Art d'Autriche
Art d'Autriche au début du XIXe siècle développé dans un environnement de routine et de stagnation dans tous les domaines de la vie économique et culturelle du pays. Metternich, d'abord en tant que ministre des Affaires étrangères, puis (depuis 1821) en tant que chancelier, établit un régime politique réactionnaire qui entrave le développement économique et culturel du pays; sa politique a supprimé toutes les entreprises épris de liberté. Dans de telles circonstances, il était difficile d'attendre l'épanouissement dans le domaine de l'art.
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Architecture autrichienne au cours de la première moitié du XIXe siècle n'a rien créé de significatif. La situation a changé depuis les années 1950, lorsque d'importantes constructions ont été entreprises à Vienne en raison du réaménagement de la ville, en raison de la croissance démographique rapide. Dans la capitale, les Danois Teofil Edward Hansen (1813-1891) en construisent beaucoup, qui ont étudié en profondeur les monuments de la Grèce antique sur le site lors de la construction de l'observatoire d'Athènes. Les bâtiments de classification un peu froide de Hansen (Parlement, 1873–1883) sont répandus, de grande envergure, mais leurs façades ne reflètent pas la structure interne du bâtiment. Le Parlement est entré dans l'ensemble de bâtiments pompeux de la Ringstrasse, dans lesquels les architectes ont utilisé éclectiquement différents styles. Sikkard von Sikkardsburg (1813-1868) et Eduard van der Null (1812-1868), lors de la construction de l'Opéra de Vienne (1861-1869), ont été guidés par la Renaissance française. L'hôtel de ville (1872–1883) a été construit par Friedrich Schmidt (1825–1891) dans l'esprit du gothique hollandais. Semper a beaucoup construit à Vienne (voir la section sur l'art allemand) et, comme toujours, les principes de l'architecture de la Renaissance ont été la base de ses bâtiments. La sculpture - en particulier monumentale - complète la représentativité des bâtiments publics, mais n'a pas beaucoup de signification artistique.
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Le classicisme, qui s'est manifesté dans une certaine mesure dans l'architecture, n'a presque pas trouvé son expression dans la peinture (bien que les vues héroïques de l'Italie aient été écrites à Rome par le tyrolien Joseph Anton Koch, 1768-1839). Au début du 19e siècle la peinture touche le romantisme. C'est à Vienne en 1809 que l'Union des sv a été fondée par les artistes allemands Overbeck et Pforrom. Des arcs. Après que ces artistes se soient installés à Rome, Joseph von Fürich (1800–1876), originaire de la République tchèque, étudiant à l'Académie de Prague, qui a travaillé à Prague et à Vienne, les a rejoints; il, comme tous les Nazaréens, a écrit des compositions sur des sujets religieux.
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Parmi les spécificités de l'art autrichien du XIXe siècle. son lien presque continu avec l'art allemand est à noter. Des artistes exceptionnels d'un pays, souvent même au tout début de leur carrière, ont déménagé dans un autre, étant inclus dans le courant dominant de son art. Originaire de Vienne, Moritz von Schwind, par exemple, est devenu principalement un artiste allemand.
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Aux traits de l'art autrichien du XIXe siècle il faut également mentionner le fait que la vie artistique de l'Autriche à cette époque était concentrée dans une seule ville - Vienne, qui, soit dit en passant, était également le centre de la culture musicale d'importance mondiale. La cour des Habsbourg, qui a joué un rôle important dans le bastion de la réaction internationale de l'époque - dans la Sainte-Alliance, a cherché à donner à sa capitale une splendeur exceptionnelle, en utilisant à la fois des artistes étrangers et ses artistes.
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Vienne était l'une des plus anciennes académies d'Europe (fondée en 1692). C'est vrai, au début du 19e siècle. c'était une institution stagnante, mais au milieu du siècle, sa signification pédagogique avait augmenté. Elle a commencé à attirer des artistes de diverses nationalités (Tchèques, Slovaques, Hongrois, Croates) qui faisaient partie de l'Empire des Habsbourg et, en voie de développement bourgeois, a commencé à s'efforcer de créer leurs propres cadres culturels.
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Au 19e siècle progressivement, dans le cadre de la «double monarchie», les écoles nationales d'art de ces nations se forment et grandissent, affichant plus de pouvoir créatif que l'art autrichien lui-même, comme le montrent les œuvres des peuples hongrois et tchèque.
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C'est parmi ces nations qu'il progressera au XIXe siècle. un certain nombre d'artistes importants.