Après une réunion avec l'équipe ces secrétaires reçoivent un bukkake

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L'actualité mondiale Un regard humain
Une femme apporte des pierres pour construire des barrières contre les inondations.
Des travaux de réhabilitation des routes sont menés par des gens vivant à Laurent dans le sud d'Haïti.
Roslaine Jeantine a vendu une chèvre pour payer l'installation d'un nouveau toit.
Les murs de la maison de Roslaine Jeantine ont supporté le choc du séisme d'août 2021 mais pas le toit.
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Un an après le tremblement de terre dévastateur qui a frappé Haïti, les communautés continuent de reconstruire leur vie et d'être mieux préparées aux futures catastrophes.
Une file de femmes porte des pierres dans les mains et sur la tête alors qu'elles descendent vers un ravin sur le flanc d'une colline dans le sud d'Haïti. Elles apportent les pierres pour que leur communauté puisse construire des barrières qui ralentiront l'écoulement de l'eau dans cette vallée verdoyante et empêcheront l'érosion des terres qui sont importantes pour cette communauté agricole rurale.
. @UN @ONU_fr ont travaillé avec le gouvernement haïtien pour soutenir un avenir plus résilient un an après le tremblement de terre en #Haïti . @WFP_Haiti @IOMHaiti pic.twitter.com/k4aKT5wdm1
Il s'agit d'une équipe de femmes et d'hommes issus de communautés vulnérables dans l'un des trois départements de la péninsule sud d'Haïti qui ont été frappés par un séisme destructeur de magnitude 7,2 le 14 août 2021. Plus de 2.200 personnes sont mortes dans cette catastrophe et plus de 137.000 maisons ont été détruites ou endommagées, ainsi que des hôpitaux, des écoles et des infrastructures de transport essentielles, notamment des routes et des ponts.
Juste en bas de la vallée, une autre équipe d'environ 36 personnes travaille dur pour dégager la route dans le cadre d'un programme de réhabilitation. Elles sont payées 500 gourdes haïtiennes (environ 5 dollars) pour une journée de 4 à 5 heures et passeront 20 jours à travailler pour améliorer leur communauté.
Des travaux de réhabilitation de routes sont effectués par des habitants de Laurent, dans le sud d'Haïti.
« L'argent que je gagne m'aide à payer la nourriture, l'école et les autres besoins du ménage » , explique Tesse Medgune. « Beaucoup de familles ont perdu leurs moyens de subsistance à cause du tremblement de terre, donc cela nous aide à survivre » .
Les travaux de réhabilitation du côté de la route des collines et des vallées sont soutenus par le Programme alimentaire mondial ( PAM ) et font partie d'un effort du gouvernement haïtien pour améliorer la résilience des personnes vulnérables qui sont menacées par les catastrophes naturelles. Beaucoup de ces personnes reçoivent également un soutien pour améliorer les activités de production alimentaire et leur nutrition.
Il existe 16 équipes similaires dans la région immédiate et beaucoup d'autres dans la péninsule sud d'Haïti, où le tremblement de terre a causé le plus de dégâts.
« L'argent que les gens ont gagné est important à court terme pour leur permettre de traverser la période difficile qui suit le tremblement de terre » , explique Sophia Toussaint du PAM, « mais il est également crucial pour leur avenir à plus long terme. La protection du flanc de la colline arrête l'érosion du sol et signifie que les agriculteurs risquent moins de perdre leurs récoltes lors d'une catastrophe naturelle ; une bonne route permet d'acheminer plus facilement les produits vers le marché » , ajoute-t-elle. « Cela signifie également que l'aide peut être acheminée plus efficacement et que les gens peuvent se rendre à l'hôpital s'il y a un autre tremblement de terre » .
Jerry Chandler est le Directeur général de l'agence de protection civile d'Haïti. « Nous avons travaillé en étroite collaboration avec nos partenaires internationaux, y compris l'ONU, pour nous assurer que notre réponse aux catastrophes est plus robuste. Ainsi, nous nous préparons à l'éventualité d'une nouvelle catastrophe, mais nous veillons également à en atténuer l'impact » .
Un an après le tremblement de terre, les Nations Unies continuent de soutenir les communautés dans les trois départements les plus touchés, Grand Anse, Nippes et Sud. Quelque 26.200 personnes ont fui leurs maisons inhabitables et la majorité d'entre elles ont été hébergées dans 85 sites de déplacement temporaire.
Une majorité de personnes sont maintenant rentrées chez elles, dont Roslaine Jeantine et ses trois fils. Le toit de sa petite maison dans la commune de Laurent, juste à l'extérieur de la ville des Cayes, s'est effondré lors du tremblement de terre, blessant la jambe de son fils aîné, mais les murs sont restés en place. Elle a été encouragée à retourner chez elle grâce à un kit de construction de toit fourni par l'Organisation internationale pour les migrations ( OIM ).
« J'ai vendu ma chèvre pour payer deux charpentiers qui ont installé mon nouveau toit » , raconte Roslaine Jeantine. « Je me sens encore paniquée lorsque j'entends un grand bruit, pensant qu'il pourrait s'agir d'un autre tremblement de terre, mais je sais que ce toit est bien fait et qu'il nous protégera, moi et ma famille, des intempéries » .
L'OIM a distribué environ 100 kits à Laurent, qui comprennent tout ce dont une famille a besoin pour construire un toit ; du bois, des feuilles d'étain, des clous et plus encore. Au total, quelque 500 kits ont été distribués dans toute la zone touchée par le séisme aux familles les plus vulnérables.
« Ces toits sont importants non seulement parce qu'ils fournissent un abri » , explique Jean Gardy Saint Juste de l'OIM, « mais aussi parce qu'ils permettent aux familles de prendre leurs propres décisions sur la façon de réparer leurs maisons et donc de reconstruire leurs vies. En ce sens, ils créent leur propre résilience aux catastrophes futures avec un peu de soutien de l'OIM » .
Alors que les maisons sont reconstruites toit par toit et que les routes sont réparées pierre par pierre, les agences de l'ONU travaillent actuellement toujours dans les trois départements en fournissant des services indispensables mais aussi en créant un espace pour que les communautés puissent prendre des décisions sur la meilleure façon de se protéger en cas de nouveau tremblement de terre. 
En 2022, les programmes de résilience du PAM en Haïti sont soutenus par la Suisse, le Canada, la Corée du Sud (KOICA) et l'Agence américaine pour le développement international (USAID/BHA).
Un an après le tremblement de terre de magnitude 7,2 qui a frappé Haïti le 14 aout 2021, une femme contrainte de quitter sa maison, déclare qu'elle est prête à rentrer chez elle.




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Familles déplacées dans la mosquée Musab Bin Omair, Tal Hajar, ville de Al-Hasakeh, nord-est de la Syrie, le 27 janvier 2022.
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Des experts indépendants de l’ONU ont exprimé ce lundi leur consternation après la confirmation de la mort de l’adolescent australien Yusuf Zahab dans un centre de détention du nord-est de la Syrie.
Le garçon serait mort des suites de blessures, aggravées par l’absence de traitement médical adéquat pendant, et après l’attaque menée en janvier par Daech contre le camp d’Al Hasakah, au nord-est de la Syrie.
« La mort de Zahab aurait pu être évitée, il n’aurait tout simplement jamais dû être détenu dans cette prison. Il aurait dû être renvoyé dans son pays et auprès de sa famille avec la possibilité de vivre une vie pleine et décente, le droit à une enfance protégée et sûre », ont déclaré dans un communiqué les experts.
Ils ont exhorté le gouvernement australien à agir rapidement pour empêcher de nouveaux décès de leurs ressortissants dans le nord-est de la Syrie et à préserver leur bien-être en les rapatriant rapidement. Dans trois communications adressées au gouvernement australien, les experts avaient déjà exprimé leur inquiétude quant à la détention d’enfants et d’adolescents, notamment dans le centre d’Al Hasakah, insistant sur des conditions de détention « désastreuses ».
Les experts de l’ONU indiquent avoir demandé à plusieurs reprises qu’une solution conforme aux droits de l’homme soit apportée à la situation des garçons, y compris les adolescents, détenus à Al Hasakah et dans d’autres sites de détention arbitraire de la région.
« Aucun de ces garçons, y compris Yusuf Zahab, n’a fait l’objet d’une procédure judiciaire justifiant sa détention, et tous sont détenus dans des conditions qui pourraient être assimilées à la torture ou à d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants. Les garçons sont des victimes du terrorisme et méritent d’être traités avec compassion, dignité et un minimum de décence humaine », ont-ils fait valoir.
Les experts ont vivement regretté qu’en dépit de leurs supplications, le gouvernement australien n’ait pas encore rapatrié ses ressortissants - qui sont principalement des femmes et des enfants - des camps et des centres de détention du nord-est de la Syrie. « Ne pas rapatrier ces enfants revient pour l’Australie à renoncer à ses obligations internationales et à son obligation morale de protéger les enfants les plus vulnérables du pays », ont-ils regretté.
Pour ces experts indépendants, le rapatriement des femmes et des enfants vulnérables est tout à fait faisable et possible. D’autant que « le gouvernement australien a la capacité de le faire. De nombreux autres gouvernements le font actuellement », ont insisté les experts, rappelant que Canberra dispose d’un « système avancé de protection de l’enfance, d’éducation, de justice pénale et de santé qui est imminemment capable de répondre aux besoins de ces enfants et de leurs mères ». 
Plus largement, ils estiment que le principe de l’intérêt supérieur de l’enfant doit être respecté à tout moment. Les experts pressent les gouvernements dont les garçons-enfants restent en détention de les ramener chez eux, conformément aux obligations extraterritoriales acceptées en matière de droits de l’homme pour protéger la vie des enfants.
Outre la dizaine de membres du Groupe de travail sur l’utilisation de mercenaires et celui sur la détention arbitraire, ce communiqué a été soutenu par plusieurs autres experts comme Fionnuala Ní Aoláin, Rapporteuse spéciale sur la promotion et la protection des droits de l’homme dans la lutte antiterroriste ou Tlaleng Mofokeng, Rapporteuse spéciale sur le droit à la santé.
Les Rapporteurs spéciaux et Experts indépendants font partie de ce que l'on appelle les procédures spéciales du Conseil des droits de l'homme. Les procédures spéciales, le plus grand groupe d'experts indépendants du système des droits de l'homme des Nations Unies, est le nom général des mécanismes indépendants d'enquête et de suivi du Conseil qui traitent soit de situations spécifiques à des pays, soit de questions thématiques dans toutes les régions du monde. Les experts des procédures spéciales travaillent sur une base volontaire ; ils ne font pas partie du personnel de l'ONU et ne reçoivent pas de salaire pour leur travail. Ils sont indépendants de tout gouvernement ou organisation et siègent à titre individuel.
Le chef de l’Équipe d’enquêteurs des Nations Unies chargée de concourir à amener Daech à répondre de ses crimes (UNITAD) a présenté mercredi au Conseil de sécurité les progrès réalisés dans le cadre de ses enquêtes sur les crimes commis par le groupe terroriste au cours des six derniers mois, en privilégiant une approche centrée sur les survivants.


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le Président Macron avec Tony Estanguet lors d'une visite du village olympique en octobre dernier. (A. Réau/L'Équipe)


R.P.

22 juillet 2022 à 23h41

Non invitées, Hidalgo et Pécresse protestent
Dans un communiqué commun, publié vendredi après-midi, Anne Hidalgo, maire de Paris et Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, déplorent de ne pas avoir été invitées à participer à la réunion de lundi à l'Élysée. « Le président de la République a indiqué qu'il tiendrait à la rentrée un ''point d'étape avec les élus'' . Même si un tel fonctionnement en deux temps est rarement source d'efficacité, il prend enfin acte que rien ne pourra se faire sans les collectivités territoriales, dont Paris, signataire du contrat de Ville Hôte, et la Région Île-de-France » écrivent-elles. « La clef de la réussite des grands évènements sportifs internationaux, c'est la coordination entre toutes les parties prenantes, dont les collectivités sont un maillon essentiel », poursuivent les élues avant de conclure : « Pour l'organisation des Jeux comme pour le reste, l'État a tout à gagner à faire preuve de considération à l'égard des villes, des métropoles, des départements et des régions. C'est, au fond, le sens de l'esprit olympique que de savoir faire confiance aux autres et la seule manière de se présenter, aux yeux du monde entier, comme une nation solidaire et fraternelle .. »

© L’Équipe 24/24 - 2022

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La « réunion de chantier » sur les Jeux Olympiques et Paralympiques, selon l'expression employée jeudi par le chef de l'État lors de la 18e étape du Tour, s'annonce chargée. Il est peu probable que la Première ministre Élisabeth Borne et la dizaine de ministres et secrétaires d'État réunis lundi matin à l'Élysée aient le temps de parler du vainqueur de la Grande Boucle.
Parmi eux : Amélie Oudéa-Castéra , ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances mais aussi le nouveau préfet de police de Paris Laurent Nunez, le préfet d'Île-de-France Marc Guillaume, le délégué interministériel aux Jeux Olympiques et Paralympiques Michel Cadot. Seul représentant de Paris 2024, son patron Tony Estanguet.
À deux ans de l'ouverture des Jeux, le 26 juillet 2024 par une cérémonie inédite sur la Seine , deux thèmes seront abordés lors de ce « conseil olympique et paralympique ». La livraison proprement dite de l'événement avec un point sur la sécurité, les transports et leur accessibilité, l'emploi, l'hébergement ou encore l'accueil des délégations étrangères qui nécessitera une politique de visas.
Après le fiasco de la finale de la Ligue de champions au Stade de France, la question de la sécurité des Jeux, et en particulier de la cérémonie d'ouverture, sera largement débattue. Le ministre Gérald Darmanin en profitera pour « redire que la préparation des Jeux sera sa priorité pour les mois à venir et celle du préfet de police », dit-on du côté de la place Beauvau alors qu'une réunion a encore eu lieu cette semaine.
Comment sécuriser les 6 km de quais de Seine le long desquels sont attendues plus de 600 000 personnes, assurer la sécurisation du ciel ou encore pallier le manque d'agents de sécurité privée en faisant appel à des réservistes du ministère de la Défense ?
Les questions sont nombreuses mais pas de nature à renoncer au lieu emblématique choisi par le COJO, la Seine, ni au standard du dispositif prévu, même si le ministère de l'Intérieur attend que le projet artistique de Paris 2024 soit finalisé. Le leitmotiv n'a pas changé : la cérémonie est « un défi que nous sommes en mesure de relever ».
L'autre grand thème abordé par Emmanuel Macron et le gouvernement sera « la pleine mobilisation de l'ensemble des Français », souligne-t-on à l'Élysée. Pour ce faire, un point sera fait sur la politique de billetterie, avec une grille tarifaire qui sera dévoilée en fin d'après midi par Paris 2024, et la façon d'impliquer tous les territoires.
« Le président veut rendre fiers les Français avec les cérémonies sur la Seine et place de Concorde (pour les Jeux Paralympiques) et aussi les résultats de nos sportifs », poursuit-on à la présidence. « Nous voulons que ces Jeux soient utiles à tous les Français. » En toile de fond, le développement du sport dans tout le pays, à l'école, dans l'entreprise, pour rester en bonne santé... bref faire enfin de la France une nation sportive.

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