Apprécier le sexe de qualité

Apprécier le sexe de qualité




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Apprécier le sexe de qualité





Accepter tout
Refuser tout
Gérer les paramètres


Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo .

En cliquant sur Accepter tout , vous consentez à ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos données personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, d’analyser les publicités et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit.

En cliquant sur Refuser tout , vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramètres pour gérer vos préférences.

Pour en savoir plus sur notre utilisation de vos informations, veuillez consulter notre Politique relative à la vie privée et notre Politique en matière de cookies . Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en consultant vos paramètres de vie privée .







Accepter tout
Refuser tout
Gérer les paramètres


Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo .

En cliquant sur Accepter tout , vous consentez à ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos données personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, d’analyser les publicités et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit.

En cliquant sur Refuser tout , vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramètres pour gérer vos préférences.

Pour en savoir plus sur notre utilisation de vos informations, veuillez consulter notre Politique relative à la vie privée et notre Politique en matière de cookies . Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en consultant vos paramètres de vie privée .





Tous les contenus


Actualités


Événements


Webinars


Newsletter







Tous les contenus


Marques et médias


Consommateurs


Relation client


Engagement des collaborateurs


Société


Nouveaux services







Qui sommes-nous


Notre histoire


Chiffres clés


Conseil d’administration


Comité exécutif du Groupe


Valeurs et code de conduite


Engagements RSE


Confidentialité et protection des données personnelles


Droits des interviewés


Ipsos en France


Ipsos dans le monde


Qualité des données







Rejoindre Ipsos


Toutes nos offres


Nos métiers


Engagements RH


Stages et alternance


Égalité professionnelle


Formation







Ipsos


Publications : Société


Sexualité : de quoi les Françaises ont-elles vraiment envie ?




29 avril 2014

Sexualité
Femme
Société









Alice Tétaz

Directrice d'études, Public Affairs



Get in touch





Etienne Mercier

Directeur Opinion et Santé - Public Affairs


Your country* Albania Algeria Argentina Australia Austria Bahrain Belgium Bolivia Bosnia and Herzegovina Brazil Bulgaria Canada Chile China Colombia Costa Rica Croatia Cyprus Czech Republic Denmark Dominican Republic Ecuador Egypt El Salvador France Germany Ghana Greece Guatemala Honduras Hong-Kong Hungary India Indonesia Iraq Ireland Israel Italy Ivory Coast Japan Jordan Kazakhstan Kenya Korea Kosovo KSA Kuwait Lebanon Macedonia Malaysia Mexico Montenegro Morocco Mozambique Netherlands New Zealand Nicaragua Niger Nigeria Norway Pakistan Panama Paraguay Peru Philippines Poland Portugal Puerto Rico Qatar Romania Russia Senegal Serbia Singapore Slovakia Slovenia South Africa Spain Sweden Switzerland Taiwan Tanzania Thailand Tunisia Turkey UAE Uganda Ukraine United Kingdom United States Venezuela Vietnam Zambia Your country*


En envoyant votre message vous acceptez les conditions d'utilisation de notre site. En savoir plus sur nos : Mentions légales

© 2016 - 2022 Ipsos All Rights Reserved
Ces cookies sont nécessaires pour nous permettre d’afficher le site et garantir un fonctionnement optimal. Ils seront toujours actifs car ils conditionnent le bon fonctionnement de notre site.
Ces cookies collectent des informations liées à votre navigation sur ce site. Ils nous permettent d'établir des statistiques et de mesurer l'audience et le nombre de visiteurs et ce dans le but d’améliorer le fonctionnement et les contenus de notre site.
Ces cookies enregistrent votre visite sur notre site, les pages que vous avez visitées et les liens que vous avez suivis. Nous utiliserons ces informations pour rendre notre site et le contenu qui y est affiché plus adaptés à vos centres d’intérêt.

Confirmer mes choix
Tout refuser
Tout accepter

Ipsos a réalisé une enquête pour Psychologies Magazine qui confirme que les Françaises sont de plus en plus décomplexées dans leurs pratiques sexuelles. Sans surprise, leurs comportements, envies et attentes évoluent en fonction de facteurs multiples (dont leur génération et l’âge de la vie dans lequel elles se situent). En trois mots, la clef de succès pour leur faire éprouver plus de plaisir : sensualité, audace, sauvagerie… tout un programme !
Retrouvez les analyses et les décryptages du sondage par des spécialistes (psychanalystes, sexologues, écrivains) dans le numéro de Psychologies à paraître le 29 avril en kiosque.
C’est l’un des premiers grands enseignements de l’enquête. Certes, la quasi-totalité des interviewées a le sentiment que depuis ces dernières années, les femmes osent davantage exprimer leurs désirs sexuels (97%) et ce quel que soit leur âge, leur niveau d’études ou encore leur situation de famille. A priori donc, tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes. De la même façon, la grande majorité d’entre elles perçoit cette libération de la parole comme un phénomène positif (82%), même si elles estiment le plus souvent qu’il est « plutôt » positif (61% contre seulement 21% qui considèrent qu’il est « très » positif).
Le fait que leur opinion soit modérée en ce qui concerne les répercussions d’une plus grande liberté de propos pose en filigrane la question de la libération de la parole masculine. Globalement, cette dernière reste probablement plus libre que celle des femmes, même si pour une partie des femmes interrogées il y a désormais une égalité parfaite.
Ainsi, seule une courte majorité des interviewées estime que les femmes osent autant que les hommes parler de leurs fantasmes sexuels (51%) ou encore demander franchement ce dont elles ont envie au lit (50%). A l’opposé, bon nombre d’entre elles continuent de considérer que la liberté de parole est aujourd’hui plus forte chez les hommes en ce qui concerne la capacité à parler de ses fantasmes (34% contre seulement 14% qui pensent que les femmes osent plus facilement le faire) ou encore demander franchement ce dont on a envie au lit (37% contre 12% pour les femmes). Le seul sujet dont elles estiment majoritairement parler autant que les hommes (51%), voire plus qu’eux (30%), c’est de leur plaisir.
C’est probablement le principal « marqueur » d’une sexualité féminine toujours moins libre que celle des hommes. En effet, seulement 43% des interviewées estiment que les femmes osent autant que les hommes réaliser leurs fantasmes sexuels, tandis que presqu’une sur deux considère que ce sont eux qui osent le plus le faire (47%).
D’ailleurs, un autre chiffre est assez éloquent : moins d’une femme sur quatre avoue qu’il lui est souvent arrivé de réaliser l’un de ses fantasmes (24%). Dans la plupart des cas elles ne l’on fait que rarement (47%), voire jamais (25%). Il est donc assez peu étonnant que moins d’une femme sur cinq avoue qu’il lui arrive de se sentir honteuse de certains de ses désirs ou de ses fantasmes (18%) puisque de toutes les façons elles passent rarement à l’action.
Autre enseignement de l’enquête, si les femmes se montrent globalement satisfaites de la qualité de leurs relations sexuelles, les résultats montrent à plus d’un titre que certaines estiment que tout n’est pas parfait, loin s’en faut.
D’abord, la note qu’elles attribuent au plaisir qu’elles ressentent lors de leurs relations sexuelles est certes honorable mais loin d’être exceptionnelle (7/10). Moins d’une femme sur cinq attribue une note comprise entre 9 et 10 (19%), tandis qu’un tiers se montrent relativement critiques en donnant à leur plaisir sexuel une note inférieure ou égale à 6/10 (30%).
Nul doute que si les femmes expriment une satisfaction sexuelle certes bonne mais aussi modérée, c’est en partie en raison de leur moindre capacité à « oser » demander non seulement à ce que leurs fantasmes soient exaucés mais aussi tout simplement, à prendre l’initiative de l’acte sexuel (seules 53% reconnaissent le faire souvent).
Aujourd’hui, une femme sur deux déclare faire l’amour au moins une fois par semaine (51% dont 4% au moins une fois par jour, 27% entre deux et cinq fois par semaine et 20% une fois par semaine). 14% affirme le faire moins d’une fois par mois et seule une femme sur dix dit ne jamais avoir de relations sexuelles (11%). Par ailleurs, si une majorité de femmes dit être satisfaite de la fréquence de ses relations sexuelles (62%), seule une minorité déclare que c’est « tout à fait le cas » (19%), la plupart d’entre elles se disent simplement « plutôt » satisfaites (43%).
D’ailleurs, idéalement, presqu’une femme sur deux aimerait avoir des relations sexuelles plus fréquentes qu’aujourd’hui (47%). Seulement 6% avouent qu’elles préféreraient faire l’amour moins souvent (contre 46% qui se montrent satisfaites de la fréquence actuelle de leurs relations sexuelles).
L’enquête apporte des éléments d’explication : en effet, seulement une femme sur deux déclare qu’elle prend souvent l’initiative de l’acte sexuel (53%). Les autres ne le font que rarement, voire jamais (44%). C’est donc une forme d’autocensure que de nombreuses femmes s’appliquent à elles-mêmes en laissant encore (trop) souvent l’initiative aux hommes. Là encore, l’âge est un facteur clivant : les plus jeunes prennent plus fréquemment les choses en main que les plus âgées (69% des 18-24 ans).
En matière de sexualité, on sait depuis toujours qu’il y a des effets d’âge et que les comportements et les perceptions varient beaucoup en fonction de la génération à laquelle on appartient et de l’âge de la vie dans lequel on se situe (jeune célibataire, en couple avec ou sans enfant, jeune retraitée, etc.). En effet, la génération des 18-24 ans (et dans une moindre mesure celle des 25-34 ans) détonne fortement par rapport aux autres. 
Le fait est que cette génération de jeunes, tout comme celle des 25-34 ans, exprime un engouement beaucoup plus fort pour des pratiques que les générations plus âgées n’apprécient peu, voire pas du tout. Ainsi, la grande majorité des 18-24 ans dit apprécier le cunnilingus (63% contre 52% au global), la pratique de la fellation (58% contre 47% au global) ou encore du 69 (54% contre 48% au global). Dans une moindre mesure, une femme de moins de 25 ans sur trois dit aussi apprécier de se masturber devant l’autre (30% contre 24% au global). Seule limite, la sodomie que 37% des 18-24 ans n’ont jamais pratiquée et que 51% n’apprécient pas.
Dans le même temps, les femmes de 18-24 ans n’acceptent pas plus que les autres de se plier à des pratiques sexuelles qu’elles n’apprécient pas, comme faire l’amour alors qu’elles n’en ont pas envie (67% le font rarement ou jamais contre 66% au global). De même, la majorité d’entre elles avoue souvent demander franchement ce dont elles ont envie au lit (54% contre seulement 44% au global). Si les jeunes femmes prisent ces pratiques sexuelles, c’est probablement d’abord parce qu’elles les apprécient et donc pour « se » faire plaisir.
Surtout, cette jeune génération, certes plus libérée et plus exigeante, ne semble pas être en recherche du plaisir à tout prix et chercher à en repousser les limites toujours plus loin. Elle se montre presqu’autant réfractaire que les autres à l’amour à plusieurs (74% contre 81% au global), au sadomasochisme (89% contre 91% pour l’ensemble) ou encore à l’échangisme (92% contre 91% pour l’ensemble) ou à la possibilité d’avoir une relation homosexuelle (72% contre 78% au global). Pour ce qui est de prendre un amant, l’idée les séduit moins que leurs aînées (74% disent « moi, jamais »). Avec l’âge, l’idée semble faire son chemin chez une partie de la population féminine : 40% des femmes de 35 ans et plus l’ont déjà fait ou souhaiteraient en prendre un.
Par rapport à leurs aînées, le code a changé. Les femmes de 18 à 24 ans ont beau faire plus souvent l’amour que leurs aînées (13% déclarent le faire au moins une fois par jour et 66% au moins une fois par semaine), elles ne se montrent pas plus satisfaites que la moyenne de la fréquence à laquelle elles ont des relations sexuelles (62%, comme au global) et souhaiteraient même en avoir un peu plus souvent (61% contre 47% pour l’ensemble).
Pour le coup, ce problème leur pose probablement moins de soucis car contrairement à leurs aînées, elles n’hésitent pas à prendre l’initiative de l’acte sexuel (69% contre 53% pour l’ensemble), notamment pour réaliser leurs fantasmes (36% le font souvent contre 24% pour l’ensemble).
Elles affichent aussi des niveaux de satisfaction sexuelle un peu plus élevé avec une note moyenne de 7,4/10. 77% d’entre elles donnent une note égale ou supérieure à 7 en ce qui concerne la qualité de leur plaisir.
Dans ce domaine, les femmes semblent prendre de plus en plus souvent plaisir à mettre à mal l’image traditionnelle de l’homme dominateur et de la femme dominée dans les rapports sexuels. Pour la plus grande partie d’entre elles, l’acte sexuel ne saurait être perçu comme un rapport dominant/dominé puisque seulement un tiers des femmes apprécie d’être dominé pendant l’amour (33%) et qu’une sur quatre aime dominer l’autre (26%).
D’ailleurs, cette tendance au refus de la domination se retrouve dans les préférences avouées en termes de positions sexuelles. La grande majorité des femmes avoue aussi bien apprécier être sous leur partenaire pendant l’amour (76%) que sur lui (68%), même si on note toutefois un différentiel.
Sur ce point, il subsiste aujourd’hui une légère différence d’appréciation (de 8 points) qui est plus le fait des femmes les plus âgées. Ces dernières, probablement plus traditionnelles, apprécient moins cette position de domination que les plus jeunes (55% pour les 60 ans et plus contre 79% pour les 18-24 ans).
Mais là encore, les jeunes femmes, surtout les plus jeunes 18-24 ans mais aussi dans une moindre mesure les 25-34 ans se démarquent désormais fortement de leurs aînées en introduisant justement dans leurs relations sexuelles des rapports de domination (que leurs aînées semblent plus fréquemment refuser) mais avec une réelle interchangeabilité des rôles entre les partenaires. Il ne s’agit plus d’être dominée ou de dominer mais bien d’enrichir sa vie sexuelle par la mise en place de rapports de domination certes, mais qui s’inversent au fil des rapports sexuels.
Ainsi, si une majorité des 18-24 ans apprécie d’être dominée (70% contre 33% au global), beaucoup aiment aussi dominer l’autre (56% contre 26% pour l’ensemble) même si c’est moins fréquent. De la même façon, parmi les plus jeunes (les 18-24 ans), presqu’une femme sur deux avoue autant apprécier être attachée pendant l’amo
Baise sur le hamac avec une jeune inconnue
Beurette sexy dans sa première scène porno
Ma copine invite sa meilleure amie à faire une partie à trois

Report Page