Anissa rends son cul

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* NEW ROMANCE *
Kylian Etienne, capitaine de l'équipe de Rugby de son université, c'est lui-même forgé une ré... Mehr
* NEW ROMANCE *
Kylian Etienne, capitaine de l'équipe de Rugby de son université, c'est lui-même forgé une réputation de coureur de jupons qu'il assu...
Je traine sur une table extérieure du réfectoire, un café à la main, un bouquin dans l'autre, quand Kévin me rejoint dans un grand sourire en désignant le banc en face du moi.
J'acquiesce en refermant mon livre, sur lequel il jette un coup d'œil.
-Les pensées philosophes de Voltaire.
-Oh ! La conversation est la communication de nos faiblesses, me cite-t-il en levant prétentieusement les sourcils.
-Je ne suis pas qu'un joueur de Rugby écervelé Mademoiselle, plaide-t-il, amusé. J'ai entendu dire que tu étais une grande fan de Baudelaire ?
-C'est Kyle qui t'a raconté ça ? souriais-je, sans nul doute. C'est vrai que je l'apprécie beaucoup. Tu le lis aussi ?
-Seulement pour les cours, m'avoue-t-il. Mais je connais deux ou trois vers.
Craignant qu'il ne s'en vente seulement pour impressionner les filles, je décide de le tester et de le taquiner un peu.
-Tiens donc, je serais curieuse de savoir lesquels. Cite m'en un pour voir...
-Soit belle, et tais-toi, (CF : Les Fleurs du mal, sonnet d'automne), me balance-t-il fièrement et j'éclate de rire.
-Ok, je l'ai bien cherché celle-là.
Il tire un chapeau invisible avant de suivre mon rire, mais le sien s'estompe net quand son regard se braque dans mon dos, avant de retomber honteusement sur ses mains. Je me tourne pour découvrir ce qui lui a soudainement retiré toute sa joie, voyant Mégane traverser le parking pour rejoindre sa voiture.
La mine dépitée de Rabbit me pince secrètement le cœur.
-Tu ne lui parles plus du tout... ? lançais-je, méfiante.
-Non, et c'est bien mieux comme ça.
Il tente un sourire, mais il ne donne pas grand-chose.
-On dirait que tu l'appréciais vraiment...
-Ouais, soupire-t-il. Enfin, je ne sais pas, c'est une chouette fille mais je n'aurais pas dû faire ce que j'ai fait. C'était vraiment une connerie.
-Peut-être que tu n'as seulement pas fait les choses de la bonne façon, ou dans le bon ordre.
-Je veux dire... réfléchis-je, ne sachant pas trop vers quel terrain possiblement miné est-ce que j'avance. Si tu avais parlé à Kyle de ce que tu ressentais pour elle avant de... De faire ce que tu as fait, il aurait peut-être mieux pris les choses. Peut-être même que t'aurais eu une chance de voir où est-ce que ça pouvait mener avec Mégane.
-Je ne pense pas, non. S'enticher de la fille que fréquente ton frère, ce n'est pas super réglo. Qu'on le lui dise avant de se la taper ou non.
Je ne peux pas vraiment le contredire là-dessus.
-Et puis franchement, pouffe-t-il un peu tristement. Tu imagines les repas de famille plus tard s'il y avait dû avoir quelque chose entre nous. Moi, ma nouvelle copine qui est l'ancien plan cul de mon frère, et mon frère à la même table...
Cette fois, c'est moi qui grimace. Je rejette la vague de jalousie qui s'abat sur moi, ce que Rabbit semble réaliser.
-Désolé, je ne voulais pas te rappeler qu'il avait déjà couché avec elle, baragouine-t-il. Bref, oublie ça. On s'en fou, elle ne comptait absolument pas pour lui.
-Ce n'est rien, on a tous un passé, tentais-je de faire bonne figure.
-Ouais, d'ailleurs, j'ai cru comprendre qu'il t'avait raconté une partie du sien...
-Une partie, oui, soulignais-je. Qui sait, tu pourrais peut-être m'en dire plus ?
Il rit doucement en secouant la tête, refusant.
-Ce n'est pas à moi de te parler de tout ça.
J'exagère une moue, bien que je me doutais un peu qu'il ne m'aurait rien dit, puis lui échange un sourire amical.
-Il le fera lui-même quand il s'en sentira prêt, ne t'en fais pas pour ça.
-Je n'en suis pas si sûre, soufflais-je mollement. Chaque fois que j'essaie d'en savoir plus, il se braque complètement.
-Il n'a vraiment pas un passé facile Cam, me rappelle-t-il d'une voix tendre, rassurante. Il a vécu un tas de trucs qu'on n'imaginerait même pas qu'un gosse puisse vivre. Puis il a aussi fait des choses qui ne sont pas faciles non plus à endosser, il a encore du mal à vivre avec. Il lui faut du temps mais je suis certain qu'il finira par t'en parler, essaie d'être patiente...
-Je fais de mon mieux, lui assurais-je.
On échange un énième sourire, plus sincère, avant que son comportement ne change brusquement. Il rit nerveusement en se dandinant sur lui-même, me faisant froncer les sourcils.
-Tu sais, je... Je n'ai jamais vu Kyle comme ça, me confie-t-il. Ça me parait complètement irréel.
-Tout ça, déclare-t-il, l'air abasourdi. Qu'il te tienne la main, qu'il dorme avec toi... Je sais que tu ne peux pas t'en rendre vraiment compte, mais tout ça pour lui, c'est complètement nouveau et ça le dépasse un peu. Des fois, j'ai l'impression qu'il va exploser et tout envoyer bouler parce qu'il est flippé ou que c'est juste trop pour lui, mais il se met soudainement à sourire comme un con et je sais que c'est à toi qu'il pense pour calmer ses angoisses. Et le pire dans tout ça, c'est que ça fonctionne. Le simple fait de penser à toi, tu te rends compte ? Il m'a fallu des années pour trouver un moyen efficace pour calmer ses crises d'angoisses, et voilà que tu débarque et, pouf !
Je ne peux pas m'empêcher de sourire bêtement, le cœur qui bat à tout rompre.
-Je sais que vous ne vous fréquentez pas depuis très longtemps, mais je sais surtout qu'il ne peut déjà plus se passer de toi, conclut-il.
-J'espère bien, parce qu'il y a peu de chance pour que j'en sois capable non plus, lui révélais-je, même si je suis certaine qu'il le savait déjà. Merci Kévin. Il a de la chance de t'avoir.
-Oh, ricane-t-il, gêné. Je m'estime le plus chanceux de nous deux.
-Et bien... Avant qu'il ne vienne vivre à la maison, j'étais fils unique et à vrai dire, ça m'allait très bien. Tous mes amis qui avaient des frères et sœurs passaient leur temps à se chamailler avec eux, et je me disais que j'étais bien content de ne pas avoir besoin de partager la télécommande et de regarder ce que je veux à la télé. Mais Kyle a débarqué et... s'arrête-t-il un instant, le regard voilé. J'ai rapidement changé d'avis. Avoir un frère, c'est le truc le plus cool au monde.
Son visage s'éclaircit et je ne peux qu'être attendrie par l'amour fraternel évident qui les lient. Je les envie un peu de connaître ça, étant fille unique.
-Sérieusement, poursuit-il, plongé dans ses réflexions. T'as toujours quelqu'un avec qui parler, toujours quelqu'un sur qui compter, pour avoir des conseils, pour être rassuré, pour faire les quatre-cents coups. Quand t'as un frère comme Kyle, tu ne te sens plus jamais seul. Je me battrais sûrement avec lui pour la télécommande jusqu'à la fin de mes jours, mais je m'en cogne parce qu'en vérité, j'adore ça.
Ma gorge s'est resserrée sur elle-même et les larmes menacent de rouler sur mes joue, prise par l'émotion.
-Enfin bref, se reprend-il en s'éclaircissant maladroitement la gorge. Ma mère dit souvent qu'on est comme le Yin et le Yang ; si différents et pourtant si complémentaires, incapable d'exister sans l'autre.
-Je crois qu'elle n'a pas tout à fait tort.
-Je sais, rit-il, conscient qu'ils sont extrêmement proches. J'en crèverais si je devais le perdre. Il est bien plus que mon meilleur ami ou mon frère d'adoption, c'est comme s'il était une partie de moi, tu vois ?
J'acquiesce en comprenant exactement où il veut en venir, puis je me rappelle d'une conversation étrangement ressemblante que j'ai déjà eu avec Kyle.
-C'est drôle, il m'a tenu quasiment le même discours sur toi un jour, lui confiais-je.
Ses joues rosissent et il disparaît sous sa gêne.
-C'est à cause de vos égos surdimensionnés que vous êtes incapables de vous dire tout ça ? le charriais-je, ce qui le fait rire.
-Question de virilité, m'explique-t-il. On en perdrait nos couilles, les femmes ne peuvent pas comprendre
-Quoi que de toute façon, lui, il en a déjà plus. Il dit que tu lui les as prise.
-Quoi ? éclatais-je de rire. C'est quoi cette histoire ?
On discute encore un moment, jusqu'à ce que le réveil de mon téléphone ne m'indique qu'il est temps d'aller en cours. On se sépare après une brève accolade amicale qui me met du baume au cœur.

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Lettre d’une fille héroïnomane à sa mère
L'histoire d'Elizabeth, qui a intégré six centres de désintoxication avant de mourir d'une endocardite causée par une seringue usagée.
Photo : Robert Nickelsberg/Getty Images
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Note de la rédaction : la lettre qui suit a été éditée pour des raisons de longueur et de clarté. Elizabeth Elliot* a rédigé cette lettre pour sa mère en 2010.
Elizabeth s'est retrouvée dans un centre de réinsertion après avoir été inculpée pour consommation de drogue. Sur l'enveloppe, elle avait écrit « Le Dixième cercle de l'Enfer » en lieu et place de son adresse. Elle a passé une bonne partie de sa vie à lutter contre sa dépendance à l'héroïne et a intégré plusieurs centres de désintoxication — en vain.
Une fois sortie du centre, Elizabeth a passé les dernières années de sa vie en Floride. À l'époque, l'État n'avait pas encore instauré de programme d'échanges de seringues. Les multiples injections intraveineuses et les infections en découlant auront eu raison d'Elizabeth. Elle avait 29 ans au moment de sa mort, en 2014.
Sa mère a accepté de dévoiler la lettre de sa fille afin d'amener les autorités à revoir leurs programmes de traitement de sevrage et à développer des aides pour les toxicomanes — comme les programmes d'échange de seringues, qui permettent d'éviter tout risque d'infection. Sous cette lettre, vous trouverez d'autres informations sur la vie d'Elizabeth, en accord avec les propos rapportés par sa mère.
Tout d'abord, je voulais m'excuser pour vendredi, j'étais un peu sur les nerfs. Ce centre me rend folle, et je suis dégoûtée pour le colis [perdu]. Je vais les voir tous les jours et ils me répètent inlassablement la même chose : « OK, tu auras ton colis demain. » Je me sens tellement impuissante que ça en devient insupportable.
Je viens de finir Expiation . C'est un très bon livre, mais la fin est vraiment à chier. J'ai décidé de lire les livres niaiseux de Nicholas Sparks, donc j'ai pris Le Gardien de son cœur — je ne l'ai pas encore entamé, mais bon, je verrai bien. J'ai aussi un livre de Henry James, Portrait de femme , mais je n'étais pas assez concentrée ces derniers temps pour m'y mettre.
Je n'arrive toujours pas à croire que ma propre mère ait pu pondre une lettre de presque huit pages — mais il y avait beaucoup d'espaces. C'est exactement ce dont j'avais besoin. Je l'ai déjà relue trois fois.
Oh mon dieu, j'ai échangé mon baladeur avec quelqu'un qui a bien voulu me laisser écouter sa radio. Tu sais ce qu'ils ont passé? « Just to win the love of a girl like you »!
En parlant de ça, tu pourrais m'envoyer un CD de Depeche Mode?
Les premières lignes du roman de Sparks m'ont donné la nausée, alors j'ai commencé un livre du club d'Oprah, The Story of Edgar Sawtelle . C'est une brique, donc ça devrait m'occuper pendant un certain temps.
Ah oui, et on a commencé à parler d'un truc avec Jess la semaine dernière. On est obligée de se doucher avec les autres femmes quand on est au centre, et on finit par se trouver des défauts en permanence. Même si j'essaie de ne pas trop y prêter attention, j'ai l'impression de tout le temps me faire critiquer, mais au moins je ne me fais plus vomir — et j'essaie même de m'imposer un programme d'exercices.
Revenons-en à l'essentiel, je voulais surtout répondre à ta lettre. Je suis vraiment heureuse de savoir que tu seras là pour m'aider à trouver un endroit sain après ma sortie. Ça me soulage énormément. Je me rends bien compte que le reste de ma vie va dépendre des décisions que je vais prendre prochainement [le 28 janvier 2011, le jour de sa sortie].
Crois-moi, je sais déjà à quoi m'attendre. Je l'ai déjà vécu, bien trop souvent.
Je ne veux plus fréquenter ces endroits, je n'y trouve que des regrets et l'envie de me piquer. À dire vrai, même si j'ai assisté à des réunions utiles, j'ai souvent l'impression de ne pas être moi-même ici. Je suis toujours en train de me demander si les autres sont sincèrement heureux d'être clean. Moi je ne cherche qu'une chose : me défoncer — c'est assez logique finalement, sachant que c'est l'une de mes activités préférées.
Je sais que ce n'est pas la première fois que je dis ça. J'aimerais avoir ne serait-ce que la volonté de vouloir arrêter, c'est même une chose qui m'obsède depuis mon tout premier joint. Et quand j'ai pris de la dope, j'ai réalisé que c'était exactement ce que je recherchais.
Je pourrais suivre toutes sortes de traitement et devenir une nouvelle personne. Maintenant que je connais les conséquences, je devrais ne plus avoir envie de me droguer, mais je n'en suis pas encore là.
Ne te méprends pas : je ne vais pas me jeter sur une seringue ou une pipe à crack, mais je sais pertinemment que je serais plus heureuse si j'avais un joint ou une pilule à portée de main.
J'ai discuté avec mon amie Barbie et elle m'a raconté que sa mère était accro au Xanax — mais elle l'obtient sur ordonnance. Son pharmacien lui donne sa dose toutes les semaines, ce qui fait qu'elle ne peut pas en prendre plus que de raison. Je trouve que c'est une bonne solution, non?
J'aimerais trouver un endroit où je n'aurais besoin d'aucune substance pour me sentir bien dans ma peau. J'ai besoin d'un endroit où les gens sevrés ont l'air heureux, à l'image de ce centre de guérison en Floride. Je pense que je pourrais m'y sentir bien.
Ça va me prendre encore un peu de temps avant de pouvoir contrôler toute cette merde. Et je pense que des anxiolytiques comme la benzodiazépine vont m'aider à traverser mes périodes de stress.
Ils m'ont diagnostiqué un trouble de l'anxiété et j'ai toujours eu du mal dans mes relations sociales, même quand je n'avais que cinq ans et que je devais me présenter à toute la famille.
Je sais que j'ai besoin d'aide. Je ne peux pas devenir complètement clean toute seule. Je sais qu'au moindre problème, je vais foncer dans la rue chercher une dose s'il n'y a personne pour m'épauler.
Peut-être que je cherche seulement à me justifier. Je ne sais pas, mais j'ai l'impression que ça m'aide. Je me connais, toi aussi, tu as bien vu à quelle vitesse j'ai rechuté les autres fois (le jour même de ma sortie). Il y a tellement d'enjeux cette fois-ci que je ne veux pas tout gâcher, je veux pouvoir dire que j'ai essayé.
Voilà pourquoi je ne veux pas qu'on traîne trop avant d'aller en Floride. Heureusement, j'ai pu économiser un peu d'argent en travaillant ici — mais ça devient difficile, sachant que je dois donner la moitié de mon salaire au centre.
Je sais que le plus important pour moi est de rester clean, c'est pour ça que je compte aller dans une résidence qui accueille des personnes sevrées. Crois-moi, la dernière chose dont j'ai envie, c'est bien de me retrouver dans un centre hermétique, fermé au monde (ça va bientôt faire 11 mois que je suis enfermée ici). Mais je sais que ça va m'éviter bien des ennuis.
Je dois apprendre à parler à quelqu'un à chaque fois que j'ai envie de me défoncer, parce que je ne suis pas capable de faire passer l'envie toute seule. J'ai besoin de trouver un parrain ou une marraine en qui je peux avoir confiance, avec qui j'aurais une véritable connexion. Je n'ai pas encore trouvé cette personne.
Je sais que ma famille peut jouer un rôle. Mais permets-moi de te dire — au risque de passer pour une fille ingrate — qu'une lettre ou un colis occasionnel ne vont pas beaucoup m'aider.
Lorsque je serai sortie, je n'aurai pas d'autre choix que de vendre mon cul parce qu'un junkie n'a pas le droit de toucher de prestations. Heureusement tu es là, je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
Bref, j'ai été bien trop sérieuse. Avant
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Elle a fait de son mieux

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