Arabe ou latine

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Arabe ou latine

La langue arabe et sa transmission
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La langue arabe recèle plusieurs mots d’origine latine. Les anciens savants musulmans ont été amenés à examiner ce fait à cause des emprunts lexicaux présents dans le texte coranique. Incapables de dater avec précision l’intégration de ces termes à l’arabe, d’en préciser le sens ou d’en établir une morphologie claire, ces spécialistes du langage semblaient tolérer la présence de ces emprunts tout en la minimisant, afin de maintenir la pureté de la langue du Coran.

Ce phénomène s’explique en fait par les échanges commerciaux et politiques entre l’Arabie et l’empire romain d’Orient. Ils ont donné naissance à des mots comme dinar , qui viendrait du bas grec dênarion , correspondant au latin denarius . On peut aussi citer qintar , venant de centenarium , « poids de cent livres » ou burj issu de burgus , « château fortifié ».

Au IXe siècle, cet échange a prospéré, grâce à la traduction d’ouvrages grecs où plusieurs concepts possédant aussi une origine latine ont été arabisés. Ces mots relevaient davantage des champs culturels savants comme qanoun du latin canon , issu du grec kanôn , qui signifie « baguette droite, règle ». Le savant Avicenne, au Xe siècle, utilise ce terme pour nommer son principal ouvrage sur la médecine.

Le phénomène s’est encore renforcé avec la Nahda , la « Renaissance arabe », un mouvement de modernisation qui naît au XIXe siècle. Des termes venant de la sphère politique ont alors été intégrés à l’arabe, cette fois-ci via les langues européennes. Ainsi, parlement donne barlaman .

Dans la plupart des cas, l’arabe modifie la composition des consonnes des mots d’origine latine, pour les adapter à son système grammatical et à ses sonorités.

Nejmeddine Khalfallah


Pour aller plus loin :

Étymologie arabe, Dictionnaire des mots de l'arabe moderne d'origine non sémitique , Jean-Claude Rolland, Paris : L’Asiathèque, 2015
Dictionnaire étymologique, l’origine étonnante des noms du monde arabe , Jana Tamer, Paris : L’Asiathèque, 2015
Arabic Etymological Dictionary , Andras Rajki, 2005, Voir le site
Les mots arabes d’origine latine , Papou JC, Le forum des Babeliens , Voir le site



Glossaire

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Le nom des Arabes (Sarrasins, ...)
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Califes, vizirs, sultans
Imam (sunnisme)
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L’ alphabet arabe latinisé est un système d'écriture employant les 26 lettres de l' alphabet latin pour écrire l' arabe dialectal de manière translittérée.

De nombreux locuteurs de l' arabe , en général résidants dans les pays d' Europe ; mais de filiation arabe ou berbère maitrisent le langage mais ne savent pas l'écrire dans sa forme originelle, ils ont donc recours à l'écriture translittérée en utilisant l’ alphabet latin [ 1 ] .




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3.4.4 Alif maddah (voyelle longue, a)

3.7 Voyelles longues et lettres de prolongement

4.5 Exemple d'application racine / schème

9.2 Autre modèle de translittération utilisé
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Pays où il est le seul alphabet officiel Pays où il est un des alphabets officiels
Article détaillé : Écriture de la hamza .
Article détaillé : Numération arabe .
Article détaillé : Ligatures arabes .
Article détaillé : Écriture de la hamza .
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

↑ Certaines écritures, dont le xiao'erjing , ont introduit des voyelles.

↑ Revenir plus haut en : a b et c Histoire de l'écriture, James Février, Payot 1984, p. 269.

↑ Redoublement d'une consonne.

↑ R. Blachère, M. Gaudefroy-Demombynes, Grammaire de l'arabe classique, Maisonneuve et Larose, 1937.

↑ Bresnier, Principes élémentaires de la langue arabe , 1867.

↑ Revenir plus haut en : a et b Monteil 1960 , p. 41.

↑ Revenir plus haut en : a b et c Blachère et G-Demonbynes 1996 , p. 13.

↑ Revenir plus haut en : a b et c Kouloughli 1994 , p. 60.

↑ Kouloughli 1994 , p. 67.

↑ Charles Schier, Grammaire arabe , Leipsic (sic) , Librairie Arnold, 1872, § 9c, p. 7 [ lire en ligne [ archive ] (page consultée le 23 octobre 2020)]

↑ Louis-Jacques Bresnier , Cours pratique et théorique de langue arabe , Alger, Librairie Bastide, 1855, p. 225. [ lire en ligne [ archive ] (page consultée le 23 octobre 2020)]

↑ Blachère 1985 , p. 11.

↑ Régis Blachère et Maurice Gaudefroy-Demombynes, Grammaire de l'arabe classique, cinquième édition, , Paris, Maisonneuve et Larose, 1998, 3 e éd. 1975, 508 p. ( ISBN 978-2-7068-1128-9 ) , p. 28.


Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Alphabet arabe .
Blocs de caractères Unicode pour l’écriture arabe [ modifier ]

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ٴ


ـَـ (fatḥa)
ـِـ (kasra)
ـُـ (ḍamma)
ــً (fatḥatan)
ــٌ (ḍammatan)
ــٍ (kasratan)
ـْـ (sukūn)
ـّـ (šadda)
ـٓـ (madda)
ــٰ (alif suscrit)
ـٖـ (alif souscrit)
ـٗـ (ḍamma culbuté)
ـٔــٕـ (hamza suscrite ou souscrite)
ـ٘ـ (nūn ghunna)
ـــࣿ (nūn ghunna couché)
ـٙـ (zwarakay)
ـٚـ (petit v suscrit)
ـٛـ (petit v culbuté suscrit)
ـٝـ (ḍamma réfléchi)
ـٞـ (fatḥa à deux points)
ـٟـ (hamza ondée)
ـࣤـ (fatḥa recourbé)
ـࣦـ (kasra recourbé)
ـࣥـ (ḍamma recourbé)
ـࣧـ (fatḥatan recourbé)
ـࣩـ (kasratan recourbé)
ـࣨـ (ḍammatan recourbé)
ـࣣـ (ḍamma culbuté souscrit)
ـࣰـ (fatḥatan ouvert)
ـࣲـ (kasratan ouvert)
ـࣱـ (ḍammatan ouvert)
ـ۫ـ (point contour arabe suscrit)
ـ۪ـ (point contour arabe souscrit)
ـ۬ـ (point plein arabe suscrit)
ـٜـ (point plein arabe souscrit)






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Pour un article plus général, voir Écriture de l'arabe .

 Phénicien
  Araméen
   Hébreu
    Guèze
     Syriaque
      Arabe

L' alphabet arabe est un abjad , c'est-à-dire un système d'écriture ne notant que les consonnes (à peu de choses près) [ 1 ] . Il comporte initialement vingt-huit lettres et s'écrit horizontalement de droite à gauche. Les diverses langues qu'il sert à noter ont donné lieu à de nombreuses adaptations de l'alphabet arabe à leur système phonologique .

L'écriture arabe courante ne note pas les voyelles, qui peuvent cependant apparaître sous forme de diacritiques dans certains textes à caractère didactique ( Coran , apprentissage de la lecture, dictionnaires). De ce fait, un mot écrit en arabe peut généralement admettre plusieurs lectures suivant la répartition (ou l'absence) de voyelles et de redoublement de consonne, et s'apparente souvent à une sténographie : il faut pouvoir lire correctement un texte pour le comprendre, et il faut comprendre un texte pour le lire correctement ; seule une bonne connaissance de la langue permet de déterminer le bon mot en fonction du contexte. Cette caractéristique de l'écriture arabe découle de la structure consonantique des langues sémitiques , où les consonnes sont généralement porteuses de la sémantique, les voyelles ne dépendant que de la nature lexicale du mot et de sa fonction grammaticale. De ce fait, l'écriture arabe note plus particulièrement la sémantique d'ensemble, à la manière d'un idéogramme , laissant en grande partie au lecteur le soin de traduire la lecture en langage courant.

Avec l'expansion de l' islam , différentes langues ont adopté le système d'écriture de l' arabe , langue du Coran , et l'usage de l'alphabet arabe s'est progressivement répandu. C'est ainsi que cet alphabet sert également à écrire certaines langues indo-européennes comme le persan , le kashmiri , le sindhi , l' ourdou , le kurde . Il est aussi utilisé en Chine , dans les provinces du Xinjiang , du Gansu et du Níngxià ainsi que chez certaines minorités qui ont embrassé l'islam (on parle dans ce dernier cas de xiao'erjing ). L’arabe a enfin servi à noter certaines langues d'Afrique ( swahili , haoussa , wolof , somali ), ainsi que le turc jusqu'en 1928 .

Cet article ne traite pas de la prononciation de l'arabe , ni de sa transcription .

On fait remonter cet alphabet à l' araméen dans sa variante nabatéenne ou syriaque , lui-même descendant du phénicien (alphabet qui, entre autres, donne naissance à l' alphabet hébreu , à l' alphabet grec et, partant, au cyrillique , aux lettres latines , etc.). L'écriture arabe primitive est une cursive nabatéenne.

Sur le plan linguistique, l'arabe se rapproche plus des langues notées par l' alphabet sudarabique , dont notamment la liste de consonnes est beaucoup plus complète [ 2 ] . Bien que l'arabe appartient à l'aire linguistique sud-arabique, les tribus nomades d'Arabie centrale ont adopté pour sa notation l'alphabet utilisé au nord de cette région, dans le croissant fertile , qui était culturellement et économiquement dominant à l'époque. De manière significative, la première écriture arabe attestée a été le kufi , écriture du centre culturel de Koufa située sur les rives de l' Euphrate .

Ce tableau permet de voir les évolutions du tracé des lettres depuis le prototype phénicien de l’araméen : les graphèmes du système arabe y sont présentés, à simple titre de comparaison, entre les lettres du nabatéen et celles du syriaque. L’ordre alphabétique a évidemment évolué.

Les voyelles ayant plus d’incidence sur la syntaxe de l’arabe que sur celle du nabatéen [ 2 ] , on a très vite senti la nécessité de les indiquer. À cette fin, l'arabe utilisa les trois lettres alif , ya et waw pour indiquer respectivement les voyelles longues â , î et û . Par la suite, le alif perdit complètement son rôle de consonne, et la hamza fut introduite comme signe diacritique pour indiquer l'emplacement de cette articulation. De ce fait, l'alphabet arabe n'est qu'imparfaitement un alphabet consonantique :

La première attestation d'un texte en alphabet arabe remonte à 512 [ réf. souhaitée] .

Le modèle araméen ayant moins de phonèmes que l'arabe, l'écriture des origines avait dû confondre par une même lettre plusieurs phonèmes de la langue arabe. Ce problème est toujours manifeste de nos jours, dans l'écriture kufi que l'on retrouve dans des inscriptions monumentales et certaines œuvres calligraphiques.

C'est au VII e siècle qu'on a ajouté des points sur ou sous certaines lettres afin de les différencier. Lors de ces modifications, l'ordre des lettres a été modifié : l'alphabet arabe ne suit plus l' ordre levantin des autres alphabets sémitiques mais regroupe les lettres en fonction de leur forme graphique. Pour les deux lettres q et f , l'usage a été long à s'établir. Au début, durant les deux premiers siècles de l' hégire , le q portait un point au-dessus, et le f n'en avait point. Puis le f reçut un point au-dessous, comme ce fut longtemps le cas dans l' alphabet maghrébin . En fin de comptes, le point du f passa au-dessus, et le q en reçut deux, conformément à l'usage courant [ 2 ] .

L'alphabet arabe comprend vingt-neuf lettres fondamentales (vingt-huit si l'on exclut la hamza , qui se comporte soit comme une lettre à part entière soit comme un diacritique ). Il se lit et s'écrit de droite à gauche, comme beaucoup d'écritures sémitiques utilisant des abjads (syriaque, hébreu, etc.).

Pour les nombres, l’arabe note le chiffre des unités avant la dizaine : la forme résultante est donc la même que dans les langues latines.

De nombreuses lettres sont similaires par leur squelette ( rasm ) et ne se distinguent que par des points utilisés comme diacritiques au-dessus ou au-dessous de la ligne d'écriture ( ـثـ ـتـ ـنـ ـبـ ـيـ ). Il existe 18 formes de base ( rasm ). Les adaptations de l'alphabet arabe à d'autres langues se font sur ces mêmes formes de base, le plus souvent par l'ajout de points.

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