Apprécier la douleur

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Apprécier la douleur
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Dernière mise à jour : 25 mars, 2017
Le bonheur et la douleur peuvent sembler être des termes contradictoires et incompatibles. Mais est-ce possible d’être heureux-se au milieu de la douleur ? Accepter la douleur n’est pas uniquement possible dans la quête du bonheur, c’est nécessaire.
En réalité, “bonheur” ne signifie pas “absence de douleur”. Le véritable bonheur se trouve bien au milieu de la douleur. La question n’est pas d’éviter la douleur que nous ressentons ou de minimiser son impact dans notre vie, qui est belle et douloureuse en même temps. Vous ne pouvez pas avoir l’un sans l’autre.
Le bonheur est un état contagieux dans n’importe quelle circonstance. Il n’a pas grand chose à voir avec les circonstances et est directement lié à la manière dont nous appréhendons nos vies et ce qui arrive autour de nous.
Le bonheur est contagieux et ce n’est pas une idée en l’air. C’est un processus chimique qui a lieu dans notre cerveau, grâce aux neurones miroirs.
Quand nous voyons quelqu’un qui vit une émotion, notre cerveau éprouve la même émotion, en imaginant ce que l’autre personne ressent. Il le fait en essayant de répandre en lui les mêmes synapses en lien avec les émotions identifiées. C’est ce que l’on appelle l’empathie, mais aussi la manière dont nous intégrons les mentalités des autres.
À chaque fois que ces synapses sont déclenchées, le cerveau est remodelé. C’est pour cela qu’il est si important de passer du temps avec les personnes qui sont capables d’être de bonne humeur, qui irradient de la joie, et qu’il faut éviter les pessimistes et les personnes de mauvaise humeur. Mais c’est seulement la première étape. Accepter la douleur implique d’autres questions qu’il faut à présent analyser.
Les bienfaits du bonheur sont inégalables. Par exemple, il peut nous aider à vivre une vie plus longue et saine. Mais beaucoup de gens ne savent pas vraiment comment être heureux. De fait, la recherches du bonheur de certaines personnes est souvent contre-productive, en partie elles se concentrent sur l’évitement ou l’élimination de la douleur dans leur vie.
Mais nous avons déjà expliqué que la bonheur est bien plus que l’absence de douleur. La douleur est, en réalité, une partie nécessaire du bonheur. De fait, les recherches montrent qu’elle peut donner lieu au plaisir de plusieurs manières. Voyons à présent pourquoi.
Le bonheur comme état animique est une question de contrastes. Si vous étiez heureux-se tout le temps, vous ne pourriez pas reconnaître cet état de bonheur. Parfois, il est nécessaire d’expérimenter l’extrême opposé du spectre pour être capable de reconnaître et d’apprécier le véritable bonheur.
Cela ne signifie pas qu’il doit y avoir une absence de douleur pour reconnaître le plaisir , mais que malgré la douleur, quelle qu’elle soit, il est possible de valoriser et de profiter de petits détails qui, sinon, passeraient inaperçus. 
La douleur n’est pas agréable, mais le soulagement de la douleur, si. Les études démontrent que lorsque la douleur disparaît, on vit une augmentation du bonheur, bien plus élevée que si nous n’avions pas ressenti de douleur.
Cela accentue aussi le fait que des choses simples peuvent être valorisées et apporter du bonheur lorsqu’on traverse un épisode douloureux, ce qui augmente aussi la sensation de gratitude. De plus, le plaisir se transforme aussi en quelque chose de bien plus profond et durable, en quelque chose de plus fort qu’une sensation physique.
La douleur nourrit l’ empathie . C’est pour cela que les gens se démènent pour celleux qui traversent une période difficile, comme la mort d’un être cher ou une maladie grave. Cette connexion sociale qui naît de la douleur augmente la coopération fait ressortir le meilleur des personnes.
Grâce à cela, le dépassement de la douleur est plus facile et renforce ces relations, créant des connexions qui vont bien au-delà. Ainsi, la douleur vous aide à connaître les personnes et à découvrir le bon en elles, quelque chose qui restera une fois que la tempête sera passée.
Surmonter une situation difficile vous rend méritant-e d’une récompense gagnée grâce à vos efforts. Le “quoi” n’est pas important dans ce cas, car ce qui importe, c’est de sentir que l’on a surmonté l’adversité, que l’on s’est dépassé-e soi-même.
En réalité, c’est le dépassement et le fait d’avoir su surmonter les choses qui fait mériter la véritable récompense, qui peut se concrétiser dans n’importe quelle chose simple et dont le rôle est en fait de nous rendre plus conscient-e de l’effort.
La douleur vous rend conscient-e de ce qui se passe à ce moment-là, vous fait vivre l’instant . Peut-être que dit ainsi, cela ne semble pas important, mais être conscient-e des choses sur le moment a un lien très fort avec le bonheur.
Lorsqu’on est conscient-e de ce que l’on est en train de vivre, on oublie les questions superficielles pour se concentrer sur ce qui importe vraiment. Ainsi, on évite de s’inquiéter pour des choses qui n’ont pas de solutions ou d’être angoissé-e par l’incertitude de ce qui arrivera demain. Apprendre à rester dans le moment présent, même lorsqu’on ne ressent pas de douleur, peut aider à mener une vie plus heureuse. 
Dernière mise à jour : 25 mars, 2017
Nos Pensées Blog sur la psychologie et la philosophie, articles et reflexions sur le bonheur, la peur et d'autres aspects de la psychologie. © 2012 – 2022 . Tous les droits réservés. Les contenus de cette publication sont rédigés à des fins uniquement informatives. A aucun moment ils ne peuvent servir à poser des diagnostics ou à remplacer le travail d'un professionnel. Nous vous recommandons donc de consulter votre médecin de confiance.

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Dr Corinne Tutin




Médecin et journaliste santé


Validation médicale :
27 June 2014





Jesus Cardenas




médecin, ancien directeur médical


Sommaire


Les échelles de douleur de plus en plus utilisées


Bien d'autres questionnaires


Des outils mieux connus des médecins




Révision médicale :
27/06/2014





Jesus Cardenas




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Rompant "le silence des organes", la douleur est par nature subjective. Néanmoins, l'emploi d'échelles et de questionnaires permet aujourd'hui de mieux en apprécier l'intensité et le retentissement sur la vie du malade. Ce qui permet de mieux la traiter.

L'entretien est important chez une personne se plaignant de douleur. Il permettra de préciser si la douleur est aiguë ou chronique. Et d'en détailler :
Autant de caractéristiques qui fournissent des indications précieuses sur son origine et aident au choix du traitement.
Le médecin ou une infirmière pourront demander au malade de reproduire sur un schéma la topographie des zones douloureuses. On lui présentera par exemple un "bonhomme" sur lequel il dessinera le lieu de la douleur et indiquera par les lettres "S" et "P", si celle-ci se situe en surface ou en profondeur. Par un "I", le patient désignera aussi la zone d'intensité maximale.
Indiquez sur le schéma ci-contre où se trouve votre douleur habituelle (depuis les 8 derniers jours) en hachurant la zone.
Mettez sur le schéma un "S" pour une douleur près de la surface de votre corps ou un "P" pour une douleur plus profonde dans le corps.
Mettez un "I" à l'endroit où vous ressentez la douleur la plus intense.
De plus en plus, des échelles d'évaluation sont aussi utilisées et ce même par les médecins généralistes. Leur but est triple : apprécier l'intensité des phénomènes douloureux, déceler les malades ayant besoin de médicaments et suivre l'évolution sous traitement. La plus employée est l'échelle visuelle analogique (EVA). Il s'agit d'une simple réglette horizontale comportant une ligne allant de "pas de douleur" à "douleur maximale imaginable" sur laquelle coulisse un curseur. Au dos, une impression millimétrique mesure le niveau de douleur.


Echelle visuelle analogique de la douleur
En cas de difficultés à répondre, on pourra proposer au patient une échelle similaire mais graduée de 0 à 10 (échelle numérique) ou une échelle verbale simple correspondant à 5 niveaux (0 : douleur absente ; 1 : faible ; 2 : modérée ; 3 : intense ; 4 : extrêmement intense). Des instruments spécifiques existent aussi pour les jeunes enfants.
Enfin, dans les centres antidouleur, il n'est pas rare que l'on soumettre au malade à côté de "ces thermomètres de la douleur", une liste d'adjectifs ou de mots qualifiant celle-ci, sur le modèle du questionnaire mis au point à l'hôpital Saint-Antoine de Paris.
Ce test offre l'intérêt de faciliter l'identification des douleurs d'origine nerveuse et de mieux apprécier comment la douleur est tolérée.
Il est également utile de demander au patient de remplir un auto-questionnaire de retentissement émotionnel. Dans ce cas, c'est la présence de symptômes dépressifs et anxieux qui est alors recherchée.
Enfin, d'autres échelles apprécient les conséquences de la douleur sur le comportement de tous les jours (travail, relation avec les autres, humeur, capacité à marcher...).
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Grâce à toutes ces échelles, la douleur est mieux appréhendée. Des organismes officiels comme l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé (Anaes), la Direction générale de la santé (DGS) en ont diffusé l'existence et ces outils sont dorénavant mieux connus des professionnels de santé.
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Thierry Delorme, François Boureau Centre d'évaluation et de traitement de la douleur, hôpital Saint-Antoine, 75012 Paris.
Catherine Dollfus Hôpital d'enfants Armand -Trousseau, 75012 Paris.
Mati Nejmi Institut National d'Oncologie, Rabat, Maroc.
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La nature "individuelle" de la douleur justifie un abord clinique basé sur une évaluation globale du malade et pas uniquement de la maladie. Différents niveaux d'évaluation complémentaires sont à considérer :
La notion d'évaluation de la douleur est souvent réduite à la seule évaluation de son intensité. Certes, il s'agit d'une variable essentielle pour la décision des traitements symptomatiques, mais ce n'est pas la seule variable. Nous nous efforcerons donc de présenter la démarche d'une éva­luation globale de l'ensemble de la symptomatologie douloureuse. Nous dégagerons ainsi mieux l'apport clinique de l'évaluation de l'intensité de la douleur. Ceci aura aussi l'avantage de ne pas laisser planer des attentes excessives et non valides vis-à-vis de ces échelles.
Disposer d'un méthode d'évaluation de la dou­leur et du soulagement nous parait présenter de nombreux avantages en pratique courante :
L'absence de moyens définis pour évaluer l'intensité de la douleur expose au risque de la sous-estimer, de la méconnaître ou de ne pas la croire.
Les problèmes posés par l'évaluation de la douleur rejoignent en fait ceux de tout autre phénomène subjectif, par exemple l'anxiété, la dépression et la qualité de vie.
Une première règle est d'accepter que le malade soit en dernière analyse le seul véritable expert pour apprécier l'intensité d'une douleur.
Cela ne veut pas dire qu'il faut considérer que la plainte reflète de façon fiable et univoque une cause nociceptive. La notion de douleur laisse la place à des mécanismes variés et donne une place aux possibles facteurs psychologiques associés. Croire a priori la plainte du malade a l'intérêt de largement favoriser une relation médecin-malade de qualité.
Divers facteurs peuvent conduire les patients à ne pas exprimer leur douleur ou à refuser un traitement antalgique, opioïde en particulier. Il peut s'agir de croyances, de craintes ou de désirs :
Toutes ces variables peuvent masquer la plain­te spontanée. En outre, les douleurs n'indui­sent pas nécessairement des comportements spécifiques de douleur. L'évaluation s'appuie essentiellement sur ce que dit le patient et elle doit être systématique dans le suivi du malade cancéreux.
L'évaluation peut aussi être biaisée par les soignants s'ils ont les mêmes craintes que les patients ; de plus, les contraintes réglemen­taires, le manque de temps et de disponibilité peuvent également constituer des freins à une bonne évaluation de la
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