Angelika La Veuve Noire

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Angelika La Veuve Noire
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Accueil Histoire AngĂ©lique: la mise Ă  mort d’une esclave Noire en Nouvelle-France

Histoire
AngĂ©lique: la mise Ă  mort d’une esclave Noire en Nouvelle-France


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Babe Stereo


Jan 29, 2016 - 07:03







Stanley FĂ©vrier, la figure de l’invisible

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Marie-Joseph AngĂ©lique,communĂ©ment appelĂ©e AngĂ©lique ou « Angelica;» Ă©tait le nom donnĂ© par ses derniers propriĂ©taires Ă  une esclave noire d’origine portugaise en Nouvelle-France (plus tard la province de QuĂ©bec au Canada). Esclave, elle fut jugĂ©e et reconnue coupable d’avoir mis le feu Ă  la maison de son propriĂ©taire et d’avoir brĂ»lĂ© une bonne partie de ce que l’on appelle aujourd’hui le Vieux-MontrĂ©al.
Au printemps 1734, un incendie dĂ©truit un hĂŽpital et plusieurs maisons de la rue Saint-Paul, Ă  MontrĂ©al. Un procĂšs criminel est aussitĂŽt intentĂ© contre Marie-JosĂšphe dite AngĂ©lique, une esclave noire, et son amant blanc, Claude Thibault. Ce dernier s’enfuit, laissant AngĂ©lique seule Ă  clamer son innocence.
AngĂ©lique est nĂ©e au Portugal, qui a Ă©tĂ© un acteur important dans le lucratif commerce atlantique des esclaves, et a ensuite Ă©tĂ© vendue Ă  un homme flamand nommĂ© Nichus Block ou Nicolas Bleeker qui l’a amenĂ©e vers le Nouveau Monde.
Elle a vĂ©cu en Nouvelle-Angleterre avant d’ĂȘtre vendue en 1725 Ă  un important homme d’affaires français de MontrĂ©al nommĂ© François Poulin de Francheville, et aprĂšs sa mort en 1733, elle appartenait Ă  son Ă©pouse ThĂ©rĂšse de Couagne.
L’esclavage en Nouvelle-Angleterre et de Nouvelle-France Ă©tait essentiellement domestique, car contrairement Ă  la partie sud de ce qui allait devenir les États-Unis l’économie n’était pas fondĂ©e sur le travail de plantation Ă  grande Ă©chelle.
AngĂ©lique a donc travaillĂ© Ă  la maison des Francheville, Ă  MontrĂ©al, et parfois aidĂ© Ă  la petite ferme familiale sur l’üle de MontrĂ©al, qui a Ă©tĂ© principalement utilisĂ©e pour produire des biens pour les expĂ©ditions commerciales le la famille de Francheville.
AngĂ©lique a eu trois enfants Ă  MontrĂ©al : un garçon nĂ© en 1731 qui a seulement vĂ©cu un mois et des jumeaux en 1732, tous deux dĂ©cĂ©dĂ©s dans les cinq mois aprĂšs leurs naissances. Le pĂšre enregistrĂ© dans les documents de baptĂȘme officiels fut Jacques CĂ©sar, un esclave noir de Madagascar qui a appartenu Ă  Ignace Gamelin, un ami de Francheville. On ne sait pas si AngĂ©lique et Jacques Ă©taient amants par choix ou si leurs propriĂ©taires les ont forcĂ©s Ă  se reproduire.
Pendant l’annĂ©e prĂ©cĂ©dant l’incendie et le procĂšs, AngĂ©lique s’est impliquĂ©e dans une relation avec Claude Thibault, un serviteur blanc sous contrat, qui Ă©tait employĂ© par les Francheville. Suite au dĂ©cĂšs de M. Francheville en novembre 1733, l’exploitation de ses entreprises et la succession occupent une grande partie du temps de Mme Francheville. Au dĂ©but de 1734, Ă©tant prise par des affaires immobiliĂšres Ă  Trois-RiviĂšres, la veuve a demandĂ© Ă  son beau-frĂšre Alexis MoniĂšre Ă  garder son esclave et son serviteur pour elle jusqu’à son retour.
Le 22 fĂ©vrier, alors que la veuve Ă©tait encore loin, AngĂ©lique et Claude ont tentĂ© de fuir vers la Nouvelle-Angleterre, par le fleuve Saint-Laurent gelĂ©. Ils se sont arrĂȘtĂ©s pour rĂ©cupĂ©rer un pain que Claude Thibault avait cachĂ© dans une grange de Longueuil en prĂ©paration de leur escapade.
Cependant, le froid Canadien a contraint les deux individus Ă  se rĂ©fugier Ă  ChĂąteauguay, prĂšs de la route de Chambly, jusqu’à ce que la mĂ©tĂ©o s’amĂ©liore. Ils ont Ă©tĂ© capturĂ©s quelques semaines plus tard et retournĂ©s Ă  MontrĂ©al par trois miliciens. Thibault a Ă©tĂ© emprisonnĂ© le 5 mars et libĂ©rĂ© le 8 avril, la veille de l’incendie qui brula une bonne partie de la jeune ville de MontrĂ©al. AngĂ©lique lui a rendu visite Ă  plusieurs reprises alors qu’il Ă©tait en prison et lui apportait de quoi se nourrir.
La pendaison d’AngĂ©lique Ă©crit par Afua Cooper aux Éditions de L’Homme
Quant Ă  celle-ci, elle fut tout simplement remise Ă  madame de Francheville, sans ĂȘtre disciplinĂ©e, de quelque maniĂšre que ce soit, pour sa tentative de fuite. Peut-ĂȘtre parce qu’on prĂ©voyait dĂ©jĂ  la vendre. Comme mentionnĂ© lors du procĂšs, ThĂ©rĂšse de Francheville s’est trouvĂ©e incapable de contrĂŽler AngĂ©lique et avait l’intention d’accepter une offre faite par un des associĂ©s de son mari dĂ©cĂ©dĂ©, François-Étienne Cugnet: 600 livres de poudre Ă  canon. L’offre Ă©tait conditionnelle Ă  ce que la veuve couvre les frais d’envoi d’AngĂ©lique vers QuĂ©bec, oĂč vivait Cugnet. La peur d’ĂȘtre vendus et Ă©ventuellement se retrouver dans les Antilles fut peut-ĂȘtre le motif de la tentative d’évasion.
Les tensions Ă©taient fortes entre l’esclave et sa maĂźtresse. La veuve de Francheville a congĂ©diĂ© une servante libre, Louise Poirier, en raison de querelles et les discordes entre l’esclave et la servante. AngĂ©lique lui a promis qu’elle pourrait Ă©ventuellement faire tout le travail mieux que Louise Poirier, en espĂ©rant qu’une bonne performance de sa part ferait flĂ©chir sa maĂźtresse et la garderait. La veuve accepta, mais promit Ă  Louise qu’elle communiquerait avec elle, dĂšs le dĂ©part d’AngĂ©lique vers la ville de QuĂ©bec.
AprĂšs sa libĂ©ration, Thibault, rendit visite Ă  Mme de Couagne pour rĂ©clamer son salaire. La femme paya et avertit Thibault de ne jamais remettre les pieds dans sa maison. En colĂšre, elle lui confirma Ă©galement qu’AngĂ©lique avait Ă©tĂ© vendue et serait expĂ©diĂ©e Ă  QuĂ©bec dĂšs que la glace fonderait.
Claude Thibault ignore cet ordre et rend visite Ă  AngĂ©lique plusieurs fois pendant l’absence de la veuve Couagne. C’était le dĂ©but d’avril. Ils savaient tous deux que le fleuve Saint-Laurent serait bientĂŽt de nouveau praticable pour les navires, et qu’AngĂ©lique ne serait plus Ă  MontrĂ©al pour trĂšs longtemps. AngĂ©lique annonce donc Ă  une servante son intention de s’enfuir de nouveau. Il est possible qu’elles aient complotĂ© de mettre le feu pour couvrir leur fuite.
Dans la soirĂ©e du 10 avril 1734, tandis que l’esclavagiste Ă©tait Ă  l’église, AngĂ©lique crie « au feu! »
Entendus, les voisins tentent d’éteindre l’incendie, mais il se propage rapidement et dans les trois heures, 46 bĂątiments ont Ă©tĂ© dĂ©truits, y compris une grande partie du secteur marchand, le long de la rue Saint-Paul, ainsi que l’hĂŽpital et le couvent de l’HĂŽtel-Dieu.
Personne n’a Ă©tĂ© blessĂ© dans l’incendie. Comme AngĂ©lique et Thibault ont aidĂ© Ă  sauver des biens des maisons brĂ»lĂ©es, des rumeurs ont commencĂ© Ă  circuler les accusant d’avoir mis le feu.
L’origine de la rumeur semble avoir Ă©tĂ© les observations faites par Marie-Manon, une esclave dĂ©tenue par les voisins de Mme de Couagne, les Berey des Essars. Au moment oĂč le feu s’était Ă©teint, l’opinion populaire voulait qu’AngĂ©lique eĂ»t mis le feu. Elle a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©e le lendemain matin. Un mandat d’arrĂȘt a Ă©galement Ă©tĂ© publiĂ© plus tard pour Thibault, mais bien qu’il ait Ă©tĂ© vu Ă  nouveau le mardi matin aprĂšs l’incendie (deux jours plus tard), au moment oĂč les huissiers de justice Ă©noncent son mandat d’arrestation, il avait disparu et n’a plus jamais Ă©tĂ© revu en Nouvelle-France.
Encore aujourd’hui, il est impossible de savoir avec certitude si Marie-Joseph AngĂ©lique Ă©tait coupable. Heureusement, la richesse exceptionnelle des dĂ©tails des transcriptions du procĂšs, ainsi que beaucoup de documentation contextuelle importante, y compris les deux sources primaires et secondaires, sont accessible Ă  tous. Les manuscrits originaux sont disponibles sur le site de BibliothĂšque et Archives nationales du QuĂ©bec (code catalogue TL4, S1, D4136).
AngĂ©lique a Ă©tĂ© inculpĂ©e et jugĂ©e. La loi française Ă  l’époque permettait qu’un suspect soit arrĂȘtĂ© sur la « rumeur publique », lorsque la communautĂ© a dĂ©cidĂ© qu’un suspect est coupable. Au cours des six prochaines semaines, l’accusation a appelĂ© un grand nombre de tĂ©moins. Aucun tĂ©moin n’a vu AngĂ©lique mettre le feu, mais ils ont tous affirmĂ© qu’ils Ă©taient certains qu’elle l’ait fait.
Ils ont tĂ©moignĂ© longuement du caractĂšre d’AngĂ©lique. On dit que c’est une esclave qui se comporte mal, qui rĂ©pond souvent Ă  sa maitresse. Cependant, aucune preuve solide n’a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e quant Ă  sa culpabilitĂ©.
FrustrĂ© par le manque de preuves pour condamner AngĂ©lique, la poursuite envisage d’appliquer la torture avant de porter le jugement final, une procĂ©dure trĂšs inhabituelle qui a Ă©tĂ© rarement autorisĂ©e en Nouvelle-France.
Malheureusement, pour AngĂ©lique, un tĂ©moin oculaire se pointe soudainement : une fillette de cinq ans, prĂ©nommĂ©e Amable. L’enfant tĂ©moigne qu’elle a vu AngĂ©lique, transportant une pelletĂ©e de charbon au grenier de la maison l’aprĂšs-midi oĂč le feu a commencĂ©.
C’est tout ce qu’il faut comme preuve pour permettre au procureur de clore son affaire. Le juge et les quatre commissaires, convoquĂ©s pour participer Ă  la sentence, ont tous reconnu qu’AngĂ©lique Ă©tait coupable.
Mme Denyse Beaugrand-Champagne, une auteure, souligne que personne ne s’est demandĂ© pourquoi il a fallu si longtemps pour que la petite Amable se manifeste dans une ville oĂč le feu et le procĂšs Ă©taient connus de tous. Elle attribue cette volontĂ© soudaine de la petite fille au fait que trop nombreux sont ceux qui avaient perdu beaucoup dans ce feu et un bouc Ă©missaire Ă©tait nĂ©cessaire.
Sentence du Conseil supĂ©rieur contre Marie Joseph AngĂ©lique, nĂ©gresse, pour crime d’incendie Ă  MontrĂ©al, 12 juin 1734.
[quote]Procureur general du Roi a mis et met les dittes appellations et sentence dont est appel, au nĂ©ant Emendant a condamnĂ© laditte Marie Joseph Angelique pour rĂ©paration de l’Incendie par Elle Commis et autres cas mentionnĂ©s au procĂšs, a faire amende honorable nĂŒe en Chemise, la Corde au Col, tenant en ses mains une torche ardente du poids de deux Livres, au devant de la grande porte et principale entrĂ©e de l’Eglise paroissiale de ladite Ville de Montreal, oĂč elle sera menĂ©e et conduite par l’Executeur de la haute Justice Et lĂ  agenoux dire et declarer a haute et intelligible voix que mechamment temerairement et comme mal avisĂ©e Elle a commis Ledit incendie dont Elle se repent, En demande pardon Ă  Dieu, au Roi et a Justice; ce fait menĂ©e en la place publique de ladite Ville de Montreal pour y etre pendĂŒe et EtranglĂ©e tant que mort s’ensuive a une potence qui pour cet Effet sera plantĂ©e sur ladite place, et ensuite son Corps mort mis sur un buchĂ© allumĂ© pour y etre brulĂ© et consommĂ© et les Cendres JettĂ©es au vent, ses biens acquis et confisquĂ©s au Roi; ladite Marie Joseph Angelique prealablement appliquĂ©e a la question ordinaire et extraordinaire pour avoir par sa bouche revĂ©lation de ses complices;[/quote]
La question ordinaire s’agit d’attacher fermement les jambes de la prisonniĂšre entre des planches de bois dur, et d’insĂ©rer Ă  coups de maillet un coing de bois, appliquant ainsi une pression croissante qui Ă©crase progressivement les jambes de la prisonniĂšre, pendant que le juge tente de lui faire avouer son crime. La torture des brodequins Ă©tait conçue pour broyer les jambes. Les blessures Ă©taient souvent si sĂ©vĂšres que les os Ă©clataient. Cette torture moyenĂągeuse fut appliquĂ©e par Mathieu LĂ©veillĂ© , un esclave Noir.
AngĂ©lique, avoua immĂ©diatement, tout en rĂ©pĂ©tant qu’elle et qu’elle seule avait mis le feu, demanda au tribunal de mettre fin Ă  sa misĂšre et de la pendre.
La mĂȘme journĂ©e, le 21 juin 1734, au cours de l’aprĂšs-midi, Marie-Joseph AngĂ©lique est menĂ©e une ultime fois Ă  travers les rues de MontrĂ©al et, aprĂšs un arrĂȘt devant une l’église, monta un Ă©chafaudage en face des ruines des bĂątiments dĂ©truits par le feu. La femme fut pendue, Ă©tranglĂ©e jusqu’à ce que mort s’ensuive. Son corps fut jetĂ© dans le feu et ses cendres dispersĂ©es au vent.
Afua Cooper a publiĂ© un livre en anglais en 2006 sur AngĂ©lique, qui dĂ©fend la thĂšse selon laquelle AngĂ©lique a effectivement allumĂ© le feu 1734, par rĂ©bellion justifiĂ©e contre son propriĂ©taire et comme une couverture pour une tentative d’évasion. Le livre de Cooper passe aussi beaucoup de temps Ă  critiquer les Canadiens Blancs pour ce qu’elle considĂšre comme une tentative de minimiser ou de nier la rĂ©alitĂ© de l’esclavage dans l’histoire du Canada. Elle affirme que la transcription du procĂšs d’AngĂ©lique peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme le premier rĂ©cit d’esclave dans le Nouveau Monde.
svp, arrĂȘtez de jouer les victimes. Ça devient pathĂ©tique. Il n’y a pas d’apartheid au QuĂ©bec. Les Blacks sont les bienvenus; ils contribuent Ă  la vitalitĂ© de la collectivĂ©. Mais, svp, cessez de jouer les martyrs et de revenir au 18e siĂšcle pour justifier votre rage, frustration et vos jĂ©rĂ©miades de toutes sortes.
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dans Lucien Faggion, Christophe Regina, Dictionnaire de la méchanceté, Paris, Editions Max Milo, 2013
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