Aucun tabou à tout montrer sur les réseaux sociaux

Aucun tabou à tout montrer sur les réseaux sociaux




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Aucun tabou à tout montrer sur les réseaux sociaux
Télévision : Jeanne d'Arc et le village de Domrémy-la-Pucelle à l'honneur sur France 5
Quartiers d'été : fin de saison animée à Épinal
Sorties du week-end : tour d'horizon des activités vosgiennes du 26 au 28 août, en partenariat avec On se capte !
Sicovad : le magasin Uni'vers Bio favorise l'accès au compostage des Golbéens
Ciné-cool : les avants-premières à ne pas manquer dans les Vosges ce week-end
Concert : la Pop ultra moderne de Marie-Flore à découvrir à Gérardmer
Promenades de la Vallée des Lacs : sortie à la Ferme du Grand Liézey
Vendredis du BTP : plus de 5 000 offres d'emplois à pourvoir à Épinal et dans toute la France
Maison des Cultures de Remiremont : rentrée artistique pour les plus jeunes
Course de garçons de cafés : retour aux sources à Épinal pour une tradition qui s'était perdue
Télévision : Jeanne d'Arc et le village de Domrémy-la-Pucelle à l'honneur sur France 5
Quartiers d'été : fin de saison animée à Épinal
Sicovad : le magasin Uni'vers Bio favorise l'accès au compostage des Golbéens
Promenades de la Vallée des Lacs : sortie à la Ferme du Grand Liézey

Les actualités
positives
de votre ville


Télévision : Jeanne d'Arc et le village de Domrémy-la-Pucelle à l'honneur sur France 5
Sorties du week-end : tour d'horizon des activités vosgiennes du 26 au 28 août, en partenariat avec On se capte !
Ciné-cool : les avants-premières à ne pas manquer dans les Vosges ce week-end
Concert : la Pop ultra moderne de Marie-Flore à découvrir à Gérardmer
Guinguette de la Maison Romaine d'Épinal : nouveau rendez-vous festif et musical au bord de la Moselle
Ciné en plein air : l'occasion de découvrir le Bois Baudoin de Xertigny autrement
Théâtre : ObsolèteS à découvrir au Parc de l'Evêché de Saint-Dié-des-Vosges
Cinéma : les sorties du 24 août à ne pas manquer (bandes annonces)
Les Associations en Fête : 222 clubs sportifs et culturels investissent le Parc du Cours d'Épinal
Booder Is Back à l'Auditorium de la Louvière d'Épinal
Des mails qui donnent la pêche ? Ça se passe ici

Par la présente j’accepte de recevoir la newsletter de 100% Vosges (Agence Véga). Je note que l’envoi de la newsletter nécessite l’emploi du logiciel Sendinblue. Mon adresse courriel sera transmise et enregistrée à cet effet aux serveurs de Sendinblue en France. Je peux retirer mon autorisation à tout moment.

Merci, Vous êtes maintenant inscrit à nos newsletter 100% locales !
Quartiers d'été : fin de saison animée à Épinal
Cross-tri de Contrexéville : près de 300 compétiteurs pour une course de Folie
Respirez golf : le green de Vittel accueille une étape du Tour de France Golf & BPCO
Les Associations en Fête : 222 clubs sportifs et culturels investissent le Parc du Cours d'Épinal
Basket : Premier match de préparation pour le SLUC Nancy au CPO de Vittel
Danse Moderne Academy : deux nouveaux cours pour la prochaine saison à Charmes
Championnat du monde de TREC : des cavaliers de Granges-Aumontzey et Cheniménil sélectionnés
Roller Derby : initiation pour tous à Remiremont !
Paracanoë : le Spinalien Abel Aber prend la 6e place de la finale des Championnats d'Europe
Fête de l'Ourche : rallye pédestre de 9 km entre Claudon et Attigny
Vous souhaitez le recevoir chez vous ?
Télévision : Jeanne d'Arc et le village de Domrémy-la-Pucelle à l'honneur sur France 5
Promenades de la Vallée des Lacs : sortie à la Ferme du Grand Liézey
Course de garçons de cafés : retour aux sources à Épinal pour une tradition qui s'était perdue
Guinguette de la Maison Romaine d'Épinal : nouveau rendez-vous festif et musical au bord de la Moselle
Cleanup Day : les Vosgiens se mobilisent pour nettoyer leur territoire à Brû, Viménil et Lépanges-sur-Vologne
Vente à domicile : Charlott' lance sa tournée de recrutement qui passe par La Bresse
Vol en Montgolfière : décollage immédiat depuis l'Amphithéâtre Gallo-Romain de Grand
Esprits solidaires 88 : une Buvette aux livres aux parc du Château d'Épinal pour étancher sa soif de connaissance
Hygiène intime : le Sicovad renouvelle son opération de subvention de produits réutilisables dans les Vosges
Fête de l'Ourche : rallye pédestre de 9 km entre Claudon et Attigny
Merci, Vous êtes maintenant inscrit à nos newsletter 100% locales !


100% Actus
Économie / entreprise
Environnement
Emploi / Formation
Santé
S'engager


100% Sport
Basket - Hand - Volley
Football
Hockey
Sport d'hiver
Autres sports


100% Culture
Cine - TV
Concert
Découverte
Expo
Livre - musique
Spectacle
Terroir


100% Lifestyle
Auto
Mode / Beauté
Conso
Déco
Recettes
Immo
Tourisme


Lorsque vous naviguez sur notre site internet, des informations généralement sous forme de cookies sont stockées sur votre navigateur. Nos partenaires et Véga Edition, utilisons ces cookies afin de vous fournir une meilleure expérience de navigation, d’identifier vos préférences et de nous aider à améliorer notre site web. Vous pouvez choisir de bloquer certains types de cookies à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer'. 

Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.


Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.


Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.


Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.


Accepter
Refuser
Préférences
Enregistrer les préférences
Préférences

Actu, Culture, Sport et Style de Vie : 100% Vosges, votre compagnon futé au quotidien ! Les infos à dévorer toute l’année pour tout savoir sur tout.

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyse de données - Matomo , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Jusqu’à quel point les réseaux sociaux lèvent-ils le tabou sur les troubles psychiques ?


Jusqu’à quel point les réseaux sociaux lèvent-ils le tabou sur les troubles psychiques ?



Je voulais mettre en évidence la gravité de la maladie mais également faire connaître le traitement hospitalier qui nous est réservé. Je voulais témoigner et surtout dénoncer

Sandra*, détentrice du compte Instagram Noire et Bipolaire

« La crise a suscité des idées suicidaires. Auparavant, on se battait pour lever les tabous liés à la santé mentale, mais désormais, on se permet beaucoup plus de communiquer sur ses maux, et de les assumer publiquement. »

Vanessa Lalo, psychologue clinicienne, spécialiste des pratiques numériques

« Personne ne se revendique paranoïaque, pervers narcissique, ou fou. Le côté « déficitaire » de la maladie, lui, reste masqué et n’est jamais revendiqué »


« Cela invisibilise dans le même temps les personnes qui sont-elles-même réellement dans la marge. Je ne suis pas sûre que l’enfant autiste qui tourne en rond tout seul chez lui a une plus grande visibilité… »


On est déjà nombreux mais on a besoin de toi !


Tu as déjà un compte ?

Se connecter



Et oui c’est bien le sujet de la dernière newsletter


Veuillez renseigner une adresse valide


La fonctionnalité d'ajout aux favoris est disponible aux utilisateurs inscrits sur la plateforme. Il suffit de se connecter ou de créer un compte.


Pour te remercier d'être un lecteur assidu, on a le plaisir de t'offrir
20 usbeks !

Dans les œuvres de fiction, par la voix de célébrités… Jamais les troubles psychiques n’ont été si présents dans l’espace public. Une visibilité croissante à laquelle la crise du Covid n’est pas étrangère. En la matière, les réseaux sociaux font office d’espace d’expression privilégié. Comment comprendre cette libération de la parole numérique ? Mais surtout, jusqu’à quel point contribue-t-elle réellement à une véritable prise de conscience sociétale plus globale ?
Kristine souffre de bipolarité de type 2 et de cyclothymie. Lors d’une période de down particulièrement sévère, elle décide de créer la page cyclothymia.and.bipolar sur Instagram. « Je me suis dit qu’il devait bien exister quelque part quelqu’un qui souffrait de bipolarité et qui comme moi ne parvenait pas à être comprise par ses proches. »
« J’ai toujours été très seule avec ma maladie , confie Julie, 30 ans, qui souffre de dépression chronique et d’anorexie mentale restrictive. À la suite de mon diagnostic en 2019, cela ne s’est pas arrangé ».
Afin de sortir de sa solitude, l’idée d’ouvrir un compte Instagram fait son chemin. Elle lance alors la page depression_sans_pression. Lorsqu’elle est hospitalisée sous contrainte en raison d’un risque suicidaire, elle témoigne au jour le jour de son quotidien sur son compte, où 1188 abonnés la suivent.
C’est suite à une hospitalisation particulièrement traumatique que Sandra* suit les conseils d’une amie psychologue et crée sa page Instagram, Noire et Bipolaire. « Je voulais mettre en évidence la gravité de la maladie mais également faire connaître le traitement hospitalier qui nous est réservé. Je voulais témoigner et surtout dénoncer. »
À l’instar du compte de Kristine, Sandra ou de Julie, les réseaux sociaux regorgent de pages consacrées aux troubles psychiques et psychiatriques. En la matière, Instagram fait figure d’application reine. Sur le réseau social, le hashtag #depression culmine à 23,7 millions de publications, celui de #bipolar à 2,5 millions. À tel point que les psychologues en font désormais un lieu d’information et de promotion incontournable.
 Ouvrir un espace d’échanges ou d’aide mutuelle, volonté de dédramatiser et de démystifier la maladie, dénoncer les failles du système médical… les raisons qui poussent à médiatiser sa maladie mentale sur les réseaux sociaux sont multiples. En agissant comme révélateur, les réseaux sociaux participent d’un phénomène de libération de la parole autour de la maladie mentale, notamment pour le jeune public.
Pour Vanessa Lalo, psychologue clinicienne, spécialiste des pratiques numériques, la visibilité croissante des troubles psychologiques sur les réseaux sociaux est incontestable. Surtout, elle constate « une augmentation de ce que l’on montre en termes de pathologies mentales sur les réseaux sociaux ». [1] [2] Pour la clinicienne, l’épreuve du confinement est également passée par là. « La crise a suscité des idées suicidaires. Auparavant, on se battait pour lever les tabous liés à la santé mentale, mais désormais, on se permet beaucoup plus de communiquer sur ses maux, et de les assumer publiquement . »
Pour la clinicienne, la question dépasse cependant largement le cadre des réseaux sociaux : « il s’agit d’un mouvement de grande ampleur. Des personnes très influentes annoncent être dépressifs, bipolaires, anxieux. » Mariah Carey , Kanye West, Selena Gomez … nombreuses sont les célébrités, surtout transatlantique, à avoir réalisé leur coming-out en la matière. Là encore, ce sont souvent via les réseaux sociaux que cette parole se fait entendre.
Dans le monde du sport, la levée du tabou s’est notamment illustrée cette année par la décision de la tenniswoman Naomi Osaka, quadruple gagnante du Chelem, de renoncer à Roland-Garros afin de « préserver sa santé mentale » . Teddy Riner, le judoka le plus titré de l’histoire, a lui médiatisé son suivi psychologique dans « Teddy », le documentaire qui lui a été consacré en 2020. Au Jeux Olympiques de Tokyo, la gymnaste Simone Biles a marqué les esprits en se retirant du concours général par équipe, déclarant qu’elle devait « lutter contre ses démons » et « préserver sa santé mentale ». C’est sur Instagram que la gymnaste la plus médaillée de l’Histoire a choisi de donner les détails de sa décision. Le phénomène n’est pas inédit : avant eux, Michael Phelps, ou encore André Agassi avaient évoqué publiquement leur combat contre la dépression . Une libération de la parole relative cependant : les troubles de la santé mentale affecteraient jusqu’à 35 % des athlètes d’élite à un stade ou à un autre de leur carrière , selon les chiffres du CIO.
Cette plus grande visibilité s’observe également sur le terrain de la production culturelle. D’après le psychiatre Jean-Victor Blanc, auteur de l’ouvrage Pop and Psy (Plon, 2019) , les troubles mentaux seraient aujourd’hui beaucoup mieux représentés et documentés dans les œuvres de fiction. Les séries 13 Reasons why , Mental , Atypical , Euphoria , En Thérapie (Arte) ou Dans ma tête , tentent (avec plus ou moins de succès) de sortir des clichés sur la maladie mentale et de coller davantage à la réalité. Une évolution salvatrice et révélatrice d’un changement de paradigme, selon lui.
S’approprier sa maladie en décidant de la rendre visible, cela n’a pas toujours été possible. « L’histoire de la visibilisation des malades dans l’histoire de la médecine, qu’il s’agisse de personnes souffrant de troubles somatiques ou de troubles mentaux, c’est toujours une histoire de lutte , détaille le philosophe Guillaume Le Blanc. Cette visibilité, le savoir-pouvoir médical ne la confère pas facilement . »
Au XIXe siècle, la médecine envisage le malade comme un obstacle entre le médecin et la pathologie. C’est contre cette conception de la médecine que le médecin et philosophe Georges Canguilhem s’érige en 1943 avec sa thèse de médecine qui deviendra ensuite son ouvrage majeur, Le Normal et le Pathologique . « Canguilhem permet de penser que la relation thérapeutique est une relation fondamentalement clinique, ce qui signifie qu’il n’existe pas de maladie sans un individu malade qui perçoit une précarité de son intégrité corporelle et mentale », explique Guillaume Le Blanc. Canguilhem remet ainsi le malade au centre de la discipline médicale. Un préalable théorique indispensable pour que le malade se constitue enfin comme sujet, acteur de sa maladie.
L’histoire de la médecine peut en effet se comprendre comme une histoire de la promotion du malade. Les luttes sociales, menées par des collectifs de personnes psychiatrisées, ne sont pas absentes de cette évolution. En France, c’est notamment le cas du Groupe information asile (GIA), créé au début des années 1970 contre « l’usage répressif et normatif de la psychiatrie » ou de la Fédération Nationale des Associations d’usagers de la Psychiatrie (Fnapsy), créée en 1992, dans un registre moins contestataire.
Dans L’invisibilité sociale (PUF, 2009), Guillaume Le Blanc a réalisé un travail philosophique sur la question des normes et sur les processus d’invisibilisation de certaines existences. « L’une des manières de rendre une personne invisible, c’est de la survisibiliser, d’attacher à cette personne une ou plusieurs caractéristiques qui vont retenir toute l’existence. Si on identifie constamment une personne à un trait dominant, paradoxalement, on ne la voit plus telle qu’elle est, mais seulement à travers un symbole qui finit par devenir un trompe-l’œil. »
Les réseaux sociaux, en ce qu’ils définissent et figent les identités à travers les profils, comportent ainsi le risque de réduire les personnes aux troubles dont elles souffrent. Donc, paradoxalement, à les invisibiliser. Pour le psychanalyste Pierre Sidon, le besoin d’identification est, pourtant, précisément au cœur du phénomène : « La revendication d’une identité, via les réseaux sociaux mais pas seulement, aujourd’hui peut passer par l’appropriation d’un diagnostic. » Quant à la plus grande visibilité des troubles psychiques, le psychanalyste est sceptique : « personne ne se revendique paranoïaque, pervers narcissique, ou fou. Le côté « déficitaire » de la maladie, lui, reste masqué et n’est jamais revendiqué. »
Même réserve du côté d’Emmanuelle Laurent. Plus connue sous le nom de Mardi Noir, la psychologue, autrice récemment de Êtes-vous bien sûr d’être normal ? (Flammarion, juin 2021) a contribué à travers sa chaîne Youtube « Psychanalyse toi la Face  » à populariser les concepts lacaniens et dédramatiser le suivi psy – elle évoque régulièrement son analyse, qui dure depuis 15 ans. Pour elle, la plus grande visibilité des troubles psychiques est une illusion. « Cela invisibilise dans le même temps les personnes qui sont-elles-même réellement dans la marge. Je ne suis pas sûre que l’enfant autiste qui tourne en rond tout seul chez lui a une plus grande visibilité… »
Et de fait, en France, malgré une relative libération de la parole sur les réseaux sociaux et une production culturelle plus inclusive sur ses questions, le tabou autour de la santé mentale demeure. Selon une enquête réalisée en décembre 2020 par YouGov et Qare (une plateforme de téléconsultation), un Français sur dix aurait consulté un psy entre le premier confinement et l’enquête. 20 % d’entre eux n’en auraient parlé à personne. Plus éloquent, 87 % des personnes interrogées n’oseraient pas parler de leurs problèmes de santé mentale avec leur famille. « Dans beaucoup de milieux, ce n’est pas la norme de dire que l’on a rendez-vous chez le psy », abonde Mardi Noir.
Pourtant, pour Sandra, le constat est net : sa page Instagram contribue à aider les personnes en situation de détresse psychique : « Cela m’aide car je me sens utile, autant auprès des malades, que des familles, ou que des personnels de santé . » Idem pour Julie : « On se sent pas mal inutile lorsque l’on est en dépression. Et très clairement, ma page m’aide à me sentir utile . »
Du côté des psychanalystes en revanche, l’utilité thérapeutique de cette pratique est questionnée. Pour Mardi noir, « La santé mentale et l’offre de soins psychologiques vont très mal dans notre pays. Pour moi, ce qui permet d’aller mieux c’est d’aller voir des professionnels de santé. Parler de sa maladie mentale sur les réseaux sociaux peut soulager, mais ce n’est pas en communiquant sur les réseaux sociaux que les gens vont aller mieux. »
Psychanalyste, Pierre Sidon est également psychiatre et directeur du CSAPA UDSM, un centre d’addictologie à Champigny-sur-Marne. « En institut comme en libéral, je reçois de nombreuses personnes qui viennent avec une souffrance ou une addiction liée à la consultation de sites, des écrans en général, des réseaux sociaux en particulier. » Dans un rapport de 2017 qui a fait date, la Royal Society for Public Health classait Instagram comme le pire réseau social pour la santé mentale et le bien-être des jeunes . Sur les réseaux sociaux, la parole sur
Ces jeunettes souriantes veulent de l'anal
Une mer de bites juste pour elle
Une vieille MILF et une jeune bite

Report Page