Anina s'ouvre à vous

Anina s'ouvre à vous




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Anina s'ouvre à vous
Sentez vous le besoin d’une pause , de silence et de solitude, de repos, de temps et d’espace pour vous retrouver ? Sentez vous le besoin de vous reconnecter à la nature ? Souhaitez-vous être accompagné individuellement sur le plan spirituel, énergétique et/ou thérapeutique ?
Nous avons à cœur, au Moulin des Hirondelles, de proposer un cadre adapté pour toute personne sentant le besoin de revenir à elle-même, de retrouver un équilibre intérieur, une bonne santé, un esprit calme. Notre accompagnement est non-médicalisé.
Le Moulin des Hirondelles, centre de ressourcement et de retraite , est situé à Pluvigner dans le Morbihan, en Bretagne. Il se trouve dans un écrin de verdure préservé et vaste, traversé par l’eau et entouré de grands arbres. Entre plages et forêts, menhirs et cathédrales, le Moulin est un lieu consacré à la paix et à l’abri de toute agitation. L’accès se fait en voiture ou en train jusqu’à la gare d’Auray, où l’on vient vous chercher.
Dès le 11 avril et jusqu’au 20 mai 2022 , le Moulin sera en « mode retraite » pour vous accueillir au mieux. Le séjour dure minimum 2 et maximum 10 nuits. 3 périodes dans l’année vous seront ensuite proposées: automne, hiver et printemps. Nous avons 3 chambres à louer et plein d’emplacements de tente durant la belle saison.
La retraite individuelle se pratique en silence , mise à part les temps d’accompagnement. Vos téléphones et ordinateurs sont débranchés en sachant que vos proches peuvent nous joindre en cas d’urgence.
Les repas sont préparés et servis selon les besoins de chacun, 1, 2 ou 3 fois par jour. Ils sont pris seul et en silence. Nous prenons en compte les intolérances et allergies et nous adaptons les quantités. Les ingrédients sont bios, locaux, végétariens et cuisinés avec amour.
Vous n’avez rien d’autre à faire que de vous occuper de vous !
Vous serez accueillis et accompagnés par Aya Annika Skattum et Mélanie Noura Buonomo. Il y aura 2 entretiens individuels minimum : un au début de la retraite et un autre à la fin. Les autres propositions sont « à la carte », selon les besoins de chacun :
Si cela vous inspire , contactez-nous pour connaître les tarifs et les disponibilités : lemoulindeshirondelles@gmail.com / 06 22 74 44 37

Sentez vous le besoin d’une pause , de silence et de solitude, de repos, de temps et d’espace pour vous retrouver ? Sentez vous le besoin de vous reconnecter à la nature ? Souhaitez-vous être accompagné individuellement sur le plan spirituel, énergétique et/ou thérapeutique ?
Nous avons à cœur, au Moulin des Hirondelles, de proposer un cadre adapté pour toute personne sentant le besoin de revenir à elle-même, de retrouver un équilibre intérieur, une bonne santé, un esprit calme. Notre accompagnement est non-médicalisé.
Le Moulin des Hirondelles, centre de ressourcement et de retraite , est situé à Pluvigner dans le Morbihan, en Bretagne. Il se trouve dans un écrin de verdure préservé et vaste, traversé par l’eau et entouré de grands arbres. Entre plages et forêts, menhirs et cathédrales, le Moulin est un lieu consacré à la paix et à l’abri de toute agitation. L’accès se fait en voiture ou en train jusqu’à la gare d’Auray, où l’on vient vous chercher.
Dès le 11 avril et jusqu’au 20 mai 2022 , le Moulin sera en « mode retraite » pour vous accueillir au mieux. Le séjour dure minimum 2 et maximum 10 nuits. 3 périodes dans l’année vous seront ensuite proposées: automne, hiver et printemps. Nous avons 3 chambres à louer et plein d’emplacements de tente durant la belle saison.
La retraite individuelle se pratique en silence , mise à part les temps d’accompagnement. Vos téléphones et ordinateurs sont débranchés en sachant que vos proches peuvent nous joindre en cas d’urgence.
Les repas sont préparés et servis selon les besoins de chacun, 1, 2 ou 3 fois par jour. Ils sont pris seul et en silence. Nous prenons en compte les intolérances et allergies et nous adaptons les quantités. Les ingrédients sont bios, locaux, végétariens et cuisinés avec amour.
Vous n’avez rien d’autre à faire que de vous occuper de vous !
Vous serez accueillis et accompagnés par Aya Annika Skattum et Mélanie Noura Buonomo. Il y aura 2 entretiens individuels minimum : un au début de la retraite et un autre à la fin. Les autres propositions sont « à la carte », selon les besoins de chacun :
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Anina Major est une artiste visuelle des Bahamas spécialisée dans la céramique. Sa décision de s’établir volontairement à l’opposé de l’endroit où elle est née et a grandi l’incite à étudier la relation entre le soi et le lieu en tant que site de négociation. En utilisant le vernaculaire de l’artisanat pour récupérer des expériences et relocaliser des objets déplacés, sa pratique se situe à l’intersection de la nostalgie et de l’identité. Elle est titulaire d’une maîtrise en beaux-arts de la Rhode Island School of Design et a reçu de nombreux prix et résidences, notamment la bourse du Socrates Sculpture Park et a servi de mentor pour le Saint Heron Ceramics Residency Program. Ses œuvres ont été exposées aux Bahamas, aux États-Unis et en Europe et figurent dans des collections permanentes, notamment à la National Gallery of The Bahamas, au National Museum of African American History and Culture et au Museum of Fine Arts de Boston.
 Anina Major se concentre sur les histoires de la diaspora africaine à travers l’acte de fabrication, en particulier le tressage de paniers, et le positionnement des objets culturels dans une installation conçue comme un décor d’île tropicale. Des paniers en argile, créés à partir de pratiques de tressage traditionnelles, sont exposés sur une table en forme de quai, au-dessus de tessons de céramique formant un sol de coquillages. Une enseigne au néon rappelant le titre de l’installation, All Us Come Across Water (2021), illustre les contradictions de la marchandisation de la culture.
 La pratique d’Anina Major est basée sur la recherche, avec la collecte d’histoires orales et d’archives anthropologiques, son travail remet en question l’idéologie postcoloniale. Anina Major est une défenseuse de la culture qui ouvre un dialogue critique sur le développement des identités culturelles et la création de plateformes appropriées pour ce discours.
Suivez Anina sur les réseaux sociaux >
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Its good as your other content : D, thanks for putting up.
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Dernières Nouvelles d'Alsace | 25/03/2013
Sa voix ne se mêle pas au papotage frivole des filles «bobos» du Quartier Latin. Pour la «bohème», elle a déjà donné… Anina porte sur le visage une gravité qui n’est pas de son âge. Elle a 22 ans, parle cinq langues et mène de très brillantes études à la Sorbonne. Alors quoi? Alors, ses grands yeux noirs ont vu trop de souffrances. Elle a connu la faim, le froid, l’humiliation et la peur.
Anina est née Rom à Craiova pendant le rude hiver de la révolution roumaine. Un sordide quartier ghetto, à l’aube de sa vie, lui tenait lieu d’horizon. Dans ces conditions, aboutir en master dans la plus prestigieuse des universités françaises relève presque du miracle. Ou plutôt d’une exceptionnelle volonté. «Ce que j’ai traversé avant d’arriver là explique ma rage de réussir», murmure la timide brunette.
Lentement, autour d’une tasse de thé, les terribles souvenirs remontent à la surface. D’abord la première tentative, ratée, de quitter la Roumanie. «Entassés dans un camion, nous avons vécu un enfer indescriptible dans les odeurs d’urine, de sueur, de vomi…»
La famille finit par aboutir en Italie, à Casilino, glauque banlieue de Rome. «La pire période de mon existence, entre l’insalubrité et le total mépris des gens… Là-bas, nous étions assimilés à de la vermine».
Papa vend des journaux à la sauvette, pas assez pour juguler la misère. En désespoir de cause, un jour, maman s’assied sur le trottoir et réclame l’aumône. Anina l’accompagne, elle a 7 ans. «La honte d’avoir dû mendier, le mépris dans le regard des gens, c’est une blessure qui ne se referme pas».
Le pays de Voltaire, plus que jamais, représente la Terre promise. Direction la Savoie à bord d’une Polo brinquebalante vers le tunnel de Fréjus. La petite Tzigane y parvient enfin le 18 décembre 1997. En pleine montagne, la neige s’infiltre par les trous de ses pauvres chaussures de toile. Qu’importe. «L’air pur, vivifiant, m’a lavé l’esprit, évacuant la puanteur qui s’était incrustée en moi depuis six mois». Autre bouffée d’oxygène ensuite: la prise en charge par des services sociaux à Lyon. «Pour la première fois, nous étions considérés comme des êtres humains».
Les temps heureux ne durent guère. L’hébergement temporaire se termine, la demande d’asile se trouve rejetée. Retour à la case départ ou presque. À Bourg-en-Bresse, en 1999, la famille habite dans un fourgon. Et pour manger? Avec sa mère et sa sœur cadette, Anina se remet à faire la manche sur la place du marché. Mais, divine surprise, c’est à elles bientôt qu’on va tendre la main! Émues par leur sort, quelques personnes de bonne volonté se manifestent. Et des choses se débloquent soudain: le permis de séjour, une place en HLM, un emploi pour le père dans les espaces verts.
Surtout, grâce à «Madame Jacqueline», Anina apprend à lire, intègre le collège puis le lycée. Elle y fera des étincelles jusqu’à récolter le surnom «d’intello», source de nouveaux quolibets. D’une discrimination l’autre, l’enfant de Craiova encaisse. «Beaucoup d’élèves me rejetaient, tant pis ! Pour moi, il était plus important de réussir que d’avoir des amis»… Elle réussira, du bac avec mention à la licence de droit puis l’entrée à la Sorbonne. L’école républicaine ne connaît pas de défenseur plus ardent. «Je voudrais persuader tous les jeunes Roms que les études offrent une vraie chance»… Et aussi briser le cliché qui réduit son peuple à des «voleurs de poules».
La Parisienne d’adoption, «un pied dans les deux mondes», ne renie pas sa culture d’origine. Quitte à passer pour «vieux jeu», refusant par exemple de batifoler avant le mariage. «Chez nous, c’est comme ça».
Ses nuits sont plus longues que nos jours, elle les occupe à étudier. Et trouve l’énergie, en marge du lourd travail universitaire, de publier un livre témoignage (1). Elle a, sur le destin, une revanche à prendre. Rien ne l’arrêtera dans sa course vers l’excellence. Au nom de tous les siens, Anina mène le combat. Les injustices subies hier nourrissent son ambition d’aujourd’hui: «devenir magistrate». Après le master se profile donc un concours difficile. Elle a déjà franchi tant d’obstacles, qui pourrait l’empêcher de franchir celui-là? À part l’administration qui lui refuse toujours la nationalité française, on ne voit pas.
(1) Je suis Tzigane et je le reste par Anina, avec Frédéric Veille. Éditions City.
À la suite de la tribune « Plus jamais ça, préparons le jour d’après », seize organisations lancent une pétition nationale pour défendre des mesures urgentes et de plus long terme, porteuses de profonds changements politiques.
Le pouvoir fait partie du problème des crises de ce pays et les amplifie, semant la misère, le désespoir, le racisme et la haine là où il faut plus de solidarité, de liberté et d’égalité. Lors de la Marche nationale des Sans-Papiers nous avons montré que nous étions la solution.
Régularisation des Sans-Papiers, Fermeture des CRA, Logement pour touTE

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