Amateure à gros seins et son gode

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Vivre sans soutien-gorge? C’est très tendance. J’ai donc essayé… juste pour voir si j’étais assez game malgré mon 36D. L’expérience a été… intéressante.


Par Andréanne Moreau

8 avril 2018

Je reporte sans cesse la date du début de ces quelques jours sans soutif. Dès que j’en discute avec mon conjoint, il met des mots sur la crainte que j’ai. «Chez une femme avec de gros seins, c’est tellement plus sexuel. C’est pas pareil du tout.» C’est ça. J’ai peur de me sentir toute nue, comme si je me dévoilais à tous. Mon soutien-gorge, c’est une armure, un accessoire qui me permet de ne pas être perçue – même par moi – comme un être sexuel. Il me permet de laisser mon intimité à la maison et de me transformer en professionnelle aguerrie.
Je mets des semaines à me convaincre de commencer. Mais le printemps arrive: si je ne me dépêche pas, je vais devoir prendre le métro sans soutien-gorge ET sans manteau. (Ça, c’est hors de question!) Au moins, avec mon manteau même léger, je pourrai éviter à mes seins un contact beaucoup trop direct avec les dizaines d’étrangers qui peuplent les wagons à l’heure de pointe.
Pour m’aider à faire la transition, je vais magasiner une bralette , simples triangles de dentelle avec des bretelles fines – sans cerceaux ni soutien. Je me suis toujours dit qu’ils n’étaient pas faits pour moi et mon D. Visiblement, les designers qui les fabriquent se sont fait la même réflexion. Après avoir essayé une bonne dizaine de modèles et avoir poussé autant de soupirs de découragement parce que ça déborde de partout, j’abandonne et sors de la cabine frustrée. Dans quoi me suis-je embarquée?
Je me replie sur une de ces brassières de détente en coton, du genre qu’on peut porter pour dormir, tellement il y a peu de soutien. Ça fonctionne, même si c’est loin d’être sexy.
Le lundi, je me lance avec ma brassière de transition. Déjà, je trouve que mes vêtements sont beaucoup moins seyants et je mets un bon quinze minutes à choisir le moins pire de mes chandails amples. La semaine va être longue!
Dans les transports en commun, c’est moins pénible que je le croyais. J’arrive presque à oublier que je n’ai pas mon armure, grâce à mon manteau.
Au boulot aussi, ça se passe plutôt bien. Heureusement, on croise bien peu d’hommes dans les bureaux de Châtelaine (salut, Pierre!). De jour en jour, je suis plus à l’aise. Je respire mieux, mes côtes sont moins comprimées, mes épaules sont plus détendues que quand je porte un vrai soutien-gorge.
On s’entend, j’ai toujours su que la lingerie n’était pas conçue pour mon confort. Comme pour les talons hauts, je mets un soutien-gorge pour me sentir plus jolie et avoir une belle shape . En fait, c’est surtout un réflexe. Je ne me souviens pas d’une journée depuis mes 13 ans où je n’en ai pas porté. Mais je n’avais jamais réalisé auparavant à quel point ce petit bout de tissu peut être inconfortable. Je me sens libre, même si mon reflet me plaît beaucoup moins.
Au bout de quelques jours, je décide d’y aller pour la totale. Je me rends au travail avec une simple camisole sous ma chemise, mais en prenant la précaution d’apporter une veste. Heureusement! Je ne me sens pas bien du tout. Le contact de mes seins sur mes côtes est désagréable au possible. Il ne fait pas si chaud, mais la sueur s’accumule dans ce pli que je n’ai pas habituellement.
Je traverse la journée sans parvenir à décoller mes coudes de ma cage thoracique, tellement je me sens vulnérable. Je tire sans cesse sur ma veste pour couvrir ma poitrine. J’ai l’impression que tout le monde remarque que je n’ai rien sous mon chandail – ce qui n’est pas le cas!
J’arrive à la maison et je n’en peux plus, j’enfile mon soutien-gorge à armature. Soupir de soulagement.
Il m’a fallu du temps pour m’habituer à ma brassière de détente, alors je peux bien donner une seconde chance à ma camisole. Je vais tenir le coup. Je m’habille en évitant le miroir et je persévère.
Comme de fait, c’est déjà mieux. Je constate même que, contrairement à ce que j’aurais pu croire, mes seins bougent moins que quand ils sont soutenus. Comme si la gravité leur permettait de mieux absorber le choc de mes pas.
Je fais quelques recherches pour me convaincre de continuer et tombe sur une étude . Les chercheurs ont démontré que le fait de ne pas porter de soutien-gorge aide les seins à être plus fermes et à moins descendre, probablement parce que les muscles servant à les soutenir travaillent davantage. Ça vaut peut-être la peine, après tout. Est-ce que je suis obligée de me sentir jolie tous les jours? Peut-être pas.
J’ai quand même l’impression que tout le monde remarque ma poitrine digne des années 1960 et de la révolution sexuelle. Je prends donc mon courage à deux mains et, en pleine réunion d’équipe, je demande à tous mes collègues s’ils se sont aperçus que j’avais commencé mon expérience. À ma plus grande surprise, ils n’y ont vu que du feu.
Ça me rassure, sans que j’arrive pour autant à descendre me chercher un café sans enfiler mon manteau.
Mon conjoint, lui, le remarque: «Ça fait un peu trop relax, trop négligé, tu ne trouves pas?» Oui, je trouve. Je me sens un peu comme si j’étais en pyjama tout le temps. Et j’ai beau essayer de me convaincre que c’est naturel, je n’aime pas mon apparence, comme ça. Je ne me sens pas bien dans ma peau.
Andréanne Moreau. Photo: Dillan Cools
Le vendredi, après avoir poussé un grand soupir en me regardant dans le miroir, j’abandonne. Je n’en peux plus. J’arrête l’expérience. J’aurai tenu 17 jours.
Je ne dis pas que les femmes avec une forte poitrine ne peuvent pas se passer de soutien-gorge. Au contraire, mon expérience m’a fait constater qu’une bonne partie des arguments que j’invoquais au début pour ne pas m’adonner moi-même au no-bra sont tombés. Mais je ne peux me résoudre à abandonner mon armure à plus long terme.
Cela dit, je ne peux pas non plus me remettre à porter mon ancienne lingerie à armature tous les jours de la semaine. J’ai tellement apprécié le confort!
Je garde donc mon soutif de transition. Je le reporterai, surtout maintenant que je sais que personne ne voit la différence, à part moi.
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Publié le
28 février 2010 à 19 h 12 min


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