Aujourd'hui trois mecs couchent sur la terrasse

Aujourd'hui trois mecs couchent sur la terrasse




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Aujourd'hui trois mecs couchent sur la terrasse



TĂ©moignages


L’étĂ© oĂč j’ai couchĂ© avec un mec dans le mĂȘme vĂ©hicule que ma meilleure pote




Cheyenne Blue

17 août 2021


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madmoizelle



TĂ©moignages



L’étĂ© de leur 18 ans, Cheyenne et Alice ont passĂ© le plus doux des Ă©tĂ©s dans les Landes. Elles y ont rencontrĂ© deux garçons avec lesquels elles ont nouĂ© une certaine intimitĂ©, dans le mĂȘme vĂ©hicule


Exactement ! Tout comme dit @Mijou . En plus j'ai passé pas mal de vacances dans les Landes avec mes parents alors j'imagine trÚs bien le décor, on s'y croirait. J'ai buggué sur "elle a un chien fou" par contre, je me demandais ce qu'il venait faire là d'un coup

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Alice et moi sommes amies depuis la premiĂšre. Entre nous, la tendresse a Ă©tĂ© immĂ©diate et sentait dĂ©jĂ  l’éternel.
Ensemble, nous avons osĂ© nos premiĂšres « fugues de nuit » pour aller danser jusqu’au petit matin dans plusieurs boĂźtes parisiennes, tandis que nos parents dormaient Ă  poings fermĂ©s.
Nous avons passĂ© toutes nos pauses dej, toutes nos soirĂ©es, toutes nos vacances, tous nos week-ends en binĂŽme pendant le lycĂ©e avant qu’elle n’aille s’installer dans le Sud.
Justement, avant qu’elle ne parte, nous avons dĂ©cidĂ© de passer une semaine de vacances dans les Landes , dans le sud-ouest de la France, oĂč sa grand-mĂšre louait chaque annĂ©e une maisonnĂ©e dans un centre de vacances.
Alice m’en parlait comme de son petit paradis, un endroit paisible au bord d’un ocĂ©an cachĂ© par les herbes hautes

Juillet. La chaleur est déjà étouffante, bien plus que les années précédentes.
Il est 10h Ă  peine quand nous prenons le train en direction de la cĂŽte, et les siĂšges en moquette sont dĂ©jĂ  si brĂ»lants qu’il est difficile de s’y asseoir.
Les passagers rĂȘvent un peu en mangeant un sandwich trop cher achetĂ© au wagon-bar, oĂč des enfants crient et oĂč des adultes discutent, eux aussi bruyamment.
J’adore les trains et la vie qui y roule, joyeuse.
Alice et moi partageons ses Ă©couteurs, car les miens sont trop emmĂȘlĂ©s pour fonctionner encore. Le temps nous semble long et infiniment court Ă  la fois, comme c’est souvent le cas Ă  bord des trains.
Pendant plusieurs heures nous parlons d’un club en pleine nature, qui attend dĂ©jĂ  les juilletistes, Ă  l’orĂ©e de notre lieu de vacances.
Nous prĂ©voyons d’y passer au moins deux soirĂ©es, et pourquoi pas rencontrer des garçons, car il faut bien l’avouer : en ce moment, nous y pensons de maniĂšre permanente. 
Alice et moi n’avons qu’une brĂšve expĂ©rience de l’amour, bien que nous ayons toutes les deux dĂ©jĂ  Ă©tĂ© en couple. Mais les histoires de vacances, nous n’en avons eues que peu.
Si l’on en croit les films et autres romans sucrĂ©s pour ados, une idylle en bord de mer par un Ă©tĂ© sec a tout de l’initiation dĂ©licieuse, comme dans Éducation sentimentale , que nous avons lu cette annĂ©e pour le cours de littĂ©rature.
En descendant du train, nos jambes s’agitent dans l’impatience de rejoindre l’eldorado promis.
Quelques stations de bus ont raison de la distance séparant la gare du centre de vacances, et nous descendons bruyamment, en cognant nos valises contre les vieux siÚges en fer.
La station balnĂ©aire ne ressemble pas le moins du monde Ă  celles que je frĂ©quente d’ordinaire.
Mes grands-parents ont longtemps possĂ©dĂ© une rĂ©sidence secondaire dans le vieux Cannes, alors j’ai plutĂŽt l’habitude des cĂŽtes du Sud-Est, trĂšs bleues et embourbĂ©es dans les bougainvilliers.
Ici, tout semble plus calme, plus lent, et les couleurs de l’eau sont plus sombres.
Je suis ravie de découvrir de nouveaux paysages, bien différents de ceux que je fréquente !
Alice et sa grand-mĂšre commentent les alentours, m’indiquant d’un doigt dĂ©cidĂ© les lieux oĂč les moules valent le coup.
Ma copine Ă©voque une nouvelle fois son envie d’aller en boĂźte de nuit dĂšs le premier soir, et sa grand-mĂšre sourit, en prenant soin tout de mĂȘme de nous rappeler qu’il ne sera pas question que nous fassions du bruit au moment de rentrer, Ă  l’aube sans doute.
Je sens que cet Ă©tĂ© sera diffĂ©rent des autres , sans doute parce que la grand-mĂšre d’Alice semble lui laisser plus de libertĂ©s que ne le font mes propres parents, et puis parce que nous sommes majeures maintenant.
Notre maisonnette ne donne pas sur la mer mais sur un petit sentier qu’empruntent les voyageurs pour acheter quelques fruits chez le primeur.
Les pĂȘches y sont gorgĂ©es de jus, tout comme les abricots, et chacun des Ă©lĂ©ments a priori banals qui font de l’étĂ© la meilleure des saisons me semblent Ă©rotiques cette annĂ©e.
Le premier soir, nous allons danser au Traouc, une vaste discothĂšque comprenant 3 bars, une terrasse fumeur, une piscine et une sandwicherie, qui cet Ă©tĂ©-lĂ  nous semble l’endroit le plus festif au monde.
Quelques verres d’alcool ont raison de notre sobriĂ©tĂ© et de nos inhibitions, ce qui aboutit Ă  des dĂ©hanchĂ©s outrageux dont nous sommes trĂšs fiĂšres le lendemain.
Toutefois, aucun garçon ne retient notre attention ; nous rentrons néanmoins pleines de biÚres et de rires dont nous passerons les heures prochaines à parler.
Les jours s’enchainent, paisibles, dans des Landes habitĂ©es par des surfeurs plus ĂągĂ©s, sur lesquels nous bavons en riant sur la plage, nos maillots de bain tout neufs fendant notre bronzage.
Le quatriĂšme soir, nous dĂ©cidons de remettre le couvert de la fĂȘte, l’appel du Traouc Ă©tant plus fort que celui des moules avec Adeline, la grand-mĂšre d’Alice.
DĂšs tĂŽt, nous arrivons en talons, avant de les retirer pour les glisser dans nos sacs et enfiler des sandales plates.
L’intĂ©rĂȘt du Traouc rĂ©side surtout dans son grand espace extĂ©rieur, occupĂ© par des tables en bois et une piscine Ă©clairĂ©e par des lumiĂšres fuchsia.
Cette fois-ci, un petit groupe de garçons retient particuliÚrement notre attention .
Ils semblent avoir notre Ăąge ou un tout petit peu plus, et portent des Wayfarer, mĂȘme la nuit : le comble de l’audace et du style, pour deux jeunes femmes de 18 ans qui s’émerveilleraient mĂȘme devant une mouche qui pĂšte, si tant est que celle-ci soit pourvue d’un pĂ©nis et d’une mĂšche sur le cĂŽtĂ©.
EmoustillĂ©es par le regard soutenu que nous renvoient les garçons, nous commandons d’autres verres de biĂšres pour nous dĂ©sinhiber rapidement.
Nous commençons Ă  bouger en gloussant, agitant les pans de nos vĂȘtements de part et d’autres de nos corps, comme si nous Ă©tions des danseuses de flamenco.
Je porte une robe blanche et bleue surmontĂ©e d’un gros nƓud qui appartient Ă  Alice, laquelle a enfilĂ© une robe rose pĂąle et noire, sa prĂ©fĂ©rĂ©e cette annĂ©e lĂ .
Nous nous sentons belles, nous nous sentons adultes, désirables et désirées. 
Notre parade nuptiale fonctionne ! C’est sur une chanson plutît vulgaire de Pitbull que les deux garçons osent venir nous parler.
Quelques chuchotements alcoolisĂ©s aux creux des oreilles et trois danses nous font oublier que le jour se lĂšve et que l’établissement ferme ses portes.
Il est l’heure de rentrer, malheureusement

Alice et moi prenons la navette qui nous ramÚne au village tandis que les garçons, Louis et Nathan, dorment dans leur camionnette garée non loin de la boßte.
Mais avant, nous échangeons nos numéros et promettons une entrevue le lendemain.
Alice et moi nous couchons ivres de vodka et surtout d’excitation , pressĂ©es de nous rĂ©veiller.
C’est en nous faisant d’éniĂšmes confidences amusĂ©es que nous cĂ©dons au sommeil, puis nous rĂ©veillons avec le cƓur dans le bas-ventre.
Au saut du lit, nous avalons une salade de riz et courons Ă  la plage, histoire d’élaborer des plans pour notre rendez-vous de la fin d’aprĂšs-midi.
« Toujours partantes pour 17h au bar La Plage ? »
Nous attendons une bonne trentaine de minutes avant de rĂ©pondre, histoire d’avoir l’air occupĂ©es.
Puis vient l’heure de commencer nos 70 prĂ©parations pour ĂȘtre au top le moment venu.
Nous bouclons nos cheveux, nous maquillons, enfilons nos plus belles robes, et partons rejoindre Louis et Nathan dans un stress absolu.
Mais sitĂŽt les garçons rejoints, toute peur s’éteint et nous rigolons bruyamment en buvant des Coca. Les garçons nous proposent d’aller voir le dernier Harry Potter , qui passe en VF au cinĂ© d’à cĂŽtĂ©.
Nous acceptons et ils nous y emmÚnent dans leur camionnette ultra pimpée, remplies de planches.
Car nos deux compĂšres sont de jeunes surfeurs, venus de Toulouse pour passer un mois dans les Landes afin de profiter des vagues du Sud-Ouest.
Au cinĂ©ma, personne ne regarde le film. Louis embrasse Alice et Nathan m’embrasse . La salive coule Ă  flots et les mains se perdent un peu partout.
Au sortir de ce dernier volet d’ Harry Potter , il est convenu que nous retournerons chacun au cinĂ©ma dans nos villes respectives, pour VRAIMENT le voir !
Nathan et Louis nous proposent d’aller Ă  une soirĂ©e Ă  Hossegor organisĂ©e par des amis Ă  eux. Nous y passons mais ne discutons avec personne.
Je crois qu’Alice est dans la cuisine avec Louis, tandis que je roule des pelles absolument baveuses à Nathan sur la terrasse. Il passe sa main sous ma robe, me dit à quel point il me trouve sexy.
Je glousse tellement que je m’énerve un peu.
Le temps a passé trop vite et la nuit est déjà bien avancée quand Alice et moi décidons de rentrer.
Les garçons nous ramĂšnent et nous embrassent dans le nuage de fumĂ©e d’une cigarette allumĂ©e par Alice, qui ce soir-lĂ  est particuliĂšrement belle. Je la regarde avec admiration, tant je la trouve sĂ»re d’elle dans ses gestes prodiguĂ©s Ă  Louis.
Elle a, de toute maniĂšre, bien plus d’expĂ©rience que moi avec les mecs, et chacun de ses regards lancĂ©s en est l’illustration.
Alice, cet Ă©tĂ©-lĂ , a les cheveux trĂšs longs. Ils sont noirs, Ă©pais et ondulĂ©s, et tombent lourdement sur ses Ă©paules bronzĂ©es, piquĂ©es de taches de rousseur, les mĂȘmes qu’elle a sur l’entiĂšretĂ© de son visage.
Elle a un chien fou, et je la contemple souvent quand elle regarde ailleurs.
Nous nous couchons heureuses, dans un cĂąlin amical qui vaut tous les baisers amoureux.
Le lendemain, nous avons de nouveau rendez-vous avec nos crushs respectifs, en fin d’aprùs-midi
 le dernier pour moi.
Dimanche matin, il sera déjà temps pour moi de rentrer à Paris, afin de rejoindre mon autre meilleure amie Eloïse pour un trip en Bretagne.
Alors je compte bien profiter des derniĂšres heures dans les Landes , qui semblent plus charmantes au fur et Ă  mesure que le soleil tombe dans la mer.
Nous rejoignons Louis et Nathan dans un crépuscule aux lumiÚres oranges, et dßnons de lasagnes industrielles dans un bar de plage. Un moment étrange, puisque signant la fin de nos courtes idylles.
AprÚs dßner, je propose à Nathan de lui prodiguer « un massage » dans sa camionnette pour soulager ses douleurs dues à une séance de surf musclée le matin.
Il m’emmĂšne Ă  l’arriĂšre du vĂ©hicule, oĂč se mĂȘlent les planches abĂźmĂ©es et les matelas. Les garçons dorment ici-mĂȘme pendant les vacances d’étĂ©, et leur libertĂ© bohĂšme me fait tourner la tĂȘte.
Alice suit quant à elle Louis à l’avant de la camionnette, pour continuer à parler.
Eux sont moins tactiles que nous, sans doute parce qu’Alice est encore amoureuse de son ex et a moins que moi la tĂȘte Ă  l’amourette d’étĂ©.
Nos couples ne sont sĂ©parĂ©s que par une vitre en verre fumĂ©e, et la silhouette d’Alice embrassant Louis se dĂ©coupe grĂące Ă  la lumiĂšre du soir.
Nathan m’embrasse ardemment en enlevant son t-shirt beaucoup trop grand pour ses frĂȘles Ă©paules, et passe une main sous ma robe.
Je le laisse faire, et m’allonge en fermant les yeux, prĂȘte Ă  recevoir ses lĂšvres partout sur mon corps . Pendant qu’il pose sa bouche sur mes seins, je caresse ses cheveux et le haut de son dos, brĂ»lants de soleil.
J’entends gĂ©mir Alice, qui, cambrĂ©e Ă  l’avant de la camionnette, reçoit des baisers de Louis dans son cou.
Je jette un Ɠil Ă  la vitre, rigole lĂ©gĂšrement, et me laisse de nouveau aller aux caresses de Nathan.
Tout doucement il me retourne pour que je me retrouve sur lui, et nous continuons de nous embrasser de longues minutes dans cette position, avant que l’excitation n’ait raison de notre pudeur.
Nathan enfile une capote, et je m’assois sur lui.
Je bouge lentement au départ puis de plus en plus fort, ce qui fait légÚrement remuer la camionnette.
Étant assise, je peux voir ce qui se passe Ă  l’avant : Alice, sans t-shirt sur le siĂšge conducteur, les lĂšvres de Louis sur ses tĂ©tons.
Entre mon corps et celui de Nathan, la magie attendue n’opĂšre pas vraiment, sans doute parce que nous sommes maladroits, un peu inexpĂ©rimentĂ©s et sans doute trĂšs intimidĂ©s par cette intimitĂ© si rapide et partagĂ©e avec deux autres personnes.
Lorsque nous finissons, dans une déception matinée de tendresse, nous nous asseyons tous les 4 sur la marche du véhicule pour fumer une ultime cigarette.
Alice est encore plus belle lorsqu’elle est dĂ©coiffĂ©e, le sourire gĂȘnĂ©e et la cigarette hĂ©sitante.
Nous nous Ă©treignons tous les quatre une derniĂšre fois, puis mon amie et moi rentrons dans notre maison, qui semble plus petite ce soir.
Nous nous couchons dans un cĂąlin rieur, en se donnant l’une l’autre des dĂ©tails sur ce moment Ă©tonnamment intime que nous avons partagĂ© , sĂ©parĂ©es seulement par une vitre fumĂ©e.
Elle me confie n’avoir Ă©changĂ© que des caresses et des Ă©treintes avec Louis, sans ĂȘtre allĂ©e plus loin.
Je lui raconte ma déception personnelle.
Bien des Ă©tĂ©s ont passĂ© depuis cette escapade dans Les Landes, oĂč Alice et moi sommes retournĂ©es depuis, sans jamais recroiser ni Nathan ni Louis.
Depuis, nous avons eu plusieurs histoires, toutes plus ardentes et compliquĂ©es les unes que les autres, car la vie d’adulte finit toujours par Ă©craser les fantasmes adolescents.
Il est rare désormais que les étés soient propices aux rencontres imprévues et excitantes, car nous sommes toutes les deux en couple et passons notre temps avec nos partenaires de vie.
Je repense souvent Ă  ce mois de juillet, oĂč Alice et moi avons aimĂ© si prĂšs, et nous sommes aimĂ©es surtout. Car ce que je retiens de cette amourette de vacances, c’est de l’avoir partagĂ©e avec elle .
Aujourd’hui, des errances Ă©rotiques de l’étĂ© il ne reste rien, si ce n’est un
Baiser son anus blanc
Une tchÚque baise bourrée elle kiffe sa
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