Amarna Miller fait son show

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Ces femmes qui luttent pour un porno féministe


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Publié le 30 juin 2020 à 11h51 Mis à jour
le 17 mars 2021 Ă  16h05

MĂȘme si le porno reste majoritairement dominĂ© par les hommes, actrices, rĂ©alisatrices et productrices continuent de se battre pour changer l’industrie du X mainstream en profondeur. Une façon de prendre le pouvoir qui se manifeste aussi dans la tendance du porno peer-to-peer. EnquĂȘte.
Et si les femmes Ă©taient en train de prendre le pouvoir dans l’industrie du X, pour la changer de l’intĂ©rieur ? L’hypothĂšse peut surprendre. Le porno a mauvaise presse, accusĂ© de pervertir la jeunesse, d’asservir sa main-d’Ɠuvre, de servir de marchepied Ă  la misogynie la plus crasse, et mĂȘme de favoriser les violences conjugales – Ă  en croire une rĂ©cente loi sur le sujet, votĂ©e au SĂ©nat français, qui fait le lien entre les deux phĂ©nomĂšnes par un amendement visant Ă  limiter l’accĂšs des sites pornographiques aux mineurs.
Et pourtant, s’il ne s’agit pas de nier certains problĂšmes qu’il soulĂšve, le porno est bien plus divers qu’on ne l’imagine. Ecrit en 2018 par la journaliste d’investigation Marie Maurisse, PlanĂšte Porn (Stock) est l’enquĂȘte la plus fouillĂ©e publiĂ©e en langue française sur le sujet.
Au cours de ses recherches, la journaliste, qui admet en prĂ©ambule avoir eu un a priori nĂ©gatif sur cette industrie qui fait tant fantasmer, confie en conclusion que, souvent, “la rĂ©alitĂ© a bousculĂ© (ses) hypothĂšses, remis en cause (ses) idĂ©es reçues ” . Parmi celles-ci, le machisme supposĂ© indĂ©crottable d’un petit milieu dominĂ© par des hommes : “La dĂ©mocratisation du X , Ă©crit-elle, a permis aux femmes de dĂ©couvrir la pornographie, donc de la critiquer, de l’apprĂ©cier. Et de l’amĂ©liorer . ”
Il se trouve qu’au moment prĂ©cis oĂč je lisais ces lignes, j’étais conviĂ© au congrĂšs de l’industrie dite adulte, le XBIZ Show Ă  Los Angeles, pour y participer Ă  une discussion sur le journalisme et le porno. Premier constat : Ă  ce panel, j’étais le seul homme. Rapporter l’actualitĂ© du X n’a cependant rien Ă  voir avec le fait de la faire.
Mais en furetant dans les autres confĂ©rences, je remarquais des intitulĂ©s dĂ©notant, a minima, une interrogation du milieu sur ses pratiques : “Consentement et pornographie Ă  l’ùre de MeToo”, “Etre une femme et rĂ©aliser des films adultes” ou encore “Performeurs : prenez le pouvoir sur votre carriĂšre.” LĂ  encore, s’interroger sur des pratiques ne signifie pas les changer. Mais cela mĂ©ritait de creuser la question.
J’ai donc commencĂ© par interroger Bree Mills, sans doute la personnalitĂ© qui incarne le mieux les bouleversements en cours. RĂ©alisatrice et productrice, ouvertement queer, elle est directrice de la crĂ©ation d’un des cinq plus grands studios adultes du monde (le canadien Gamma Entertainment) et vient de lancer une ambitieuse offre payante, Adult Time, qui regroupe sur une mĂȘme plateforme des films et sĂ©ries d’horizons variĂ©s. Adult Time est en quelque sorte Ă  Pornhub (leader bien connu des tubes gratuits) ce que Netflix est Ă  YouTube.
Lorsque je la retrouve sur son stand, le plus grand du salon AVN de Las Vegas, elle s’apprĂȘte Ă  remporter le prix du meilleur long mĂ©trage de l’annĂ©e avec l’excellent Teenage Lesbian . “Oui, il y a de plus en plus de femmes Ă  des postes de pouvoir dans le X, me confirme-t-elle, mais ce n’est pas un phĂ©nomĂšne complĂštement neuf. Il y en a toujours eu, mais elles Ă©taient moins visibles qu’aujourd’hui . ” DĂšs les annĂ©es 1970, des femmes comme Suze Randall, Tristan Taormino, Annie Sprinkle, plus rĂ©cemment Erika Lust, Amarna Miller ou Ovidie, ont en effet proposĂ© leurs visions, originales et fĂ©ministes, du porno.
Ce qui motive Bree Mills, c’est d’élever le niveau gĂ©nĂ©ral du contenu disponible : “Je crois au storytelling, au porno personnel, sain, inclusif, un porno qui rend les gens qui le font et ceux·celles qui le consomment heureux·ses. Ma plus grande joie, c’est quand je regarde nos stats et rĂ©alise que les spectateur·trices regardent nos films jusqu’au bout . ”
Son discours marketing est rodĂ©, mais il n’est pas galvaudĂ©. Le contenu est bon, et la jeune femme au style butch peut se targuer d’ĂȘtre Ă  la tĂȘte d’une plateforme de plus de 100 000 abonné·es, prĂȘt·es Ă  dĂ©bourser vingt dollars par mois pour voir – en entier, donc, Ă  la croire – des films et sĂ©ries pornographiques de qualitĂ©.
A l’heure du tout-gratuit, ce n’est pas nĂ©gligeable. Et il ne s’agit pas non plus d’une niche : mĂȘme si ses chiffres sont incomparables avec ceux des tubes gratuits (des centaines de millions de vues quotidiennes), c’est bien du porno mainstream que produit ou rĂ©alise Bree Mills. Mais avec l’éthique du porno alternatif.
“Le porno n’est pas plus hard aujourd’hui. C’est un mensonge colportĂ© par des gens qui n’en voient pas. Il y a toujours eu un contenu super-hardcore, qui a sans doute culminĂ© au dĂ©but des annĂ©es 2000 avec l’arrivĂ©e d’internet. Aujourd’hui, mĂȘme si certaines pratiques hard sont rendues plus visibles par la gratuitĂ©, le porno mainstream tend Ă  s’adoucir” , rappelle Holly Randall, dans un cafĂ© de West Hollywood oĂč elle m’a donnĂ© rendez-vous, les bras chargĂ©s de costumes (serveuses de diner 50’s) pour son tournage du lendemain.
La petite quarantaine, enceinte, elle a suivi la voie tracĂ©e par sa mĂšre, la lĂ©gendaire Suze, premiĂšre photographe femme pour Playboy et Penthouse (et, pour l’anecdote, jeune fille au pair aperçue dans une scĂšne de L’Amour l’aprĂšs-midi d’Eric Rohmer en 1972). Aujourd’hui, Holly rĂ©alise des scĂšnes pour divers studios, quand elle n’est pas derriĂšre le micro pour animer son podcast, Unfiltered . TrĂšs Ă©coutĂ© (400 000 auditeur·trices en moyenne) et influent au-delĂ  de la profession, celui-ci vise Ă  donner la parole Ă  celles et ceux qui font cette industrie, Ă  tous ses Ă©chelons, pour tordre le cou Ă  certains clichĂ©s.
Comme le fait que les conditions de travail seraient nĂ©cessairement atroces : “Je ne peux parler que de ce que je connais, mais l’immense majoritĂ© des plateaux de tournage amĂ©ricains sont encadrĂ©s, respectueux du droit et soucieux du bien-ĂȘtre des travailleur·euses. Je ne vous dis pas que tout est parfait, mais ce n’est pas l’enfer parfois dĂ©crit. Quand il y a des abus, ils sont le plus souvent dĂ©tectĂ©s et punis. Notre milieu a pris MeToo trĂšs au sĂ©rieux, et les pratiques ont Ă©voluĂ©â€, assure-t-elle. RĂ©cemment, le cas trĂšs mĂ©diatisĂ© du site GirlsDoPorn, qui faussait le consentement de ses modĂšles, s’est ainsi conclu par de lourdes peines de prison.
La situation que me dĂ©crit Holly Randall, et que me dĂ©criront tous·tes celles et ceux que j’interrogerai pour mon enquĂȘte, vaut pour les Etats-Unis, oĂč le porno est une industrie structurĂ©e, moins pour l’Europe, oĂč elle est le plus souvent un artisanat bricolĂ© – sans parler du reste du monde.
Pour une production Dorcel, glamour et chic, combien de tournages glauques Ă  la lisiĂšre de la lĂ©galité ? C’était une des conclusions de Marie Maurisse dans son PlanĂšte Porn , et c’est aussi un constat de Carmina, qui a repris en 2019 la rĂ©daction en chef du site de culture X Le Tag parfait : “Mais c’est prĂ©cisĂ©ment une raison pour lĂ©galiser le porno, pour mieux l’encadrer et pour laisser les femmes s’y exprimer . ”
La rĂ©alisatrice et camgirl , qui promeut un porno fĂ©ministe et inclusif, ouvert Ă  tous les corps, en profite pour dĂ©cocher une flĂšche au porno dit pour femmes, cette “arnaque inventĂ©e de toutes piĂšces par des mecs rĂ©unis en conciliabule pour essayer d’imaginer ce qui pourrait plaire Ă  un public fĂ©minin : de la romance fleur bleue bien sĂ»r
 comme si les femmes ne pouvaient pas regarder un gang bang ou du BDSM . ”
Des gang bangs et du BDSM, c’est notamment ce que produit Kayden Kross, directrice gĂ©nĂ©rale de Vixen Media, un des plus grands studios nord-amĂ©ricains, que j’interviewe dans sa somptueuse villa de Calabasas, Ă  quelques encablures de Kanye West et Kim Kardashian. En tant que rĂ©alisatrice, elle y dĂ©veloppe principalement son label, Deeper, oĂč elle met en scĂšne des femmes puissantes et dominatrices.
Consciente que “les femmes sont la raison pour laquelle et par laquelle cette industrie existe” , elle ne se berce pas d’illusion et sait que “le chemin est long avant qu’on puisse parler de rĂ©volution fĂ©ministe dans le porno. Il ne faut toutefois pas nier l’existence d’un profond changement depuis quelques annĂ©es” , insiste-t-elle. Et d’ajouter que, en 2020, plus de la moitiĂ© des nommé·es Ă  l’AVN (l’équivalent d’un Oscar) de Best Director – trophĂ©e qu’elle a d’ailleurs remportĂ© pour la deuxiĂšme annĂ©e consĂ©cutive – Ă©taient des femmes. “Et contrĂŽler le contenu, c’est dĂ©tenir le pouvoir » , affirme-t-elle.
« Ce serait bien d’avoir aussi la main sur les capitaux” , prĂ©cise Bella French, quand je la croise au bar du Hard Rock Hotel qui accueille les AVN Ă  Las Vegas. “Trop souvent encore, ce sont des hommes qui tiennent les cordons de la bourse”, explique-t-elle. Cette entrepreneuse quĂ©bĂ©coise est entrĂ©e dans l’industrie adulte par la porte du caming , afin de rembourser une dette. Estimant qu’aucune plateforme ne lui offrait un service satisfaisant, elle a crĂ©Ă© la sienne avec son conjoint et un ami.
FondĂ© en 2014, ManyVids est ainsi le premier clipsite oĂč tout un chacun∙e peut vendre ses vidĂ©os Ă©rotiques et pornographiques Ă  l’unitĂ© ou contre abonnement (cela s’appelle alors un fansite ). Son slogan – “le pouvoir aux performeurs” – se concrĂ©tise par la maĂźtrise totale du contenu par ces dernier∙ùres, qui peuvent l’ajouter, le retirer, le monĂ©tiser comme bon leur semble. Sans l’intervention d’un producteur, d’un agent, d’un rĂ©alisateur

PopularisĂ©e plus encore par OnlyFans, cette nouvelle tendance du porno peer-to-peer, sans autre intermĂ©diaire qu’une plateforme – qui prend tout de mĂȘme une jolie commission de 20 %, mais n’a pas son mot Ă  dire sur les prix, contrairement Ă  Uber –, pourrait bel et bien renverser la table.
Pour en avoir le cƓur net, je demande Ă  une personne concernĂ©e : Ana Foxxx, actrice, il est vrai connue. MĂȘme si elle admet qu’il est encore nĂ©cessaire de passer par le porno classique pour crĂ©er et consolider sa fanbase , la star m’avoue prĂ©fĂ©rer dĂ©sormais faire ses propres scĂšnes, dans son coin, avec ses amis, et les mettre Ă  disposition sur son OnlyFans. “Juste avec ça, je gagne autant qu’en faisant des films – et ça me laisse toujours le temps d’en faire, si on me propose des choses inspirantes. Sinon, au diable !” 
Quand je lui demande combien elle gagne en un an, elle rechigne Ă  me donner la somme exacte, mais Ă©voque six chiffres
 Bien sĂ»r, il serait illusoire d’imaginer que l’industrie du X serait devenue un paradis oĂč tout le monde devient riche en s’amusant, et que des mĂ©canismes de domination ne perdurent pas, particuliĂšrement en bas de l’échelle.
“Cela reste un mĂ©tier difficile, qui nĂ©cessite une carapace solide” , me confirme Ana Foxxx. NĂ©anmoins, la fĂ©minisation croissante des postes de pouvoir, la prise en compte du consentement et l’indĂ©pendance accrue des travailleur·euses est en train, peu Ă  peu, de crĂ©er un environnement plus propice Ă  l’épanouissement – Ă©panouissement qui rejaillit sur le contenu, pour le bonheur de tous et toutes.
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