Après midi entre gays

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Après midi entre gays
Louis (à g.) et Percy (à d.), tous les deux gays, discutent de leur expérience : une vidéo des youtubeurs TrentAndLuke (Capture d'écran)
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julienbriere a posté le 30 juillet 2017 à 19h13
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Sirius42 a posté le 30 juillet 2017 à 17h47
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OZORIGINE a posté le 30 juillet 2017 à 16h40
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Lanouille a posté le 29 juillet 2017 à 19h41
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astares1 a posté le 29 juillet 2017 à 18h34
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Ils sont tous deux gays et 65 années les séparent. A gauche, il y a Louis, 13 ans, jeune youtubeur , en couple depuis très peu de temps.
A droite Percy, 78 ans, qui partage sa vie avec Roger, un ancien professeur d'histoire.
Deux youtubeurs britanniques, Trent et Luke , les ont fait asseoir l'un en face de l'autre et ont filmé leur dialogue (la vidéo, publiée début juillet, a depuis été reprise par le Guardian ). Louis et Percy parlent d'acceptation, d'amour et témoigne de l'évolution de la société vis-à-vis de l'homosexualité.
"Je trouve ça fou qu'ils aient eu le pouvoir d'arrêter quelqu'un juste pour avoir aimé une personne", réagi le plus jeune quand son aîné lui explique que l'homosexualité était considérée comme un crime en Grande-Bretagne, l'année de son coming-out.
Les actes sexuels privés entre hommes majeurs ont été décriminalisés en Angleterre et aux Pays de Galle en 1967 – plus tardivement en Ecosse (1980) et en Irlande du Nord (1982). C'était il y a 50 ans, donc.
"Tu es si chanceux", répond Percy, assis face à Louis. Plus jeune, la crainte d'être surpris dans un lit avec un homme ne l'a jamais lâché. 
Interrogé par le Huffington Post , les youtubeurs Trent et Luke expliquent avoir réalisé qu'il existait peu de conversations intergénérationnelles entre personnes LGBTQ :
Rue89 a traduit ci-dessous une partie du tendre et réjouissant échange entre Percy et Louis.
"Percy (78 ans) : Quand as-tu su que tu étais gay ?
Louis (13 ans) : Les gens ne me disaient pas que je l'étais. Mais l'idée commençait à s'imposer parce que j'étais naturellement, beaucoup plus avec des filles et... Quand elles parlaient des garçons, j'avais tendance à être d'accord avec elles... Et finalement, ça s'est imposé.
– As-tu été inquiet de savoir que tu étais gay ou... ?
– J'étais perdu car je ne savais pas ce que c'était. Je ne savais pas que cela existait d'aimer les garçons, je pensais que c'était juste moi tout seul. Je me souviens d'avoir été à une classe verte et que je me forçais à ne pas penser que j'étais gay, parce que j'étais avec des garçons et je me disais que je ne voulais pas commencer à me sentir attirer par l'un d'eux [...] Ça m'a beaucoup désorienté.
– C'est sûr. Et ça t'a causé du souci ou est-ce qu'au bout d'un moment, tu t'es dit que c'était juste normal ?
– Après, j'ai su ce que ça voulait dire et je l'ai accepté.
Louis : Ils ont été très gentils. Ils m'ont dit qu'ils m'aimaient, que je sois homo ou hétéro...
– C'est fou. C'est fantastique, en fait, parce qu'ils t'ont aussi soutenu. [...] Tu sais si je reviens à ma propre enfance, je ne pense pas que je l'aurais dit à quelqu'un. C'était une période différente. Tu es si chanceux. Le monde a changé et tu peux juste être toi-même. As-tu déjà eu un copain ?
Louis : Quel âge avais-tu quand tu as fait ton coming-out ?
Percy : Je devais avoir 16 ans. 15-16 ans. J'avais un très bon ami qui était à l'école avec moi et qui avait été envoyé dans une école privée. Et je crois que ses parents avaient découvert qu'il était gay. [...]
Je discutais avec lui [...] et nous avons tous les deux reconnu que nous aimions tous les deux les garçons.
Je me souviens qu'il avait décidé qu'on devait aller à un club gay. Tu imagines, tous les deux, à 15 ou 16 ans, se dire "on va dans un club gay, on va voir d'autres personnes qui sont gays". Il trouvait ça amusant, mais c'était une révélation de se dire qu'il y avait d'autres gens qui ressentaient la même chose que nous. C'était formidable en fait.
A cette époque, si tu allais dans un club gay, il fallait signer [à l'entrée]. On n'avait pas l'âge. Nous avons inventé un nom, nous n'avons pas donné notre vrai nom : on n'a pas osé. Si mes parents l'avaient découverts, qu'est ce que je leur aurais dit ?
Louis : Est-ce que votre famille vous a soutenu quand vous avez fait votre coming-out ?
– C'est une question très intéressante. J'ai toujours pensé que mon père savait que j'étais gay. Je ne connaissais pas bien mon père, on ne s'entendait pas très bien, mais à la réflexion, je pense qu'il savait.
Je suis originaire de Johannesburg, en Afrique du Sud. Roger et moi vivions ensemble quand ma mère est venue me voir en Angleterre. J'étais étudiant. [...] Je lui montrais l'endroit [où je vivais] et je lui ai dit "voilà ou je dors, c'est la chambre de Roger et moi. Et là, c'est ta chambre, la chambre d'amis".
Elle m'a dit : "Oui je sais chéri, c'est ta chambre." Je lui ai dit "non maman, c'est une chambre d'amis. [...] Ma chambre est aussi celle de Roger."
Elle m'a regardé et j'ai dit "Veux-tu une tasse de thé ou un scotch ?" Elle m'a dit : "Je crois que je vais prendre un scotch, s'il te plaît."
Percy : Qui est la première personne à qui tu as dit que tu étais gay ?
Louis : J'ai laissé un message à mes parents. Je ne me sentais pas à l'aise de leur dire en face. J'étais en bas, je mangeais des céréales pour le petit-déjeuner. Ma mère est venue et elle m'a dit : "Ce message, est-il vrai ?" J'ai répondu que oui.
J'étais choqué, je me suis mis à pleurer parce que je ne savais pas ce qu'elle allait dire. Et c'est là qu'elle s'est assise et m'a dit "je t'aime, peu importe qui tu es. Tu n'as pas à t'inquiéter..." [...] 
Louis : Qu'est-ce que c'était d'être gay quand c'était illégal ?
Percy : [...] Jusqu'en 1967, c'était illégal. Tu devais faire très attention car si tu avais un petit-ami et que tu passais la nuit avec lui, la police pouvait venir, frapper à ta porte, et parce que tu étais au lit avec, ils pouvaient t'accuser d'une infraction.
Parfois c'était palpitant : tu allais dans un club gay, et tu rencontrais quelqu'un. " Oh god , il est fabuleux, ça va être génial." Et tu sortais, ça pouvait être une nuit fantastique mais tu avais toujours en tête la question "qu'est-ce qu'il nous arrivera si on se fait attraper ?" [...]
Tu avais toujours un petit doute que ça pouvait mal tourner et tu n'étais jamais à l'aise à 100%.
Alors qu'aujourd'hui, ça n'arriverait pas. Tu ne l'envisages même pas. Alors je t'envie, d'une certaine manière. Cela doit être merveilleux d'être jeune et de ne pas se soucier de ça. Tu peux juste t'amuser et être toi-même.
– Vous dites que vous pouviez être arrêté... C'est la première fois que j'entends ça. Je n'ai jamais pensé au fait que la police pouvait frapper à votre porte et venir nous arrêter parce qu'on est gay.
Je trouve ça fou qu'ils aient eu le pouvoir d'arrêter quelqu'un juste pour avoir aimé une personne. Ça me choque.
Percy : Je dirais, sois honnête envers toi-même, défends tes droits. Essaie de faire comprendre aux gens que la chose la plus importante est d'aimer quelqu'un, peu importe qui il est, que ce soit un garçon ou une fille. Love is love.
C'est quelque chose qui est enrichissant d'essayer de faire en sorte que les gens pensent au-delà de leur bulle. Alors nous pourrons tous être – je n'arrive pas à trouver de meilleur mot – des voisins dans le monde et ne pas avoir d'ennemis, et se soutenir.
perso je ne crois pas à la prédestination : une fois à 16 ans , une fois à 20 ans , je me suis laissé faire par un garçon et j'ai aimé ça ; ça ne m'a pas empeché de coucher avec des filles,puis de vivre avec et de ne jamais recommencer ; sans doute par manque d'occasion , mais les occasions je ne les ai jamais cherchées non plus ; pour moi ce n'a été qu'un plaisir occasionnel , je n'ai jamais été interessé par en faire un mode de vie
Astares Astares
Ce que je sais en tout cas c'est qu'on n'a pas gardé les vaches ensemble ...alors le tutoiement vous vous en passez SVP ......

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Sylvain Mouhot
Publié le 29/11/2014 à 14:51, mis à jour le 29/11/2014 à 14:56


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Le Maryline’s nous a ouvert ses portes lors d’une séance X de « pluralité masculine ». Le soir venu, le club retrouve sa vocation libertine, en présence de couples adeptes de l’échangisme

Le Maryline’s nous a ouvert ses portes lors d’une séance X de « pluralité masculine ». Le soir venu, le club retrouve sa vocation libertine, en présence de couples adeptes de l’échangisme
Stressé à l'entrée d'un club libertin, tout le monde l'est la première fois. Fût-ce pour une visite dont la portée est strictement professionnelle. La curiosité étant le moteur du journalisme, nous sommes allés voir de l'autre côté du rideau.
D'abord, trouver le club, perdu dans la trop peu sexy zone d'activités du Pouverel. L'enseigne est minimale au fronton d'un entrepôt qu'on attribuerait à toutes sortes d'activités de gros. Sauf celle du sexe. « Depuis vingt ans, ceux qui viennent au club savent parfaitement où le trouver. » Les novices investiront dans une boussole. On sonne.
C'est Mimi qui ouvre, après avoir jeté un œil sur son écran de contrôle : « Souriez, vous êtes filmés », prévenait un écriteau. Ancienne cliente passée de l'autre côté du comptoir, Mimi met à l'aise.
« Un nouveau venu est pris en charge tout de suite. On lui fait visiter les locaux (480 m2) , on discute, et la gêne s'évapore très vite , dit-elle. Validé. Il y a beaucoup d'idées reçues sur le libertinage, mais il n'y a rien de glauque ici, l'ambiance est même plutôt familiale. » Une mère et sa fille sont même tombées récemment nez à nez, nous dit-on. Ça s'est fini en crêpage de chignon.
Arrêt au bar (alcool soft seulement), on se fait au lieu, sa lumière tamisée, son fond musical, son film X diffusé sur un écran. Ici la «salle de torture», là les pièces plus intimistes, par là-bas la «boîte noire» ou salle de gang bang. Les mardis et vendredis après-midi, c'est pluralité masculine : une femme pour plusieurs hommes. Notre présence
Attaquer le cul d'une fille
Teen's first hardcore anal experience with a happy end - Free xxx sex porn video streaming
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