Attaquer la viande blanche

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comment on doit la faire cuire? le pédiatre m'a dit à la poele comme pour nous mais ça me parait bizzare!! par contre, elle ne veut toujours pas de mes purées maisons (peut être qu'avec la viande ça changera) mais au cas où, vous l'a mélangé avec un pot de légume? et pour ce qui est du jaune d'oeuf? ouh là là, si quelqu'un pouvait m'aider 🤪
Quand j'ai commencé la viande j'ai attaqué par des petits pots. Ensuite je mélangeait ma viande hachée (j'ai commencé par du jambon blanc) à un petit pot et aprés j'ai tout fait moi même. Je cuis sa viande dans une poèle, certaines la font à la vapeur😉
merci gerbillette de m'avoir répondu 😉 mais qd tu la cuis à la poele, tu mets de l'huile? pour le jambon, c'est une demi tranche? et après le jambon, on peut lui donner quoi comme viande? excusez moi pour toutes ces questions mais la pédiatre ne m'aide pas beaucoup?
bonjour moi aussi je commence la viande blanche j'ai pris l'option à la vapeur ma poune m'a regardée d'un drôle d'air! lol 👋 poupette est née lé 12 09 04 elle pèse 9 kg mesure 71 cm et adore kan son papa lui joue de la gratte et là maintenant ell fait des gazouillis tatata et zazazazaza lol[]euh je sais pas me servir de tous les boutons
coucou... Et bien moi aussi j'ai commencé par le jambon. Ensuite, je lui ai donné du poisson blanc et de la viande blanche (dinde poulet...). Pour le jaune d'oeuf, uniquement la moitié pour l'instant, écrasé. Quand ce que je lui mixe est trop sec, je rajoute un tout petit^peu de creme fraiche liquide. Par contre, je ne mélange pas vainde et légumes. Je lui donne séparemment et ça lui plait. Il apprecie enormement ces nouveaux gouts 😉
coucou... Et bien moi aussi j'ai commencé par le jambon. Ensuite, je lui ai donné du poisson blanc et de la viande blanche (dinde poulet...). Pour le jaune d'oeuf, uniquement la moitié pour l'instant, écrasé. Quand ce que je lui mixe est trop sec, je rajoute un tout petit^peu de creme fraiche liquide. Par contre, je ne mélange pas vainde et légumes. Je lui donne séparemment et ça lui plait. Il apprecie enormement ces nouveaux gouts 😉

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Cahiers antispécistes n°13 - décembre 1995


Les Cahiers antispécistes > Cahiers antispécistes n°13 > La consommation de viande en France : contradictions actuelles
Les Français mangent moins de viande rouge
L'époque actuelle voit croître la sensibilité générale de la population à l'égard des animaux. De nombreux comportements changent, plus ou moins lentement, mais sûrement. Notamment concernant la consommation de viande. Mais, comme on le verra, cela ne signifie hélas en rien une amélioration du sort de l'immense majorité des animaux [ 1 ] .
Dans notre civilisation, la viande a de tous temps été l'aliment par excellence, celui qui donne force et santé, ce dont aucun repas digne de ce nom ne saurait se passer (le mot viande, vivanda , désignait à l'origine toute nourriture, tout ce qui fait vivre). Et la viande, la vraie, la bien virile, c'était, symboliquement, la viande rouge. Et le reste...
Cependant, depuis une décennie environ, la consommation de viande rouge stagne ou régresse : « Le steack cède du terrain : depuis trois ans, la consommation de viande stagne, de boeuf surtout [ 2 ] ». À tel point que cela inquiète les industriels de la « filière boeuf », qui ont récemment lancé une gigantesque campagne publicitaire tous azimuts. Le CIV (Centre d'Information des Viandes) diffuse une petite plaquette destinée aux enfants, avec bande dessinée de Popeye, charade etc., intitulée « Plus de fer pour faire plus fort », ainsi que deux dépliants intitulés « Le boeuf européen de qualité : la viande, un patrimoine qui bâtit la vie [ 3 ] . » Ces publicités ont été cette année diffusées massivement dans les TGV, les cabinets de médecins... D'autres publicités du CIV ( « La viande, source naturelle de fer ») sont parues à plusieurs reprises dans TV Mag et Science & Vie , et sans doute dans bien d'autres revues et journaux. Toutes, quel que soit le public visé, mettent en avant un discours diététique.
La population classe traditionnellement les chairs d'animaux en quatre catégories : les viandes noires, rouges et blanches, et « le » poisson. Échappent à cette classication certaines chairs au statut particulier, comme celle des porcs, des escargots, des grenouilles et des « fruits de mer » ; je n'en parlerai pas ici.
Ces viandes sont hiérarchisées, et porteuses de symboliques différentes, tout comme les animaux qui en fournissent malgré eux la matière :
Les viandes noires sont celles de certains gibiers (tout particulièrement du sanglier), et sont réputées très « fortes », possédant un puissant goût de « sauvage » : ce sont des viandes a connotation extrêmement virile [ 4 ] .
Les viandes rouges sont essentiellement celles des grands mammifères terrestres domestiques (bœufs, chevaux...) ou sauvages (cerfs, daims...). Ces animaux symbolisent généralement la force ( « Quel punch, le bœuf ! »), la noblesse, la virilité, et, dans presque toutes les civilisations, ce sont les hommes qui les élèvent et les tuent.
Les viandes rouges(-sang) et noires (-sang) sont celles qui génèrent le plus fort sentiment de domination : d'une part par leur couleur, évocatrice de la violence qui a présidé à leur production, d'autre part parce que les animaux qui en font les frais sont justement ceux auxquels on (et surtout les hommes) va le plus facilement s'identifier : animaux sauvages, libres, ou gros animaux, imposants. S'il doit y avoir chez le consommateur dégoût du sentiment de domination, ou de l'évocation de la violence, il se focalisera ainsi d'abord sur les viandes noires et rouges - et surtout sur ces dernières, la consommation des viandes noires étant marginale.
Les viandes blanches (volailles, lapins, et éventuellement, de façon forcée, veaux...) est la chair de petits animaux, ou de petits d'animaux, les uns comme les autres généralement identifiés aux femmes. La métaphore fondamentale de « la femme » est en effet la volaille [ 5 ] . Chez les Grecs anciens, comme dans d'autres civilisations (dont la nôtre, de bien des manières), les femmes sont exclues de l'élevage pour la viande des animaux autres que volailles, lapins et éventuellement chèvres, et de la consommation de leur chair [ 6 ] . Ces viandes blanches symbolisent moins fortement la domination, non seulement parce que leur couleur n'évoque pas le sang, mais aussi parce que les animaux correspondants, plus petits, moins onéreux (donc plus communs) et moins dangereux lors de leur mise à mort, sont moins valorisés.
La chair des poissons, enfin, n'évoque qu'à peine la violence, et n'est guère support à un sentiment de domination/valorisation pour celui qui les mange, sauf, et dans une moindre mesure, pour les poissons carnassiers (prédateurs), comme les brochets, saumons (à chair rosée), truites, requins ou espadons. Ceci à tel point que souvent les personnes qui ont cessé de consommer les autres chairs continuent à manger les poissons, comme si ceux-ci ne subissaient pas l'oppression, la souffrance et la mort au même titre que les animaux terrestres à sang chaud.
Je me permets ici une digression concernant le statut à part des poissons, qui nous éclairera aussi un peu sur ce sentiment de domination : je crois que l'on fait un grand pas en compréhension en considérant que nous ne connaissons pas les poissons, ni leur vie ni leur milieu de vie, nous ne les voyons guère évoluer, ne les entendons pas crier, nous n'avons a priori aucun moyen de communiquer avec eux, et donc de leur donner une place de sujet ou d'interlocuteur (même si c'est seulement dans notre imaginaire) ; ils restent à priori objets dans les représentations et les sentiments que nous avons d'eux : ils sont tout autres que nous. Ils « n'ont avec nous aucune ressemblance, aucune société, ils nous sont totalement étrangers, nous n'en tirons aucun service, ni aucune utilité pendant leur vie, à peine sont-ils hors de l'eau qu'ils meurent d'eux-mêmes... si on leur ôte ce reste de vie ils ne rendent aucun cri... et le peu de sang qu'ils répandent n'est pas capable de nous faire pitié [ 7 ] . »
Le poisson est ainsi symboliquement l'objet non d'une mise à mort, mais d'une simple cueillette ( « Leur mort elle-même est passive et ne nécessite qu'une très faible intervention humaine, qui évacue tout acte sacrificiel [ 8 ] . »). Il apparaît dans l'imaginaire des humains trop étranger pour être le support, par le biais de la violence du meurtre, d'un réel sentiment de domination. Ce dernier implique de sentir une proximité, une relation et une communauté de destin, préalable nécessaire à la distinction qu'opère l'acte de domination : l'autre est infériorisé, dévalué, par l'acte de violence, et le tueur/mangeur en est supériorisé, différencié, distingué, valorisé. A contrario des poissons, c'est bien ce qui se passe avec les animaux terrestres, à sang chaud, capables de fuir, de manifester leur peur, de se débattre...
Du coup, les poissons ne constituent guère un aliment noble ; le Carême n'était autrefois pas vécu positivement, c'est le moins que l'on puisse dire ! C'était là un thème populaire, comme en témoigne une parodie médiévale des chansons de geste, « La Bataille de Caresme et de Charnage [ 9 ] ». Et cela, pas seulement parce que l'alimentation était alors plus problématique qu'aujourd'hui. Les jours normaux, les poissons, vendus saurs, fumés, ou salés sur les marchés, restaient nourriture de pauvres. Les jours de jeûne, les riches et dominants achetaient des poissons vivants (pour la fraîcheur, ou pour pouvoir les tuer ?) ; ou alors, essayaient de tourner les interdits religieux en mangeant des « bêtes aquatiques » : oiseaux d'eau (canards...), grenouilles, tortues, voire... castors [ 10 ] ! Dans l'ensemble, on mangeait peu de poisson hors les jours de Carême et de jeûne [ 11 ] .
Déjà, chez les Grecs, les poissons, bien que fort appréciés, n'étaient pas considérés comme de la viande. Cela semble rester la règle durant l'Antiquité, et « ce n'est véritablement qu'après l'établissement du christianisme que la pêche fit des progrès. Elle n'avait été qu'une profession vile, abandonnée aux mains d'esclaves : le besoin de satisfaire aux jours d'abstinence la convertit en une profession nécessaire [ 12 ] . »
Nécessaire, dit-on, mais peu prestigieuse pour autant : contrairement à la chasse, « on la considérait [sur la fin du Moyen-Age] plutôt comme une activité économique (pêche au filet dans les rivières et vidange périodique des étangs) ; le seigneur, qui en avait le monopole, se serait abaissé s'il l'avait exercée lui-même [ 13 ] . » Par contre, il se réservait bel et bien le droit de chasse, valorisant, lui, et symbole de sa domination sur les autres animaux, sur ses terres et sur les autres humains.
Ce rapide historique, et la brève analyse que j'en présente, rendent compte d'un fait qui, autrement, peut sembler incompréhensible : les personnes qui cessent ou refusent de manger de la viande rejettent souvent avant tout la viande rouge, puis, éventuellement, la viande blanche, et enfin (pas toujours) les poissons ; cela surtout quand le rejet part d'un dégoût (c'est-à-dire, de bases informulées et impensées, et dont, dans l'environnement social actuel, on préfère bien souvent qu'elles le restent [ 14 ] ).
Le sentiment de la violence (engendré notamment par la vision du sang) et les sentiments de domination sont très liés. Ce n'est cependant pas la même chose, et il n'est pas évident que lorsque nos contemporains cessent de manger de la viande rouge, ils réagissent réellement contre la domination imposée aux autres animaux. Par contre, je crois très vraisemblable qu'ils réagissent contre le spectacle de la violence, qu'ils trouvent insupportable en tant que tel : c'est alors le souci, non des intérêts des non-humains, mais de leur propre intégrité émotionnelle, qui les motive.
De nos jours, la cruauté, le plaisir que procure l'anéantissement et la souffrance d'autrui, le sentiment de satisfaction que nous procure notre supériorité physique, sont soumis à un contrôle social sévère et ancré dans l'organisation étatique. Toutes ces formes de plaisir qui viennent contrebalancer à notre époque des menaces de déplaisir, ne s'extériorisent plus que d'une manière détournée ou - ce qui à l'origine revient au même - affinée. (...) La vie dans la société médiévale suggérait une attitude opposée : la rapine, la lutte, la chasse aux hommes et aux animaux faisaient partie des nécessités de l'existence et étaient inscrites dans les structures même de la société. Et il est parfaitement normal de voir les forts et les puissants les compter aussi parmi les plaisirs de la vie [ 15 ] .
Une des caractéristiques du rapport social capitaliste est de tendre à substituer aux anciennes relations de dépendance entre personnes (maître/esclave, seigneur/serf, mari/femme, parents/enfant...) un rapport entre individus plus abstrait médié par l'argent : nous ne tenons plus directement l'autre sous notre coupe et notre arbitraire, le pouvoir que nous exerçons à son encontre n'est plus direct, mais vient des sous dont nous disposons, c'est-à-dire, en fin de compte, de notre position dans un système social général.
Du coup, la violence corporelle entre individus, liée pour une grande part aux rapports de dépendance personnelle, tend à disparaître, et se répand au contraire lentement, depuis le XVI e siècle, une sensibilité de plus en plus forte à la destruction du corps de l'autre : sensibilité de refus de la violence interindividuelle, physique, voire psychologique [ 16 ]
En fait, avec le développement du capitalisme et de l'idéologie/sentiment humaniste qui lui est associé, c'est le rapport au corps dans son ensemble, au sien propre comme à celui des autres, qui s'es
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