Après midi de jouissance

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Après midi de jouissance
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Orgasme culinaire : 6 signes qui prouvent que vous venez de jouir en mangeant
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« Il me fallut quelques secondes pour comprendre ce que j’étais en train de vivre »
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Orgasme culinaire : le point G au niveau des papilles
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Zoom sur cette sensation gustative si intense qu’elle vous fait chavirer comme une jouissance.
Toutes et tous avons déjà été confrontés à ce moment délicieux où face à la saveur d’un plat, nos papilles en émoi, notre esprit a reçu comme une décharge de bonheur pur. Mais sachez que certaines personnes ont vu cette sensation gustative devenir si intense dans leur organisme qu’elles en ont littéralement chaviré de plaisir et se sont retrouvées à vivre le fameux orgasme culinaire ; clin d'œil aux aventuriers de Koh-Lanta redécouvrant lors d'un "confort" la saveur exquise du chocolat.
Un moment qu’a vécu Magali Croset-Calisto, sexologue et psychologue spécialisée en addictologie et dont elle a témoigné dans son livre* Dolce Italia, l'Italie de tous les plaisirs.
Elle écrit : « Ce fut tout d'abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m'échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j'étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l'idée (...). »
Magali Croset-Calisto qui dans un article publié en octobre 2016 sur le site du HuffPost a fourni son analyse du phénomène, expliquant notamment que l'extase vécue correspond in fine aux différentes phases de la jouissance.
• La phase d'excitation sexuelle (le désir, les frissons, la chaleur, voire la lubrification) • La phase de plateau (l'exquise attente induite par la mise en tension) • La phase d'orgasme (l'instant de décharge, la submergeabilité de l'être) • La phase de résolution (le relâchement des tensions musculaires, le bien-être)
D’un point de vue neurobiologique, Magali Croset-Calisto nous explique que cette « manifestation physiologique qui déclenche une jouissance dont le point G se situe au niveau des papilles gustatives » ressemble en tout point à l’orgasme sexuel : libération de dopamine, d’endorphines et d’ocytocine, soit les neurotransmetteurs du plaisir et du bien-être.
A noter que pour vivre pareil moment, cela nécessite également des principes de lâcher-prise et de disponibilité.
Reste à savoir maintenant quels plats permettent d’érotiser au maximum sa sphère buccale ; aux Inrockuptibles une jeune femme avait confié avoir vécu semblable béatitude un après-midi chez Ikea après avoir croqué dans…un pain suédois à la cannelle. A bon entendeur !
Toutes et tous avons déjà été confrontés à ce moment délicieux où face à la saveur d’un plat, nos papilles en émoi , notre esprit a reçu comme une décharge de bonheur pur. Mais sachez que certaines personnes ont vu cette sensation gustative devenir si intense dans leur organisme qu’elles en ont littéralement chaviré de plaisir et se sont retrouvées à vivre le fameux orgasme culinaire ; clin d’œil aux aventuriers de Koh-Lanta redécouvrant lors d’un « confort » la saveur exquise du chocolat.
Une décharge émotionnelle pouvant se caractériser de différentes manières : chair de poule, des picotements, frissons le long de la colonne vertébrale, vague de chaleur, creux dans le ventre ou encore excitation sexuelle ( sécrétions vaginales pour les femmes, érection pour les hommes)…
Un moment qu’a vécu Magali Croset-Calisto, sexologue et psychologue spécialisée en addictologie et dont elle a témoigné dans son livre* Dolce Italia, l’Italie de tous les plaisirs. Elle écrit : « Ce fut tout d’abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m’échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j’étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l’idée (…). »
Magali Croset-Calisto qui dans un article publié en octobre 2016 sur le site du HuffPos t a fourni son analyse du phénomène, expliquant notamment que l’extase vécue correspond in fine aux différentes phases de la jouissance.
D’un point de vue neurobiologique, Magali Croset-Calisto nous explique que cette « manifestation physiologique qui déclenche une jouissance dont le point G se situe au niveau des papilles gustatives » ressemble en tout point à l’orgasme sexuel : libération de dopamine, d’endorphines et d’ocytocine, soit les neurotransmetteurs du plaisir et du bien-être. A noter que pour vivre pareil moment, cela nécessite également des principes de lâcher-prise et de disponibilité.
Reste à savoir maintenant quels plats permettent d’érotiser au maximum sa sphère buccale ; aux Inrockuptibles une jeune femme avait confié avoir vécu semblable béatitude un après-midi chez Ikea après avoir croqué dans…un pain suédois à la cannelle . A bon entendeur !
*Magali Croset-Calisto, Dolce Italia, L’Italie de tous les plaisirs, chapitre « Orgasme culinaire », Ed. Livres du monde, Octobre 2016.
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« Il me fallut quelques secondes pour comprendre ce que j’étais en train de vivre »
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Toutes et tous avons déjà été confrontés à ce moment délicieux où face à la saveur d’un plat, nos papilles en émoi, notre esprit a reçu comme une décharge de bonheur pur. Mais sachez que certaines personnes ont vu cette sensation gustative devenir si intense dans leur organisme qu’elles en ont littéralement chaviré de plaisir et se sont retrouvées à vivre le fameux orgasme culinaire ; clin d'œil aux aventuriers de Koh-Lanta redécouvrant lors d'un "confort" la saveur exquise du chocolat.
Un moment qu’a vécu Magali Croset-Calisto, sexologue et psychologue spécialisée en addictologie et dont elle a témoigné dans son livre* Dolce Italia, l'Italie de tous les plaisirs.
Elle écrit : « Ce fut tout d'abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m'échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j'étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l'idée (...). »
Magali Croset-Calisto qui dans un article publié en octobre 2016 sur le site du HuffPost a fourni son analyse du phénomène, expliquant notamment que l'extase vécue correspond in fine aux différentes phases de la jouissance.
• La phase d'excitation sexuelle (le désir, les frissons, la chaleur, voire la lubrification) • La phase de plateau (l'exquise attente induite par la mise en tension) • La phase d'orgasme (l'instant de décharge, la submergeabilité de l'être) • La phase de résolution (le relâchement des tensions musculaires, le bien-être)
D’un point de vue neurobiologique, Magali Croset-Calisto nous explique que cette « manifestation physiologique qui déclenche une jouissance dont le point G se situe au niveau des papilles gustatives » ressemble en tout point à l’orgasme sexuel : libération de dopamine, d’endorphines et d’ocytocine, soit les neurotransmetteurs du plaisir et du bien-être.
A noter que pour vivre pareil moment, cela nécessite également des principes de lâcher-prise et de disponibilité.
Reste à savoir maintenant quels plats permettent d’érotiser au maximum sa sphère buccale ; aux Inrockuptibles une jeune femme avait confié avoir vécu semblable béatitude un après-midi chez Ikea après avoir croqué dans…un pain suédois à la cannelle. A bon entendeur !
Toutes et tous avons déjà été confrontés à ce moment délicieux où face à la saveur d’un plat, nos papilles en émoi , notre esprit a reçu comme une décharge de bonheur pur. Mais sachez que certaines personnes ont vu cette sensation gustative devenir si intense dans leur organisme qu’elles en ont littéralement chaviré de plaisir et se sont retrouvées à vivre le fameux orgasme culinaire ; clin d’œil aux aventuriers de Koh-Lanta redécouvrant lors d’un « confort » la saveur exquise du chocolat.
Une décharge émotionnelle pouvant se caractériser de différentes manières : chair de poule, des picotements, frissons le long de la colonne vertébrale, vague de chaleur, creux dans le ventre ou encore excitation sexuelle ( sécrétions vaginales pour les femmes, érection pour les hommes)…
Un moment qu’a vécu Magali Croset-Calisto, sexologue et psychologue spécialisée en addictologie et dont elle a témoigné dans son livre* Dolce Italia, l’Italie de tous les plaisirs. Elle écrit : « Ce fut tout d’abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m’échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j’étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l’idée (…). »
Magali Croset-Calisto qui dans un article publié en octobre 2016 sur le site du HuffPos t a fourni son analyse du phénomène, expliquant notamment que l’extase vécue correspond in fine aux différentes phases de la jouissance.
D’un point de vue neurobiologique, Magali Croset-Calisto nous explique que cette « manifestation physiologique qui déclenche une jouissance dont le point G se situe au niveau des papilles gustatives » ressemble en tout point à l’orgasme sexuel : libération de dopamine, d’endorphines et d’ocytocine, soit les neurotransmetteurs du plaisir et du bien-être. A noter que pour vivre pareil moment, cela nécessite également des principes de lâcher-prise et de disponibilité.
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Elle écrit : « Ce fut tout d'abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m'échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j'étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l'idée (...). »
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A noter que pour vivre pareil moment, cela nécessite également des principes de lâcher-prise et de disponibilité.
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Une décharge émotionnelle pouvant se caractériser de différentes manières : chair de poule, des picotements, frissons le long de la colonne vertébrale, vague de chaleur, creux dans le ventre ou encore excitation sexuelle ( sécrétions vaginales pour les femmes, érection pour les hommes)…
Un moment qu’a vécu Magali Croset-Calisto, sexologue et psychologue spécialisée en addictologie et dont elle a témoigné dans son livre* Dolce Italia, l’Italie de tous les plaisirs. Elle écrit : « Ce fut tout d’abord très localisé. Très focalisé. Langue, palais, gosier. Puis les saveurs imprégnèrent ma bouche, mes lèvres, mon visage entier. Ma langue était en émoi. Mon corps aussi. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui m’échappait. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que j’étais en train de vivre un orgasme procuré par le plat en question. Incrédulité. Vertige face à l’idée (…). »
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