Après l'apéro elle laisse cour à son envie
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Voler l’homme d’une autre et sous ses propres yeux, Céline ne s’en serait jamais cru capable. Mais la tentation était trop forte.
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Partir seule en vacances avec ses deux enfants, c’est rigolo, mais il y a mieux. Je décide donc de louer, avec ma meilleure amie et son mari, une maison au bord de l’eau pour nous et nos quatre fils. J’ai besoin de chaleur, d’horizon bleu et de cigales. Nous optons pour la Méditerranée. Comme la maison est grande, Bruno, le mari de Nathalie, propose d’y convier Pierre et Fabienne, un couple d’amis que je ne connais pas, mais dont Nathalie me dit toujours du bien.
Nous sommes déjà installés sous un olivier, quand la voiture apparaît au bout de l’allée. Fabienne en sort la première, mais je n’ai d’yeux que pour Pierre. Le soleil dans la figure, les mains sur le volant, le front ridé par la lumière, il me regarde. J’essaie de me remettre les idées en place. Il n’est pas question de faire n’importe quoi. Est-ce mon divorce qui produit cet effet-là ? Il faut dire que mon ex-mari a cessé de me toucher après la naissance de notre deuxième fils… Qui a 9 ans. Pierre me fait la bise, et son odeur me pénètre. Des papillons me montent à la tête tandis que mon cerveau analyse chaque fragrance que Pierre exhale, menthe, chaleur, reste de parfum sur le lin de sa chemise. Et tout mon corps se liquéfie. Pierre est là depuis quelques heures et, chaque fois qu’il sort de ma vue, je le cherche. Je sais qu’il sait. Je sens qu’il sent. Et cette attirance mutuelle qui a germé en une fraction de seconde ne s’estompe pas au fil de la journée. Le soir, à table, alors que nous nous asseyons côte à côte, nos genoux se frôlent. Nathalie parle de mon récent célibat , annonçant à qui veut l’entendre que les hommes, sur la plage, n’auront qu’à bien se tenir. Mes fils râlent de ces mauvaises blagues. Fabienne se joint à Nathalie pour me souhaiter : « Bonne chasse ! ». Et, à ce moment-là, la main de Pierre effleure ma cuisse. Je suis en nage. De la racine des cheveux à l’arrière des genoux, mon corps libère de l’eau. J’ai l’impression de me défaire de kilos de trop. Ces kilos de lourdeur sentimentale, d’échec. Je me sens redevenir légère.
Chacun part se coucher et, dans ma chambre, je recadre mes pensées. Fabienne est là, sous le même toit. Il n’est pas question que je me laisse aller à faire n’importe quoi avec le mari de l’amie de ma meilleure amie. Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Moi qui suis toujours si droite, qui me vante de n’avoir jamais trahi personne, je serais donc capable de voler le mari d’une femme sous ses propres yeux ? Le lendemain est un jour de malchance. Quand je me réveille, les garçons sont déjà partis à la plage avec Fabienne, Bruno et Nathalie. Pierre lit devant la maison, attendant le réveil de sa fille Nancy pour les rejoindre. Quand il me voit, il me tend une tasse de café. Je m’assieds à côté de lui et une vague d’émotion me recouvre. Je voudrais dire un mot sur Fabienne, afin de placer une sorte de barrière entre nous, mais je me tais. Nos yeux se croisent, s’agrippent et se dévorent pendant de longues secondes. Je fuis son regard, je me lève et pars sous la douche. Ma situation est impossible, je refuse de m’autoriser une telle légèreté, mais mon corps désire Pierre à un point tel que je vais devenir dingue si je reste ici avec lui… Alors que je cogite sous la douche, la porte de la salle de bains s’ouvre. Pierre la referme à clef derrière lui, me pose la main sur les lèvres, et entre avec moi sous l’eau chaude. Nous faisons l’amour comme si c’était la millième fois. Ce corps inconnu me connaît. Nos souffles restent silencieux, profonds comme deux extases muettes. Subjuguée par la violence de notre élan l’un pour l’autre, je perds la tête. Je n’ai jamais aussi bien fait l’amour. La petite voix de Nancy qui appelle son père à travers la maison nous ramène à la raison. Pierre se rhabille et va la rejoindre. Je reste là, anéantie, ivre d’amour, de bonheur… et de culpabilité.
Nous partons tous trois à la plage pour rejoindre les autres. Fabienne a déjà repéré pour moi tous les célibataires. Nathalie me présente sa propre liste. et nous rions entre filles. si la situation était autre, Fabienne pourrait devenir une bonne amie ! Je passe des heures dans l’eau, afin d’éviter d’établir toute connivence avec elle. Quand nous rentrons à la maison et que Pierre me frôle alors que nous préparons le repas tous ensemble, je ne veux plus qu’une chose : lui. Dès lors, tout est prétexte à nous retrouver en tête à tête. Je descends à la cave chercher des bouteilles de vin et il arrive deux minutes après pour m’aider. Nos étreintes durent parfois une seule minute mais leur force est dévastatrice. Nous ne pensons qu’à ça mais nous ne nous parlons pas. Comme deux enfants enjoués, nous inventons des stratagèmes. Graves comme deux malfaiteurs, nous apaisons nos craintes dans nos ébats. Nous ne parlons de rien, et surtout pas de la situation. Nous sommes purement aimantés l’un par l’autre et survoltés dès que nous ne pouvons pas nous toucher.
Hier soir, Fabienne est allée se coucher un peu plus tôt. Nous avons traîné dehors, Nathalie, Bruno, Pierre et moi. J’avais l’impression d’être en couple, en vacances avec ma meilleure amie. Quand Pierre est allé rejoindre Fabienne, j’ai eu un choc. Je me suis demandé s’ils faisaient souvent l’amour ensemble. J’ai posé la question telle quelle à Nathalie qui m’a répondu ne pas connaître assez Fabienne pour pouvoir me renseigner sur la fréquence, mais qu’elle la connaissait quand même assez pour me dire que c’était oui ! Je m’en suis voulu de ne pas tout lui raconter. Mais qu’aurais-je ressenti, moi, si Nathalie avait couché avec le mari d’une de mes amies, présente de surcroît ? Cette nuit-là, Pierre est venu me rejoindre dans ma chambre. Nous avons fait l’amour des heures, rien ne pouvait nous séparer. Il est parti à l’aube. Pendant le petit déjeuner, alors que Pierre tardait à nous rejoindre, Fabienne nous a dit qu’il avait souffert d’une grosse insomnie et qu’il était parti marcher. La semaine a continué. Je n’avais qu’un seul but, faire l’amour avec lui et que personne ne le sache. Avec Pierre, j’ai trouvé le soleil d’été que je cherchais, celui qui brûle et qui dévaste. Mais je n’assume pas la trahison. Quand la semaine s’achève, nous nous promettons de dîner tous ensemble à la rentrée et la voiture de Pierre et Fabienne disparaît à l’angle de la route. a cette seconde, je me jure de ne jamais le revoir. Je crains que mon corps ne me hurle l’inverse, mais non, je le sens apaisé, soulagé, comme si ma trahison s’éloignait. J’espère ne pas manquer de volonté. A peine une heure après son départ, Pierre m’envoie un texto. Je n’y réponds pas. Comme l’a dit Nathalie quand ils ont quitté la maison, Fabienne et Pierre sont magnifiques ensemble… alors je veux les laisser en paix. Je ne sais pas à qui je fais cette promesse. C’est sans doute à l’homme qui viendra pour moi, car, grâce à Pierre, mon corps s’est réveillé. Je veux penser que cette folie a juste servi à ça. Oui, je crois que mon corps est de nouveau prêt à aimer. Quelqu’un de libre.
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Votre "crush" ne vous le rend pas ? 5 façons de déscotcher
Pauline s’empare aussi bien de sujets lifestyle, sexo et société, qu’elle remanie et décrypte avec un angle féministe, y injectant le savoir d’expert·e·s et le témoignage de voix concernées. Elle écrit depuis bientôt trois ans pour Terrafemina.
Votre crush ne vous le rend pas ? 5 façons de déscotcher
Les papillons dans le ventre et les frissons quand on passe à côté de l'autre dans le couloir, c'est très cool, jusqu'à ce qu'on se rende compte que l'intérêt n'est pas tout à fait réciproque. Voire carrément inexistant. Comment faire pour l'oublier ?
Le terme "crush" se traduit en français par "béguin", ce joli mot désuet qui mériterait de revenir sur le devant de la scène. Ou plutôt "avoir le béguin pour quelqu'un". D'après Google, ça signifie ressentir un "amour vif et passager". Une micro-romance intense, qui part comme elle est venue, et qui fond aussi vite que neige au soleil.
C'est plus qu'une simple attirance physique , moins qu'un coup de foudre. Un petit coup de coeur, si vous préférez. Qui nous laisse entrevoir une potentielle histoire, un premier baiser peut-être, ou encore quelques rendez-vous sympathiques et - ose-t-on l'espérer - plus concluants et flatteurs que ce qu'inspire un piètre "tu fais quoi ?" à 4 heures du mat' reçu sur Tinder. Généralement, cela concerne quelqu'un qu'on ne connaît pas (encore) très bien.
Le béguin a deux issues : la réciprocité des sentiments et la concrétisation de nos rêves les plus fous, et l'échec. Cuisant. Le rejet qui signe la fin , brutale et précoce, d'un futur pourtant si prometteur. Enfin dans notre tête. On en était sûre à l'époque, ses regards lancés dans notre direction à la cafet' semblaient peut-être furtifs mais signifiaient beaucoup. On découvrira par la suite qu'ils signifiaient surtout beaucoup à notre voisine de table, l'heureuse élue de son coeur. Et le nôtre saigne un peu.
Plus sérieusement, la situation - même si aucune rupture n'est réellement à déplorer - fait mal. A l'ego, surtout. On ne peut pas vraiment dire qu'on doit faire le deuil d'une personne qui a beaucoup compté pour nous (au-delà de quelques échanges et projections intimes sur sa personnalité , l'a-t-on seulement connu·e ?), mais plutôt panser nos plaies après ce dénouement d'un genre particulier. Et aussi s'occuper de cette petite voix intérieure qui en profite pour user de son mécanisme favori : l'auto-dépréciation , ou le fait de se dévaloriser allègrement .
"Lorsque nous sommes blessées, nous avons tendance à nous sentir plus vulnérables, ce qui signifie que nous pouvons faire des hypothèses plus négatives sur les raisons pour lesquelles cette personne s'est sentie comme elle l'a fait", détaille Shannon Chavez, psychologue et sexothérapeute, à Women's Health . Comprendre : nous a jetée sans un regret, sans un regard sur notre désespoir. "Cela se traduit souvent par le sentiment de ne pas être attirante, intelligente, gentille ou digne d'amour".
Parce qu'on n'identifie que trop bien cet état d'esprit nocif et surtout complètement infondé, et qu'on sait combien, parfois, on a besoin d'un coup de main pour zapper l'objet de nos désirs, voici quelques moyens d'y arriver. Cinq, exactement.
Bon voilà, il·elle ne veut pas de nous . C'est plutôt clair, on a saisi le message. Pourtant on pensait avoir une touche costaud, et non : retour à la case départ soit à une vie sentimentale proche du néant. Le truc dont il faut se rappeler dans ces moments-là, c'est que ce n'est pas la première fois.
On a déjà repéré quelqu'un·e qui nous plaisait beaucoup par le passé, on s'est déjà pris un mur, on a déjà broyé du noir pendant quelque temps, on s'est déjà relevée. Et aujourd'hui, de ces histoires-là, on en rit, souvent. Parce que finalement elles ne comptaient pas tant que ça, et qu'il s'agissait davantage d'une déception que d'un véritable coup de cafard.
Justement, cette déception, plusieurs expertes invitent à la vivre pleinement. A accueillir les émotions qui en découlent, sans s'attarder mais sans les retenir non plus. "Accepter ce que vous ressentez, sans jugement, est la seule façon de passer de l'autre côté", assure Lesli Doares, thérapeute conjugale et familiale agréée, au magazine américain. "S'empêcher d'avoir des sentiments ne va pas aider". Elle explique également que, bien que se tourmenter éternellement n'est pas le but (clairement), il est important de "vous donner le temps et l'espace nécessaires" pour digérer.
L'avantage avec les réseaux sociaux, c'est qu'on ne perd plus personne de vue. L'inconvénient avec les réseaux sociaux, c'est qu'on ne perd plus personne de vue non plus. En trois clics, on peut se retrouver à stalker celui ou celle qui occupe un peu nos pensées , qu'il·elle soit dans le bureau d'à côté ou en quarantaine à l'autre bout du pays. Et puis sa nouvelle copine tant qu'à faire. Et sa soeur. Et le chien de sa mère.
On sombre dans un trou noir d'informations inutiles qui nous empêche d'avancer et embue notre esprit. Ça frise l'obsession. "L'exposition constante à leurs publications digitales donne l'illusion qu'il·elle fait toujours partie de votre vie alors que ce n'est pas le cas", lâche la psy.
Ça se traduit aussi en dehors du virtuel, quand on fait tout pour prendre le même ascenseur, pour se retrouver aux mêmes apéros, pour aller se resservir un verre au même moment. "Chaque fois que vous verrez cette personne, cela provoquera un déclic émotionnel", explique à son tour Dr Barton Goldsmith. "Ces déclics ne sont pas confortables. Pourquoi vous infliger ça ?" Sûrement à cause d'une logique implacable : plus on sera dans les parages, plus il y a de chance qu'il·elle finisse par succomber à notre charme.
Souvent avec ce genre d'histoires, les sentiments que l'on croit naissants et sincères sont en réalité une projection, une somatisation de notre envie irascible d'être en couple. Alors qu'en fin de compte, on ne prend pas vraiment le temps de se poser deux secondes et de lister toutes les raisons - rationnelles ou pas - pour lesquelles on apprécie cette personne. C'est ce qu'elle représente, qui nous attire, ce qu'on fantasme.
En gros : on l'idéalise, elle, sa prétendue perfection, et ce que serait notre vie si elle en faisait partie. Alors que le Dr Barton l'affirme, et conseille de s'accrocher à cette phrase comme à une bouée de sauvetage indispensable dans cet océan de sentiments éprouvants et parfois un peu trompeurs : "Elle n'est pas parfaite".
Et ça vaut pour plusieurs cas de figure. On n'est pas seule à l'avoir vécu, et on ne doit pas gérer ça seule non plus. Exposer ce qui nous attriste et nous chagrine à un·e proche permet d'éclaircir la situation, de mettre le doigt sur les raisons pour lesquelles on se sent toute nulle, d'analyser pourquoi ce rejet est si dur à avaler. Et d'agir en fonction.
En se confiant et en écoutant les autres, on découvre aussi leurs histoires. Ce qui nous permet de réaliser que la nôtre est loin d'être isolée. Que notre meilleure amie, notre cousine, notre frère aussi, on connu les affres de la non-réciprocité, et l'ont surmontée. De quoi puiser d'autres précieux conseils qui pourraient nous rendre les choses plus faciles et s'attaquer aussi à un problème plus personnel : notre estime de soi un peu en vrac et la façon dont on la remet en question à la moindre contradiction. Là encore, pas de culpabilisation, juste une piste à étudier.
"Ruminer ne sert qu'à se prendre la tête", garantit la psy
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