Aller sur les limites avec le masseur

Aller sur les limites avec le masseur




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Aller sur les limites avec le masseur

Télécharger UNIZEN sur

App Store


Télécharger UNIZEN sur

Play Store

Découvrez TOUS NOS PRATICIENS PAR VILLE

Découvrir plus de villes
Voir moins de villes


Unizen certifie la qualité de ce professionnel !



Réservez une séance de bien-être & beauté
En 3 étapes, c'est simple et ludique !
Réserver



Découvrez tous nos tarifs UNIZEN
Simulez vos tarifs et cumulez des points zen !
Tarifs


Service client
01 83 83 48 22
de 9 heures à 19 heures
7 jours sur 7


Cumulez
Des points Zen
100 points ZEN = 10 euros


Vous êtes
un particulier
et vous recherchez une séance de bien-être
S'inscrire


Vous êtes
un praticien
et vous souhaitez élargir votre clientèle
S'inscrire



5
/
5
Unizen


Bon masseur, très bonne pression des mains et toujours à l’écoute de mes attentes.

Très bonne séance, merci Unizen de votre confiance.

Très compréhensif et arrangeant ! Merci.

Épilation parfaitement et soigneusement réalisée, je recommande.

Esthéticienne de qualité, je recommande !

Pédicure + Manucure + Vernis semi-permanent


Audrey aux petits soins ! Mention spéciale pour le bain de pied SPA ! Merci :)

Merci pour cette séance ! C’était très relaxant.

Merci pour ce super moment ! Je recommande vivement les services d'Unizen.

Tout a été parfait. Massage très relaxant. Je recommande vivement.

Très satisfait du massage de Marie-Pierre ! Je recommande.

Morgane a des doigts de fée ! Merci pour la séance.

Séance au top comme toujours avec Unizen !

Un super massage ! Merci Unizen pour ce moment de détente.

Bon masseur, très bonne pression des mains et toujours à l’écoute de mes attentes.

Twitter
Nous suivre sur Twitter
Tweets de @UnizenOfficiel


UNIZEN
Bien-être &
Beauté à domicile

Découvrez à travers le magazine Unizen toute l’actualité du bien-être
et les tendances beauté pour rester averti des meilleurs techniques et soins du moment.
Alors que les massages bien-être et relaxation représentent un marché en plein essor, il convient de souligner que cette profession ne dispose pas de réglementation destinée à encadrer son exercice. Ainsi, comme toute activité non réglementée, un nuage de doute et de scepticisme peut se poser sur ce métier et nuire à l'image professionnelle et sérieuse de la majorité des praticiens.
Même s'il est vrai qu'un encadrement juridique offrirait une garantie aux clients concernant la compétence du masseur, et rassurerait par la même occasion les professionnels du secteur, cela pourrait également entraîner une uniformisation de l'offre de massages, au détriment de la variété qui fait justement la richesse de cette profession. En effet, avec une offre de massages particulièrement variée, et adaptée aux attentes et aux besoins des clients dans le but de leur offrir bien-être et détente, la profession de masseur bien-être bénéficie d'une image positive liée à cette diversité.
Du massage oriental au Massage Suédois , en passant par le massage shiatsu, le massage reiki, le massage balinais, le massage ayurvédique ou encore le massage au miel, abdominal, sportif, aux pierres, pour femmes enceintes, pour bébés..., la gamme de massages proposée aux clients est infinie, et permet à chacun de trouver le type de massage qu'il recherche.
Dans tous les cas, l'objectif d'un massage bien-être ou relaxation est identique : il s'agit, pour le masseur, d'apporter une détente dans tout le corps ou localisé sur une partie précise selon le massage, et pour le client, de profiter d'un moment de bien-être et de détente corporelle et émotionnelle, loin du stress quotidien.
A ce titre, la profession de masseur bien-être/relaxation n'est en rien comparable avec celle de masseur-kinésithérapeute, si ce n'est la recherche d'un confort procuré au patient ou au client. Réglementé et rigoureusement encadré, le métier de masseur-kinésithérapeute consiste en effet à réaliser un travail sur l'anatomie du patient, dans le but de lui procurer un mieux-être, un soulagement, voire une guérison.
Quant aux masseurs bien-être, ils n'ont d'autre ambition que de faire profiter à leurs clients de leur savoir-faire, dans une ambiance et avec un état d'esprit d'échange et de partage de moments riches, tant sur le plan émotionnel que sur le plan humain. Il s'agit donc bien là de deux professions bien distinctes, sollicitant des compétences spécifiques et différentes.
Les clients ne s'y trompent pas, et apprécient généralement la complémentarité de ces deux activités professionnelles. Toutefois, certains masseurs-kinésithérapeutes n'ont pas toujours vu d'un bon œil l'exercice de cette profession, considérant qu'il s'agissait là d'une activité concurrentielle, en raison notamment de l'absence de réglementation.
Ce fut notamment le cas en 2001, lorsqu'une fédération de masseurs kinésithérapeutes intenta un procès à un masseur bien-être, Joël Savatofski , lequel avait choisi de proposer des séances de massage minute sur les aires d'autoroute. La justice a finalement tranché en la faveur de M. Savatofski, estimant que cette activité était parfaitement légale et pouvait totalement co-exister avec l'activité de masseur-kinésithérapeute, dans la mesure où l'objectif visé était différent. D'autres procès ont suivi par la suite, et ont permis d'apporter des éclaircissements juridiques à cette profession.
Ainsi, même si nous sommes encore loin d'une réglementation claire, la jurisprudence contribue à déterminer les contours de cette profession liée au bien-être. A noter toutefois que deux fédérations se penchent sur le problème, la fédération française de massage bien-être (FFMBE) et la Fédération française des massages traditionnels de relaxation (FFMTR), dans le but de mettre en place une organisation de la profession, afin d'éviter tout débordement ou problème néfastes à l'image de ce métier de plus en plus sollicité.

You do not have permission to access this document.

Publié
le 28/05/2015 à 12:30 , Mis à jour le 03/06/2015 à 17:14
Vous avez choisi de refuser les cookies
Accepter les cookies ou abonnez vous pour 1€
Alors qu'elle enchaîne les petits boulots ingrats ou à temps partiel, Kim, bac +5, décide de devenir masseuse naturiste pour pouvoir se payer une bonne école. Elle découvre alors un monde inattendu, éloigné selon elle, des clichés de la prostitution.
Kim, 26 ans, est une jeune femme ordinaire. Issue de la classe moyenne, jolie, drôle. Épanouie dans le brouhaha parisien, entre une vie sociale riche et un travail à temps partiel dans un quartier chic du 16e arrondissement. Une routine qu'elle casse deux jours par semaine quand elle se transforme en masseuse naturiste dans l'un de ces petits salons dont les prospectus décorent les pare-brise de la capitale. Entièrement nue, elle masse avec ses mains et son corps des hommes inconnus, nus eux aussi. Elle a trouvé ce travail sur un site de petites annonces, une annonce parmi les " moins pires". "Très bonne rémunération", était-il spécifié. Son bac +5 ne lui a pas suffi pour trouver un travail intéressant. Plutôt que de rester amère et d'enchaîner les boulots d'hôtesse précaires, la jeune femme a décidé de sauter le pas. Sa motivation : engranger assez d'argent pour faire un autre master dans une très bonne école de commerce, master qui lui permettra d'obtenir un poste intéressant. Parmi les masseuses des quelques dizaines de salons de massage naturistes parisiens, on trouve surtout des étudiantes et des femmes travaillant à temps partiel, dont le maigre salaire leur permet tout juste de payer leur loyer.Le premier jour, Kim a travaillé quatre heures ; elle est ressortie avec 250 euros en poche. En cinq mois, après avoir effectué environ 150 massages, elle a pu mettre 10.000 euros de côté. Tout en profitant largement de la vie, sans compter. Et sans scrupules. L'argent n'est désormais plus un souci.
Que se passe-t-il de l'autre côté de la vitre de ce lieu que l'on s'imagine être l'antre de la lubricité ? Les clients arrivent à l'improviste ou prennent rendez-vous. "Mais si un client a l'air louche, on trouve des parades. On prétexte que personne n'est disponible ou que d'autres clients sont prévus", assure Kim. Après avoir réussi l'examen de passage à l'entrée, le client peut choisir celle qui le massera. Puis il file prendre la douche obligatoire et s'installe nu dans la fameuse " pièce du fond", dans laquelle se trouve un matelas entouré de petites bougies. Kim entre enveloppée d'une serviette, et se déshabille. Le massage commence. "Au début, c'est plutôt traditionnel : on passe ses mains sur les jambes et le dos. Puis, dans les quinze dernières minutes, il y a la partie body massage : on utilise ses seins, ses fesses, son ventre pour masser le dos et le torse du client, décrit-elle. C'est une sorte de corps à corps. " Jamais elle ne "chevauche" le client. "Tu apprends vite les mouvements qu'il faut faire pour éviter cette zone. " Il y a aussi le massage réciproque pendant lequel les rôles s'inversent. Le client paie pour masser la jeune femme nue.
Kim dit aimer ce travail parce qu'elle garde le contrôle. "Dans le massage, c'est toi qui décides de la position, du mouvement, du rythme. C'est toi qui tiens les rênes. Lorsque c'est au client de me masser, il peut me caresser un peu les seins et les fesses. Mais rien de plus. Pas de bisou. Quand ça devient "limite", je dis que ce n'est pas compris dans le massage et le client arrête. Tu as toujours un moyen de t'extirper d'une situation embarrassante : tu peux changer de position ou de mouvement si un client répugnant commence à te toucher."
Il existe aussi des séances "à domicile", qui se déroulent souvent dans des appartements ou des hôtels classieux entre l'Opéra et les Champs-Élysées. Kim y rejoint des hommes d'affaires pressés ou des couples en panne d'inspiration, comme celui qui avait commandé deux masseuses pour pimenter ses jeux sexuels. S'il y a dérapage, la masseuse peut se retrouver prise au piège des fantasmes un peu tordus des clients. Comme cette fois où, dans le salon, un client fétichiste s'était mis à lui lécher les pieds. La fois d'après, elle a dit non.
Peut-on parler de sexe ? Chacun s'arrange avec sa propre définition de l'acte pour ne pas franchir ses propres limites. "C'est plus sensuel, érotique. Il n'y a pas d'acte sexuel en soi, ni de contact avec les parties génitales, relativise Kim. Pour moi, il s'agit plus d'un début de préliminaires." Pourtant, lors du massage dit "tantrique", les mains de Kim s'attardent sur les fesses du client et son entrejambe, par effleurements. Aller au-delà est officiellement interdit. Le patron a prévenu ses employées. "Si on trouve des préservatifs dans le salon, ça n'ira pas et vous serez virées." D'après les bruits de couloir, rares sont les filles à avoir fait "plus" avec les clients. Ce fut la porte. Le patron ne voudrait pas donner raison à la mauvaise réputation de ce genre d'établissement. Pour Kim, il ne s'agit pas de prostitution. Et pour ses clients, il ne s'agit pas d' adultère .
Beaucoup d'entre eux ont une alliance à l'annulaire. Certains ne goûtent plus aux plaisirs de la chair avec leur épouse, mais ils ne veulent pas la tromper pour autant. Alors ils viennent au salon et, pendant une heure, ils connaissent le frisson que procure la sensualité d'un massage. "Ils ont accès à un corps féminin autre que celui de leur conjointe, avec un contact intime mais sans rapport sexuel. Un des clients m'a confié combien il était heureux de sentir un corps nu contre le sien. Cela faisait trois ans qu'il n'avait pas connu ça."
Le salon n'attire pas que des maris en manque d'affection. Il y a aussi des touristes venus des quatre coins du monde. Des Suisses, des Allemands, des Américains, des Suédois, des Qataris. "Eux, tu ne les reverras jamais. C'est juste l'histoire d'un massage." La plupart des clients sont des trentenaires "normaux", des hommes que Kim n'aurait jamais pensé croiser dans ces salons en les voyant dans la rue, des hommes loin du cliché du cinquantenaire riche et lubrique qui vient tâter " de la petite jeune ". En réalité, ils sont plutôt charmants, bien fichus, gentils, respectueux. Ils ne gagnent pas des sommes folles, mais économisent pour s'offrir de temps à autre un petit plaisir très personnel. "Ils ne viennent pas en bande de potes pour faire les coqs, ils sont bien élevés." Des gentlemen qui auraient tout pour plaire et pourraient avoir une copine. Eux passent la porte du salon pour autre chose, comme ce client qui raconte venir quand " il ne croit plus en la gent féminine" à force de rencontrer des femmes surtout intéressées par son portefeuille et son carnet d'adresses. D'autres viennent sans trop savoir pourquoi, comme ce jeune homme de 20 ans qui est sorti tout ébloui. "Ici, on n'est pas formaté par les codes du porno, de l'excès, de la possession de l'autre, explique celle qui a d'ailleurs oublié de se raser les jambes depuis trois mois. Le but, ici, est de retenir ses pulsions sexuelles pour avoir une sensation encore meilleure que celle offerte par le sexe lui-même. Je n'aurais jamais cru que les hommes cherchaient ça."
Ils viennent ici pour cette attention particulière, ils ont la sensation d'être désirés. Surtout, ils se sentent écoutés. "Ils pourraient aller voir des prostituées : c'est moins cher. Mais tout ce que tu récoltes est un rapport sexuel froid. Si tu vas voir un strip-tease, il n'y a pas de contact, ni de conversation avec la fille. L'échange est assez superficiel. En réalité, ils recherchent une présence féminine, tendre, respectueusement, comme dans les associations où les gens se font des câlins . Moi, je parle tout le temps avec eux, de la vie, de ce qu'ils font… On a des discussions comme chez le coiffeur." Kim a une dizaine de "réguliers". Certains demandent son numéro pour garder le contact. Elle refuse. "Je ne veux pas qu'ils commencent à m'appeler pour d'autres choses. Même s'ils sont sympas, on ne s'est pas rencontré dans les bonnes conditions pour devenir amis."
Elle trouve aussi son compte dans cette activité. Elle a toujours été très libre. À l'aise avec son corps et sa vie sexuelle plutôt extravagante ; elle ne compte d'ailleurs plus le nombre de partenaires qu'elle a eus. Elle aime "l'adrénaline que lui procure la découverte d'un nouveau corps, d'une nouvelle personnalité ! dit-elle. Certes, il me manque l'affection, l'engagement. Mais je ne vais pas attendre que Richard Gere arrive avec un bouquet de fleurs en me disant que je suis belle et qu'il m'emmène faire les magasins, ironise-t-elle. Ce n'est pas ici que je vais rencontrer quelqu'un qui sera là pour moi". Pour le moment, elle est célibataire, et c'est tant mieux. "J'avais dit ce que je faisais à un garçon que je fréquentais. Il était focalisé sur ça. Aux yeux des autres, tu deviens une fille facile. Or je n'ai pas envie d'être considérée comme ça. Si je tombe amoureuse de quelqu'un, je n'aurais pas envie de masser érotiquement un homme nu."
Ne se sent-elle pas sale parfois, en rentrant chez elle le soir, après avoir touché cette chair inconnue, après avoir dévoilé son corps ? se demande-t-on. "Parfois, il y a des hommes qui, malgré la douche, sentent mauvais. Leur odeur reste sur ta peau même si tu te laves. Mais sinon, non. Je suis super bien dans ma peau depuis que je fais ça : j'assume de gagner de l'argent comme ça, d'avoir un rapport libertin avec les hommes. Je ne m'angoisse plus par rapport à l'argent et je sais que je vais pouvoir suivre la formation dont j'ai toujours rêvé. Pour moi, ce travail est moins dégradant que celui d'hôtesse, où tu es assise sur une chaise devant un ordinateur pendant huit heures, sans rien faire. Là, on a un contact humain ", jure-t-elle. Comme si "vendre son corps" était un gagne-pain comme un autre. Suffit-il d'affirmer "c'est un choix" pour que notre intimité devienne un outil de travail comme un autre ? Pour la sexologue Ghislaine Paris, c'est peu probable. " La sexualité ne se résume pas aux rapports sexuels. Elle inclut tout ce qui entoure les rapports sexuels, comme la tendresse, les caresses. Il s'agit de mécanismes complexes. Mettre son corps et sa sexualité à la disposition d'inconnus, même si cela est choisi, aura forcément des répercussions psychiques et intimes. Même si chaque psychisme est singulier, il y aura des éléments de trouble, de déséquilibre, qui finiront par entacher les relations futures avec des partenaires choisis."
Quoi qu'il en soit, cette activité est temporaire. Kim ne la pratiquera que le temps de récolter assez d'argent pour son école. En théorie. Dans la pratique, Kim s'est prise au jeu. Alors que beaucoup assimile le métier à de la prostitution, Kim ne se sent pas utilisée, bien au contraire. Elle savoure même le pouvoir qu'elle a sur les clients. "Cela va être difficile d'arrêter. Il y a un côté addictif à gagner beaucoup d'argent et à avoir ce pouvoir sur l'autre." Même si elle assume, elle sait que certains proches la jugeront. Kim n'a confié son secret qu'à quelques amis fidèles. Un jour, elle a croisé l'un de ses clients au détour d'une rue proche de la place de Concorde. "On ne s'est pas parlé, j'étais avec quelqu'un. On a juste eu un contact visuel." En anonymes du plaisir.
peu importe le nom que l'on peut donner a cette pratique en tous cas la connaissant (la pratique) depuis 2 ans ici a Nice je trouve cela très utile comme relaxant et puis quoi il faut de tout pour faire un monde surtout quand ce monde es
Danse privée et baise intime
Viola suce une bite à travers un trou dans un mur
Copine se déguise en Pikachu et lui fait une pipe

Report Page