Après la fête la fête
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Après la fête la fête
Info
Pour ajouter un peu d’originalité à votre production écrite, retrouvez, ci-dessous, des expressions, des locutions et des syntagmes construits autour du mot fête .
Vous trouverez également une liste pour exprimer la peur , la joie , la tristesse et des sensations , et une autre série d’ expressions et de locutions françaises expliquées . Ainsi, vous ne rencontrerez plus de clichés entre vos lignes mais plutôt de nouvelles idées qui méritent d’être retenues !
La fête est l’ensemble de réjouissances collectives destinées à commémorer périodiquement un événement.
Étymologie : du latin festa dies , jour de fête. Famille du mot : festif , férié , festin , festoyer , fêtard …
Dans le domaine religieux, c’est la célébration en l’honneur d’une divinité, d’un être, d’une chose… vénérés par une religion, ou en commémoration d’un événement marquant de son histoire.
Dans le domaine profane, la fête désigne toutes réjouissances publiques qui se font en certaines occasions extraordinaires comme la fête des Mères, la fête du Travail, etc.
Par extension, la fête implique toutes réjouissances non commémoratives, de caractère plus ou moins occasionnel, faisant l’objet de préparatifs plus ou moins importants de la part d’une collectivité, d’une personnalité, d’une personne privée.
Le saviez-vous ?
L’héortologie est la discipline des sciences humaines qui étudie les fêtes de tous les points de vue : sociologique, philosophique, historique et théologique.
Liste d’expressions et locutions utilisées dans la vidéo :
● Être de (la) fête : Être invité à une fête ; y participer.
● (Être) la reine, le héros de la fête : (Être) la personne en l’honneur de laquelle la fête est donnée ; (être) la personne la plus remarquée, la plus recherchée, parmi les participants de la fête, pour une qualité ou une autre.
● (Être) en fête : (Être) en train de se livrer à des réjouissances.
● Faire la fête : Rompre la routine en faisant quelque chose qui réjouit.
● Être à la fête : Être dans un état, se livrer à une occupation qui réjouit, procure une grande satisfaction.
● N’avoir jamais été à pareille fête : Ne s’être jamais trouvé dans une situation aussi agréable, aussi réjouissante.
● Ne pas être de la fête : Ne pas participer à quelque événement heureux, en être exclu.
● Se faire (une) fête de quelque chose : Se réjouir de quelque chose, en attendre beaucoup de plaisir.
● (Avoir) le cœur en fête : (Être) joyeux, heureux.
● Faire (la) fête à quelqu’un : L’accueillir avec empressement, être très aimable avec lui.
● Ne pas être à la fête : Être dans une situation désagréable, défavorable.
● Être à la fête : Être présent à la fête.
● Faire fête à quelque chose : Lui réserver un accueil favorable.
● (Être) en fête : (Être) plein d’animation, de joie, de bonheur.
● Faire la fête : Se livrer à une vie de plaisir, de désordre, de débauche. Synonyme : faire la noce.
● (Locution populaire ou argotique, par antiphrase) Souhaiter sa fête à quelqu’un : Malmener quelqu’un, lui donner une sévère correction.
par
Hady
· Published 3 juillet 2012
· Last modified 1 février 2021
par
Hady
· Published 29 juin 2012
· Last modified 16 mars 2022
par
Hady
· Published 23 janvier 2021
· Last modified 17 novembre 2021
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Écrit le 12 juillet 2022 . Publié dans Société .
Après deux jours de prières, de partage, de retrouvailles à l’occasion de la fête de Tabaski, les Nigériens renouent avec leur train-train quotidien, à savoir : le travail, les travaux maraîchers et champêtres, l’élevage, le commerce, etc sans oublier la mendicité (pour certains). Bref, la vie au jour le jour se poursuit, à la recherche du pain quotidien. Si certains disent avoir bien fêté l’Aïd El Adha ou fête de Tabaski, ces deux jours de fête ont aussi laissé des traces.
Elhadj Salou Boubacar, un commerçant au quartier Nouveau marché, paré de ses habits neufs en bazin, parade tout autour de sa boutique. « J’ai bien vécu cette fête. Car, j’ai pu sacrifier trois (3) moutons, j’ai aussi habillé toute ma famille, j’ai pris part à la prière collective de Idhi, j’ai rendu visite à mes parents, amis et connaissances pour leur demander pardon et leur souhaiter une bonne fête et enfin j’ai partagé le tiers (1/3) de la viande des animaux que j’ai immolés aux voisins et autres nécessiteux, comme le prescrit notre religion l’islam, c’est dire que j’ai bien accompli tous les rites et pratiques qu’exigent notre religion », se réjouit Elhadji Boubacar.
Mme Salimata Moussa, une enseignante dit, avoir fêté avec quelques remords, quelques frustrations et même quelques regrets. « Certes, j’ai fêté cette tabaski ; mais pas comme je l’ai voulu, car je sais que cette grande fête musulmane se prépare déjà quelques jours, sinon quelques mois avant. Mais rien d’une fête ne se préparait, d’ailleurs, même la date de cette célébration du sacrifice du Prophète Abraham (PSL), n’était pas exactement connue. Il a même fallu avoir une confusion sur le jour exact de cette fête. A cela s’est ajoutée la situation économique difficile, le manque d’argent, qui ont contribué à rendre la fête terne et morose », déplore Mme Moussa. Cependant, elle reconnait avoir effectué le sacrifice rituel de tabaski même si ses deux enfants ont fêté avec leurs vieux habits. « Je pense aux nombreuses personnes qui n’ont même pas pu sacrifier un animal à l’occasion de cette fête. Mais surtout ceux et celles qui n’ont même pas passé la fête chez eux, à cause de l’insécurité et des violences ou en tant que réfugiés », s’indigne l’enseignante.
Harouna Insa, un quinquagénaire et réfugié de Téra, vivant au quartier Guèye Koira, dans le 2ème Arrondissement de Niamey, dit n’avoir pas du tout fêté. « J’ai été chassé de mon village et je me suis refugié ici à Niamey. En venant ici, avec ma famille, j’ai été dépossédé de tous mes biens. Donc, moi je n’ai pas fêté, j’ai une famille de six (6) personnes. Mais, il y a eu une Ong qui est venue nous distribuer de la viande. Ce qui nous a permis d’avoir un vrai plat de fête. C’est tout ce que je garde de cette fête », témoigne Insa le visage triste et serré.
Le jeune Malick Sani se plaint que cette année, il n’a pas pu faire son traditionnel ‘‘Barka da Sallah’’, ‘‘Keyessi’’ ou ‘‘bonne fête’’. « A chaque fête la ‘‘ bonne fête’’ me permet de visiter mes parents et autres connaissances pour les saluer et avoir quelques cadeaux. Mais cette année, à cause de la morosité de la situation, je n’ai pas eu le courage de rendre visite aux gens. J’ai passé toute la fête à la maison et avec quelques amis autour d’un ver de thé », se plaint Sani.
En dépit de toutes ces contraintes, la plus grande fête musulmane s’est globalement et relativement bien passée car les fidèles, pour ceux qui ont eu les moyens se sont acquittés de leurs sacrifices, ont prié dans la ferveur et se sont demandés pardon. En entendant, l’année prochaine pour une autre fête de tabaski, qui sera peut-être meilleure, la vie reprend son cours normal.
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