Aucune bite ne lui fait peur

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Aucune bite ne lui fait peur
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Sur une plage (Biscarotte/Flickr/CC).
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bazzzoukk a posté le 15 novembre 2016 à 20h41
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alarkam a posté le 15 novembre 2016 à 20h41
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saheyus a posté le 15 novembre 2016 à 20h41
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chele a posté le 15 novembre 2016 à 20h41
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marinellinette a posté le 15 novembre 2016 à 20h41
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AoĂ»t 1982, sur une plage, un petit garçon de 8 ans dĂ©cide de prendre un raccourci pour retourner Ă  la tente de ses parents. Ce chemin Ă  l’abri du regard des plagistes est un terrain inoccupĂ© qui longe la clĂŽture du camping des mouettes. Un trou dans le grillage quelques cent mĂštres plus loin permet de rejoindre ce lieu de sĂ©jour vendĂ©en et paisible. Mais ce jour-lĂ , Ă  mi-chemin, un homme attend.
La vingtaine avancĂ©e, un corps musclĂ© et poilu, il s’adresse au gamin :
En quelques mots, l’enfant est sidĂ©rĂ©. Il ne peut plus bouger, il se confond en excuses polies, la faute de ce qui va se produire lui incombe dĂ©jĂ . La culpabilitĂ©, il la ressent pleinement. Il est en tort et il va subir la punition.
« EnlĂšve ton maillot ! » L’ordre est direct et malgrĂ© les refus intimidĂ©s, il sera rĂ©itĂ©rĂ© jusqu’à ce que l’enfant s’exĂ©cute. Mais au lieu d’une balle dans la tĂȘte, ce sera une bite dans la bouche. Son esprit n’est dĂ©jĂ  plus lĂ , il est mort quelque part dans ces instants oĂč il a dĂ©couvert ce goĂ»t Ăąpre, cette texture inĂ©dite d’un phallus.
OĂč sont les Ă©motions, l’angoisse de l’inconnu, la honte, la peur de mourir ? Ce n’est plus qu’une machine Ă  sucer qui se laisse faire quand l’homme lui demande de se retourner et de se pencher.
Pas de sodomie, mais le jeune pĂ©dophile se finit entre les fesses du garçon. Et celui-ci, aprĂšs avoir promptement remis son maillot de bain, retourne chez ses parents. Comme ils demandaient oĂč il Ă©tait restĂ©, il leur annonce en pleurs ces mots, dont il ne comprenait pas le sens, mais qui s’imposaient Ă  lui comme une Ă©vidence : « J’ai Ă©tĂ© violĂ©. »
Trouver cet homme sur la plage, quelques minutes aprĂšs, a Ă©tĂ© une Ă©preuve terriblement angoissante. L’entendre me traiter de menteur devant le CRS surveillant de plage aussi. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Il a avouĂ©, mon pĂšre a considĂ©rĂ© qu’il valait mieux que j’oublie. Il n’y a pas eu de procĂšs, Ă  l’époque les choses Ă©taient vues diffĂ©remment. Une autre Ă©poque que je ne juge pas.
Le monde n’est plus comme avant, il y a quelque chose qui a foutu le camp, l’innocence, la confiance, la normalitĂ©. Le refoulement de cet Ă©vĂ©nement est quasi immĂ©diat. DĂšs le lendemain, aucun souvenir ne viendra entacher les neuf annĂ©es suivantes. Une amnĂ©sie post-traumatique dont on imagine Ă  quel point sa prĂ©sence dans le subconscient va influer sur le dĂ©veloppement Ă©motionnel de l’enfant.
Une premiĂšre tentative maladroite (se jeter dans l’escalier Ă  9 ans) se solde par un Ă©chec. Avec l’adolescence, il n’est plus question de se sentir Ă  l’aise, il n’est plus question de sentir appartenir Ă  un groupe. Tout est diffĂ©rent, les gens sont diffĂ©rents ; il se sent infĂ©rieur, sale et moche. Le contact social lui fait peur.
Il lui faudra attendre ses 17 ans pour que ses souvenirs affleurent puis explosent au grand jour et avec eux ce qu’il restait de stabilitĂ© Ă©motionnelle. La bombe Ă  retardement a fait son effet, dĂ©pression, tentatives de suicide, Ă©chec universitaire. Et malgrĂ© tout, la vie qui continue avec les premiĂšres tardives expĂ©riences sexuelles, qui s’avĂšrent plutĂŽt rĂ©ussies.
Si ce n’est qu’il y a un vide, qui reste ancrĂ© profondĂ©ment. Et personne n’est venu le combler. Personne ne viendra jamais soigner ça, personne ne viendra plus apporter le rĂ©confort. Aimer est difficile, ĂȘtre aimĂ© l’est encore plus pour l’adulte que je suis devenu Ă  partir de cet enfant poursuivi par la peur.
Combien de rencontres se sont soldĂ©es par ce constat amer : « Je ne suis pas le seul. » J’ai grandi avec cette peur atroce de devenir Ă  mon tour un bourreau. Les enfants Ă©tant de fait un risque que je ne pouvais pas prendre, mes histoires s’achevaient avant mĂȘme de devenir un tant soit peu sĂ©rieuses.
Il aura fallu attendre mes trente et quelques annĂ©es pour que je me rende compte Ă  quel point j’étais diffĂ©rent. Que je pouvais espĂ©rer une vie Ă  peu prĂšs normale, aimer, ĂȘtre pĂšre.
Mais le mal est fait et ça fait presque trente ans que ça dure. Ce fait presque trente ans que je vis avec ça. Je suis un handicapĂ© de la vie, je chute rĂ©guliĂšrement, mais, chaque fois, je me relĂšve. Les pensĂ©es suicidaires sont rĂ©currentes, ce n’est pourtant pas une option que j’envisage.
Il ne m’a pas tuĂ© ce jour lĂ . Je suis en vie. En apparence. Trois ans de psychothĂ©rapie auront permis de faire sortir l’angoisse et la peur, de dĂ©couvrir que le rejet, l’abandon et les accusations injustes sont des dĂ©tonateurs puissants, que je reste fragile. Il n’y a pas de guĂ©rison face Ă  ça. Ce serait comme faire repousser un membre amputĂ©. Impossible. On ne change pas le passĂ©. C’est irrĂ©versible.
Etre une victime de viol, c’est, une fois annoncĂ©, se marquer au fer rouge. Ça fait peur. Les gens ne savent plus comment faire. Le dĂ©sarroi est palpable. J’entends bien les vaines tentatives d’apporter du mieux. C’est inutile. Quand j’en parle ce n’est pas pour trouver mais ĂȘtre mieux compris, trouver chez l’autre une identitĂ© possible. Car au fond je me sens toujours diffĂ©rent, indigne et infĂ©rieur.
Je ne suis, en un sens, jamais rentrĂ© chez moi. Je n’ai jamais retrouvĂ© mes parents prĂšs de la tente. Je suis toujours dans cette course pour tenter de lui Ă©chapper. Les annĂ©es passent et personne ne m’a rendu cette vie que j’ai perdue, mon innocence, la paix et la tranquillitĂ©.
MalgrĂ© les avanies passĂ©es, j’ai eu une vie extraordinaire. J’ai rencontrĂ© des gens formidables, connus et anonymes, dont mon meilleur ami, qui finira, lui, par se suicider, pour d’autres raisons. Mes rires sont sincĂšres et si mon humour demeure souvent une maniĂšre de cacher ma tristesse, je n’en suis pas moins heureux d’avoir survĂ©cu. Je tĂ©moigne pour dire : « je ne suis pas coupable. Je n’ai pas Ă  avoir honte ». Mais ça reste difficile.
Je tĂ©moigne pour les autres victimes. Notre solitude, cette solitude que nous ressentons, n’est pas Ă©ternelle.
? Note de la rédaction : à notre question de savoir pourquoi il voulait témoigner publiquement, avec son nom, Arnaud Le Lann nous a répondu :

Photo : sur une plage ( Biscarotte /Flickr/CC).
Il y a encore des pays ou des enfants sont mariés de force à des adultes, à des vieillards .


On estime le nombre d’enfants prostituĂ©s dans le monde Ă  400 millions.


Dans beaucoup de civilisations antiques. la prostitution d’enfants Ă©tait une institution.


Au dĂ©but du 19 me siĂšcle , « les ballets bleus » permettaient aux notables pĂ©dophiles du nord de la France de satisfaire toutes leurs perversions, a la fin du siĂšcle, les nombreuses prisons pour enfants et pensions pour orphelins Ă©taient pour la sociĂ©tĂ© de l’époque, un rĂ©servoir inĂ©puisable de victimes muettes.


La vente d’une fillette pour du pain Ă  un pervers fut dĂ©crite sans pudeur par Victor Hugo lui-mĂȘme.


Il y a seulement quelques annĂ©es, des dizaines de millier d’enfants furent violĂ©s par des prĂȘtres dans de si nombreux pays, et je me souviens moi-mĂȘme d’un abbĂ© notoirement pĂ©dophile et tolĂ©rĂ© par tous dans ma paroisse lorsque j’étais petit, qui vĂ©rifiait consciencieusement chaque soir en camp de vacances, si nous avions tous enlevĂ© nos slips pour la nuit, comme s’il s’agissait d’un des dix commandements. Beaucoup lui ont tenu compagnie et « rĂ©chauffĂ© “ sa couche ‘Avec ton slip, tu ne dormiras point ! Amen !’.


Si la pĂ©dophilie fait partie de l’histoire du monde, faut-il avoir du ‘courage pour tĂ©moigner ? Est-ce que cela sert a quelque chose d’exhiber ses plaies ? N’est-ce pas surtout le regard des autres et le nĂ©gationnisme ambiant qui les creusent ,douloureusement, petit Ă  petit, en exacerbant notre ego ? Ne vaut il pas mieux se guĂ©rir dans le silence, dans l’acceptation de son histoire, et surtout , dans la comprĂ©hension de son Karma et de l’utilitĂ© de son existence pour les autres ?


Pour moi , qui fut pourtant aussi une victime, le bruit des dĂ©ballages , les mots mĂȘme des souvenirs sont inutiles, et ont des effets trĂšs pervers. Car cette victimisation gonfle inĂ©vitablement notre ego, comme une vraie baudruche. Pourquoi est-ce qu’il M’a fait çà, Ă  MOI ? MA vie est gĂąchĂ©e ! (fichtre !)


Moi Moi Moi Moi Moi. Regardez MOI ! Comme MOI JE suis malheureux ! Notre ego adore ça !


La paix, le calme, la sérénité, sont des biens inaliénables , disponibles à tout moment, pour tout les humains qui se donnent la simple peine de vouloir les rechercher.


Se mettre rĂ©guliĂšrement au service des autres sans chercher de contreparties, mĂ©diter sur la globalitĂ© de l’univers. Respirer, caler son esprit sur son souffle, laisser passer ses pensĂ©es.


La meilleure des prescriptions, d’une efficacitĂ© redoutable !


MĂȘme des annĂ©es plus tard la dĂ©marche qui consiste Ă  signaler un fait au procureur de la rĂ©publqiue, garde toute sa valeur. D’autant que le procureur peut faire des rĂ©coupement avec des faits similiares et autour de la personne concernĂ©e.


Jean-Jacques GERARD


« A un aucun moment la victime se sent coupable ou responsable vis à vis de la société. »


Ce n’est pas ce que je voulais dire. Comme cela a Ă©tĂ© dit par ailleurs, et comme je le pense moi-mĂȘme (mĂȘme si je n’ai peut-ĂȘtre pas su l’exprimer), il doit bien s’agir de culpabilitĂ© vis-Ă -vis de soi-mĂȘme.


Quand je me demandais comment la sociĂ©tĂ© peut amener les choses Ă  un tel point, je pensais Ă  ce en quoi l’entourage, l’éducation, les discours dominants, les prĂ©jugĂ©s qui se nichent partout (jusque dans la langue) peuvent pousser une victime Ă  se reprocher d’avoir « mal agit » Ă  ses propres yeux.


L’analyse de Jermo_B me semble d’ailleurs apporter une rĂ©ponse valable Ă  ce problĂšme. C’est la honte d’avoir abandonnĂ© sa volontĂ©, d’avoir obĂ©it, voire mĂȘme d’avoir aidĂ© pour abrĂ©ger le supplice, au point qu’on a du mal Ă  se convaincre soi-mĂȘme qu’on n’aurait jamais pu vouloir que cela se produise.


Mais encore une fois, je pose la question du rĂŽle de l’éducation, du discours dominant, des proches, etc, dans ce mĂ©pris de ceux qui sont dominĂ©s mentalement, et qui en rĂ©alitĂ© ne sont pas diffĂ©rents ni moins digne d’une compassion respectueuse, que ceux qui sont dominĂ©s physiquement.


Tenez, une preuve de ce que j’avance. MalgrĂ© mon discours, j’ai failli plusieurs Ă©crire « ceux qui SE LAISSENT dominer mentalement » (et non pas « ceux qui SONT dominĂ©s mentalement »). Je ne sais pas pourquoi, ça m’est venu « naturellement ».


Et pourtant, c’est une façon vraiment ignoble de prĂ©senter les choses.


Bon, c’est bien ce que je pensais.


La Haute AutoritĂ© de la SantĂ© (HAS) a dĂ©jĂ  fait un recours via leur service juridique auprĂšs de l’association EMDR afin qu’ils changent l’intitulĂ© qui Ă©tait sur leur site, ce qu’ils ont fait.


Mais ce qui reste encore et dont j’ai mis une copie plus haut est encore considĂ©rĂ© par eux comme trĂšs excessif.


J’ai reçu de leur part un courriel de rĂ©ponse qui est assez complet et surtout trĂšs Ă©clairant sur les mĂ©thodes peu dĂ©ontologiques de promotion de l’EMDR par cette association et ce site.


C’est stupide de leur part, car cela a pour consĂ©quence un effet contre-productif dĂ©sastreux sur la confiance qu’on doit apporter Ă  la mĂ©thode en elle-mĂȘme.


Quid de la mĂ©thode si certains de ses promoteurs n’ont dĂ©jĂ  pas une approche dĂ©ontologique de sa promotion ? Entre les mains de qui se met-on ?


J’attends que la HAS me donne son aval pour faire un copiĂ©-collĂ© de leur courrier ici-mĂȘme.


S’ils ne veulent pas, j’en ferai le rĂ©sumĂ©.


Je me rĂ©pĂšte, il convient vraiment de faire trĂšs attention Ă  qui l’ont confie ses problĂšmes psy.


un trĂšs trĂšs grand bravo pour votre courage.
un trĂšs trĂšs grand bravo pour cette dĂ©cison de tĂ©moigner Ă  visage dĂ©couvert afin d’inciter d’autres Ă  parler...
1000 bonheurs pour vous








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loooona
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Modifié le 26 nov. 2021 à 11:28


 Amandine -
2 oct. 2017 Ă  19:42


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sony
9 janv. 2011 Ă  12:41


patrouchka
7 janv. 2010 Ă  08:49




bonjour loooona,
je suis dans la mĂȘme situation que toi. je suis avec un homme depuis 10 ans et passĂ© les deux premiers mois, nous sommes passĂ© Ă  3-4 relations par mois. comme toi c'est quasi tout le temps moi qui vais vers lui et 3 fois sur 4 il me repousse. il trouve toujours une excuse ou est trop occupĂ© pour prendre du plaisir. nous en avons souvent parlĂ© mais ce sont toujours les mĂȘmes rĂ©ponses qui reviennent: il a pas d'envie, il passe sa libido dans sa musique, ou alors c'est moi qui ne lui donne pas envie et qui suis nympho....
bref la situation est compliquée car il me dit qu'il m'aime ou du moins il me laisse croire car il ne me l'a dit qu'une fois en 10 ans.moi aussi je l'aime et je n'ai pas envie de le quitter.je l'ai déjà quitté deux fois (une fois trois mois et la seconde 1an et demi) et je n'ai pas envie de recommencer. ces séparations sont en grosses parties à cause de ce manque de relation sexuelle. cela fait 2 ans que nous nous sommes retrouvé et un an que nous habitons à nouveau ensemble. je me sens comme sa colocataire. cependant depuis un an nous avons pris la décision (ensemble, apres des mois de discussion) d'avoir un enfant mais rien ne le stimule, ne l'excite et bien sûr pas de bébé à l'horizon.
je pense de plus en plus Ă  le quitter encore une fois, je n'ai pas envie de perdre mon temps encore longtemps, j'ai 34 ans et des envies de sexe et cette "diette" me fait douter de moi, de mes capacitĂ©s de sĂ©duction et mĂȘme de ma santĂ© mentale. car il fait tout pour me faire culpabiliser de la situation.
je ne sais plus quoi faire non plus mais ce dont je suis de plus en plus sûre c'est que ce n'est pas moi qui ai un problÚme. donc toi non plus tu n'es pas le problÚme, le sexe est un besoin naturel. Essais de parler avec lui de ce différent.
au plaisir d'avoir de tes nouvelles ou conseils, si on peut s'aider ça serait bien. bon courage




SALUT PATROUCHKA,

merci de m'avoir lu et repondu, car comme tu le dis c'est difficile Ă  vivre au quotidient, pour moi tu
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