Amants Allemands dingues

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Published: 12 août 2022 11h39 Updated: 15h21 Author Stéphane Calmeyn
Published: 10 août 2022 9h25 Updated: 12 août 2022 11h52 Author Stephan Plez
Published: 8 août 2022 9h40 Updated: 12 août 2022 11h53 Author Stephan Plez
Published: 3 août 2022 15h15 Updated: 12 août 2022 11h51 Author Stéphane Calmeyn
Published: 2 août 2022 16h54 Updated: 12 août 2022 11h51 Author Stéphane Calmeyn
Published: 29 juillet 2022 8h15 Updated: 12 août 2022 15h36 Author Stephan Plez
Published: 18 juillet 2022 9h08 Updated: 9h09 Author Stephan Plez
Published: 11 juillet 2022 11h45 Updated: 11h46 Author Stephan Plez
Published: 8 juillet 2022 11h18 Updated: 24 juillet 2022 15h56 Author Stephan Plez
Published: 5 juillet 2022 12h30 Author Stephan Plez
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La course en quĂȘte de la Sainte-Croix en Roumanie.
Photo : Vadim Ghirda/Associated Press
De la mi-janvier Ă  la mi-fĂ©vrier. Quoi de mieux pour supporter l’hiver islandais qu’ un plat de testicules de bĂ©lier marinĂ©s, de requin faisandĂ© et de tĂȘte de mouton bouilli ? Monsieur ou Madame ­dĂ©sirent-ils un peu de viande d’agneau ­fumĂ©e Ă  la crotte de mouton ? Ces mets roboratifs figurent au menu de la cĂ©lĂ©bration de Thorrablot , une tradition qui remonte Ă  l’époque prĂ©chrĂ©tienne en Islande. Le tout arrosĂ© de Brennivin, une eau-de-vie parfumĂ©e aux herbes que l’on appelle affectueusement la « mort noire ». Santé !
Le 19 janvier. Nous sommes au cƓur de l’hiver et le mercure frĂŽle le point de congĂ©lation. Envie d’une petite nage en eau froide ? De la Serbie Ă  l’ex-Union soviĂ©tique, de la mer Noire au Bosphore, pour cĂ©lĂ©brer le baptĂȘme du Christ dans le Jourdain , des chrĂ©tiens orthodoxes d’Europe de l’Est n ’hĂ©sitent pas Ă  plonger dans des eaux glaciales. Quand le patriarche en grand apparat jette une croix de bois dans l’eau, les nageurs encouragĂ©s par la foule s’élancent pour s’en emparer. Il est dit que l’heureux gagnant connaĂźtra une annĂ©e prospĂšre.Telle est la tradition.
Le 25 janvier. CĂŽtĂ© traditions, les Écossais ne sont pas en reste, qui commĂ©morent la naissance de leur poĂšte national, Robert Burns, en dĂ©vorant une sorte de saucisse gĂ©ante composĂ©e d’un hachis de cƓur, de foie et de poumon de mouton dont on a farci une panse d’agneau. C’est le fameux haggis , piĂšce maĂźtresse de la Burns Night (« Nuit de Burns »). Quand le plat arrive sur la table, un convive dĂ©clame le poĂšme de Burns « À un Haggis », avant que le couteau ne plonge dans ses « nobles entrailles », comme l’écrit si justement le poĂšte ( illustration ).
Selon la tradition, un homme porte un toast en devisant avec humour sur le rĂŽle du « sexe faible ». Une femme rĂ©pond alors en exposant son point de vue sur les hommes.
« J’ai donnĂ© deux fois la rĂ©plique et il faut avoir la peau dure car c’est l’occasion pour chacun de se moquer des faiblesses de l’autre, explique Jennie Landels, une habituĂ©e de la Burns Night. Comme les femmes ont le dernier mot, elles savent trouver des rĂ©pliques mordantes ! »
Le 1 er mars. Le dernier jour de fĂ©vrier, les Grecs ont l’habitude de fabriquer ou d’acheter un petit bracelet de fils rouges et blancs torsadĂ©s qu’ils portent en mars pour fĂȘter l’arrivĂ©e prochaine du printemps et – en thĂ©orie – se protĂ©ger les joues de la brĂ»lure du soleil. Le Martis , du mot grec dĂ©signant le mois de mars, est une tradition qui se pratique Ă©galement dans les Balkans.
« Ce bracelet tout simple avait un pouvoir magique sur mon humeur, confie Angelica Papastamati, qui a grandi Ă  AthĂšnes et se souvient d’en avoir tissĂ© enfant. Le porter signait la fin de la pĂ©riode dĂ©primante de l’hiver. »
Dans certaines rĂ©gions rurales, la tradition veut que l’on attache son bracelet au premier arbre en fleurs, ou Ă  un rosier si on a vu une hirondelle.
Le 8 mars. CĂ©lĂ©brĂ©e dans le monde entier depuis plus d’un siĂšcle et jour fĂ©riĂ© dans certains pays, la JournĂ©e internationale des femmes commĂ©more l’égalitĂ© entre les sexes.
En Italie, la Festa della Donna rappelle davantage la Saint-Valentin ou la fĂȘte des MĂšres et les femmes se voient offrir des bouquets de mimosa par les hommes de leur entourage. Les mets prĂ©parĂ©s Ă  l’occasion sont teintĂ©s de jaune sur le thĂšme du mimosa, songeons aux linguines mimosa, assaisonnĂ©es de poudre de curry. Le soir, les femmes sortent en bande pour se dĂ©tendre. S’il y avait un saint pour les stripteaseurs de sexe masculin, ce serait certainement sa journĂ©e.
Le 1 er avril. Comme ailleurs dans le monde, le 1 er avril en France fait la part belle aux blagues et aux canulars. Pour les Ă©coliers français, il prend aussi la forme du poisson d’avril . Selon les historiens, cette pratique remonterait au moins au XVI e siĂšcle.
« Mes parents, mes grands-­­parents, mes oncles et mes tantes, tout le monde y est passĂ©, mĂȘme mes profs, et ça m’amusait beaucoup, se souvient Mathieu Doyen, qui a grandi dans le nord-est de la France. C’est toujours aussi drĂŽle. Mon fils Martin, huit ans, l’adore ! »
Le 2 avril . Deux jeunes auteurs norvĂ©giens Ă©taient loin de se douter qu’ils allaient lancer une nouvelle tradition en 1923. Cette annĂ©e-lĂ , pour faire mousser les ventes de leur dernier roman policier, une semaine avant PĂąques, ils ont publiĂ© dans le journal Aftenposten une publicitĂ© qui ressemblait en tout point Ă  un articl e. « Le train de Bergen a Ă©tĂ© braquĂ© cette nuit », pouvait-on lire Ă  la une, et beaucoup de lecteurs y ont cru. Depuis, les NorvĂ©giens chĂ©rissent leur PĂ„skekrim (« polar de PĂąques ») pendant le congĂ© pascal qu’ils passent gĂ©nĂ©ralement dans un chalet, loin de la ville.
« Quand j’étais jeune, il n’y avait pas d’électricitĂ© dans ces habitations rustiques et, pendant ce long week-end, nous Ă©coutions tous les soirs des sĂ©ries policiĂšres sur une radio Ă  piles, se remĂ©more Katrina Swift, originaire d’Oslo. L’émission existe toujours Ă  la radio et une sĂ©rie tĂ©lĂ© est venue enrichir la tradition. »
Par ailleurs, durant la pĂ©riode qui prĂ©cĂšde PĂąques, Tine, la plus importante coopĂ©rative laitiĂšre au pays, imprime une bande dessinĂ©e pĂ„skekrim sur ses briques de lait avec un prix Ă  la clĂ© pour ceux qui arrivent Ă  rĂ©soudre le crime !
Le 5 avril Le lundi de PĂąques, on sort le fouet en RĂ©publique tchĂšque , en Slovaquie et dans certaines rĂ©gions de la Hongrie. Cette tradition ancienne encourage la fabrication de fouets Ă  partir de plusieurs branches de saule au bout desquelles un ruban est nouĂ©. C’est le pomlĂĄzka en RĂ©publique tchĂšque, un rite populaire au cours duquel on fouette les jeunes femmes pour leur assurer (soi-disant) la beautĂ©, la fertilitĂ© et la santĂ© toute l’annĂ©e.
Fort heureusement, on ne fait que fouetter symboliquement les cuisses ou les fesses.
« Je vis Ă  Prague oĂč le pomlĂĄzka est considĂ©rĂ© par plusieurs comme une coutume ringarde, mais Ă  la campagne oĂč j’ai plusieurs fois cĂ©lĂ©brĂ© PĂąques, ça reste une tradition populaire, reconnaĂźt Petra Kostalka. Mes grands-parents, mes tantes et mes cousins qui y vivent encore font le rituel au grand complet : le fouet pomlĂĄzka, les Ɠufs peints et les gĂąteaux de fĂȘte. Moi, je me contente de peindre des Ɠufs ! »
Le 1 er mai. Pour les Ă©tudiants finlandais, la fĂȘte de Vappu ne marque pas seulement le dĂ©but de l’étĂ©, mais aussi la fin de l’annĂ©e scolaire. C’est la tradition. VĂȘtus de couleurs vives et coiffĂ©s d’une casquette blanche, ils se lancent dans le genre d’activitĂ©s festives auxquelles excellent les Ă©tudiants.
« Quand j’étais jeune, c’était avant tout une excuse pour se soĂ»ler avec des copains et profiter des journĂ©es chaudes », explique Peter Granfors, qui a grandi dans la ville de Vaasa, en Finlande. Vappu n’est pas rĂ©servĂ© aux Ă©tudiants, l’ambiance de carnaval gagne tout le pays. « J’ai des souvenirs d’enfance encore vifs des gens Ă  l’extĂ©rieur, des effluves de nourriture. Il y avait des gaufres avec de la chantilly et on vendait toutes sortes de produits sur les Ă©tals », se souvient Peter Granfors avec mĂ©lancolie.
Le mĂąt enrubannĂ© du 1 er mai – l’arbre de mai – est une image familiĂšre en Europe. En SuĂšde cependant, c’est en juin, le vendredi qui tombe entre le 19 et le 26, que vous pouvez surprendre d’étranges sonoritĂ©s de grenouilles Ă©ructĂ©es par les participants dĂ©filant autour de l’arbre de mai. SmĂ„ Grodorna (« petites grenouilles ») est la chanson d’une danse traditionnelle qui imite les parties du corps qui manquent aux grenouilles ; un chƓur de batraciens accompagne le tout. La mĂ©lodie serait originaire de France ; il s’agirait d’une marche militaire chantĂ©e durant la RĂ©volution. On ignore comment elle s’est exportĂ©e en SuĂšde pour se transformer en chant de grenouilles.
En RĂ©publique tchĂšque, le 1 er mai est plutĂŽt consacrĂ© Ă  l’amour. Dans le respect d’une tradition plusieurs fois centenaire, les amants s’embrassent sous un arbre en fleurs. Il peut coĂ»ter cher d’y dĂ©roger : si une femme n’est pas embrassĂ©e, on dit qu’elle dĂ©pĂ©rira et mourra avant 12 mois.
Le 23 juin. Il se passe des choses Ă©tranges autour du solstice d’étĂ©. Dans de nombreux pays, il est de tradition d’allumer un feu de joie pour fĂȘter la nuit de la Saint-Jean , jour prĂ©sumĂ© de la naissance de saint Jean-Baptiste.
Au Danemark, la Sankt Hans Aften va plus loin et ajoute Ă  son traditionnel bĂ»cher une effigie de sorciĂšre. Pendant qu’elle brĂ»le, les participants entonnent des chants patriotiques. La sorciĂšre symbolise les malheurs que la nation danoise veut Ă©viter ; les chants cĂ©lĂšbrent l’espoir que la paix l’emporte.
Entre-temps, de l’autre cĂŽtĂ© de la Baltique, les Lettons fĂȘtent Ă  leur maniĂšre la Saint-Jean. La nuit du Ligo , ils se rassemblent autour d’un feu de joie et attendent le lever du jour. Les femmes ont cueilli des fleurs et tressĂ© des couronnes pour s’en parer, et les hommes sont censĂ©s se dĂ©shabiller et se jeter dans le cours d’eau le plus proche.
Le 5 novembre La plupart des Britanniques ignorent que la Guy Fawkes Night (« nuit de Guy Fawkes ») s’est nourrie Ă  l’origine d’un sentiment anticatholique. S’ils savent tous que Fawkes avait projetĂ© de faire sauter la Chambre des lords durant la session d’ouverture du Parlement en 1605, peu sont au courant que Fawkes et ses amis conspirationnistes prĂ©voyaient assassiner le roi Jacques 1 er pour placer sur le trĂŽne Elizabeth, sa fille de neuf ans, comme chef d’État catholique. Heureusement pour le roi, Guy Fawkes fut arrĂȘtĂ© avant d’allumer la mĂšche. Par la suite, on brĂ»la rĂ©guliĂšrement des effigies du pape le Jour de la Conspiration des poudres au XVII e siĂšcle . Aujourd’hui, la symbolique a Ă©tĂ© pratiquement oubliĂ©e et la Bonfire Night, comme on l’appelle gĂ©nĂ©ralement, est un Ă©vĂ©nement social marquĂ© par des feux d’artifice spectaculaires.
Le 5 dĂ©cembre Il n’y a pas personnage traditionnel plus controversĂ© que Zwarte Piet (« Pierre le Noir », le PĂšre Fouettard des Pays-Bas ), qui apparaĂźt les jours prĂ©cĂ©dant la Saint-Nicolas. Maure d’origine espagnole, Pete est le serviteur de saint Nicolas qui distribue des bonbons aux enfants pendant les dĂ©filĂ©s.
Le personnage incarnĂ© par un comĂ©dien maquillĂ© en noir et coiffĂ© d’une perruque bouclĂ©e polarise dĂ©sormais l’opinion aux Pays-Bas et en Belgique. La cĂ©lĂšbre Kim Kardashian aux 62 millions d’abonnĂ©s s’est mĂȘme fendue d’un tweet en 2019, ­jugeant « inquiĂ©tante » la tradition du Zwarte Piet.
Le 8 dĂ©cembre. Dans les rĂ©gions de Catalogne et d’Aragon, entrez dans une maison Ă  l’ImmaculĂ©e Conception et vous y trouverez une Ă©trange crĂ©ature au visage souriant et au corps de bĂ»che revĂȘtu d’une couverture. Il s’agit de Caga TiĂł , qui signifie littĂ©ralement la « bĂ»che qui fait caca. »
À l’approche de NoĂ«l, les enfants « nourrissent » leur bĂ»che de pain, de pelures d’orange et de haricots ; la veille de NoĂ«l, ils le battent avec un bĂąton en le priant de « faire caca » des cadeaux. Ô surprise, ceux-ci apparaissent sous la couverture de Caga TiĂł (on le devine, les parents sont Ă  l’ouvrage).
Le 13 dĂ©cembre. Sainte Lucie est une martyre chrĂ©tienne du IV e siĂšcle. Selon la lĂ©gende, ses tortionnaires lui ont arrachĂ© les yeux, ce qui a fait d’elle la sainte patronne des aveugles (entre autres). Et comme lux , la racine latine de son prĂ©nom, signifie lumiĂšre, elle est considĂ©rĂ©e comme la gardienne de la lumiĂšre en hiver.
En SuĂšde, au Danemark et dans certaines rĂ©gions de Finlande, le jour de la Sainte-Lucie dĂ©filent des jeunes femmes portant une couronne de bougies sur la tĂȘte et des garçons vĂȘtus de costumes amples . Tous interprĂštent des chansons traditionnelles. À la maison, la fille aĂźnĂ©e sert du cafĂ© et des brioches au safran Ă  sa famille. Ailleurs, en Hongrie, on fait germer du blĂ© dans un plat et chaque pousse verte qui apparaĂźt avant NoĂ«l est le signe que la vie triomphe de la mort. 
Le 26 dĂ©cembre. Jusqu’au milieu du siĂšcle dernier, dans presque toute l’üle, les Irlandais fĂȘtaient le 26 dĂ©cembre de maniĂšre tapageuse. Les jeunes garçons se peignaient le visage et, aprĂšs avoir enfilĂ© de vieux vĂȘtements, allaient de porte en porte chanter, danser et jouer d’un instrument. Ils avaient coutume d’emporter avec eux un roitelet ( wren en anglais) mort et de demander de l’argent pour « enterrer le roitelet ».
Pour le plus grand bien des roitelets, cette pratique n’a plus cours et est le plus souvent remplacĂ©e par un dĂ©filĂ© colorĂ© dans les rues, parfois avec des participants vĂȘtus de paille. Aucune mort d’oiseau n’est Ă  dĂ©plorer.
Le 31 dĂ©cembre « On fait comme l’an dernier, Mlle Sophie ? » « On fait comme chaque annĂ©e, James. » Ainsi vont les dialo­gues rĂ©pĂ©tĂ©s dans ce court mĂ©trage tĂ©lĂ©visĂ© allemand de 1963 adaptĂ© d’un sketch britannique des annĂ©es 1920 intitulĂ© Dinner for One , oĂč un majordome s’enivre progressivement en servant le dĂźner Ă  sa maĂźtresse aristocrate. Depuis prĂšs de 50 ans, le film est diffusĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision nationale en ­Allemagne (et d’autres pays europĂ©ens), le soir de la Saint-­Sylvestre.
Un timbre commĂ©moratif a mĂȘme Ă©tĂ© Ă©mis en 2018 pour marquer cette institution. Le film est pratiquement inconnu au Royaume-Uni.
En Espagne, les familles se réunissent autour de 12 grains de raisin pour les 12 coups de minuit qui marquent le Nouvel An.
La tradition a Ă©tĂ© popularisĂ©e au dĂ©but du XX e siĂšcle par des viticulteurs de la rĂ©gion d’Alicante pressĂ©s de vendre une rĂ©colte abondante. Aujourd’hui, les supermarchĂ©s en Espagne vendent pour l’occasion des boĂźtes spĂ©ciales contenant 12 grains de raisin.

Le spectacle des hĂŽtesses sur le podium des grands Ă©vĂ©nements sportifs est sexiste. Il est temps d’y mettre fin. par


Le travail de Peter Wohlleben sur la forĂȘt change notre conception de la nature. Par Craig Stennett DANS SA TRILOGIE Le

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Perso
Société

Berlin est sexy, mais Berlin n’est pas la capitale de la romance. Facile, dans la citĂ© des fous, des artistes et des fĂȘtards, de se mettre de la chair fraĂźche sous la dent pour une nuit
 bien plus difficile de trouver une Ă©paule chaude et rĂ©confortante pour passer l’hiver prussien sous la couette. En tant qu’incorrigible amie des hommes, je me suis rĂ©galĂ©e Ă  Berlin et j’en ai tout autant fait les frais
 happy end avec prince charmant non garantie.
Je rebondis ici sur un article intĂ©ressant publiĂ© il y a quelques mois par le magazine berlinois anglophone ExBerliner qui fait Ă©tat du dĂ©sert sentimental berlinois chez les femmes. C’est un fait, les histoires d’amour durables et rĂ©elles sont aussi rares Ă  Berlin qu’une aiguille sous roche ou une anguille dans une botte de foin, vous me suivez.
Je vous entends protester que c’est la mĂȘme chose dans toutes les grandes mĂ©tropoles. Eh bien non, pas vraiment. A Paris, vers l’ñge de trente ans, les gens se « casent ». La vie parisienne est infernale et les appartements trop chers et trop petits pour une colocation. Je vois mes amis parisiens envisager la vie Ă  deux bien plus facilement que ne le font les Berlinois , qui cohabitent entre copains jusqu’à plus de quarante ans. Plus facile de rester cĂ©libataire quand on ne souffre pas de la solitude durant les longues veillĂ©es d’hiver. Et comment se sentir seul avec Pedro et Antje qui vous laissent leurs poils et leurs cheveux partout dans la salle de bains?
Soyons francs : à Berlin, on s’envoie en l’air, mais on n’aime pas vraiment, ou pas longtemps . Pourquoi? Parce qu’il existe deux types de Berlinois:
Le premier est un peu coincĂ© et ne sait pas aborder les filles, donc il peut rester cĂ©libataire jusqu’à ce qu’une bonne Ăąme ait vraiment envie d’aller le chercher. Le second est incapable de se poser deux secondes. Insatiable, il cour
Se faire remplir ses jolis trous
Une soirée entre échangistes
DĂ©licieuse boisson laiteuse

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