Alexis Fawx ne savait pas qu'elle voulait son beau-fils

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V oici deux semaines, les policiers briochins démantelaient un réseau de trafiquants et interpellaient onze personnes, dont huit ont été placées en détention. Parmi elles, un «gros bonnet» régional (il est question de 400kg) et ses séides, mais aussi un jeune drogué à peine majeur et sa mère, MmeS., qui allait connaître la prison après deux mois de cauchemar. Le 13octobre, au péage de La Gravelle (35), la police interceptait une voiture qui transportait 10kg de résine de cannabis dans un sac posé sur la banquette arrière. À son bord, la conductrice MmeS., son fils et un autre passager. Un quart d'heure plus tard, la voiture «accompagnatrice» du patron des trafiquants, ChérifD., était à son tour arrêtée. Cette opération était le fruit d'une enquête menée depuis février et qui avait permis d'identifier la tête de réseau et ses collaborateurs. Tous devaient être arrêtés au cours du coup de filet qui a suivi. Descente aux enfers Pourquoi MmeS., une femme âgée de 49 ans à la vie normale et sans la moindre mention au casier judiciaire, se trouvait-elle ainsi engluée dans une lourde affaire judiciaire? Tout a commencé par une nuit d'horreur, voici deux mois, lorsque sept inconnus, des «molosses» dira-t-elle, ont investi la maison près de Loudéac (22) où elle vivait avec son mari et son fils. «Ils étaient venus pour faire pression, pour obtenir le paiement de ce que mon fils leur devait», raconte-t-elle devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Rennes. Devant la cour, elle détaille cette descente aux enfers, les menaces des visiteurs, son fils qui se droguait, qui revendait pour pouvoir consommer et qui se trouvait pris dans les filets de son fournisseur. «Moi qui n'avais jamais vu de cannabis de ma vie, j'entendais parler de 30.000EUR de dette; je me suis dit qu'on allait me prendre mon garçon, qu'il allait mourir ou qu'il irait en prison», dit-elle au président, les larmes aux yeux. Elle s'endette, puis «gère» le trafic de son fils Pour arracher leur fils aux griffes des trafiquants, les parents tentent de réunir la somme exigée, ils vendent le téléviseur et ce dont ils peuvent se passer, ils sollicitent les grands-parents, s'endettent eux-mêmes. Mais ça ne suffit pas pour effacer une «dette fluctuante», dont le montant varie selon le bon plaisir des malfaiteurs. Alors, en désespoir de cause, la mère se met à «gérer» les affaires de son fils, elle compte les sous de son petit trafic à lui et met les bénéfices de côté pour apurer sa dette. Ça ne suffit toujours pas. Il manquait encore 1.680EUR quand on lui dit qu'il suffirait d'un voyage à Paris pour être quitte. «Ils l'avaient drogué à mort...» Pour en finir, elle accepte, prend sa voiture et va à Nanterre charger le sac qu'on lui remet. «Oui, toute la famille est allée dans le mur», reconnaît la prévenue lorsque le président lui fait remarquer qu'elle aurait mieux fait d'alerter la police immédiatement. «Ma seule fierté, c'est d'avoir aidé mon fils à arrêter la cocaïne. Ils l'avaient drogué à mort, il était devenu fou...». Une détresse comprise par le ministère public qui a estimé que le déroulement de l'instruction en cours n'exigeait par le maintien en détention de MmeS.et par la cour qui a ordonné sa remise en liberté.






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sklery

30 Octobre 2010 à 09h53


de dire alerter la police moi j'ai deux cas actuellement dans mon entourage ou la police a dit:" ah ben on peut rien faire, c'est comme ça"
alors on a pas le choix on fait justice soi mm

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