Amira va tenter de pomper en gorge profonde

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Giuseppe Conte et Giovanni Tria, le Premier ministre et le ministre de l’Économie, tentent d’éviter l’adoption finale de la procĂ©dure de dĂ©ficit excessif, en contradiction avec la mise en Ɠuvre des quatre mesures fiscales auxquelles la Ligue et le Mouvement des 5 Ă©toiles sont profondĂ©ment attachĂ©s.
Cette incompatibilitĂ© n’est pas une dĂ©couverte, mais elle n’était jusqu’alors pas apparue au grand jour. Sont en cause la rĂ©forme fiscale, un salaire minimum, le versement d’une allocation mensuelle aux familles Ă  bas revenus et l’émission de « minibons » pour payer les arriĂ©rĂ©s. Et le discours de Matteo Salvini, qui Ă©tait exclusivement consacrĂ© au thĂšme de l’immigration avant les Ă©lections europĂ©ennes, aborde dĂ©sormais les questions Ă©conomiques et budgĂ©taires.
À l’issue d’une rĂ©union convoquĂ©e dans la prĂ©cipitation avec Matteo Salvini et Luigi Di Maio, Giuseppe Conte a annoncĂ© une rencontre avec Giovanni Tria « pour Ă©laborer une stratĂ©gie Ă  adopter dans les discussions avec l’Europe afin d’éviter une procĂ©dure d’infraction pour le pays et d’Ɠuvrer ensemble Ă  la mise au point du budget ». Giuseppe Conte avait menacĂ© Ă  plusieurs reprises de dĂ©missionner si Matteo Salvini et Luigi Di Maio ne s’accordaient pas pour trouver un compromis susceptible de rĂ©gler le contentieux avec la Commission europĂ©enne. « Tout va bien. C’était une bonne rĂ©union », a tenu Ă  dĂ©clarer Matteo Salvini dans un communiquĂ©, rĂ©affirmant pour rassurer que « notre objectif commun est d’éviter l’infraction tout en prĂ©servant la croissance Ă©conomique, l’emploi et les baisses d’impĂŽts. » On n’en sait pas plus.
Les « minibons » dont l’utilisation figure dans le contrat de la coalition font dĂ©jĂ  ouvertement dĂ©bat, quand bien mĂȘme leur Ă©mission est dĂ©fendue sous son angle le plus restrictif par leurs partisans – le payement d’arriĂ©rĂ©s gouvernementaux – et non comme un premier pas vers la crĂ©ation d’une monnaie parallĂšle Ă  l’euro. Mais, dans les faits, mĂȘme si celle-ci n’est pas dans les intentions dĂ©clarĂ©es, elle en est l’aboutissement en raison de leur dynamique. Les « minibons » expriment toute l’ambiguĂŻtĂ© de la situation.
En mission commandĂ©e, le prĂ©sident de la commission des finances du SĂ©nat italien, Alberto Bagnai, a dĂ©jĂ  dressĂ© le dĂ©cor en prĂ©conisant une rĂ©vision des rĂšgles du TraitĂ© se limitant au plafonnement du dĂ©ficit Ă  3% du budget. LibĂ©rĂ© des contraintes de son statut, l’ex Ă©conomiste en chef du FMI Olivier Blanchard donne Ă  cette proposition toute sa logique et revient Ă  la charge. La faiblesse de la croissance europĂ©enne rĂ©sulte selon lui de l’insuffisance des incitations budgĂ©taires qui pourraient ĂȘtre dĂ©ployĂ©es en s’appuyant sur un budget europĂ©en financĂ© par des euro-obligations. Dans cette logique, il prĂ©conise d’assouplir la rĂšgle de 3% du dĂ©ficit et de renoncer Ă  tout frein Ă  la dette. Implicitement, il fait ainsi rĂ©fĂ©rence au Japon, oĂč les investisseurs ne s’inquiĂštent pas de la taille de l’encours de la dette japonaise, la banque centrale s’étant engagĂ©e Ă  acheter celle-ci.
La recherche d’une alternative Ă  la politique actuelle s’inscrivant dans le cadre du systĂšme suppose l’adoption d’une nouvelle mission pour les banques centrales et la modification radicale de l’actuelle. En substituant Ă  la lutte contre l’inflation la monĂ©tisation de la dette publique, tant que cela ne la dĂ©clenche pas. Une rĂ©volution qui suscite par avance des haut-le-cƓur et dont les conditions ne sont d’évidence pas remplies, imposant faute de mieux d’attendre une dĂ©tĂ©rioration accentuĂ©e de la situation pour qu’elle s’impose.
La « VaroufakisTheory » avance pas Ă  pas
?
Question d’un nĂ©ophyte concernant les Banques Centrales et en particulier celle du Japon.
Blanchard prĂ©conise d’accĂ©lĂ©rer, de façon mesurĂ©e, l’endettement des Etats afin d’amĂ©liorer la croissance avec un augmentation des achats des obligations par les Banques Centrales
– une banque centrale peut-elle faire faillite?
– une banque centrale peut-elle annuler les obligations d’état qu’elle dĂ©tient et ainsi ramener la dette publique dans des quantitĂ©s minimales sans pĂ©naliser les dĂ©tenteurs privĂ©s de cette mĂȘme dette publique ?
– quelles seraient les consĂ©quences sur la monnaie concernĂ©e et son Ă©conomie?
Le Japon a la plus forte dette du monde (250% du PIB) , dont la BoJ en détiendrait 50% ,sans que sa monnaie en soit affectée.
Quelques éléments succincts de réponse :
– Non, une banque centrale ne peut pas faire faillite, tout simplement parce que bien qu’ayant des missions et des degrĂ©s d’indĂ©pendance variables, elles ne sont in fine que des outils dont se servent les Ă©tats pour leur politique monĂ©taire. États qui contrairement aux mensonges colportĂ©s par bien des politiciens professionnels, ne peuvent pas faire faillite.
– Techniquement, rien n’empĂȘche une banque centrale de se dĂ©clarer en dĂ©faut de paiement en annulant une partie de sa dette publique. Elle imprime alors des billets pour racheter ses obligations d’État qu’elle annule ensuite. Bref, elle rachĂšte des fonds propres nĂ©gatifs, mais sans obligation de recapitalisation.
– Les consĂ©quences politiques, Ă©conomiques et sociales seraient alors imprĂ©visibles (les modĂšles comme d’habitude en macro-Ă©conomie disent tout et son contraire). Tout juste peut-on remarquer que le rapport de force entre le pays concernĂ© et le dieu MarchĂ© est LE facteur dĂ©terminant. En clair, si vous ĂȘtes une Ă©conomie petite ou moyenne, vous allez vous faire laminer car dans la rĂ©alitĂ©, vous allez ĂȘtre contraint de renĂ©gocier votre dette et votre population va connaitre la pauvretĂ© (cf la GrĂšce ou l’Argentine pour ne citer que des cas rĂ©cents). Si vous ĂȘtes le Japon, et qu’en plus votre dette est dĂ©tenue trĂšs majoritairement par vos nationaux (ce qui n’est pas le cas de la BCE et de la Fed), alors la chose est possible sans provoquer de catastrophe globale. En thĂ©orie

« Blanchard prĂ©conise d’accĂ©lĂ©rer, de façon mesurĂ©e, l’endettement des Etats afin d’amĂ©liorer la croissance avec un augmentation des achats des obligations par les Banques Centrales »
Vous avez un lien vers les déclarations de Blanchard?
Dans un format plus court et en VF:
Un Ă©conomiste conseille au gouvernement de s’endetter davantage
https://www.youtube.com/watch?v=TccCssv2ir0
Les chances pour qu’Olivier Blanchard soit entendu ? Hm, comment dire

La Cour des comptes tire la sonnette d’alarme sur la dette publique française
https://www.20minutes.fr/economie/2548931-20190625-cour-comptes-tire-sonnette-alarme-dette-publique-francaise
J’ai Ă©coutĂ© les deux speechs d’Olivier Blanchard et j’ai un peu bossĂ© pour essayer de les comprendre (je comprends un peu l’économie thĂ©orique, mais ce n’est vraiment pas ma spĂ©cialitĂ©).
Puis tout d’un coup, patatras: j’écoute Lenglet

Et lĂ , dans un premier temps, j’ai eu envie de sortir un fusil Ă  pompe; Puis dans un deuxiĂšme temps, je me suis dis: Ă  quoi sert un « journaliste Ă©conomique »?
Dans une RĂ©publique EclairĂ©e HĂ©ritiĂšre de l’Esprit des LumiĂšres (si j’ai bien compris la doxa philosophique), le rĂŽle du journaliste me semble bien ĂȘtre d’incarner quelqu’un de factuel qui retranscrit l’enjeu des dĂ©bats au plus prĂšs pour que le citoyen soit informĂ© au mieux.
Et là? Qu’entends-je? Un marchand de peur.
Il aurait quand mĂȘme pu faire un petit effort pour vulgariser la pensĂ©e de Blanchard. Ben non

Diagnostic: je-m’en-foutisme idĂ©ologique.
Présenté par UniCredit sur Boursorama.com le livre de François Lenglet « Tout va basculer » (notez la gestuelle inconsciente du présentateur qui à 0:40 en parlant des peuples pointe son doigt sur la tempe dans un geste sans équivoque).
Le business de M Lenglet qui officie sur TF1 et LCI consiste Ă  vendre de la peur sur le temps de cerveau disponible des tĂ©lĂ©spectateurs. TĂ©lĂ©spectateurs qu’il convient de maintenir dans un Ă©tat d’abĂȘtissement maximal (notez Ă©galement la couverture de son livre avec une sĂ©rie de dates magiques se terminant toutes par le chiffre 9), afin qu’ils continuent Ă  consommer de maniĂšre compulsif et surtout, qu’ils votent bien. Tout changer dans les discours mais en laissant la pompe Ă  phynance intacte.
MM Trump, Macron ou Bolsonaro n’ont rien inventĂ©, les prĂ©misses de leur communication remontent Ă  l’antiquitĂ© romaine. Lorsque l’on s’adresse aux gueux il convient de tout miser sur les Ă©motions primaires avec un discours rĂ©ducteur facilement traduisible en slogans : ici, les enfants gĂątĂ©s que nous sommes veulent faire l’exact inverse de leurs parents de la contre-rĂ©volution Reagano-thatchĂ©rienne, en se barricadant derriĂšre de hauts murs

Naturellement pendant que cette soupe est servie aux sans-dents, le MEDEF prĂ©voit le coup suivant en prenant langue avec Marion MarĂ©chal, afin de proposer lors des prochaines prĂ©sidentielles un faux duel entre fascistes blancs et blancs fascistes. Le patronat Ă©tant bien conscient que les idiots utiles -oĂč les salauds cyniques- qui ont appelĂ© la derniĂšre fois Ă  faire barrage au FN rencontreront beaucoup moins de succĂšs la prochaine fois.
Plus gĂ©nĂ©ralement, je pense que la neutralitĂ© journalistique en matiĂšre politique est un leurre. François Lenglet ne fait pas preuve de je-m’en-foutisme idĂ©ologique, au contraire ! C’est un idĂ©ologue qui dĂ©fend les intĂ©rĂȘts de ses employeurs. Mais qu’espĂ©rer d’autre dans un pays oĂč il n’existe pas de lois antitrust concernant la presse, oĂč une poignĂ©e de milliardaires concentrent en leurs mains la quasi-totalitĂ© des titres ?
J’ai vu votre extrait. J’y ai vu la chimĂšre improbable d’un psychanalyste, d’un marchand de peur, et d’un historiciste forcenĂ©. Effrayant que cela passe pour un « intellectuel » (car pour moi un journaliste est censĂ© ĂȘtre un intellectuel).
« Tout changer dans les discours mais en laissant la pompe à phynance intacte. »
Exact. Bon, la pompe Ă  phynance (je ne sais pas ce que vous dĂ©signez exactement par ce terme) doit quand mĂȘme exister un minimum, mais manipuler la conscience des gens, c’est limite.
« Lorsque l’on s’adresse aux gueux il convient de tout miser sur les Ă©motions primaires avec un discours rĂ©ducteur facilement traduisible en slogans : ici, les enfants gĂątĂ©s que nous sommes veulent faire l’exact inverse de leurs parents de la contre-rĂ©volution Reagano-thatchĂ©rienne, en se barricadant derriĂšre de hauts murs  »
Exact: Psychanalyste, marchand de peur et historiciste. Vous semblez avoir le mĂȘme diagnostic que moi.
« proposer lors des prochaines présidentielles un faux duel entre fascistes blancs et blancs fascistes. »
« Plus généralement, je pense que la neutralité journalistique en matiÚre politique est un leurre. »
Et bien il faut la redéfinir. Il manque un contre-pouvoir au bullshit journalistique.
« François Lenglet ne fait pas preuve de je-m’en-foutisme idĂ©ologique, au contraire ! C’est un idĂ©ologue qui dĂ©fend les intĂ©rĂȘts de ses employeurs. »
Je voulais dire qu’il Ă©tait je-m’en-foutiste par rapport au concept de fait discursif (silence sur la naturelle rĂ©elle de la position de Blanchard), et ce pour des motifs idĂ©ologiques.
« Mais qu’espĂ©rer d’autre dans un pays oĂč il n’existe pas de lois antitrust concernant la presse, oĂč une poignĂ©e de milliardaires concentrent en leurs mains la quasi-totalitĂ© des titres ? »
Et bien il faut instituer de telles lois et rĂ©glementations. Depuis que Bayrou a fait son craquage en public au sujet des mĂ©dia quand il concourrait contre Sarkozy, j’ai pris cette position antitrust au sens large en ce qui concerne les mĂ©dia.
Pompe Ă  phynance : ensemble des institutions dont la matiĂšre premiĂšre est la dette et s’assurant par le contrĂŽle des politiciens professionnels que les gains soient privatisĂ©s et les pertes collectivisĂ©es.
« Pompe Ă  phynance : ensemble des institutions dont la matiĂšre premiĂšre est la dette et s’assurant par le contrĂŽle des politiciens professionnels que les gains soient privatisĂ©s et les pertes collectivisĂ©es. »
Tel que je le perçois, il est inĂ©vitable que le concept de la pompe Ă  phynance soit indissociable de l’industrie bancaire/financiĂšre. Et comme il est assez manifeste que les Ă©conomies qui ne passent pas l’étape de la bancarisation ont vraiment du mal Ă  dĂ©coller et Ă  se maintenir en vol, il me paraĂźt extrĂȘmement clair qu’on ne peut pas Ă©viter l’existence d’une pompe Ă  phynance minimale.
Maintenant, cela ne veut en aucune maniĂšre dire que ce qu’il s’est passĂ© en 2008 est excusable, et effectivement, l’ampleur de la pompe Ă  phynance dĂ©passe l’entendement depuis dĂ©jĂ  quelques temps.
Bref. Il y a un « juste milieu » à viser sur ce point précis.
(Et n’oublions pas qu’il y a plein plein plein d’autres points sur lesquels on pourrait disserter Ă  l’envie, sans mĂȘme qu’il soit pertinent d’adopter un point de vue marxo-socialiste sur la question financiĂšre
)
Mais si on prend le point de vue de rĂ©gler les problĂšmes un par un, dans une optique progressive, on peut se demander par oĂč commencer
 Je propose qu’on traite le cas Lenglet, dans une optique connue de « Name and Shame ». Montrer comment, mĂȘme d’un point de vue de macroĂ©nomie libĂ©rale, il dĂ©forme, induit en erreur, ou mĂȘme Ă©ventuellement ment aux Français sur la question des positions de Blanchard.
Le concept de « pompe Ă  phynance » marque le fait que la finance est passĂ©e du stade de simple outil au service de l’économie – devant apporter les capitaux lĂ  oĂč ils manquent – au stade d’industrie autonome se servant de l’économie rĂ©elle pour accroitre sa propre rentabilitĂ©. État de fait dĂ©montrĂ© de maniĂšre spectaculaire par la pratique dite des « licenciements boursiers » consistant Ă  dĂ©truire des acteurs Ă©conomiques viables, si ce n’est trĂšs profitables, au seul but de maximaliser encore plus les profits des actionnaires (les chĂŽmeurs, ainsi que la dĂ©sindustrialisation du pays et les consĂ©quences sociĂ©tales et politiques Ă©tant laissĂ©s Ă  la charge de la collectivitĂ©).
Le juste milieu, me semble-t-il, consiste donc Ă  remettre cette finance mĂ©tastasĂ©e Ă  sa place, en la faisant redevenir un simple outil au service de l’économie .
Par oĂč commencer ? Eh bien par le commencement. Tant que la classe des politiciens professionnels servira prioritairement les intĂ©rĂȘts de la « pompe Ă  phynance », rien ne changera et nous continuerons Ă  foncer vers le mur en klaxonnant.
Le problùme n’est donc pas technique, interdire le casino boursier n’a rien de complexe, il est politique.
Les documentaires Noire Finance et Le Bal des Vautours peuvent se visionner ici:
« Le concept de « pompe Ă  phynance » marque le fait que la finance est passĂ©e du stade de simple outil au service de l’économie – devant apporter les capitaux lĂ  oĂč ils manquent – au stade d’industrie autonome se servant de l’économie rĂ©elle pour accroitre sa propre rentabilitĂ©. »
Trop binaire Ă  mon goĂ»t. Il y a beaucoup de paliers idĂ©ologiques et pratiques qui ont Ă©tĂ© franchis Ă  mon goĂ»t
 Si le problĂšme pouvait s’exprimer de maniĂšre aussi manichĂ©enne, j’en serais heureux.
« État de fait dĂ©montrĂ© de maniĂšre spectaculaire par la pratique dite des « licenciements boursiers » consistant Ă  dĂ©truire des acteurs Ă©conomiques viables, si ce n’est trĂšs profitables, au seul but de maximaliser encore plus les profits des actionnaires (les chĂŽmeurs, ainsi que la dĂ©sindustrialisation du pays et les consĂ©quences sociĂ©tales et politiques Ă©tant laissĂ©s Ă  la charge de la collectivitĂ©). »
Pour moi, le problĂšme n’est mĂȘme pas lĂ . Ce que vous dites n’est pas faux, mais n’est malheureusement pas suffisant pour franchir le pas de l’interdiction des licenciements boursiers.
« Le juste milieu, me semble-t-il, consiste donc Ă  remettre cette finance mĂ©tastasĂ©e Ă  sa place, en la faisant redevenir un simple outil au service de l’économie. »
Il faudra bien que vous trouviez aussi une conceptualisation raisonnable de la spĂ©culation sur laquelle vous dĂ©cidiez de tracer une frontiĂšre. Par exemple, dans quelle mesure les assurances (ou mĂȘme les politiques de grands travaux « keynĂ©siens » ) doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme de la spĂ©culation?
« Par oĂč commencer ? Eh bien par le commencement. Tant que la classe des politiciens professionnels servira prioritairement les intĂ©rĂȘts de la « pompe Ă  phynance », rien ne changera et nous continuerons Ă  foncer vers le mur en klaxonnant. »
Je pense que le ver est dans le fruit de maniĂšre beaucoup plus profonde, et qu’on en est mĂȘme plus lĂ . Vous avez jetĂ© un coup d’oeil au scandale 1MDB?
« Le problĂšme n’est donc pas technique, interdire le casino boursier n’a rien de complexe, il est politique. »
Je pense que c’est extrĂȘmement complexe, Ă  la fois d’un point de vue technique et politique. Et de toutes façons, tant qu’on attaque mĂȘme pas le problĂšme du shadow banking, je ne vois pas comment on pourra faire quoique ce soit.
Mais je veux bien écouter des plans, des idées

– Concernant le concept de « Pompe Ă  phynance » vous Ă©crivez : Trop binaire Ă  mon goĂ»t. Il y a beaucoup de paliers idĂ©ologiques et pratiques qui ont Ă©tĂ© franchis Ă  mon goĂ»t
 Si le problĂšme pouvait s’exprimer de maniĂšre aussi manichĂ©enne, j’en serais heureux.
Vous semblez penser que la multiplicitĂ© des causes et les chaines de rĂ©troactions qui en dĂ©coulent ne peuvent pas se traduire en termes simples. Comme la science physique nous l’enseigne, c’est pourtant tout le contraire. Au niveau macro le monde nous est comprĂ©hensible, et mĂȘme si les Ă©quations ne rĂ©sument que des thĂ©ories et non La RĂ©alitĂ©, elles ont pour Ă©normes avantages de fonctionner en nous donnant une vision explicative, prĂ©dictive et pratique du monde. Par exemple, E=mcÂČ veut dire que matiĂšre et Ă©nergie sont Ă©quivalentes, ce que n’importe qui peut comprendre, Ă  l’inverse du formalisme mathĂ©matique qui sous-tend cette Ă©quation et qui n’est pas acc
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