Après le boulot c'est l'heure du cul

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Après le boulot c'est l'heure du cul
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Auteur du blog "Artiste comptant pour rien"
Dans cette société où la culture du viol est régulièrement entretenue, il est urgent de rappeler qu'une victime, homme ou femme, n'a pas à se sentir coupable. Quelque soit la situation.
C'est la nuit, c'est toujours la nuit, j'entends l'avant-dernière marche de l'escalier qui craque, toujours cet escalier qui grince, toujours. Je sens sa présence, sa respiration sourde qui découpe l'obscurité, qui se glisse sous la porte en silence (est-ce que tu dors), encore quelques secondes où le temps se fige et l'Ombre s'infiltre, se penche sur moi (est-ce que tu dors mon petit ange), je ne réponds pas, je ferme les yeux et
je presse le pas en marchant dans la rue, mes pieds battent la cadence sur le macadam, en rythme sur la musique que crache mon Ipod. Je vis chaque parole, je joue chaque situation, je suis la femme pressée qui rentre de soirée, je suis l'ombre de mon ombre, je suis la femme qui a dans les bottes des montagnes de questions qui ne me quittent pas à 4h du matin, je suis Debbie en travers les néons, Marlène et ses soldats, je suis
en train de l'attendre, comme d'habitude. Il est tard, et je ne dors pas. Je sais qu'il a ses copains, son boulot, le sport, je le sais, il a besoin de sa liberté, je le sais, mais sa présence me manque. L'appartement est vide, sans lui, sans son rire, sans son sourire narquois. Le petit s'est endormi sans poser de problèmes, je savoure le silence de la nuit et je guette son retour par la fenêtre de la cuisine, il finira bien par rentrer alors j'attends que
ses doigts courent sur ma peau, dessinent des histoires sans morale à la fin, serpentent le long de mon corps (est-ce que tu as froid), ses mains caressent mon visage, se posent sur ma bouche (pourquoi tu trembles), ses bras sont une toile, je respire son odeur qui pénètre ma peau, l'Ombre s'allonge contre moi, m'enveloppe de sa chaleur animale (tu m'as manqué ma)
('dame, madame), je continue de marcher, je ne me retourne pas, je monte le son dans le casque, (eh je vous parle), le son de la voix s'atténue au milieu des murs de poussière, au fond de la cabane du pêcheur, je ne m'arrête pas, non je ne fume pas je n'ai pas le temps non un café en pleine nuit ne me tente pas non je n'ai pas de numéro à te passer oui j'ai un copain, c'est comme une litanie que je me répète en boucle dans ma tête tandis que (revenez revenez) je
vois sa voiture qui se gare sur le parking, enfin, je vois sa démarche conquérante, c'est ce qui me plaît chez lui, dans quelques secondes il va entrer, il va claquer la porte de la chambre, en espérant qu'il ne réveille pas le petit, il va me prendre dans ses bras, (pardon pour le retard mon amour je n'ai pas vu l'heure), il aurait pu m'écrire quand même mais je ne
dis rien, je ne dis jamais rien, je la laisse susurrer à mes oreilles combien (tu es jolie) combien (tu es belle) combien (tu es jeune), je ne dis rien, je ne dis jamais rien et je garde les yeux fermés, j'attends que le soleil se lève pendant que l'Ombre s'étend sur mon corps et que sa main se pose sur mon épaule (je peux vous parler deux minutes), je vois ses lèvres qui remuent mais je n'entends pas le son de sa voix, (oh je vous parle), il a l'air perdu, enveloppé dans ses vapeurs d'alcool, je le regarde faire des gestes, tandis que mon casque me hurle que je suis venu te dire que je m'en vais comme disait si bien Verlaine au vent mauvais (JE TE PARLE PUTAIN) je vois sa main qui se pose autour de mes hanches (tu n'aurais pas grossi dis donc un petit régime ne pourrait pas te faire de mal), puis ses mains qui descendent et s'accrochent à mes fesses (enfin bon tant que tu gardes ce cul moi ça me va), dans un éclat de rire, je ne réponds pas, j'ai l'habitude, je sens ses doigts fébriles, la respiration saccadée, je sens les murs de ma chambre qui se referment sur moi, sa voix me paralyse (est-ce que tu aimes) je sens le serpent se glisser dans mes mains, dans ma bouche, je sens que j'étouffe (est-ce que tu aimes), je sens le poids de son corps qui m'entraîne dans un coin de la rue non éclairée par les lampadaires, je me débats, je crie, quelques fenêtres s'allument, rien ne bouge, le ciel devient rouge. Sa bouche se plaque sur la mienne, son haleine me prend à la gorge, (ne bouge pas ne crie pas), tandis que mon esprit se perd de l'autre côté du fleuve (ne bouge pas ne crie pas), l'aigle noir prend son envol dans mes oreilles, il se colle contre mon corps qui n'a pas envie de lui ce soir, je n'ai pas envie de sa virilité qu'il aime tant incarner (détends toi mon amour), j'ai juste envie de dormir, je suis fatiguée (j'ai toujours rêvé de le faire dans la cuisine), je n'ai pas envie (s'il te plaît), je n'ai pas (s'il te plaît), je n'ai (ALLEZ JE SUIS TON MEC QUOI) tandis qu'il me retourne contre la table, sa main caresse tendrement mes cheveux ( tu es une gentille petite fille), sa sueur suinte coule le long des murs, j'ai l'impression de me noyer dedans (regarde moi), je garde les yeux fermés toujours, (regarde moi), je garde les yeux fermés, (regarde moi voyons), non, je garde et je ne regarde pas, l'Ombre s'éloigne et je vois le jour qui se lève sur la planète France, je me traîne dans la rue, les collants déchirés, les images, les figures se bousculent, les odeurs, les sensations tandis que la musique résonne que ce n'est pas ma faute, moi Lolita, c'est pas ma faute à moi, et je ne la crois pas, alors je me redresse après qu'il se soit retiré, je ne dis rien, je vais m'enfermer dans la salle de bain (faudra remettre ça c'était cool non), je me regarde dans le miroir (t'as aimé chérie), je ne dis rien, je ne dis jamais rien, après tout c'est de ma faute et je vois que les larmes coulent silencieusement de mes paupières closes, le silence est revenu dans la chambre mais l'odeur de l'Ombre est incrusté sur ma peau, le serpent danse dans ma mémoire, tandis que ma mère rentre (bien dormi mon petit ange il est l'heure d'aller à l'école) .
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Elles racontent leur coup d'un soir le plus insolite


Pauline s’empare aussi bien de sujets lifestyle, sexo et société, qu’elle remanie et décrypte avec un angle féministe, y injectant le savoir d’expert·e·s et le témoignage de voix concernées. Elle écrit depuis bientôt trois ans pour Terrafemina.


Elles confient leur coup d'un soir le plus insolite

Sexe dans une smart, cierge au Sacré-Coeur ou chambre uniquement tapissée de miroirs en Argentine : neuf femmes nous livrent leur session cul la plus étrange.
Les coups d'un soir , c'est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d'autres sur un·e partenaire qu'on aimerait bien oublier à jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous étonne encore. Le genre de plans qu'on se raconte après deux verres pour faire marrer l'assemblée.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémères les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au quatorze juillet comme avant.
"C'était en première année d'étude, via Tinder ou une plateforme du genre . Je parlais pas mal avec un mec et on a décidé d'aller boire un verre. En arrivant, déjà, il ne me plaisait pas du tout physiquement ! Je me suis même demandé si je n'allais pas faire demi tour. Et puis finalement je me suis dit 'allez, vas-y !'.
Pendant tout le rendez-vous j'étais persuadée que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir je ne sais pas... Il a un peu insisté pour qu'on poursuive la soirée et moi comme ça faisait longtemps que je n'avais pas couché avec quelqu'un, j'étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter !
Sauf qu'en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tôt le lendemain. Du coup, on l'a fait dans sa Smart, la voiture. C'était complètement improbable. On a essayé de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrée en RER. Mes collants étaient troués : une vraie Walk of Shame . On ne s'est plus jamais parlé après : emballé, c'est pesé !"
"C'était à une soirée de boulot, où on buvait beaucoup. C'était sympa, on rigolait bien. Et comme à toutes les soirées de boulot, part une première personne, puis une deuxième personne... Restent toujours ceux qui sont célibataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvée seule avec - on va l'appeler 'Monsieur X' - à boire des coups. Quand, patatras !, il m'a embrassée. Pendant la soirée, j'avais dû dire que je n'étais jamais allée à la basilique de Montmartre, et que j'aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait été y faire du bénévolat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendu en moto (pas bien, je sais). Il devait être sept heures du matin. Je crois même qu'on a posé un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allés prendre un café et on est rentrés chez moi. Absurde".
"J'étais en voyage post-études à Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l'avion, on s'était promis de ne jamais se séparer, ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s'est séparées et on est rentrées chacune avec un inconnu. Le sien était un Jamaïcain en vacances dans la même auberge que nous, le mien l'un des employés de ladite auberge.
Le deuxième soir, je suis sortie en boîte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c'est impossible car sa soeur et son neveu y dorment, mais qu'on peut aller à l'hôtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall éclairé au néon rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures : ça annonce la couleur.
On y entre et à la place du papier peint, sur les murs, il n'y avait que des miroirs. Partout, même au plafond. On a fait l'amour en levrette et je l'ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi heure, et quand je me suis réveillée, il était en train de renifler ma culotte . Je crois qu'on n'a pas recouché ensemble après ça."
"C'était une soirée sur la plage, lorsque je voyageais à Mancora, au Pérou. J'avais bu du Pisco dans une noix de coco. J'étais saoule, forcément. Avec mes copines on avait rencontré une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s'appelait Luis, il me semble. On a sympathisé, et on a fini par coucher ensemble sur la plage . On est allés se baigner à poil après, mais rien de très romantique : je devais rester au sec au-dessus de la taille à cause d'un eczéma attrapé sur place.
Bref, je suis rentrée complètement saoule à l'auberge de jeunesse où je logeais, j'ai dormi en me disant que je n'en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a débarqué au petit-dej' en venant me chercher pour le cours de surf que j'avais apparemment accepté qu'il me donne la veille. Il m'a appelée 'bébé' devant tout le monde et j'ai cru mourir de honte".
"J'avais rencontré ce mec à une soirée d'échange linguistique et culturel - le genre d'événement où tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, ténébreux, il a la mèche, les tatouages. Il est beau, on a l'impression qu'il sort d'une scène de film. Je le croise en partant alors que j'allais au vestiaire, on commence à se parler, à flirter. On s'écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel âge il a. J'avais 33 ans à l'époque, il finit par me dire qu'il en a 23. Je me dis que c'est une trop grande différence d'âge , je suis prête à tout arrêter ; c'est un bébé. Mais il me lance 'tu vas voir à quel point je ne suis pas un bébé'. J'ai des frissons d'excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu'il est fauché, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n'en peux plus, j'ai envie de lui et qu'on aille chez moi. Je lui propose, comme il n'a plus de sous, qu'on poursuive la soirée dans mon appartement car j'ai de quoi boire à la maison. On y va.
C'était très caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j'étais hyper motivée. On s'embrasse, et là je me dis : mauvais signe. Il m'embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maïs. C'était atroce, je n'ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu'il allait me péter les dents, c'était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, à poil, et là je découvre qu'il s'est rasé de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence à l'embrasser un peu partout et à lui tailler une pipe . Et là, l'horreur : ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J'essaie vraiment de l'occulter mais je n'arrive pas à me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n'avait pas de préservatif, et le sexe était nul. Il ne pensait pas du tout à mon plaisir. Il a commencé à grogner, ça a duré cinq minutes et c'était fini. C'était vraiment zéro.
Forcément, j'avais envie qu'il parte, mais il voulait rester dormir, alors j'ai un peu cédé. Grave erreur : il a pété toute la nuit j'ai mis 24 heures à me débarrasser de l'odeur. Et en plus de ça, il n'a pas décampé avant que je le dirige vers la porte à 13 heures le lendemain. Je ne l'ai évidemment jamais revu, malgré ses relances".
"C'était lors d'une fête de fin de tournage. Je travaillais dans une agence d'acteurs et je passais dire bonjour à une comédienne que je connaissais. On a bu du champagne et on a sauté dans la piscine d'un hôtel cinq étoiles avec l'équipe du film. De fil en aiguille, j'ai fini par me retrouver toute seule avec le chef opérateur dans un jacuzzi. Il venait d'Equateur. On a couché ensemble, dans ledit jacuzzi, ce que je n'avais jamais fait. On est remontés dans sa chambre avec les bouteilles de champagne, on a continué jusqu'à casser le miroir de la salle de bain .
Le lendemain, c'était son dernier jour de tournage, avec la scène la plus importante. Il devait porter une caméra à l'épaule donc être en forme physiquement. Ce n'était évidemment pas le cas. La journée a été complètement perturbée à cause de son état (et de nos ébats) : deux comédiens ont même loupé leur train. Je ne me rappelais même plus de son prénom au matin, je ne l'ai jamais revu et la dernière fois que j'ai entendu parler de lui, c'est en apercevant son nom au générique du film."
"J'habitais à Paris et j'étais sortie avec ma coloc de l'époque rue Princesse. Il y avait un match de rugby Argentine-France dans l'un des bars, et on a rencontré un groupe de rugbymen. Une chose en entraînant une autre, ils nous demandent de venir chez eux. J'ai couché avec l'un entre eux dans la salle de bain, dans des positions que je ne pensais même pas possibles physiquement , que je n'avais en tout cas jamais pratiquées.
Le lendemain, on est rentrées chez nous comme si de rien n'était, alors qu'on venait de vivre une nuit complètement improbable."
"Je venais de sortir d'une rupture très douloureuse avec un mec que j'avais seulement rencontré six mois auparavant. Le genre de truc fulgurant qui vous met par terre. Dix jours après notre séparation, c'était son anniversaire. On s'était rencontrés via des potes de potes, et j'avais un peu d'espoir qu'on se rabiboche, alors j'y suis allée. Pire idée. Il était super heureux avec tous ses amis et j'avais l'impression qu'on m'avait arraché le coeur.
Je suis rentrée chez moi en pleurs, tellement triste que je me suis effondrée sur le chemin. Un couple de Londoniens s'est arrêté (j'habitais Londres, à l'époque) pour savoir comment j'allais et m'a proposé de venir à une soirée avec eux. Quand j'y repense, j'ai l'impression que c'est un film tellement c'est gros.
J'ai dit oui, et je me suis retrouvée dans un appartement à quelques centaines de mètres. J'ai rencontré un grand mec avec des yeux très verts. Il s'appelait James. Il était gentil, attentionné, il me trouvait belle : tout ce qu'il me fallait à l'époque. On est partis vers 6h30 pour se promener au bord du canal, on s'est embrassés sur un rebord de fenêtre, on a pris un petit-déjeuner très copieux. Et on est rentrés chez moi. Le sexe était archi-nul, mais la douceur du type m'a fait un bien fou. On s'est revus quelques fois en pointillé, on ne cherchait rien ni l'un ni l'autre. J'en garde un très bon souvenir."
"C'était l'été dernier, il y a un an quasiment, lors du bal des pompiers du 14 juillet, à Paris. Pendant la soirée, j'ai commencé à parler avec un mec, il était mignon. Il venait de New York mais parlait un peu français car sa mère est sénégalaise. On a discuté un moment, c'était sympa. Et puis il m'a présenté son cousin, qui lui est français et habite à Paris. On a fait passé un peu de temps à la caserne, et puis on a fait un after chez moi tous les trois avec mon meilleur ami, qui a fini par partir vers cinq heures du matin.
A ce moment-là, je n'avais pas encore trop décidé lequel me plaisait le plus, je les trouvais tous les deux vraiment très beaux, très intéressants. On a continué à parler, à discuter de choses et d'autres, de la vie. Et puis je n'arrivais toujours pas à choisir entre l'un ou l'autre.
J'ai fini par leur proposer qu'on aille se coucher tous les trois. On s'est allongés dans le lit, j'ai commencé à en embrasser un, pendant que l'autre se touchait, ou qu'il était sur moi ou que j'étais sur lui. Au bout d'un moment, le cousin français est parti dans le salon, avant de rentrer chez lui, et j'ai fini la nuit avec l'Américain. Il est resté une partie de la journée et on s'est quittés.
Depuis, j'ai revu le Français plusieurs fois (il travaille dans le bar au coin de ma rue), on a couché ensemble. Pour l'Américain, il me prévient quand il est à Paris mais on n'a jamais encore eu l'occasion de se revoir. J'en garde un super bon souvenir, je n'ai pas pris un plaisir de dingue mais j'étais super excitée, je me sentais très en confiance, un peu tête brûlée. Et pour être honnête, j'aimerais bien réitérer l'expérience du plan à trois , mais cette fois avec un couple. D'ailleurs, je viens d'en rencontrer un sur une appli ..."
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Terminalector



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