Attendent avec impatience la queue

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Attendent avec impatience la queue
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attendre avec impatience translation | French-English dictionary


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1) look forward, 2) look forward to ( + inf.)



look forward (vt.) ; look forward to (+inf.) (vt.)



wait (vi.) ; expect (+prép. de) (vi.)




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    [+visiteur, événement]  to wait for  attendre qn    to wait for sb  il se fait attendre!    he's keeping us waiting!  attendre que qch se produise    to wait for sth to happen, to wait until sth happens  Attends qu'il ne pleuve plus.    Wait for it to stop raining., Wait until it's stopped raining.  attendre de recevoir qch    to be waiting to receive sth  J'attends d'avoir de ses nouvelles.    I'm waiting to hear from him.  attendre qn de pied ferme    to be ready and waiting for sb  Je l'attends de pied ferme.    I'm ready and waiting for him.  en attendant      →
  attendant  
    (avec l'idée de différer une action)
  attendre que    to wait until  attendre de faire    to wait until one does  attendre d'être    to wait until one is  J'attends d'avoir un appartement à moi.    I'm waiting until I've got a flat of my own.  
  attendre un enfant    to be expecting a baby  
    (être destiné ou réservé à)
  to be in store for, to await  On ne sait jamais ce qui nous attend.    We never know what's in store for us.  
  
(=escompter, espérer)  to expect  attendre qch de    to expect sth of  Je n'attends plus rien de la vie.    I expect nothing more from life.  
    (dans l'attente d'un visiteur, d'un événement)
  to wait  Attendons, cela ne sert à rien de s'énerver.    Let's wait, there's no point getting annoyed.  Attends, je vais t'expliquer.    Wait, I'll explain.  faire attendre qn    to keep sb waiting  
attendre (s')      vpr/vi  s'attendre à qch    to expect sth  Je ne m'y attendais pas.    I didn't expect that.  Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais.    That's not what I expected.  s'attendre à ce que    to expect that  Je m'attends à ce qu'il soit en retard.    I expect he'll be late.  
Translation French - English Collins Dictionary  
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aimer cette expérience et l' attendre avec impatience
have to love this experience and look forward to it
Vous avez de grandes surprises pour attendre avec impatience .
You have great surprises to look forward to .
Vous devez attendre avec impatience le retour du Roi, votre Majesté.
You must be looking forward to the King's return, Your Majesty.
Ça me fait attendre avec impatience le lendemain.
It makes me look forward to the next day.
Il a quelque chose à attendre avec impatience .
I mean, look, he has something to look forward to .
Il y a toujours quelque chose à attendre avec impatience .
There's always something to look forward to .

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Alors qu’une nouvelle année commence (encore une fois), nos critiques mettent en lumière la télévision, les films, la musique, l’art, le théâtre, la danse et la comédie qui promettent une distraction bienvenue.
Je serai triste pour toujours quand “Tu ferais mieux d’appeler Saul” est terminée, donc une partie de moi redoute en fait la sixième et dernière saison. Je ne veux jamais dire au revoir à Jimmy ou Kim – mais mec, je meurs d’envie de les revoir. Au moment où « Saul » reviendra sur AMC ce printemps, il aura été interrompu pendant deux années complètes. ( Bob Odenkirk , sa star, s’est remis d’une crise cardiaque survenue sur le plateau cette année.) S’il y a jamais eu un spectacle qui a su penser aux phases finales, c’est bien celui-ci, parmi les drames les plus soigneusement tissés de notre temps. Bien sûr, grâce à “Breaking Bad”, nous savons exactement où certains de ces personnages se dirigent, mais pas comment ils y arrivent, ce qu’ils en pensent ou qui ils blesseront en cours de route. Reviens vite! Mais aussi, allez-y doucement.
OK, alors oui, c’était bizarre que mes amies Sherri-Ann et Amber et moi soyons les seuls Noirs dans le cinéma quand on a vu le film “Downton Abbey” en 2019. A l’époque, on était d’accord que malgré l’absence de monde de couleur au théâtre et à l’écran, nous avons toujours trouvé du plaisir dans la grandeur – les vêtements, le château, la distribution des personnages, en particulier la comtesse douairière de Grantham, Violet Crawley, merveilleusement jouée par Dame Maggie Smith. Maintenant que nous avons fixé nos calendriers au 18 mars 2022, pour la suite, “ Downton Abbey : une nouvelle ère, « J’ai hâte de voir comment la franchise essaie de se réinventer à l’aube d’une nouvelle ère, les années 1930, et comment elle se comporte dans le moment racial actuel. (Un visage de femme noire apparaît dans une bande-annonce.) En partie dans le sud de la France après que la comtesse douairière a appris qu’elle y avait hérité d’une villa, le film envoie le clan Crawley à l’étage et leurs employés en bas dans une autre aventure, avec un autre mariage . Alors que Julian Fellowes, le créateur de « Downton », a une nouvelle émission, « The Gilded Age », présentée en première sur HBO en janvier – qui semble être un peu plus réfléchie dans son approche de la race, de la classe et de l’identité – voici en espérant que cela la suite de « Downton » tire sa révérence dans le grand style Grantham.
La pièce de 1985 de Jane Wagner “ La recherche de signes de vie intelligente dans l’univers ” a été fait sur mesure pour les cadeaux caméléons de sa partenaire de vie (et, plus tard, de sa femme), Lily Tomlin. Qui d’autre aurait pu habiter ses 12 personnages très distincts – parmi lesquels un punk en fuite, un 1% ennuyé et un trio de féministes désabusées – avec une sympathie aussi sardonique ? Lorsque Tomlin a remporté un Tony Award en 1986 pour son travail, cela a semblé sceller l’idée que l’interprète et la pièce ne faisaient qu’un pour toujours. Mais dans le genre de casting qui te fait claquer la tête de plaisir, Cecily Strong prend le manteau de Tomlin dans un renouveau réalisé par Leigh Silverman au hangar, qui devrait ouvrir le 11 janvier. Strong – dont les personnages de “Saturday Night Live” incluent Jeanine Pirro, la fille avec laquelle vous auriez souhaité ne pas avoir entamé une conversation avec Party et, plus récemment, Goober le clown qui a eu un avortement quand elle avait 23 ans – semble être un autre ajustement personnalisé, près de quatre décennies plus tard.
Sortant de sa propre histoire en tant que bastion de la musique classique occidentale, Carnegie Hall sera la plaque tournante d’un festival multidisciplinaire à l’échelle de la ville de Afrofuturisme : les manières visionnaires et technophiles dont la culture de la diaspora africaine a imaginé des voies alternatives. La série de Carnegie devrait commencer le 12 février avec Flying Lotus, musicien électronique rapide et parfois époustouflant. (Un défi pourrait être l’acoustique de la salle principale.) Les spectacles au Zankel Hall incluent le jazz galactique du Sun Ra Arkestra avec la violoncelliste et chanteuse Kelsey Lu et l’insurgée Moor Mother (17 février) ; la flûtiste Nicole Mitchell à la tête de son Black Earth Ensemble ; et la clarinettiste Angel Bat Dawid avec son Autophysiopsychic Millennium (24 février) ; le duo hip-hop d’origine africaine Chimurenga Renaissance et la compositrice malienne Fatoumata Diawara (4 mars) ; et le DJ, compositeur et pionnier de la techno Carl Craig à la tête de son Synthesizer Ensemble (19 mars). Il y a bien plus : cinq douzaines d’autres organisations culturelles organiseront des festivals.
“Don Carlos” de Verdi n’est peut-être pas un opéra sans faille. Mais c’est un travail profond ; Je le considère comme le « Hameau » de Verdi. Écrit pour l’Opéra de Paris, il faisait un clin d’œil au grand style français et comprenait des scènes épiques et des chœurs en masse. Mais lors de sa première en 1867, il a été jugé trop long et inefficace. Verdi a révisé l’opéra plusieurs fois, faisant des coupures, traduisant le livret français en italien, laissant un héritage confus de révisions. le Opéra métropolitain donne au public la chance d’entendre l’œuvre telle qu’elle a été conçue à l’origine dans sa version française en cinq actes, que beaucoup considèrent comme la meilleure. Yannick Nézet-Séguin, qui a dirigé de superbes performances Met de l’adaptation italienne, sera dans cette fosse pour cette nouvelle production de David McVicar. La distribution étoilée, dirigée par le ténor Matthew Polenzani dans le rôle titre, comprend Sonya Yoncheva, Elina Garanca, Etienne Dupuis, Eric Owens et John Relyea. Lorsque les représentations commenceront le 28 février, préparez-vous pour un spectacle de cinq heures avec deux entractes ; Je ne peux pas attendre.
Cet hiver apporte plus que le nombre habituel de grandes stars prenant du temps pour le petit écran, comme Uma Thurman (“Suspicion”), Christopher Walken (“Severance”) et Samuel L. Jackson (“Les derniers jours de Ptolemy Gray”) . Celui qui pique le plus mon intérêt est Renée Zellweger , n’assumant que son deuxième rôle principal à la télévision dans “ La chose à propos de Pam », diffusée le 8 mars sur NBC. Zellweger peut être aléatoire, mais ses succès – “The Whole Wide World”, “Chicago”, “Judy” – la maintiennent au tout premier rang des actrices américaines. Ici, elle incarne Pam Hupp, qui est impliquée dans plusieurs décès et purge actuellement une peine d’emprisonnement à perpétuité pour l’un d’entre eux, dans une mini-série sur le vrai crime dont la showrunner, Jenny Klein, était productrice d’offres télévisées solides comme “The Witcher”. et “Jessica Jones”.
Lorsque le Museum of Modern Art a ouvert sa maison agrandie en 2019, son Picasso le plus important s’est soudainement retrouvé avec un nouveau compagnon : une peinture panoramique tumultueuse de la violence américaine qui Bague Foi Or peint en 1967. Ringgold, née il y a 91 ans à Harlem, n’a jamais été une figure obscure : son art a été exposé à la Maison Blanche de Clinton ainsi que dans la plupart des musées de New York ; ses livres pour enfants ont remporté des prix et ont atteint les listes de best-sellers. Mais elle a dû attendre trop longtemps pour une rétrospective de sa carrière dans sa ville natale. Celui à la Nouveau Musée , qui s’ouvre le 17 février, révélera comment Ringgold a entrelacé le politique et le personnel : d’abord dans ses peintures « People américain » rigoureusement composées, qui ont canalisé le mouvement des droits civiques dans des formes quadrillées, répétitives et syncopées ; puis dans des « courtepointes d’histoire » en tissu reconstitué représentant Michael Jackson ou tante Jemima, et des abstractions géométriques inspirées des soies et des broderies tibétaines. Le spectacle s’accompagne d’une chance majeure de redécouvrir : la première sortie en plus de deux décennies de sa « French Collection », un cycle de 12 courtepointes qui reconstitue l’histoire de Paris dans les années 1920 à travers les yeux d’un artiste et mannequin afro-américain fictif. .
Robert Eggers n’a réalisé que deux longs métrages, et pourtant, il est déjà connu comme un réalisateur de films magnifiquement étranges et acclamés par la critique. “The Witch”, de 2016, a été suivi trois ans plus tard par le sinistre et déroutant “The Lighthouse”. Tous deux ont établi Eggers comme un descendant stylistique des frères Grimm, un artisan de fables macabres qui descendent dans des torrents de folie. C’est pourquoi j’ai hâte de voir son troisième long métrage, “ L’homme du Nord “, dont la première est prévue le 22 avril, à propos d’un prince viking qui cherche à se venger de son père assassiné. Imprégnée de la mythologie islandaise, l’histoire est basée sur l’histoire d’Amleth, l’inspiration du prince Hamlet, mon garçon triste préféré de la littérature anglaise. Eggers a écrit le scénario avec le poète islandais Sjón, nous pouvons donc certainement nous attendre à une épopée avec une écriture épique à la hauteur. Il y a aussi un casting stellaire, dont Alexander Skarsgård, Nicole Kidman, Ethan Hawke, Anya Taylor-Joy, Willem Dafoe – et Björk en tant que sorcière. Je surveillerais ça tout seul.
Il y a des moments, aussi rares soient-ils, où une danse virtuelle peut être tout aussi émouvante qu’une danse en direct. Ayodèle Casel est joyeux et galvanisant » Chasse à la magie, », présenté par le Joyce Theatre en avril, n’était que cela. Maintenant, le danseur de claquettes et chorégraphe dévoile une nouvelle version de l’œuvre, dirigée par Torya Beard, pour la scène – une réelle – à partir de mardi, sauf annulation de Covid. Et le mois suivant, “ Quatre quatuors », une œuvre ambitieuse d’une soirée du chorégraphe moderne Pam Tanowitz , atterrit à la Brooklyn Academy of Music (10-12 février). Basée sur les poèmes de TS Eliot, la production comprend une narration en direct de l’actrice Kathleen Chalfant, de la musique de la compositrice finlandaise Kaija Saariaho et un décor de Brice Marden ; Tanowitz y poursuit son exploration de la relation entre l’émotion et la forme. C’est vrai qu’on est robinet ; l’autre, la danse moderne. Qu’est-ce qu’ils ont en commun? Les deux ont beaucoup à dire et à montrer sur le pouvoir de transport et de transformation de la danse.
Diaristique et tranquillement intense, Saba , un rappeur de Chicago, est le genre d’artiste qui navigue dans le deuil avec un calme réconfortant. En 2018, son disque « Care for Me » abordait ce thème au lendemain du meurtre de son cousin et collaborateur, poignardé à mort un an plus tôt. Sortie le 4 février, son prochain album, “ Peu de bonnes choses , » confronte les défis de la vie tout aussi dévastateurs : l’anxiété de la pauvreté générationnelle et les profondeurs de la culpabilité des survivants. Il reprend les flux ondulants et poétiques de Saba, qui respirent un sens profond de la narration. Les beats sont toujours beurrés, jazzés et méticuleusement arrangés. Mais cette fois-ci, il y a plus de sagesse – une reconnaissance que vivre un traumatisme signifie trouver de la gratitude et de l’affirmation dans les moments où vous le pouvez.
« Quarter-Life Special », le premier stand-up spécial de Taylor Tomlinson , a présenté un jeune artiste avec un réel potentiel. Tomlinson a évoqué avec force un personnage clair (joyeux mais pas la vie de la fête ; plutôt, comme elle l’a dit, « le faible pouls du pot-de-vin ») et a raconté des blagues marquées par un arsenal diversifié d’actes et de manières de détourner l’attention. Elle a couvert le territoire standard (rencontres, sexe, parents, enfants) avec suffisamment de perspicacité et de nuances sombres pour attirer votre attention. Plus excitant encore, de temps en temps, elle laissait son processus de réflexion s’envoler dans des directions délirantes inattendues, comme l’histoire qui l’a amenée à imaginer un test de tristesse mené par la police. “Au lieu d’un alcootest”, a-t-elle expliqué, “ils vous font soupirer dans un harmonica.” Ce spécial Netflix a fait sensation, mais il aurait probablement été plus important s’il n’était pas sorti en mars 2020. Une pandémie plus tard, elle a une autre heure prête et un autre spécial Netflix en route. Elle le joue maintenant en tournée, qui devrait s’arrêter à New York en janvier au Town Hall puis au Beacon Theatre.
WASHINGTON – Le chien de garde interne du Département de la sécurité intérieure a m…


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