Alexis Blaze est une teen qui suce bien

Alexis Blaze est une teen qui suce bien




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Alexis Blaze est une teen qui suce bien
11/03/2011 Le plasticien franco-afro-judĂ©o-ruso-brĂ©silien veut rĂ©unir la culture KFC et la culture musĂ©e Alexis Peskine: « Mon travail est peut-ĂȘtre une rĂ©action Ă  l'ignorance »
Elles portent le voile contre l’avis de leur famille
Un cadre d’Alliance Police nationale mis en cause pour « abus de biens sociaux », « extorsion » et « corruption »
Le destin bouleversĂ© par l’aide sociale d’Amal, ado syrienne
HarcĂšlement grossophobe, humiliations et rĂ©gimes imposĂ©s Ă  l’AcadĂ©mie internationale de la danse
Dans le Pas-de-Calais, les enfants exilĂ©s sont interdits d’école
Les services secrets collent aux basques des Français partis combattre Daesh
Frédéric Boccaletti, le député voyou du Rassemblement National
Dans ses Ɠuvres Alexis Peksine traite des brutalitĂ©s policiĂšres, des noires qui se blanchissent la peau, ou encore de «l'auto-sĂ©grĂ©gation». Un travail sociĂ©tal pour celui qui regrette qu'«une grande partie de l'histoire des Noirs soit omise»
Dans une de tes oeuvres, on voit des savons avec les inscriptions “Sale blanc” “Sale noir”, “Sale juif”, “ Sale arabe”, peux-tu nous en parler ?
Dans mes Ɠuvres, j’aime bien utiliser l’humour pour parler de sujets sĂ©rieux. Donc lĂ  je parlais un peu de l’auto-sĂ©grĂ©gation, la façon dont les gens se sĂ©grĂ©guent eux-mĂȘme. LĂ  c’était un peu une blague, j’ai fait un savon. Je voulais prendre un dĂ©nominateur commun, quelque chose que tout le monde utilise mais le marketer pour des races diffĂ©rentes. Comme c’est du savon, ça lave donc le “sale”. J’en ai profitĂ© pour mettre quelques insultes et donc, il y a l’insulte, “sale blanc” “sale noir” “sale arabe” “sale juif”, un savon pour chacun. Ce qui est marrant c’est que les gens me disaient “Ah c’est bien cette Ɠuvre” mais ils avaient pointĂ© pour eux. Un tunisien m’a dit, par contre, sale arabe c’est pas cool. Il n’avait pas vu pour les autres. C’est ce cotĂ© auto- sĂ©grĂ©gation, que je trouvais marrant
Dans tes Ɠuvres, les questions d’identitĂ© sont trĂšs prĂ©sentes et en filigrane apparaissent des rapports de dominĂ©-dominant, je pense notamment Ă  un tableau oĂč l’on voit un jeune noir se faire contrĂŽler par la police
Cela traduit un peu la dynamique dans laquelle on a grandi, une dynamique qui existe depuis l’esclavage, la colonisation. Maintenant, je pense que les gens luttent contre ça, noirs et blancs d’ailleurs, tous, europĂ©ens et afro-descendants pour qu’il n’y ait pas ce rapport lĂ . Mais c’est vrai qu’il y a un combat pour les afro-descendants et les personnes dont les parents viennent d’ex-colonies et qui sont tout autant français que les autres. C’est vrai que moi-mĂȘme je l’ai vĂ©cu, de part le racisme, la brutalitĂ© policiĂšre, la discrimination
 Ce sont des anecdotes, mais qui sont assez insupportables et dont il faut parler.
Tes oeuvres sont-elles une maniÚre de dénoncer ?
Plus que dĂ©noncer, je veux apporter de la rĂ©flexion. Je propose un thĂšme, mais pas de façon fermĂ©e. Je veux que les gens se rendent compte de certains aspects sociaux et qu’ils apportent eux mĂȘme leurs rĂ©flexions Ă  ces questions. 
Un autre thĂšme revient dans tes oeuvres, celui de l’histoire des noirs, d’oĂč te vient cet intĂ©rĂȘt?
Cela m’intĂ©resse pour plusieurs raisons, peut-ĂȘtre un peu par mon vĂ©cu. J’ai des origines diverses mais c’est vrai que quand une partie de ce qui forme sa propre culture, de ce qui forme sa propre identitĂ© est attaquĂ©e, en gĂ©nĂ©ral on a tendance Ă  s’intĂ©resser Ă  cette partie. Peut-ĂȘtre aussi parce que j’ai fait des Ă©tudes dans une universitĂ© noire aux États-Unis. Pour remettre dans le contexte, aux États-Unis, les noirs n’avaient pas le droit d’étudier donc il y a eu des Ă©coles spĂ©cifiquement pour les noirs. Mais maintenant qu’on soit en France, ou aux Etats-Unis, une grande partie de l’histoire est omise et seuls ces centres culturels apprennent l’histoire des peuples noirs.
Tu donnes l’impression de vouloir rĂ©habiliter les choses, de te faire un peu professeur en voulant amener les gens Ă  travers tes Ɠuvres vers des sujets dont on parle peu
Mon travail est peut-ĂȘtre une rĂ©action Ă  l’ignorance, je pense que l’on rĂ©agit tous un peu diffĂ©remment par rapport Ă  l’ignorance. Y’en a qui peuvent se braquer, ĂȘtre encore plus vĂ©ner et ĂȘtre agressif. Quand j’apprends des choses, j’aime bien en parler et que les gens comprennent mon point de vue. C’est ma façon de lutter contre l’ignorance, les stĂ©rĂ©otypes, les clichĂ©s qu’on voit en abondance dans notre sociĂ©tĂ© et Ă  tous les niveaux mĂȘme dans les classes de gens Ă©duquĂ©s, ayant fait beaucoup d’études, ayant beaucoup voyagĂ©, et qui peuvent parfois ĂȘtre trĂšs ignorants.
Alexis Peskine sera exposĂ© du 12 au 19 mars 2011 Ă  l’Adam Studio, 47 bvd SĂ©bastopol, MĂ©tro Rambuteau.
Parle moi du cheminement de ton cerveau jusqu’à cette Ɠuvre, Nettoyage Ă©thnique, accrochĂ© au mur ?
Nettoyage Ă©thnique, c’est une Ɠuvre que j’avais fait par rapport Ă  un sujet qui m’attriste: celui du blanchiment de la peau, ou plutĂŽt l’éclaircissement de la peau, parce que pour la plupart ces femmes ne veulent pas ĂȘtre blanches, elles veulent ĂȘtre claires. DĂ©jĂ  au niveau sanitaire c’est horrible, et puis esthĂ©tiquement, la peau noire c’est quelque chose de trĂšs beau, surtout les peaux bien foncĂ©s qui absorbent bien la lumiĂšre. On voit que c’est quand mĂȘme une personne au complexe apparent, un manque d’amour de ce qu’on est, un rejet de sa propre identitĂ©, aprĂšs si c’est juste ça c’est pas grave, des gens peuvent aspirer Ă  ĂȘtre autre chose mais bon ça c’est quand mĂȘme quelque chose de trĂšs destructeur et moi c’est ça qui me dĂ©range. J’en ai parlĂ© d’une maniĂšre un peu cynique, en utilisant des icĂŽnes que tout le monde reconnait. J’ai rĂ©flĂ©chi: “blanchiment”, â€œĂ©claircissement”
les produits sont un peu toxiques, je suis donc passĂ© par M. Propre, car certaines vont jusqu’à se mettre de l’eau de javel sur la peau. Sur le deuxiĂšme tableau qui parle de ce sujet, je vais encore plus loin. On y voit une femme nue et M. Propre lui envoie de l’eau de javel car je voulais que les tĂąches touchent son corps.
Les clous sont un élément central dans ton travail pourquoi ?
Les clous pour moi c’est un idiome, c’est devenu une langue visuelle que j’ai dĂ©veloppĂ©, qui reprĂ©sente la transcendance. Les clous, c’est quelque chose qui heurte et en mĂȘme temps, c’est quelque chose que l’on utilise pour bĂątir des choses. Les clous c’est un peu ce courant de pensĂ©e que j’ai dĂ©veloppĂ© et que j’ai appelĂ© le NĂ©grifique: Prendre quelque chose de banal et le transformer en quelque chose de beau. La crĂ©ativitĂ© vient du manque, et beaucoup de peuples qui sont en manque de certaines choses ont cette crĂ©ativitĂ©. On voit ça un peu partout dans le monde: En Afrique, les gens se dĂ©brouillent pour rĂ©ussir Ă  faire quelque chose de beau avec peu de choses. C’est un peu une mĂ©taphore, c’est pour ça que souvent sur ces clous je mets de la feuille d’or. C’est pour montrer que par exemple avec des patates on peut faire de l’alcool. 
Quand une partie de ce qui forme sa propre identitĂ© est attaquĂ©e, en gĂ©nĂ©ral on a tendance Ă  s’y intĂ©resser
Pour finir tu as dit: “On peut trĂšs bien s’imprĂ©gner Ă  la fois de la culture KFC , de la culture hip-hop et de la culture musĂ©e
”?
Oui, quand on voit la culture pop, ce sont des choses que l’on voit dans les musĂ©es mais qui viennent de la rue. L’art ne doit pas ĂȘtre Ă©litiste mais on voit beaucoup de formes d’art, beaucoup d’artistes qui le sont. Pour moi ce qui est intĂ©ressant c’est que le plus de gens possible s’intĂ©ressent Ă  ces Ɠuvres parce que quand j’exprime quelque chose ce n’est pas pour l’exprimer Ă  une poignĂ©e de personnes qui sont informĂ©es et instruites par rapport Ă  l’art. Les gens qui voient mes Ɠuvres m’apportent quelque chose et m’imprĂšgnent. Quand j’ai exposĂ© au Fesman (Festival Mondial des Arts NĂšgres ndlr), il y a avait un public informĂ©, des critiques d’arts mais aussi des soldats, des enfants, cela m’a touchĂ©, les gens venaient, posaient des questions, se prenaient en photo devant et interagissaient avec les Ɠuvres. Voir des gens que l’on ne verrait pas forcĂ©ment dans un musĂ©e s’intĂ©resser Ă  une Ɠuvre, c’est ça qui m’intĂ©resse. Pour moi l’Art c’est quelque chose qui vient d’un endroit trĂšs particulier, trĂšs interne dans un recoin intime d’un ĂȘtre et qui va venir se loger dans un coin intime d’un autre ĂȘtre.
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11/03/2011 Le plasticien franco-afro-judĂ©o-ruso-brĂ©silien veut rĂ©unir la culture KFC et la culture musĂ©e Alexis Peskine: « Mon travail est peut-ĂȘtre une rĂ©action Ă  l'ignorance »
Elles portent le voile contre l’avis de leur famille
Un cadre d’Alliance Police nationale mis en cause pour « abus de biens sociaux », « extorsion » et « corruption »
Le destin bouleversĂ© par l’aide sociale d’Amal, ado syrienne
HarcĂšlement grossophobe, humiliations et rĂ©gimes imposĂ©s Ă  l’AcadĂ©mie internationale de la danse
Dans le Pas-de-Calais, les enfants exilĂ©s sont interdits d’école
Les services secrets collent aux basques des Français partis combattre Daesh
Frédéric Boccaletti, le député voyou du Rassemblement National
Dans ses Ɠuvres Alexis Peksine traite des brutalitĂ©s policiĂšres, des noires qui se blanchissent la peau, ou encore de «l'auto-sĂ©grĂ©gation». Un travail sociĂ©tal pour celui qui regrette qu'«une grande partie de l'histoire des Noirs soit omise»
Dans une de tes oeuvres, on voit des savons avec les inscriptions “Sale blanc” “Sale noir”, “Sale juif”, “ Sale arabe”, peux-tu nous en parler ?
Dans mes Ɠuvres, j’aime bien utiliser l’humour pour parler de sujets sĂ©rieux. Donc lĂ  je parlais un peu de l’auto-sĂ©grĂ©gation, la façon dont les gens se sĂ©grĂ©guent eux-mĂȘme. LĂ  c’était un peu une blague, j’ai fait un savon. Je voulais prendre un dĂ©nominateur commun, quelque chose que tout le monde utilise mais le marketer pour des races diffĂ©rentes. Comme c’est du savon, ça lave donc le “sale”. J’en ai profitĂ© pour mettre quelques insultes et donc, il y a l’insulte, “sale blanc” “sale noir” “sale arabe” “sale juif”, un savon pour chacun. Ce qui est marrant c’est que les gens me disaient “Ah c’est bien cette Ɠuvre” mais ils avaient pointĂ© pour eux. Un tunisien m’a dit, par contre, sale arabe c’est pas cool. Il n’avait pas vu pour les autres. C’est ce cotĂ© auto- sĂ©grĂ©gation, que je trouvais marrant
Dans tes Ɠuvres, les questions d’identitĂ© sont trĂšs prĂ©sentes et en filigrane apparaissent des rapports de dominĂ©-dominant, je pense notamment Ă  un tableau oĂč l’on voit un jeune noir se faire contrĂŽler par la police
Cela traduit un peu la dynamique dans laquelle on a grandi, une dynamique qui existe depuis l’esclavage, la colonisation. Maintenant, je pense que les gens luttent contre ça, noirs et blancs d’ailleurs, tous, europĂ©ens et afro-descendants pour qu’il n’y ait pas ce rapport lĂ . Mais c’est vrai qu’il y a un combat pour les afro-descendants et les personnes dont les parents viennent d’ex-colonies et qui sont tout autant français que les autres. C’est vrai que moi-mĂȘme je l’ai vĂ©cu, de part le racisme, la brutalitĂ© policiĂšre, la discrimination
 Ce sont des anecdotes, mais qui sont assez insupportables et dont il faut parler.
Tes oeuvres sont-elles une maniÚre de dénoncer ?
Plus que dĂ©noncer, je veux apporter de la rĂ©flexion. Je propose un thĂšme, mais pas de façon fermĂ©e. Je veux que les gens se rendent compte de certains aspects sociaux et qu’ils apportent eux mĂȘme leurs rĂ©flexions Ă  ces questions. 
Un autre thĂšme revient dans tes oeuvres, celui de l’histoire des noirs, d’oĂč te vient cet intĂ©rĂȘt?
Cela m’intĂ©resse pour plusieurs raisons, peut-ĂȘtre un peu par mon vĂ©cu. J’ai des origines diverses mais c’est vrai que quand une partie de ce qui forme sa propre culture, de ce qui forme sa propre identitĂ© est attaquĂ©e, en gĂ©nĂ©ral on a tendance Ă  s’intĂ©resser Ă  cette partie. Peut-ĂȘtre aussi parce que j’ai fait des Ă©tudes dans une universitĂ© noire aux États-Unis. Pour remettre dans le contexte, aux États-Unis, les noirs n’avaient pas le droit d’étudier donc il y a eu des Ă©coles spĂ©cifiquement pour les noirs. Mais maintenant qu’on soit en France, ou aux Etats-Unis, une grande partie de l’histoire est omise et seuls ces centres culturels apprennent l’histoire des peuples noirs.
Tu donnes l’impression de vouloir rĂ©habiliter les choses, de te faire un peu professeur en voulant amener les gens Ă  travers tes Ɠuvres vers des sujets dont on parle peu
Mon travail est peut-ĂȘtre une rĂ©action Ă  l’ignorance, je pense que l’on rĂ©agit tous un peu diffĂ©remment par rapport Ă  l’ignorance. Y’en a qui peuvent se braquer, ĂȘtre encore plus vĂ©ner et ĂȘtre agressif. Quand j’apprends des choses, j’aime bien en parler et que les gens comprennent mon point de vue. C’est ma façon de lutter contre l’ignorance, les stĂ©rĂ©otypes, les clichĂ©s qu’on voit en abondance dans notre sociĂ©tĂ© et Ă  tous les niveaux mĂȘme dans les classes de gens Ă©duquĂ©s, ayant fait beaucoup d’études, ayant beaucoup voyagĂ©, et qui peuvent parfois ĂȘtre trĂšs ignorants.
Alexis Peskine sera exposĂ© du 12 au 19 mars 2011 Ă  l’Adam Studio, 47 bvd SĂ©bastopol, MĂ©tro Rambuteau.
Parle moi du cheminement de ton cerveau jusqu’à cette Ɠuvre, Nettoyage Ă©thnique, accrochĂ© au mur ?
Nettoyage Ă©thnique, c’est une Ɠuvre que j’avais fait par rapport Ă  un sujet qui m’attriste: celui du blanchiment de la peau, ou plutĂŽt l’éclaircissement de la peau, parce que pour la plupart ces femmes ne veulent pas ĂȘtre blanches, elles veulent ĂȘtre claires. DĂ©jĂ  au niveau sanitaire c’est horrible, et puis esthĂ©tiquement, la peau noire c’est quelque chose de trĂšs beau, surtout les peaux bien foncĂ©s qui absorbent bien la lumiĂšre. On voit que c’est quand mĂȘme une personne au complexe apparent, un manque d’amour de ce qu’on est, un rejet de sa propre identitĂ©, aprĂšs si c’est juste ça c’est pas grave, des gens peuvent aspirer Ă  ĂȘtre autre chose mais bon ça c’est quand mĂȘme quelque chose de trĂšs destructeur et moi c’est ça qui me dĂ©range. J’en ai parlĂ© d’une maniĂšre un peu cynique, en utilisant des icĂŽnes que tout le monde reconnait. J’ai rĂ©flĂ©chi: “blanchiment”, â€œĂ©claircissement”
les produits sont un peu toxiques, je suis donc passĂ© par M. Propre, car certaines vont jusqu’à se mettre de l’eau de javel sur la peau. Sur le deuxiĂšme tableau qui parle de ce sujet, je vais encore plus loin. On y voit une femme nue et M. Propre lui envoie de l’eau de javel car je voulais que les tĂąches touchent son corps.
Les clous sont un élément central dans ton travail pourquoi ?
Les clous pour moi c’est un idiome, c’est devenu une langue visuelle que j’ai dĂ©veloppĂ©, qui reprĂ©sente la transcendance. Les clous, c’est quelque chose qui heurte et en mĂȘme temps, c’est quelque chose que l’on utilise pour bĂątir des choses. Les clous c’est un peu ce courant de pensĂ©e que j’ai dĂ©veloppĂ© et que j’ai appelĂ© le NĂ©grifique: Prendre quelque chose de banal et le transformer en quelque chose de beau. La crĂ©ativitĂ© vient du manque, et beaucoup de peuples qui sont en manque de certaines choses ont cette crĂ©ativitĂ©. On voit ça un peu partout dans le monde: En Afrique, les gens se dĂ©brouillent pour rĂ©ussir Ă  faire quelque chose de beau avec peu de choses. C’est un peu une mĂ©taphore, c’est pour ça que souvent sur ces clous je mets de la feuille d’or. C’est pour montrer que par exemple avec des patates on peut faire de l’alcool. 
Quand une partie de ce qui forme sa propre identitĂ© est attaquĂ©e, en gĂ©nĂ©ral on a tendance Ă  s’y intĂ©resser
Pour finir tu as dit: “On peut trĂšs bien s’imprĂ©gner Ă  la fois de la culture KFC , de la culture hip-hop et de la culture musĂ©e
”?
Oui, quand on voit la culture pop, ce sont des choses que l’on voit dans les musĂ©es mais qui viennent de la rue. L’art ne doit pas ĂȘtre Ă©litiste mais on voit beaucoup de formes d’art, beaucoup d’artistes qui le sont. Pour moi ce qui est intĂ©ressant c’est que le plus de gens possible s’intĂ©ressent Ă  ces Ɠuvres parce que quand j’exprime quelque chose ce n’est pas pour l’exprimer Ă  une poignĂ©e de personnes qui sont informĂ©es et instruites par rapport Ă  l’art. Les gens qui voient mes Ɠuvres m’apportent quelque chose et m’imprĂšgnent. Quand j’ai exposĂ© au Fesman (Festival Mondial des Arts NĂšgres ndlr), il y a avait un public informĂ©, des critiques d’arts mais aussi des soldats, des enfants, cela m’a touchĂ©, les gens venaient, posaient des questions, se prenaient en photo devant et interagissaient avec les Ɠuvres. Voir des gens que l’on ne verrait pas forcĂ©ment dans un musĂ©e s’intĂ©resser Ă  une Ɠuvre, c’est ça qui m’intĂ©resse. Pour moi l’Art c’est quelque chose qui vient d’un endroit trĂšs particulier, trĂšs interne dans un recoin intime d’un ĂȘtre et qui va venir se loger dans un coin intime d’un autre ĂȘtre.
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100 Blaze est posé « Dans le club » [VIDEOCLIP]
Pour son grand retour sur la plateforme YouTube, 100 Blaze a dĂ©cidĂ© de ne pas faire dans le dĂ©tail
 Ainsi, c’est bien Dans le club qu’on le retrouve ! Visiblement bien dĂ©cidĂ© Ă  profiter de son Ă©tĂ©, il vous dĂ©livre une recette bien Ă  lui pour ambiancer son monde. Attention, il faudra vous entourer d’une belle Ă©quipe et de sacrĂ©s bolides !
SĂ©lectionnĂ© dans notre liste des 11 rappeurs Ă  suivre en 2019 , 100 Blaze a depuis fait un joli bout de chemin. En effet, le reprĂ©sentant de la Castellane a signĂ© de nombreux hits ( Binks en compagnie de Koba LaD , ou encore Ouh hey rĂ©alisĂ© avec RK ) et dĂ©voilĂ© un album, le bien nommĂ© Depuis Minot . Aujourd’hui l’heure est donc Ă  une nouvelle Ă©tape, avec l’arrivĂ©e du clip Dans le club .
Ici, 100 Blaze ne nous trompe pas sur la marchandise avec un morceau calibrĂ© pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ© sur les dancefloors de France et de Navarre . Evidemment, les adeptes des grosses bouteilles, des nĂ©ons et des banquettes en skai seront servis !




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