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Portugal : la Californie de l'Europe
Allemagne. Voyage à l’Est, une terre étrangère
Réservé aux abonnés Publié le 20 septembre 2017 à 16h18 Lecture 16 min.
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Crise des réfugiés, sentiment d’abandon, désertification des centres-villes… Plus d’un quart de siècle après la réunification, la colère gronde dans les “nouveaux Länder” où l’AfD, la droite radicale, s’est largement implantée. De la mer Baltique à la Saxe, un journaliste du Spiegel, lui-même originaire de l’Est, est parti à la rencontre de “cette Allemagne obscure”.
Il y a quelques jours, Ingo Schulze a hissé le drapeau suisse à la porte de son établissement, la pension Elisabeth, à Koserow, sur l’île d’Usedom, en mer Baltique. En signe de bienvenue à ses clients helvétiques.
Schulze – qui, par un pur hasard, porte exactement le même nom que le célèbre écrivain est-allemand [auteur notamment de 33 moments de bonheur et Histoires sans gravité, publiés en France chez Fayard] – a pris cette habitude “par respect”, dit-il. “Être ouvert sur le monde, c’est important pour moi.”
Et voilà qu’il pointe le doigt sur un autre drapeau – polonais, cette fois. Celui-ci flotte en permanence : “Un geste de reconnaissance” envers ses recrues de Pologne. L’hôtelier Schulze propose à ses hôtes un établissement hautement écologique – basse consommation d’énergie, absence d’ondes nocives, traitement anti-allergies. Alors, on se dit que Schulze est politiquement correct. Et qu’il doit voter vert.
Aux dernières élections régionales de 2016, plus de 30 % des habitants d’Usedom ont voté pour l’AfD [Alternative pour l’Allemagne, droite radicale]. La République a poussé les hauts cris. Schulze laisse entendre qu’il ne trouve pas que l’AfD a complètement tort. Est-ce qu’il vote pour eux ? Il élude la question.
Alors, on est là, au côté du sympathique Ingo Schulze, à regarder le drapeau polonais qui claque au vent, et on pressent que le voyage ne va pas être facile et qu’on ne va pas obtenir de réponses simples à toutes nos questions.
Usedom est la première halte d’un voyage dans l’est de l’Allemagne. On démarre sur la mer Baltique, puis on descend vers la Saxe, de Koserow à Pirna, au fil des petites villes et des villages. En un mot : on sillonne la province est-allemande. L’idée est de voir de près la réalité, de dresser un état des lieux, à quelques semaines des élections législatives. Sonder l’atmosphère, prendre le pouls des Ossis [Allemands de l’Est] et leur poser la question : où en êtes-vous ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
En 2016, il m’est arrivé parfois d’avoir le sentiment de ne plus comprendre l’Est. Sentiment désagréable quand on est soi-même originaire de l’Est. Je ne comprenais pas pourquoi ils couraient en masse vers le mouvement Pegida [mouvement populiste et xénophobe des “Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident”], pourquoi ils votaient AfD, pourquoi ils avaient tellement peur de l’islam et des étrangers. Pour la première fois de ma vie, l’Est m’inspirait comme un sentiment d’étrangeté. Et en même temps, l’image de cette “Allemagne obscure” [allusion aux propos du président Joachim Gauck en août 2015, dénonçant les violences contre les foyers de réfugiés, notamment à Heidenau, en Saxe] m’irritait. L’Est, ce trou noir.
Dans les médias, on débattait très sérieusement pour savoir si la Saxe était un “État failli” ; sur Internet se multipliaient les mises en garde et les appels au boycott d’Usedom, “l’île brune” ; et parmi mes propres amis de l’Ouest, certains disaient ne plus vouloir mettre les pieds dans le Mecklembourg. Ou à Dresde. À cause de “la situation politique”. C’était comme si l’Est regorgeait de terroristes prêts à se faire exploser.
Tout d’un coup, les vieux clivages est-ouest qu’on croyait révolus resurgissaient. Et la situation intérieure redevenait aussi tendue qu’elle l’avait été au début des années 1990.
Actuellement, en cet été 2017, le calme est un peu revenu. Je prends mes affaires, et je m’en vais. Direction : l’est. Rien n’interdit de penser qu’on y trouvera quelques explications. Hit the road, Jack.
Les touristes ont-ils été tentés d’annuler leurs réservations après le succès électoral de l’AfD ? “Non , répond Ingo Schulze, l’hôtelier. Au contraire. Pour beaucoup de mes clients, c’était une bonne raison de venir.”
En réalité, Schulze n’a pas de temps pour moi. C’est la pleine saison, les touristes se pressent dans son établissement. Mais il veut qu’au moins une chose soit claire : “ Ça a surtout été un vote protestataire.” Évidemment, on pense tout de suite crise de l’euro, crise des réfugiés ou crise de confiance généralisée à l’Est envers la démocratie. Ce n’est pas du tout cela : Schulze, lui, parle de la “crise de l’hôpital”.
L’hôpital le plus proche se trouve à Wolgast, à quelques kilomètres de là. C’est là qu’est né Schulze, 54 ans aujourd’hui. C’est là aussi que sont venus au monde ses enfants. Mais s’il devait bientôt avoir des petits-enfants, ce serait le grand voyage. Jusqu’à l’hôpital de Greifswald, à 50 km. Ou jusqu’à l’hôpital d’Anklam, à 50 km aussi. Ou à plus de 80 km, jusqu’à Stralsund. “Autant aller carrément à Berlin !”, peste Schulze.
Tous les lundis, ils se rassemblent à l’entrée de l’hôpital avec leurs pancartes. Une cinquantaine de personnes. Les voitures défilent, certains klaxonnent en signe de solidarité. “Ça dure depuis 2015”, explique Anke Kieser, et Brigitte Knappik confirme. Elles sont toutes les deux à la tête de l’initiative citoyenne “Pro Krankenhaus” [Pour l’hôpital].
Voilà ce qui s’est passé ces dernières années à Wolgast, “la porte de l’île d’Usedom” : d’abord, le chantier naval a pratiquement fermé ses portes, il est passé d’un effectif de plus de 3 000 à quelque 200 aujourd’hui. Puis, c’est le centre des impôts qui a fermé, puis le tribunal et plusieurs caisses d’assurance-maladie, et maintenant c’est l’agence de la Deutsche Bank qui doit baisser le rideau.
Le centre-ville est tellement calme qu’on se surprend à penser que c’est dimanche. Mais pas du tout. Les magasins sont ouverts, un certain nombre au moins. À vue de nez, un tiers a mis la clé sous la porte. Partout, des affiches : à vendre, à louer. Le soir, sur la place du marché, on a envie de taper sur l’épaule du moindre passant pour le réconforter.
Début 2016, quand la maternité et le service de pédiatrie ont été fermés à l’hôpital de Wolgast, parce que, selon le gouvernement régional, ce n’était plus rentable, pour des raisons à la fois économiques et démographiques, les habitants sont montés sur les barricades. Avec le sentiment que les politiques les abandonnaient définitivement à leur sort.
C’est alors qu’ont commencé les manifestations. Ensuite, une pétition. Puis l’initiative citoyenne. L’AfD a flairé l’affaire, elle en a fait un thème de campagne en Poméranie occidentale, l’une des régions les plus pauvres d’Allemagne. Anke Kieser et Brigitte Knappik ont adressé des lettres désespérées au gouvernement régional de Schwerin et commencé à faire le planton avec quelques fidèles à l’entrée de l’hôpital.
Il ne s’est rien passé. Ça aurait pu durer une éternité.
Mais voilà que l’AfD crève le plafond aux législatives et atteint 36,5 % à Wolgast. Le choc. Soudain, les portes des politiques se sont ouvertes.
Kieser est conseillère fiscale et membre de la CDU . Knappik était médecin pédiatre à l’hôpital de Wolgast, elle est aujourd’hui retraitée. Aucune des deux n’a voté AfD, mais elles ont tiré profit du score de l’AfD. “Il faut bien le dire”, lâche Knappik. Depuis juin, un p
Un grand, très grand magazine d’enquêtes, lancé en 1947, agressivement indépendant, et qui a révélé plusieurs scandales politiques. Depuis sa création, le Spiegel a choisi la ligne du journalisme d’investigation. Il est le magazine d’actualités allemand à la plus large diffusion.
 
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Vêtements > Pas de short, pas de minijupe, pas de pantalon taille trop basse, pas de tongs ni de talons hauts… Les collèges sont de plus en plus stricts sur les tenues que doivent porter, ou ne pas porter, les élèves. Certains vêtements sont jugés provocants ou irrespectueux.
Il y a quelques semaines, un collège anglais a refusé l’accès aux cours à un élève qui portait un short. Est-ce que tu penses que c’est normal, qu’il faut être habillé de manière “correcte” pour aller en cours ? Ou est-ce que tu penses que c’est exagéré, et qu’il faut laisser aux élèves la liberté de s’habiller comme ils le veulent ?
Nous dans mon collège tous le monde est en survêtement et sa pause de problème a personne car ses a la mode, en général, il a juste une vingtaine sur 500 élèves qui porte un Jean.
Moi je ne porte pas tout c’est vêtements mais c’est exagéré je trouve ça inadmissible . Et ça sert à quoi d’interdire c’est vêtements sérieux .
Je trouve qu’on doit avoir le droit de porter ce que l’on veut, tant qu’on ne vient pas en sous-vetements… On a le droit de porter des t-shirt un peu plus court, des jeans troués, des shorts, ou des collants troué! « c’es trop osé pour le garcons » et bien ils n’ont cas se tenir!! Est ce que c’est notre probleme? Et pour l’autre raison qui est du style, je pense que chacun doit trouver un style vestimentaire qui lui plait, et si on me dit de le changer c’est comme si on me demandais de devenir quelqu’un d’autre! J’espere que ca va un peu changer… mais bon il faut pas a s’attendre a grand chose!
De toute façons on doit venir au collège ou lycée en mode travail pas mode boite de nuit ou soirée.
Mais en effet on doit s’habille comme on veut c’est leurs pro pas le notre.
C EST TROP NULLE EN MOIN QUAND EN AITER EN PRIMERE EN POUVAIT S HABILLER COMME EN VEUT C EST TROP NULLE EST CHIANT DES FOIT JAIT YROP ENVIE DETRE EN MINI JUPE COMME A DIT NON LE 1ER COMMENTAIRE LES GARCONS EN PAS A SE JETAIS SUR NOUS ET PUIS VOILA
c’est nul JE VEUX POUVOIR PORTER UN TEESORT CROP TOP
Je trouve ca innadmissible d’interdire a un eleve de porté les vetement qu’il shouaite et de sexualisé les tenue de jeunes mineurs qui n’ont rien demandé et qui shouaitent sseulement affirmé leur style et avoir confiance en eux.
( je suis moi meme au college et je ne respecterai jamais cette règle fachiste et ferai toujours comme bon me semble en restant dans le respect ).
je pense que les éleves doivent avoir en effet une tenue correcte mais apres tout que veux dire correcte? cela depend des gouts ou de l’avis des gens encore une fois… certaines personnes viennent nous parler de liberté, mais elle commence ici. Bien sur il faut dosé, mais bon, laissé les gens faires ce qui leurs plaient!! si ils font une erreures tant pis pour eux mais la franchement juste pour une histoire de fringues!! c’est n’importe quoi. Nous sommes en 2021 et les temps ne changerons jamais…
Perso je trouve ça pas vraiment raisonnable je comprends si genre on voit ta culotte mais il ne faut pas abuser non plus
Je trouve la règles d’avoire les cheveux courts hyper sexisme car jai les cheveux bouclé et long(même pas au epaule) et on me demande de les couper alors qu’une fille a les M.Ê.M.E cheveux que moi et elle elle a le droit de se les laisser pousser et moi je n’ai aucune envie ça me blesse énormément de les couper c’est du sexisme et du favoritisme envers les filles
ce n’est pas du favoritisme mais une image de la société:
fille= cheveux longs
garçon= cheveux courts
mais en tout cas ce n’est pas du favoritisme, car si moi demain j’ai envie de me faire la coupe courte et que l’on me fait des remarques en disant que c’est pour les garcons, c’est des favoritisme pour les garcons? Non.
Je trouve ça injuste que les établissements interdisent aux élèves de s’habiller comme ils le souhaitent car tout ce qui nous arrive à nous les filles n’est pas de notre faute ni celle de nos vêtements, mais de la faute des garçons qui ne savent tout simplement pas se retenir de regarder une partie du corps d’une fille qu’elle soit en jean, robe, jupe, short. Donc je continuerai à mettre les vêtements que je veux.
heu moi je passe au colllege galere pour les jean dechire je l ai kiffe mais pour tout ce qui est short ect jmen fou j en porte pas et 22 57 toi ta carrement ecrit un livre
c injuste les primaire il on plus le droit de mettre de truc que sa se fait pas
on a pas le droit mettre : des crops top( bon sa je comprend a la limite), short (mais on craive de chaud en pantalon nous),jean trouer ( sava trop loin)… (dsl pour les fautes)
Je trouve ça pas normal que l’on punisse ou que l’on fasse une remarque à une fille au collège/lycée à cause de sa tenue. D’après les profs, je cite: « cela déconcentre et excite les garçons en cours ». Nan mais ou va le monde! Si on part sur ce principe les filles se font violer car elle avaient une tenue « pas correcte ».
Les garçons peuvent arriver avec un bas sous les fesses et nous on nous interdit de porter un haut où on voit les épaules car on pourrait voir une bretelle de soutien-gorge. Quand c’est l’été , on devrait crever de chaud et porter un pantalon pour faire plaisir au profs? Non! c’est notre corps et personnes n’a le droit de le juger! Bien-sûr on ne vas pas se ramener au collège/lycée en maillot de bain et en tong mais on peut porter ce qu’on veut! Après il est vrai que l’on ne vas pas venir en cours avec des vêtements qui laissent voir les seins ou les fesses mais on peut porter un croque-top, un décolleté, un t-shirt moulant, un short ou une jupe sans se faire sanctionné ou que l’on dise qu’on est des « allumeuse », qu’on s’habille comme ça pour plaire au garçon…mais non! on s’habille pour nous, encore une fois c’est notre corps!
PS: merci pour cet espace d’échange car je n’ose pas en parler à mes parents car je sais que si le/la CPE me sanctionne à cause de mon vêtement, il ne prendront pas ma défense.
Je suis totalement d’accord, en plus je trouve injuste que les filles soient « punies » pc les garçons regarde trop les meufs leurs forme etc, après c sûr il ne faut pas non plus que ça devienne vulgaire mais voilà quoi c vraiment une injustice par rapport aux adolescentes
Sa se fais pas de dire à une fille se quel doit porter
Perso dans mon collège j’ai toujours porter des crop top et short ils m’ont JAMAIS rien dit
Bon après faut pas que les crop top colle trop a la poitrine
Dans mon collège tout est permis sauf pantalon trouée (mais quelques élèves sans fou)
Je trouve c
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