Anna se branle sur le toit de l'immeuble

Anna se branle sur le toit de l'immeuble




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Anna se branle sur le toit de l'immeuble
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J'avais environ 20 ans quand cette mémorable histoire m'est arrivée, je me baladais dans Paris au mois d'août. C'était un vendredi, en fin d'après midi. Je transpirais comme un malade et me disais que ce n'était pas très malin de sortir en pleine canicule. Je m'apprêtais à rentrer chez moi quand j'aperçus un type sortir d'un immeuble. Le même âge que moi, peut-être même plus jeune, il était en bleu de travail. Il faisait tellement chaud qu'il avait descendu la fermeture éclair de sa tenue de travail jusqu'en dessous de son nombril pour se mettre torse nu. Il avait les cheveux blanchis par le plâtre et portait un seau de gravats sur l'épaule laissant apercevoir la touffe noire de l'une de ses aisselles. Je n'en n'avais jamais vu de si poilues. Il était du genre trapu et costaud. J'appris plus tard qu'il était d'origine portugaise mais il n'avait aucun accent. Son large torse luisait de sueur. Il vida le seau dans une sorte de container et repartit dans le petit immeuble de trois étages.

J'ai été électrisé par cette vision. Sans même réfléchir je le suivis. Je l'entendais monter devant moi l'escalier de bois et me retrouvai bientôt au dernier étage devant une porte ouverte. Un plan me vint à l'esprit.

Il sortit d'une autre pièce un peu surpris et je ne lui laissai pas le temps de parler :

— Je suis un ami des propriétaires. Ils m'ont dit qu'ils faisaient des travaux mais je croyais que c'était fini. Ils vont repasser ?

— Non, je suis seul, je ferme le chantier pour le week-end, on reprend lundi mais y'en a encore pour deux ou trois jours. Je jetai un regard circulaire admiratif en lâchant :

— C'est joli en tout cas; ils refont tout à ce que je vois.

— Ouais, j'veux bien ! Je fus surpris par son geste : il referma la porte d'entrée avant de me faire visiter le chantier. Je fis le tour du trois pièces, matant à la dérobée le jeune mec.

— C'est du bon boulot en tout cas, c'est super. Vous êtes seul ?

— Non, mais c'est le week-end, ils sont tous repartis plut tôt, je termine de ranger et je me casse.

Je sentais qu'il n'était pas tant pressé que ça que je parte. Une intuition. Mon cœur se mit à battre, je n'avais jamais rien fait de spécial côté sexe, ni avec une fille, ni avec un mec. Peut-être même que je prenais mes désirs pour la réalité... Mais je décidai de tenter le tout pour le tout.

— Vous n'auriez pas un verre d'eau, j'en peux plus, je marche depuis deux heures au moins.

— Mais non pas de problème, servez-vous dans la cuisine, je vous montre pas le chemin, vous connaissez les lieux ! Vous pouvez même rester sur la chaise là, le temps de vous retaper.

Il continua de ranger les derniers outils puis se tourna vers moi, un peu gêné :

— Bon, je vais vous laisser, je dois prendre une douche car je suis attendu chez des potes et j'ai pas le temps de repasser chez moi. J'peux vous demander de ne pas en parler aux propriétaires, je ne suis pas sensé me laver ici, mais vous comprenez...

— Mais je vous en prie. J'dirai rien, vous pouvez être tranquille.

— Merci. Il retourna dans l'autre pièce et se déshabilla. Il resta en slip. Je pouvais l'apercevoir depuis mon tabouret. Son slip moulait une paire de fesses généreuses. Il se tourna vers moi :

— D'ailleurs, si vous voulez prendre une douche après, y'a pas de problème. Il fait tellement chaud.

— C'est vraiment sympa. C'est pas de refus.

Sur ces mots il entra dans la salle de bain attenante laissant la porte ouverte. Je m'étais levé et pu l'apercevoir ôter son sous-vêtement et entrer dans la cabine. Il entreprit de se savonner m'offrant le spectacle de son dos et de ses fesses musculeuses, tournant la tête vers moi quand il me parlait comme si de rien n'était :

— Vous les connaissez bien... Vous êtes du quartier... Vous faites quoi dans la vie, etc... Je répondais à ses questions et dans le feu de la conversation me rapprochais de la salle de douche.

— Ça y est, j'ai fini, vous pouvez y aller.

Il sortit de la cabine, pris une serviette qu'il porta négligemment devant son sexe et me fit signe de la tête d'y aller. Mais il resta dans la salle de bain pour s'essuyer et continuer de discuter. Je dus me déshabiller devant lui et prendre cette satanée douche en sa présence. C'était pourtant le but recherché mais je me sentais piégé. Il avait pris les choses en main. J'offris mon dos à son regard. Puis je changeai d'avis et me retournai devant lui en me savonnant le torse. Il pouvait ainsi m'observer, ou sortir s'il était gêné. Mais au contraire, il entreprit de s'essuyer l'entrejambe, comme si de rien n'était. Parfois, son sexe apparaissait subrepticement et je commençais à être excité par la vision de ce corps râblé, avec ses cuisses massives, ses biceps gonflés et ses épaules d'haltérophile.

Ma bite se dressa lentement et je ne fis rien pour masquer mon érection. Il s'essuya alors les cheveux, masquant son visage mais offrant à ma vue sa verge turgescente. Elle était également en légère érection : une bite épaisse avec un gland qui sortait à moitié de son fourreau. Plus il s'essuyait les cheveux plus son érection prenait de l'ampleur. Quel spectacle. Je me savonnai davantage les couilles et l'entrejambe et il laissa tomber sa serviette, le dard pointé au plafond. Ses pectoraux se soulevaient au rythme de sa respiration accélérée. Il laissa tomber :

— Ouais, j'en peux plus. Et tout en prononçant ces mots anodins, mon regard vissé dans le sien, je saisis ma verge à pleine main et entrepris une lente masturbation.

Il baissa les yeux vers mon sexe et commença à son tour à se branler. Nous étions donc là, tous les deux debout en train de nous branler, en regardant chacun la bite de l'autre. La sienne était un peu moins longue que la mienne, mais de bonne taille tout de même, et surtout, épaisse, j'avais l'impression que sa main n'en faisait pas le tour complet... La mienne était de belle taille, j'en étais plutôt fier, d'une bonne circonférence tout de même, mais circoncise à mon grand regret.

Il haletait et poussait de petits gémissements. Soudain, je vis les muscles de ses cuisses se contracter. Il plia légèrement les jambes tout en cambrant le bassin vers l'avant, puis pris d'une frénésie incroyable, piétina vers la douche pour lâcher de puissants jets de spermes dans la cabine. Quelques gouttes touchèrent mes pieds et avant que j'aie pu faire quoique ce soit je jouissais à mon tour.

— Putain, qu'est-ce que c'était bon dit-il, ajoutant qu'il n'avait pas voulu tâcher le parquet tout neuf.

Un fois nettoyés et rhabillés, nous discutâmes tranquillement car il avait du temps avant son rendez-vous et je n'avais rien de particulier de prévu. Nous évoquâmes la masturbation, comment il avait découvert ce plaisir qu'on peut se donner, ses techniques, les miennes, les fréquences, nos fantasmes, etc... C'était super de pourvoir parler de ça avec quelqu'un, à haute voix, en sachant qu'on ne risquait pas d'être jugé. Il m'expliqua par exemple que son grand truc c'était de pouvoir parler ou faire du bruit pendant l'acte, qu'il s'agisse d'une branlette ou d'une baise. Il n'était plus puceau depuis deux ans déjà et avait une petite copine avec qui il faisait l'amour régulièrement.

Au moment de se quitter, il sembla hésiter avant de me proposer :

— Si tu veux, on pourrait refaire ça.

— Ouais, pas de problème quand tu veux.

— Je sais que demain les voisins d'en dessous ne sont pas là et la boutique du rez-de-chaussée est fermée le week-end...

— Pourquoi pas, ouais, 14 h, ça te va.

Le lendemain, nous nous retrouvâmes, un peu timides au début. Nous avions eu le temps de réfléchir à l'incongruité de la situation, lui avec sa copine, moi hétéro-bi, sans trop savoir, attiré par tout ce qui était sexuel en fait... Nous décidâmes de nous déshabiller et de nous allonger sur le canapé qui était resté dans l'appartement, retirant la housse de protection.

Assis côte à côte, nous jetions des regard sur le corps de l'autre. Ses jambes allongées faisaient encore plus ressortir l'épaisseur musclée de ses cuisses. J'avais une vue imprenable sur son pubis noir et touffu, ses abdominaux saillants... Il commença aussitôt à marmonner !!

Pris au jeu, je me mis à gémir également :

— Oh oui, j'aime ça aussi putain, je bande à fond.

— Oui tu bandes comme un cerf mon salaud, moi aussi. J'ai une super trique putain je m'astique comme un fou c'est ça... Branle-toi à fond, jusqu'au max ooooh... Que c'est bon, oh, oh, oh, ça vient...

— NON attends, ne jouis pas maintenant, fait durer, merde !

— C'est bon, c'est bon, ohhhh c'est booooonnnnn, criais-je.

Il lâcha son sexe, le dard tendu vers le plafond, se cambra et cria d'une voix rauque :

Puis il reprit son sexe en main et s'astiqua de nouveau :

— C'est trop bon, argg, han, han, han.

Il était comme envoûté, il lâcha son pieux et tourna son bassin légèrement vers moi :

Je ne me fis pas prier et saisis cette grosse verge offerte. Quelle sensation incroyable, quel étonnement de pouvoir faire coulisser ce prépuce sur ce gland au bord de l'explosion.

— T'es monté comme un âne mon salaud, j'adore te branler. Oui, c'est ça, oui, oui, oui, branle moi à fond. OUI, OUI, OUI, OUIII ! Putain tu me fais jouir, OH OOOUUUIII...

De larges jets maculèrent son torse, puis les poils de son nombril, tandis que je continuais à le branler. Les dernières gouttes tombèrent dans sa toison pubienne. J'attendis quelques secondes, avant de laisser tomber, autoritaire :


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