Asservie par ma bite

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Asservie par ma bite

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“Oisive jeunesse À tout asservie, Par délicatesse J'ai perdu ma vie.”



Rimbaud Arthur



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Magalie écoutait sa collègue ; Justine était un vrai moulin à paroles. Elle avait toujours une histoire extraordinaire à partager. C’était une célibataire chronique. Infoutue de supporter un mec, elle finissait toujours par les mettre à la porte. Elle lui parlait d’une de ses amies qui avait soumis son mari. Le « pauvre » homme portait, depuis cinq ans, une cage de chasteté. Justine pensait que la soumission de l’homme était la vraie solution pour qu’un couple puisse fonctionner. Magalie ne s’intéressait pas souvent aux histoires de sa collègue, mais là elle se sentait intriguée.
— Mais bon, elle doit bien lui enlever sa cage de temps en temps pour faire l’amour avec lui, non ? demandait Magalie.
— Non, ils ne font plus l’amour ensemble comme ça. Elle l’a mis au pas. C’est un esclave qui a juste le droit de la lécher quand elle le lui autorise. Il a la bite en cage en permanence. Il n’a qu’un devoir : la servir. Quand elle veut niquer, elle prend un amant et fait l’amour devant son mari à genoux.
— Franchement, je trouve ça excessif… Personnellement, je ne m’imagine pas me passer de la queue de Jérôme… Et je ne comprends vraiment pas ce genre de délire.
— Parce que tu ne m’as pas vraiment écoutée… Le truc, ce n’est pas forcément de faire comme Natalia et son mec. Il suffit juste de remettre l’homme à sa place… C’est la seule chose qui importe. Les hommes sont là pour nous servir et non l’inverse. Ils doivent obéir. Le mari de Natalia ne prend plus une seule initiative chez elle. Cela signifie, entre autres, qu’il ne peut jouir que si elle l’y autorise… Tu ne trouves pas ça génial ? Moi je trouve ça excitant. Et puis, c’est vrai qu’on doit prendre les choses en main. Pourquoi serait-ce toujours à nous les femmes de nous plier aux désirs de ces messieurs alors que nous les valons largement ? Je te jure que le prochain qui me tombe dans les pattes, je m’efforcerai de l’attacher à mon service.
— Et tu ne crois pas que de dominer et d’humilier l’homme avec qui tu vis, ça l’encourage à rester ?
— Pourquoi pas, répondit Justine, un véritable esclave n’est rien sans son maître. C’est sa raison de vivre. Personne ne s’étonne de voir une femme complètement asservie par son mari rester à ses côtés jusqu’à sa mort. C’est tellement naturel ! La société nous destine à leur faire à manger, nettoyer leur maison, repasser leurs slips ou leurs caleçons, passer derrière eux à longueur de journée et à faire semblant de jouir quand ils nous baisent trop vite et égoïstement. Eh bien moi, j’en ai marre ! Je ne savais pas pourquoi je finissais toujours par plaquer mes mecs, mais grâce à Natalia, je sais. Fini les machos à servir !
— Les hommes ne sont pas tous des machos quand même… regarde, mon Jérôme, il est souvent très attentionné et il participe un peu aux tâches ménagères.
— Ah bon ? Il fait le ménage ? Il lave les toilettes ?
— Euh… non, jamais, avoua Magalie.
— Il s’occupe du linge ? Repasse ses chemises ?
— Non… c’est vrai, mais bon, il sort les poubelles, vide souvent le lave-vaisselle et fait même la cuisine de temps en temps.
— Et la cuisine, elle est propre et rangée quand il a fini de préparer la bouffe ou c’est toi qui ranges derrière lui ?
— …
— Ton mec est aussi assisté que les autres. Il fait peut-être quelques efforts de temps à autre, mais ni plus ni moins que la plupart des mecs et c’est toi qui, après ta journée de boulot, te tapes encore tous les travaux domestiques. T’es à son service, Magalie !
— Bon, oui et alors, qu’est-ce que tu veux que je te dise… c’est comme ça. Et puis je l’aime…
— Et lui, tu crois qu’il t’aimerait assez pour te servir comme toi tu le sers ?
La question était restée en suspens dans l’esprit de Magalie. Justine avait ouvert une brèche ; le doute s’installait. Tout l’après-midi, elle l’avait tournée et retournée dans sa tête. Elle avait eu du mal à se concentrer sur son travail et à écouter convenablement ses clients. Magalie travaillait dans une agence d’un grand groupe bancaire. Elle était conseillère en gestion de patrimoine et gérait un portefeuille de clients fortunés auxquels elle vendait surtout des placements et accessoirement quelques cartes gold ou platinum. Cet après-midi-là, elle prit un peu de retard sur ses objectifs commerciaux.
Quand elle rentra chez elle, le soir, Jérôme était déjà là. Il faut dire qu’il finissait toujours plus tôt qu’elle. Il travaillait au service comptabilité d’un gros groupe industriel et ses journées étaient réglées comme du papier à musique. Il commençait toujours à la même heure et finissait de même, du lundi au vendredi soir. Magalie travaillait du mardi au samedi midi, mais ses horaires le soir pouvaient varier avec l’importance de ses rendez-vous. Comme à son habitude, Jérôme était assis dans un fauteuil du salon, un verre de whisky posé sur la table et il regardait les informations régionales. Sa veste et sa cravate étaient, bien sûr, négligemment posées sur le dossier d’un fauteuil. Magalie alla l’embrasser avant d’aller se changer. Dans un geste inconscient, elle s’apprêtait à ramasser les affaires de Jérôme qui traînaient, mais elle se ravisa au dernier moment. Elle venait de réaliser que depuis qu’ils étaient mariés, elle l’avait toujours fait. La question de Justine se reformulait à nouveau dans sa tête. Quand elle se rendit aux toilettes, elle réalisa que ce cochon n’avait, encore une fois, pas relevé la lunette ; elle était parsemée de gouttes douteuses. Elle se dit que Justine avait finalement raison et qu’il était peut-être temps, pour elle, de remettre au pas son mari. Ne voulant pas fermer les yeux une fois de plus, elle se résolut à pisser sous la douche. En sortant, elle enfila un peignoir sexy et retourna au salon. Quand il la vit revenir ainsi vêtue, il esquissa un sourire et s’approcha d’elle, mais elle l’arrêta.
— Stop ! On ne touche pas. Chéri, quand tu vas pisser, la moindre des choses, c’est de relever la lunette et de viser dans le trou. Les chiottes sont dégoûtantes ! Je n’ai pas osé m’asseoir. Donc, avant de poser tes sales pattes sur moi, tu vas me faire le plaisir de nettoyer les WC entièrement.
— Mais…
— Il n’y a pas de mais. J’en ai assez de nettoyer ta pisse et le reste. Alors tu trouveras une éponge dédiée à ça derrière les WC et les produits sont rangés sous l’évier. Tu en profiteras pour ramasser tes affaires qui traînent sur le fauteuil.
— Je… excuse-moi chérie, je vais le faire tout de suite.
— J’y compte bien. Et tu en profiteras pour te prendre une douche après ; ça ne te ferait pas de mal.
Pour la première fois de sa vie, Jérôme nettoyait des toilettes. Il trouvait ça honteux, dégoûtant et humiliant, mais il voyait bien qu’il n’avait pas trop le choix. Magalie avait eu l’air assez fâchée et ça ne lui ressemblait pas. Le dessous de la lunette lui parut immonde, plein de traces de vieilles pisses accumulées au niveau des tampons et de la charnière. Il réalisait cependant qu’il s’agissait de ses propres mictions et sa honte grandit encore. Il s’appliqua dans sa tâche et celle-ci finie, il prit une douche comme elle lui avait demandé. En sortant, il s’habilla d’un tee-shirt et d’un bas de jogging puis il retourna près de son épouse, fier de lui.
— Voilà ma chérie, c’est fait ; les chiottes brillent comme jamais et je suis propre comme un sou neuf !
— Fais voir, mmm, c’est vrai que tu sens bon. (Elle l’embrassa tendrement.) Allons voir les toilettes maintenant…
— Alors ?
— Ce n’est pas trop mal… tu aurais pu passer un petit coup sur l’extérieur et au sol, mais bon, pour une première fois, je ne vais pas me montrer trop exigeante.
— En tout cas, c’est vrai qu’ils étaient assez crados… je ne sais pas depuis combien de temps ils n’avaient pas été nettoyés, mais…
(Il se tut instantanément. Magalie le fusillait du regard.)
— À peine trois jours, mon chéri. Je les nettoie deux à trois fois par semaine depuis plus de cinq ans, sans me plaindre ni faire aucune remarque. Régulièrement, j’essuie avec du papier des gouttes de pisse qui ont, par mégarde, atterri sur la lunette à peine nettoyée…
— Je… je ne savais pas, excuse-moi.
— C’est la deuxième fois que tu t’excuses ce soir à ce propos, chéri, mais je constate que tu peux nettoyer les chiottes alors, à partir de maintenant, ce sera à ta charge. Je l’ai fait pendant plus de cinq ans, maintenant c’est ton tour !
— Mais…
— Tu trouves ça injuste ?
— Euh non…
— Alors c’est entendu comme ça et j’espère que je n’aurai pas à te rappeler de le faire. Allons préparer le repas, j’ai faim. Tu vas m’aider et enlèves ce jogging et ce tee-shirt, c’est vraiment trop moche !
— Je n’ai rien en dessous.
— Tu seras toujours plus sexy à poil que là-dedans, mon amour.
Magalie refit un baiser passionné à Jérôme qui du coup se déshabilla. Elle caressa son membre à moitié érigé.
— Mais je pourrais aussi te prêter une de mes nuisettes, tu serais encore plus sexy.
— …
— Mmm, on dirait que ça t’excite, mon cochon.
— Ne… non chérie, c’est toi qui m’excites… je ne vais pas mettre un déshabillé quand même…
— Pourquoi pas ? J’adorerais que tu le fasses, rien que pour moi.
Elle lui roula un nouveau patin en en lui massant la bite. Jérôme, sentant que la soirée risquait d’être chaude, choisit de céder à la demande de sa femme. Elle sortit pour lui une nuisette assez ample avec un col de plumes roses, ouverte sur le devant. Jérôme bandait comme un âne. Il banda ainsi durant toute la préparation du repas et pendant tout le dîner. Magalie était ravie. Elle avait vu qu’elle pouvait avoir une petite emprise sur lui et venait de marquer quelques points. Elle décida de ne pas trop en faire d’un coup et ne continua pas à le soumettre plus ce soir-là. Elle était plutôt pressée de se retrouver au lit avec son chéri et de sentir sa bite gonflée se décharger dans son ventre. L’excitation et l’attente l’avaient rendu fougueux et il la fit jouir intensément.
Le lendemain midi, Magalie et Justine se retrouvèrent à nouveau dans leur saladerie préférée pour déjeuner. Magalie expliqua à son amie comment ses propos de la veille l’avaient fait réfléchir et ce qu’il s’était passé ensuite avec son mari chez elle.
— Mais pourquoi tu ne lui as pas fait préparer le repas, débarrasser la table et ranger la vaisselle sale ? Tu étais bien partie…
— Parce que justement, je ne voulais pas détruire en un instant ce que j’avais obtenu. Nous l’avons fait ensemble et c’est déjà un progrès considérable. Surtout que me voilà débarrassée à vie de la corvée de chiottes. Je veux y aller en douceur. Par contre, j’aimerais bien rencontrer ta copine Natalia, je suis certaine qu’elle pourrait me donner des conseils utiles.
— Ça, c’est sans problème, on peut aller la voir lundi prochain. Elle travaille pour la concurrence, mais du coup, comme nous elle est entièrement libre le lundi. Je l’appelle tout de suite, nous serons fixées.
Justine expliqua à son amie, l’histoire de Magalie et où elle en était avec son mari. Natalia fut ravie à l’idée de la rencontrer et les invita à déjeuner chez elle le lundi suivant. Les deux collègues terminèrent leur repas en discutant d’autres sujets et notamment de la future proie de Justine. Il s’agissait d’un jeune homme qu’elle avait rencontré au cours d’une soirée et qui ne la lâchait plus.
— Je crois qu’il est raide dingue alors je vais voir ce que ça donne avec lui et si j’en tombe amoureuse, j’en ferai mon esclave.
— Tu ne trouves pas ça un peu bizarre de se dire : « Si j’en tombe amoureuse, j’en fais mon esclave » ?
— D’après Natalia, c’est une condition indispensable que les deux soient très amoureux l’un de l’autre. Et regarde-toi, tu aimes Jérôme, mais ça ne t’empêche pas, aujourd’hui de vouloir le dominer et le dresser, non ?
— C’est vrai. C’est encore tout frais, mais je peux te garantir que l’idée de le soumettre complètement m’excite terriblement…
Magalie passa un après-midi excellent. Tout ça l’avait motivée et elle en tira bénéfice dans son travail. Elle avait une âme de battante. Elle récupéra avec deux ou trois gros clients ses objectifs de placements. Tout allait bien, elle assura ses primes. Quand elle rentra chez elle, Jérôme était comme tous les soirs devant les informations régionales. Elle ne changea pas son habitude d’aller l’embrasser.
— Ça va ? La vie est belle, mon chéri.
— Comment ça ?
— Eh bien, tu rentres du taf quasi une heure avant moi et quand j’arrive, il y a toujours ta veste et ta cravate qui traînent n’importe où et toi qui es là, assis pépère, à siroter ton sky en matant des conneries à la télé. Tu n’as franchement rien de mieux à faire ?
— Mais ? C’est les infos régionales…
— C’est bien ce que je dis. Alors tu vas être un amour, tu vas éteindre cette télé de merde et tu vas me ranger tout ça. Moi je vais prendre ma douche et t’en feras autant après. J’aime bien quand tu sens bon.
— Je pourrai te rejoindre ?
— Si t’es sage et que tu te dépêches, ce n’est pas exclu… Oh, je suppose que tu es allé aux toilettes en arrivant ; j’espère que tu n’en as pas mis partout.
— Oups… attends, ne bouge pas je vais voir…
— Tu sais mon chéri, quand on ne sait pas viser, on s’assoit… comme les filles. Je ne vais pas attendre que tu nettoies, je ferai comme hier ; je pisserai sous la douche.
Magalie en était encore à régler la température de l’eau quand Jérôme entra nu et le sexe déjà bien tendu dans la salle de bain. Ses petites expériences de domination sur Jérôme l’excitaient. Elle était en train de réfléchir à différentes choses qu’elle pourrait exiger de lui et ça la faisait mouiller. Elle se tenait à l’extérieur, évaluant la température de la main quand Jérôme la saisit par-derrière dans ses bras. Il glissa en même temps son sexe tendu entre ses cuisses et chercha à la pénétrer. Le gland s’était déjà introduit dans les replis de son intimité quand Magalie poussa un cri de surprise, se retourna et lui mit une gifle magistrale. Il recula aussitôt en se tenant la joue qui portait, en rouge sur fond blanc, la marque de la main de sa compagne.
— Non, mais ! Tu te sens bien ! cria-t-elle. Faut que t’ailles te faire soigner, mon pote ! D’où tu me prends comme ça ?
— Je… Pardon, ma chérie, je… je ne sais pas ce qui m’a pris ; j’ai super envie de toi et je pensais que toi aussi tu avais envie…
— Dégage !
— P… pardon ?
— J’ai dit dégage. Laisse-moi prendre ma douche en paix sans risquer de me faire violer par mon mari maniaque. Sors de cette salle de bain ! Tu attends dehors et tu réfléchis à ce que tu viens de faire.
— T… tout de suite, chérie, répondit Jérôme penaud.
Magalie laissa couler l’eau sur elle longtemps ; elle était furax. Elle aimait revivre une soirée comme celle de la veille. Elle avait prévu d’y aller en douceur, mais là, ça sautait aux yeux. Il fallait passer à la vitesse supérieure. Elle devait écraser ce parasite. Elle se calma peu à peu. Il était indispensable qu’elle ait les idées claires.
Jérôme se doutait bien qu’il serait mal venu qu’il rallume la télé en l’attendant. Il ne voulait pas non plus rester planté dans le couloir à rien faire. Il sentait que ça risquait également de ne pas lui plaire. Alors il prit la direction de la cuisine pour regarder ce qu’il pouvait commencer à préparer. Magalie sortit de la salle d’eau et se dirigea dans sa chambre. Elle décida de ne rien changer à son projet de départ et de s’habiller très sexy. Elle mit un string ouvert avec un caraco transparent assorti. Elle déposa ensuite, sur le lit, un string en dentelle fleurie rose et le déshabillé qu’elle avait fait porter à Jérôme la veille. Elle allait commencer à s’amuser un peu. En passant devant la salle de bain, elle ouvrit la porte.
— Jérôme ! appela-t-elle.
— Oui, ma chérie ?
— Tu te dépêches de prendre ta douche ; tu n’y passes pas trois heures ! Tu mets ce que je t’ai préparé sur le lit et tu me rejoins dans le salon. Je crois qu’il faut qu’on cause sérieusement. Je t’attends !
— Je fais vite, je…
Il n’avait pas fini qu’elle avait déjà claqué la porte. Jérôme ne se sentait pas franchement à l’aise. De toute évidence, elle lui en voulait à mort. Il se demandait comment il allait pouvoir se racheter. Il n’était pas évident que de demander pardon soit suffisant, mais bon, il commencerait par là de toute façon. Arrivé dans la chambre, il resta un peu perplexe devant le string qu’elle avait déposé sur le lit. Il l’enfila. Le devant contenait mal son paquet et la ficelle lui rentrait dans le cul. Il était vraiment serré. Ses poils dépassaient de tous les côtés et en se regardant dans le miroir, il se trouva plus ridicule que sexy. Il arriva en tenue dans le salon où Magalie l’attendait en buvant un verre de whisky et en feuilletant un magazine. Elle étouffa un rire en le voyant, mais se reprit aussitôt.
— Enfin ! T’en as mis du temps ! s’exclama-t-elle. Alors ? T’as réfléchi un peu à ce que tu as fait ? Tu sais comment ça s’appelle ?
— Magalie, je te demande pardon, je sais, c’était une bêtise…
— Non, ça ne s’appelle pas une bêtise ! Quand un mec attrape une femme par-derrière pour lui enfoncer sa bite dans la chatte ou dans le cul, ça s’appelle un viol ! Qu’on soit marié ou non n’y change rien !
— Non… pardon, je voulais pas te violer, c’est pas ça, je…
— Non, bien sûr, c’est pas ça ; tu voulais juste me niquer comme un sauvage, par-derrière, sans me demander mon avis, mais à part ça tu voulais pas me violer… tu te fous de ma gueule en plus ? Tu sais ce que j’ai envie de faire là ?
— Ne… non ?
— J’ai juste envie de prendre toutes tes affaires et de les balancer par la fenêtre directement dans la rue et de te flanquer à la porte dans cette petite tenue… D’ailleurs, c’est ce que je vais faire dès maintenant !
Magalie se lève et part en direction de la chambre. Jérôme essaye de la retenir.
— Non ! Magalie, arrête ; ne fais pas ça… supplia-t-il.
— Toi ! Tu ne me touches pas ! Je fais ce que je veux ! Et il se trouve que là, je n’
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