Alicia Rhodes prend son pied avec ses jouets

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Alicia Rhodes prend son pied avec ses jouets
fondateur du cabinet de conseil Pergamon, spécialisé en affaires publiques, communication et innovation sociale
Ingénieur forestier et coordinateur de l’association Canopée
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
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Les deux premiers épisodes de la série "Mafiosa" étaient diffusés mardi 12 décembre sur Canal.
Publié le 13 décembre 2006 à 13h42 - Mis à jour le 13 décembre 2006 à 13h42 Temps de Lecture 2 min.
S andra Paoli est une jeune avocate au barreau de Bastia. Elle est aussi la nièce de François Paoli, grand seigneur du crime organisé qui redistribue à l'intérieur de son clan l'argent que lui procurent des activités qui vont du braquage au trafic de drogue. François Paoli a rompu avec une tradition qui voulait qu'un bandit de son espèce commette ses forfaits hors de Corse puis revienne prendre sa retraite au pays. Ses activités, il les a en quelque sorte rapatriées dans l'île depuis des décennies.
Lorsqu'il est assassiné, on découvre à la lecture de son testament qu'il a fait de Sandra son héritière universelle. La jeune femme est donc chargée non seulement d'administrer un vaste empire criminel mais aussi de régner en juge de paix sur le clan familial. Tel est le scénario imaginé par l'ancien commissaire de police Hugues Pagan pour la série "Mafiosa", dont les deux premiers épisodes étaient diffusés mardi 12 décembre sur Canal. D'emblée, on a compris qu'on avait affaire à une avocate très spéciale.
Immédiatement avant de mourir, son oncle lui avait demandé un service : faire en sorte qu'un de ses clients prenne le maximum. Elle prononce en conséquence une plaidoirie destinée à mettre hors de lui le président du tribunal. L'avocate a trahi la confiance mise en elle par son client. Cela s'appelle une forfaiture. Mais ce n'est rien à côté de ce qui va suivre. Cette jolie brune (Hélène Fillières) découvre la part d'ombre qui était en elle depuis toujours. Elle prend plaisir à exécuter, d'une balle dans la tête, les tueurs envoyés contre elle.
Mieux encore, elle en redemande. Elle n'est pas la seule, visiblement. Les scènes de torture tournent rapidement à la routine. Les coups de grâce aussi. Sans compter, car à ce stade on ne compte plus, un découpage d'oreille sur l'idiot du village. Ah, si ! on oubliait la tentative de viol particulièrement glauque dont elle est aussi victime.
Ce n'est pas tout à fait le rythme de "24 heures chrono", mais on s'en approche. Assassins et tortionnaires travaillent en quelque sorte avec l'idée que le rendement supposé, auprès du téléspectateur, prime toute autre considération. Est-ce qu'on a envie de regarder cette boucherie chaque mardi ? C'est évidemment toute la question. Sandra est l'équivalent moderne de la Colomba de Prosper Mérimée puisqu'elle est chargée par le clan familial de venger son oncle.
Mais elle le fait avec un plaisir sadique, à composante sexuelle, qui aurait beaucoup surpris Prosper. L'intelligence de ce dernier est de s'être limité à un très vif, très bref roman. Là, hélas, il s'agit d'une série en huit épisodes. Pour ceux qui apprécient le grand guignol sanguinolent, Sandra frappera encore plus fort mardi prochain.
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FILS d'un poissonnier marseillais, Dominique Sappia (trente et un ans) est le kinésithérapeute de Damon Hill, champion du monde en titre et de son coéquipier, le Brésilien Pedro Paulo Diniz. Au zénith de leur art, des minots de la balle l'ont électrocutés de bonheur: «Avec les footballeurs de l'OM, avec les handballeurs de l'OM Vitrolles, les poloïstes du Cercle des nageurs de Marseille et les footballeurs américains des Argonautes, j'ai vécu quatre finales de coupe d'Europe, dans quatre sports différents. Quatre finales dont deux gagnées...»
Eric Cantona, du temps de sa splendeur à l'ombre de la Bonne Mère, surnommait Dominique Sappia «le kiné de l'ombre». Au top de sa splendeur, la fluette Vanessa Paradis microssillonne sur les rives du Vieux Port en demandant ses mains en massage. Au virage de sa splendeur, le flegmatique et hermétique Damon Hill, champion du monde sortant, s'en remet à ce fils de poissonnier marseillais imposé par Tom Walkinshaw, le patron de l'écurie Arrows-Yamaha: «Damon avait son propre kiné chez Williams-Renault, et il aurait aimé, ce qui est normal, venir avec lui chez Arrows... Alors, aujourd'hui, mon grand challenge, pour moi le Latin, est de bien entrer en communication avec Damon, un type qui vit, par autoprotection, dans son petit monde. Et ça commence plutôt bien puisque je suis aussi son panneauteur sur les Grands Prix...»
«En F1, je ne m'occupe plus de vingt-deux bonshommes, mais de deux pilotes, ajoute Sappia. Donc, j'ai plus de temps à leur consacrer. Il n'est pas rare que je passe au moins trois heures avec l'un d'entre eux. Dans ce sport, on ne se blesse pas, mais, par contre, le corps d'un pilote, très chahuté dans la voiture, nécessite entretien et longue récupération.» A raison de 150 jours par an chez Arrows, des piges chez Volvo et en Formule 3000, il continue à jongler avec les tables de massages: «En 1996, lors de ma première saison en F1, j'ai vécu une saison loufoque. J'étais chez Ligier, et, quand Tom Walkinshaw a racheté Arrows en cours de saison, il m'a demandé de le suivre. Comme je ne voulais pas planter Ligier, j'officiais dans les deux écuries. Ainsi, je changeais de chemise - au propre comme au figuré - vingt fois par jour. Quand j'allais chez Arrows, j'enfilais leur chemise rouge. De retour chez Ligier, je remettais la chemise bleue.»
Cette saison, Dominique Sappia roule pour l'écurie de Walkinshaw, et pour son «fond de commerce», son propre cabinet: «Quand j'étais minot, j'étais un âne en sport. Je n'avais pas le mental et encore moins l'envie. En CM2, je disais déjà que je voulais être kiné pour sportifs de haut niveau. Il y avait un kiné en bas de chez moi et je passais des heures dans son cabinet à le regarder. Ensuite, pour payer mes études, je vidais les poubelles de poisson. Je ne vous raconte pas l'odeur: déjà les poubelles, ça renifle, mais, alors, les poubelles de poisson... Plus tard, j'ai vendu du poisson à la criée. Là, j'ai appris à parler et pas seulement avec les mains! C'est sans doute là que j'ai appris à faire du relationnel. Et maintenant, vraiment, je prends mon pied en travaillant...»
(1) Lors de chacun des dix-sept grands prix de la saison, nous détaillerons une des multiples professions de la Formule 1. Le 12 mai, rendez-vous avec Sid Watkins, «le médecin de la F1».


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