
Corpus
 
Lexiques
 
Dictionnaires
 
Métalexicographie
 
Outils
 
Contact
 



Police de caractères:

Arial
Verdana
Helvetica
Times
Times New Roman



Surligner les objets textuels

− MODES. Avaler la ficelle. ,,Chez les chapeliers, avaler la ficelle, la faire descendre du haut de la forme jusqu'en bas`` ( Nouv. Lar. ill. ).
1. Louis tire à la fois avec les deux pistolets. Les deux coups ratent. Turelure reste un moment immobile et les yeux révulsés. Puis la mâchoire s'avale et il s'affaisse sur un bras du fauteuil.
Claudel , Le Pain dur, 1918 , II, 3, p. 455.
2. Comme le poisson dans l'eau vive qui avale et remonte à contre-courant,
Celui qui est attaché à Vous remonte au rebours du temps.
Claudel , La Messe là-bas, 1919 , p. 487.
2. Divers domaines techn. Enlever en faisant tomber, ôter. HORTIC. Avaler une branche. La faire tomber en la coupant près du tronc. SP. (alpinisme). Avaler la corde. L'enlever, ,,la tirer à soi pour ne pas la laisser traîner`` ( Gautrat 1970 ). VÉN. Avaler la botte au limier. Lui enlever son collier pour qu'il chasse en liberté.
3. On disait à Louis XV qu'un de ses gardes, qu'on lui nommait, allait mourir sur-le-champ, pour avoir fait la mauvaise plaisanterie d' avaler un écu de six livres.
Chamfort , Caractères et anecdotes, 1794 , p. 132.
4. À peine avait-il commencé à faire le mouvement de tête et d'épaules de quelqu'un qui s'esclaffe qu'aussitôt il se mettait à tousser comme si, en riant trop fort, il avait avalé la fumée de sa pipe.
Proust , Du côté de chez Swann, 1913 , p. 262.
5. D'un mouvement d'épaules, Pierre-Côme Provençal ramassa son corps énorme comme pour mieux se retirer en soi. Mortellement offensé, d'une puissante déglutition il avala sa salive, refoulant en même temps les paroles irrévocables, capables de tuer leur amitié ancienne et aussi de ruiner sa carrière de maire.
G. Guèvremont , Le Survenant, 1945 , p. 272.
SYNT. Avaler d'un trait, de travers; avaler une bouchée, une gorgée, une lampée; avaler à la hâte, à contre-cœur; avaler avec application, avidité, difficulté.
6. Les bouches s'ouvraient et se fermaient sans cesse, avalaient , mastiquaient, engloutissaient férocement.
Maupassant , Contes et nouvelles, t. 2, Boule de suif , 1880 , p. 126.
♦ Fam. Ne faire que tordre et avaler. Manger très vite, à la hâte.
7. La cathédrale avalait toujours, la nef s'emplissait lentement...
Zola , Le Rêve, 1888 , p. 124.
8. Ils [les canetons] mangent des herbes mélangées de farine, puis des grains; cela dans leur jeune âge. Grands, ils dévorent tout ce qui peut s'avaler . Les loches d'eau sont leur régal.
Pesquidoux , Chez nous, 1921 , p. 252.
1. [Le suj. désigne une pers.; effets de sens variés suiv. le sens de l'obj.] Prendre ou faire quelque chose avec une avidité excessive. Avaler la mer et ses poissons. Être assoiffé. Avaler un livre. Le lire très vite. Avaler ses mots. Mal prononcer. Avaler des yeux. Regarder intensément. Avaler le monde. Vouloir tout connaître. Avaler son parapluie. Être guindé. Avaler sa langue. Se taire. Avaler sa colère, ses réflexions. Les garder pour soi.
9. Mais vous excuserez de pauvres vignerons qui n'ont jamais le sou. Les impôts nous avalent tout.
Balzac , Eugénie Grandet, 1834 , p. 67.
10. Il n'y a pas plus de sécurité dans ces entreprises que dans une auto qui avale la route.
Alain , Propos, 1931 , p. 1034.
− Emploi pronom., fam. [Le suj. désigne une pers.] S'avaler le nez (l'un à l'autre). Se menacer, se disputer.
11. Avalant les affronts, gobant les camouflets et collectionnant les avanies, il [Meyer] se venge comme il peut...
L. Daudet , Salons et journaux, 1917 , p. 149.
12. C'était un peu dur à avaler , n'est-ce pas, pour un homme de gauche, toute cette politique militaire de Poincaré...
Aragon , Les Beaux quartiers, 1936 , p. 199.
− Loc. usuelles. Avaler des couleuvres ou un crapaud. Subir un mauvais sort sans se plaindre. Avaler le calice, le morceau, la pilule. Se soumettre à une épreuve désagréable. Avaler un bouillon. Subir un échec.
− Emploi factitif. [Avec un obj. second, désignant une pers.] Faire avaler qqc. à qqn. Le lui faire croire.
4. Arg. Avaler le disque, le luron ou le sapeur. Communier. Avaler son poussin. Être renvoyé, congédié. Avaler son absinthe. Endurer une épreuve très désagréable. Avaler son extrait, son bulletin ou son acte de naissance, avaler sa fourchette ou sa cuillère, avaler sa langue, sa chique, sa gaffe, le goujon. Mourir. [En parlant d'une femme] Avaler le pépin. Être enceinte.
PRONONC. − 1. Forme phon. : [avale], j'avale [ʒaval]. 2. Homon. : aval 2 et avale (j', il), avales (tu), avalent (ils). Enq. : /aval/ (il) avale.
ÉTYMOL. ET HIST.
A.− 1. Ca 1100 « descendre » ( Roland, 1037, Müller ds Gdf. : Cum il ainz pout del pui est avalez ) − xvi e s. ds Hug. ; spéc. navigation fluviale 1172-75 pronom. « descendre selon le cours de l'eau » ( Chr. de Troyes , Chevalier Charrette, éd. W. Fœrster, 848 ds T.-L.), ,,vieilli`` ds Ac. 1835; 1415 adj. avalens « qui descend la rivière » ( Ordonn. de Charles VI, art. 550-5 ds Jal 1 ); 1672 subst. masc. avalant « qui suit le cours de l'eau » (Savary des Bruslons d'apr. FEW s.v. vallis ); av. 1701 subst. masc. avalant « bateau qui suit le cours de l'eau » ( Fur. ); 2. a) 1172-75 trans. « faire descendre, abaisser » ( Chr. de Troyes , Chevalier Lion, éd. W. Fœrster, 3787 ds T.-L. : Et vaslet saillent jusqu'a set Qui li ont le pont avalé ), qualifié de ,,bas et pop.`` dep. 1694, Ac., ,,vieilli`` ds Lar. 19 e ; b) spéc. 1723 technol. (chapellerie) avaler la ficelle ( Savary des Bruslons , Dict. universel de commerce ); 1778 vén. avaler la botte au limier « la lui enlever pour le laisser chasser librement » ( Le Verrier de La Conterie , Vénerie normande d'apr. FEW s.v. vallis ); 1838 ( Ac. Compl. 1842); d'où 3. a) xii e s. « abattre, faire tomber par un coup » ( Moniage Guillaume, éd. W. Cloetta, S.A.T., Paris, 1906, d'apr. FEW s.v. vallis ); av. 1520 ( Seyssel , trad. d' Appien , Guerres civiles, II, 9 ds Hug. : Lors vindrent à luy deux des ennemys... desquelz il en tua un, et à l'autre avala une espaule); qualifié de ,,bas`` 1718, Ac., ,,ancien`` 1845, Besch. ; b) 1690 spéc. hortic. ( Fur. ); 4. xiv e s. part. passé adjectivé « tombant, pendant » ( Modus, f o XIV, r o ds Littré : Le cerf doit avoir le ventre bien avalé ); 1680 pronom. ( Rich. ); 5. 1783 trans. spéc. mines « creuser » ( J. Blavier , Mém. s. l'admin. des mines d'Anzin ds Quem. : Jamais on n' avale de fosse sans consulter auparavant en quel endroit elle pourra mieux produire ce double effet [d'extraction et d'aérage]).
B.− 1. Fin xii e s. « faire descendre par le gosier » ( Renaut de Montauban , éd. H. Michelant, 378, 16 ds T.-L. : Soupes fist de noir pain que a dolor avale ); 2. xv e s. « accepter, supporter, se soumettre à » ( Les erreurs du jugement, 760, éd. A. Piaget, La belle dame sans mercy et ses imitations, ds Romania, t. 33, p. 195 : Helas! l'en eust bien tost deffait L'ouvraige que dame Nature Avoit en celle la parfait ... Et tout pour ung meschant ordure Qui ne valloit pas le parler, Dont par ce moien la blessure Estoit plus dure a avaller ), d'où de nombreuses expr. souvent familières; 1835 fam. « faire croire » (Ac.) ; v. aussi Besch. 1845, Lar. 19 e .
Dér. de aval 1 *, dés. -er.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 1 307. Fréq. rel. littér. : xix e s. : a) 1 156, b) 2 183; xx e s. : a) 2 565, b) 1 859.
BBG. − Ac. Gastr. 1962. − Baudr. Chasses 1834. − Bruant 1901. − Canada 1930. − Darm. Vie 1932, p. 132, 158. − Duch. 1967, § 45, 50. − Dupin-Lab. 1846. − Éd. 1967. − Esnault (G.). Avaler sa gaffe. Vie Lang. 1955, pp. 307-310. − Foulet (L.). Avaler et descendre. In : [ Mél. Ford (J.D.M.) ] Cambridge (Mass.), 1948, pp. 25-52. − France 1907. − France Suppl. 1907. − Gautrat 1970. − Gottsch. Redens. 1930, passim. − Goug. Mots t. 1 1962, p. 59. − Jal 1848. − Larch. 1880. − Larch. Suppl. 1880. − Lar. méd. 1970. − La Rue 1954. − Le Breton 1960. − Le Roux 1752. − Littré-Robin 1865. − Macr. 1883. − Marcel 1938. − Michel 1856. − Marshall (F. W.). Les Poésies de Blondel de Nesle. Une ét. du lex. d'après l'examen des mss, p. 38 (Thèse Univ. Paris, 1958.). − Plais.-Caill. 1958. − Sandry-Carr. 1963.

© 2012 - CNRTL
44, avenue de la Libération BP 30687 54063 Nancy Cedex - France
Tél. : +33 3 83 96 21 76 - Fax : +33 3 83 97 24 56



Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple




Aucun
Auteur d'exemple
Code grammatical
Construction
Crochets
Date d'exemple
Définition
Domaine technique
Entrée
Exemple
Indicateur
Mot vedette
Plan de l'article
Publication
Source
Synonyme/antonyme
Syntagme
Titre d'exemple


catégorie : toutes
substantif
verbe
adjectif
adverbe
interjection




INFOS Coronavirus

Autotest covid
Omicron
Pass vaccinal
Vaccination enfant
Vaccin covid


Je pense tout le temps à avaler ma salive
Bonsoir, J'ai un problème hyper gênant depuis 6 mois : je pense tout le temps à avaler ma salive. Et quand je dis tout le temps, je ne blague pas : la première chose à laquelle je pense le matin c'est davaler ma salive et idem pour la dernière chose à laquelle je pense avant de m'endormir. Même quand je suis hyper pris dans un truc genre je regarde un super bon film d'action ou je joue au tennis ou je suis très concentré sur un devoir, même là j'y pense. Du coup, vu que j'y pense à chaque seconde de ma vie, forcément j'avale énormément, genre 5 fois par minute ! Et en fait c'est pas que je me force à le faire, c'est juste que j'ai BESOIN de le faire. Je ressens que j'ai besoin d'avaler, du coup je le fais. D'ailleurs, j'ai apparemment une phobie sociale et en effet j'avale encore plus ma salive en situations sociales lorsque je parle avec des gens (même amis ou famille), mais évidemment c'est 1000x pire avec les inconnus. Genre à la banque l'autre jour c'est limite si j'avalais après chaque mot que je disais... Et j'ai la phobie que les autres me voient avaler. J'ai peu confiance en moi à cause de ce TOC, si je ne l'avais pas je serais tellement plus à l'aise je vous jure. Genre dans les bus et trains c'est horrible pour moi car c'est facile de voir si quelqu'un avale ou alors on entend si c'est très silencieux. Du coup j'avais énormément ma salive car je suis stressé et du coup c'est un cercle vicieux. Les conseils habituels pour les crises d'angoisses ne fonctionnent pas car j'avale tout le temps en situation de stress et même si je me calme je continuerai à avaler. J'ai peu confiance en moi mais je déteste que les autres le voient. Et typiquement avaler sa salive répétitivement est un symptôme d'anxiété du coup j'ai la phobie que les autres me voient avaler et du coup croient que je suis stresser. Du coup chez moi je suis tranquille, j'avale beaucoup mais ça ne me stresse pas. Par contre en situation sociale j'avale encore plus et ça me stresse à fond fond fond ! Je vous parler pas des salles silencieuses, c'est un cauchemar pour moi. Chez le médecin j'attends en dehors de la salle d'attente, je ne prends pas l'ascenceur, toujours les escaliers car dans l'ascenseur on m'entendrait avaler, c'est la misère. Ma question est : comment arrêter de calvers et ne plus penser à avaler ma salive. J'ai essayé durant un mois de me forcer à ne plus y penser, c'est à dire que je faisais tout pour me distraire et dès que je faisais une réflexion là-dessus je pensais directement à autre chose. Mais rien à faire : je continue à avaler de manière conscience, ce n'est plus un réflexe chez moi. Que faire ? Mais que faire ? C'est absolument horrible, c'est un cauchemar !
Un truc simple ? C est normal d'avaler sa salive ... Tout le monde le fait mais ne s en préoccupe pas ... Donc n essayes pas de contrôler ça consciemment ... Laisses faire tes automatismes et tu déclencheras moins de salive tu verras ...dis toi que c est normal et tout le monde le fait s en rendre compte vraiment
Sérieusement je comprends j'ai le même problème que toi depuis 3 mois... Par contre moi c'est pas aussi souvent. Ça m'arrive genre une fois toutes les 2-3 minutes et si je fais un effort je peux tenir 10 minutes (concentration extrême). Le truc pour essayer de ne pas y penser c'est de lâcher prise et d'essayer de décompresser (plus facile à dire qu'à faire je sais). Quand je ne suis pas stressée ça passe. Ou quand je fais quelque chose d'amusant etc ... Après c'est vrai que plus on risque d'être entendu plus on a tendance à le faire (cercle vicieux malheureusement). Bon sinon tu peux essayer d'aller voir un psy ou de faire de l'hpnose. J'ai même entendu que l'acupuncture pouvait aider.
Voilà , j'ai la même problématique ,j'ai essayé tous les moyens imaginables de m'en sortir sans résultat et cela me nuit dans toutes les sphères de ma vie . Y aurait il une personne qui pourrait me donner un conseil!
C'est comme respirer manuellement, contrôler sa respiration... j'ai eu sa pendant quelques semaines du matin au soir ! Ca a passé... Mais la j'ai un truc pire, je pense du matin au soir depuis plusieurs moins a un événements traumatisant d'il y a un ans: sensation de haine, regret, peur... Cette obsession qui rend le corps tout anxieux et cette peur que les pensées ne s’arrêtent plus, me rendent littéralement dingue, des la matin que ca commence a ruminer jusqu'au soir 😭 Mais franchement, ton soucie va passer, tout comme ca a passé pour ma respiration. C'est comme si tu contrôle une partie de ton corps et au bout d'un moment a force, ton cerveau va re-apprendre la chose, te fera oublié et deviendra a nouveau un automatisme (c'est comme apprendre a faire du velo... au début on le contrôle sois même, après on l'oublie et on roule comme si rien n’étais, au niveau des jambes !). Et le meilleur moyen d'oublier bah c'est de s'occuper l'esprit !
Edité le 29/03/2015 à 10:35 AM par jos63lc
Bonjour tout le monde j'ai un problème depuis 20jrs c'est que je ne me sens pas bien je pense toujours à avaler ma salive surtout quand je suis au travail c'est genrr chaque 2 secondes et plus j'essaye d'arrêter de le faire plus je le fais triplement quand je le fais pas j'ai comme l'impression de ne plus pouvoir respirer et je suis obsédé par le fait de le faire et quand je manque de salive j commence à m'étouffer mon coeur bas la chamade et je sens plus mes organes je ne sais plus quoi faire ca m'arrive souvent quand je suis tte seule dans un milieu où il y a beaucoup de gens ou quand quelqu'un est entrain de me parler j'arrive plus a me concentrer et a force d'avaler j'ai eu un mal de gorge affreux et plus je l fais plus j'ai mal et un jour mon coeur va s'arrêter à cause de ca mais des fois ca m'arrive pas quand je suiq concentrer sur un truc qui me plaît et dès que je remarque que c parti je le refais encore pour ceux qui ont trouvé une solution je les supplie de m'aider ce truc ma gâché la vie de tt les côtés
Bonjour, J'ai également ce problème d'avaler très souvent la salive depuis un an.J'ai consulté l'othorino,des dentistes mais aucun résultat. C'est gênant et fatiguant. Si quelqu'un peut m'aider? Merci.
bonjour , tu semble souffrir d'un toc nerveux , d'habitude on peut faire une fixation sur le fait d'avaler sa salive , sa passe généralement en une nuit mais sa peut rester dans la tête , sans doute car tu est de nature angoissé et que tu vis une période de stress ? renseigne moi la dessus 🙂
J'ai tout essayé mais à mon avis cela peut venir des dents car je dois également porter une gouttière occlusive au demeurant inefficace. Pour la petite histoire,celle-ci m'a coûté 500€ ,remboursé environ 100€ entre secu et mutuelle,et là encore une escroquerie car comment peut-on concevoir qu'un morceau de résine ,si bien fait soit-il,puisse coûter aussi cher,et c'est un grand spécialiste à Cagnes su Mer,et je le cite:le célèbre Dr PEDEUTOUR. qui me l'a posé.........NO COMMENT.
Essayes de bailler, ça va te détendre et ta gorge sera moins bloquée, et si ça pers
Bonne baise de la part du prof
Des étudiantes baisent vintage
Une blonde se fait baiser le cul bien fort

Report Page