Alaadin en dessin animée 2D

Alaadin en dessin animée 2D




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Alaadin en dessin animée 2D
L'affiche du film (Cliquez sur l'image pour agrandir)
Le 11 novembre 1992 (sortie limitée)
Le 25 novembre 1992 (sortie générale)
Autre(s) disponibilité(s) aux États-Unis :
Ce Rêve Bleu • Alan Menken & Tim Rice
Je Suis Ton Meilleur Ami • Alan Menken & Howard Ashman
Terry Porter, Mel Metcalfe, David J. Hudson & Doc Kane

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Au
royaume d’Agrabah, le destin d'Aladdin, gamin des rues, plus chapardeur que
voleur, se trouve à jamais changé par sa rencontre avec la délicieuse princesse
Jasmine. Trop à l'étroit dans le palais du Sultan, notre ingénue a, en effet,
entrepris, dans le seul but de prendre contact avec le monde réel, de se
promener incognito dans les quartiers populaires.

Mais le danger de la rue est-il vraiment plus grand que celui qui rode à
l'intérieur même du palais ? Le maléfique vizir Jafar poursuit, il est vrai, le
noir dessein de s'emparer du pouvoir par tous les moyens.

Commence alors pour nos deux tourtereaux une aventure palpitante parsemée
d'embûches et de ... génie !
Aladdin
est une libre adaptation du conte Aladin et la lampe merveilleuse extrait
du livre Les mille et une nuits . L'histoire trouve ainsi son origine, au
VIIIe-IXe siècles, dans un ouvrage persan intitulé Hezar Afsane ou
Mille Légendes . Traduit en arabe sous le titre des (Les) Mille et Une Nuits
( Elf leïla wa leïla ), le livre devient vite une référence du genre «
miroir des princes ». Contenant des récits exemplaires, il se veut alors destiné
à l'éducation des gouvernants. Il constitue assurément l'exemple type de
l'assemblage subtil de contes imbriqués entre eux, aux personnages en miroir les
uns par rapport aux autres, offrant plusieurs niveaux de lecture. Son
récit-cadre reste néanmoins très stable : l'histoire de Shéhérazade est, en
effet, la clé de voute de l'ensemble. Elle narre ainsi la vie du sultan Shâriyâr
qui, terriblement déçu par l'infidélité de son épouse, décide non seulement de
lui faire payer l'affront en l'exécutant mais aussi, pour prévenir tout autre
affront, d'assassiner chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille.
Shéhérazade, la fille du grand vizir, se donne alors pour mission de faire
cesser le massacre. Elle se porte donc volontaire pour épouser le sanguinaire
sultan. Elle met néanmoins au point un ambitieux stratagème pour lui survivre.
Habile conteuse, elle lui raconte, chaque nuit, un fragment d'histoire dont la
suite est toujours promise pour le lendemain. Le récit est tellement prenant que le
mari ne peut se résoudre à tuer sa nouvelle compagne. L'exécution se trouvant
reportée de jour en jour, la princesse gagne peu à peu sa confiance et finit par
convaincre son époux de l'épargner pour vivre, ensemble, heureux.

Si l'aventure de Shéhérazade, pierre angulaire des Mille et Une Nuits ,
voit sa trame respectée au fil des traductions, le reste des contes évolue lui
considérablement à la faveur des nombreuses adaptations, entrainant notamment
l'introduction de nouvelles matières. Les histoires ne tardent pas, par exemple,
à être diffusées en Europe. La toute première traduction occidentale est ainsi
l'œuvre du français Antoine Galland. Antiquaire du roi puis professeur de langue
arabe au Collège de France, il publie ses versions de 1704 à 1717 dans
lesquelles il rajoute une partie inédite, rédigée par ses soins et s'inspirant
des récits contés par son assesseur syrien.

Le conte Aladin et la lampe merveilleuse connait donc d'innombrables
variantes. La plus connue d'entre elles narre l'histoire d'un magicien aux
sombres desseins qui, pour obtenir une lampe aux pouvoirs sans limite,
entreprend de trouver un jeune garçon débrouillard, capable de récupérer le
précieux objet dans une caverne à l'accès délicat. Il entend d'ailleurs se
débarrasser manu militari de son "compère", une fois sa mission accomplie.
Arpentant les rues d'une grande ville chinoise, il jette son dévolu sur Aladin,
plus chapardeur que voyou. Il se présente auprès de lui comme son oncle et le
convainc d'accepter la mission. Le jeune homme descend donc dans la caverne
remplie de trésors pour s'emparer de la lampe. Il refuse toutefois de la donner
au magicien avant d'être lui-même ressorti, sain et sauf. Fou de rage et
contrarié de se voir ainsi tenir tête, le malfaisant décide, sans autre forme de
procès, d'enfermer à jamais son neveu de circonstance dans l'amas de rocs. Sans
succès. Le magicien oublie, en effet, un peu vite, qu'il a remis à Aladin la
possibilité de faire appel une fois à un génie pour se protéger, au cas où...
Après trois jours passés dans la nuit, sans boire, ni manger, le jeune
prisonnier parvient donc à s'extirper de son tombeau de pierre et revient chez lui, avec
la précieuse lampe. Il entreprend de la vendre aussitôt afin d'en tirer l'argent
nécessaire pour se nourrir, sa mère et lui. Soucieux de dépoussiérer l'objet
tant convoité et lui donner ainsi meilleure valeur, il frotte vigoureusement son
flan et libère, avec surprise, un génie aux pouvoirs sans limite. Aladin
comprend vite l'étendue des possibilités qui s'offrent désormais à lui. Mais
c'est sans compter sur l'ambition du Magicien et de son frère bien décidés tous
deux, à récupérer ce qu'ils estiment être, respectivement, leur bien. Le combat
est féroce mais Aladin sort grand vainqueur. Il peut alors se consacrer à un
autre projet : conquérir le cœur de sa belle, une princesse...

La création de la version disneyenne d' Aladin , qui prend deux "d" chez
Mickey et conserve ainsi l'orthographe anglaise, remonte à 1988. Le tandem de
compositeurs, Alan Menken et Howard Ashman, dont le remarquable travail pour
La petite sirène est en passe de faire
sensation, proposent au staff de Disney un script d'une cinquantaine de pages
comprenant six chansons arabisantes. L'accueil est plus que réservé : les
musiciens sont, en effet, invités à changer de fusil d'épaules et à se consacrer
tout entier à La
belle et la bête . D'autres artistes vont donc s'atteler à
l'écriture du projet Aladdin . Les réalisateurs Ron Clements et
John Musker, connus dans la maison pour leur travail sur Basil, détective privé
et
La petite sirène , sont appelés à la
rescousse. Leurs contributions résultent d'ailleurs d'un choix personnel qu'ils
effectuent entre un petit film sur un lion, roi de la savane (dont l'ambition
artistique est alors très limitée et qui se voit confié finalement à une autre
équipe !), Le Lac de Cygnes et Aladin . Histoire d'écarter
l'univers marin et d'éviter de tourner en rond, ils jettent leur dévolu sur le
conte extrait des Milles et Une Nuits. Ils piétinent rapidement sur l'histoire et
ne parviennent pas à trouver l'idée qui distinguerait leur adaptation des
innombrables autres inondant le marché. L'entrée dans la danse - forcément
orientale - du premier animateur, fraichement débarqué d'Angleterre, Eric
Goldberg, va provoquer l'étincelle salutaire. Il arrive, en effet, à faire
accepter un tournant à quatre-vingt dix degrés dans l'élaboration d'un film
Disney. Il propose ainsi un long-métrage débridé, presque délirant, exempt de
tout souci d'hyperréalisme, construit sur un graphisme très caricatural, de
facture moderne, vrai clin d'œil à Tex Avery. Il choisit ainsi de mettre en
avant, pour le style, les courbes en S, un peu à l'image du travail du
caricaturiste américain, Al Hirschfeld.

Le scénario a mis, lui, plus de temps à être définitivement arrêté. Sa gestation
est longue et chaotique au point de voir le projet, un certain vendredi noir du
printemps 1991, risquer la pure et simple annulation. La présentation à Jeffrey Katzenberg se déroule, en effet, très mal. Il trouve, au bout du compte, le film
trop long, ennuyeux et surtout, dénué de consistance. Il donne une semaine à
l'équipe pour revoir sa copie, le long-métrage devant impérativement sortir pour
le noël 1992, ou ne jamais voir le jour. Deux nouveaux scénaristes, Terry Rossio
et Ted Elliott (heureux papas depuis des scénarii de la trilogie Pirates des Caraïbes ) sont appelés en renfort. Ils modifient
le récit qu'ils jugent, certes débridé, mais trop proche du conte. Ils éliminent
notamment le rôle de la mère et rendent Aladdin orphelin. Ils conservent en
revanche la transposition du lieu de la Chine vers l'Arabie. L'histoire remaniée
est finalement acceptée par Jeffrey Katzenberg qui valide le projet en imposant
toutefois un choix de dernière minute. Il demande, il est vrai, que le
personnage principal, Aladin, soit vieilli. Exit donc le garçon d'une douzaine
d'année, et vive un jeune adulte prêt à assumer une relation romantique avec la
belle Jasmine. Au royaume de Disney, les histoires d'amour, de princes et de
princesses, obéissent à des codes intangibles...

Les aléas de scénario ont de multiples répercussions et se font notamment vite
ressentir sur la bande son. Des chansons déjà écrites par Alan Menken et Howard
Ashman pour le film sont, en effet, purement et simplement retoquées. Proud
of your boy fait partie du lot. Traitant du besoin de reconnaissance d'un
jeune garçon par sa mère, elle était pourtant l'une des préférées d'Howard
Ashman. Mort du Sida, le 14 mars 1991, il n'en saura finalement rien : la
suppression du rôle de la mère, s'étant décidée quelques jours seulement avant
son décès. Il laisse malgré tout à l'équipe du film pas moins de trois superbes
chansons : Nuits d'Arabie , Je Suis Ton Meilleur Ami et Prince
Ali .
Le départ prématuré de Howard Ashman plonge Alan Menken, son ami de toujours,
dans la peine confraternelle et le désarroi professionnel. Il ne se
pense plus, il est vrai, capable de travailler avec quelqu'un d'autre. Dès lors,
les studios Disney cherchent à le convaincre du contraire et lui présente le
parolier anglais, Tim Rice. Ils vont ainsi écrire deux chansons, Je Vole
et Ce Rêve Bleu . Au delà de la qualité intrinsèque des deux titres, leur
unité avec l'ensemble frappe le plus, offrant à la bande originale une cohérence
incroyable. Avec un mélange de jazz et de sonorités arabisantes, les chansons et
la musique d' Aladdin constituent indéniablement un point fort du
film. Cette nouvelle collaboration redonne, par ailleurs, confiance à Alan Meken.
Elle lui permet de surpasser son immense chagrin et de se consacrer, à nouveau,
par la suite, à de magnifiques compositions co-écrites, à l'exemple des œuvres
signées avec Stephen Schwartz ( Pocahontas,
une légende indienne ,
Le bossu de Notre-Dame ,
Il était une fois )
ou David Zippel ( Hercule ).

Si la B.O. est un des éléments essentiels du succès d' Aladdin , les
personnages, principaux comme secondaires, ne sont pas en reste, aussi bien du
point de vue de leur définition que de leur animation.

Aladdin est assurément l'un des meilleurs héros masculins de toute la galaxie
Disney. Les studios de Mickey ont, en effet, toujours eu un mal fou avec leurs
héros adultes (ou proches de l'être) du sexe fort. Là où ils excellent pour les
rôles de jeunes filles ou femmes et de garçons tout juste sortis de l'enfance,
comme Moustique de
Merlin l'enchanteur ,
Mowgli du (Le) Livre de La
Jungle ou Taram dans
Taram et le chaudron magique , ils se
cassent souvent les dents sur les "mâles". Il faut dire que le tout premier
d'entre eux, le prince de
Blanche Neige et les Sept Nains ,
brillant par sa fadeur, a jeté, bien malgré lui, l'opprobre sur ses successeurs.
Glen Keane se charge donc de la difficile tâche de parvenir à vieillir, à marche
forcée, Aladdin. L'animateur se surpasse et parvient à restituer un visage
respirant les qualités nécessaires à tout héros Disney qui se respecte (beauté,
bravoure et ruse) tout en lui offrant une profondeur et une sensibilité alliées
à un brin de fragilité moderne et attachante. Il s'est inspiré, pour parvenir à
restituer l'apparence d'un parfait vaurien fréquentable, d'une palette d'acteurs
"live", en retenant le visage de Tom Cruise et les corps de Michael J.Fox et
M.C. Hammer.

Jasmine est la première responsable du vieillissement forcé d'Aladin passant,
sur la seule décision de Jeffrey Katzenberg, du statut d'ado de douze ans au
jeune adulte connu aujourd'hui. Mark Henn, son animateur, vrai spécialiste des
personnages féminins des studios Disney et heureux papa notamment de Belle dans
La belle et la bête , signe avec sa
princesse orientale un véritable chef d'œuvre. Jasmine affiche, en effet, une
apparence sexy, séduisante à souhait. Sa démarche est éminemment provocatrice et
détonnent dans l'univers Disney. Son caractère est à l'avenant puisqu'elle
incarne, après coup, le renouveau des héroïnes des studios de Mickey. Son tempérament est
logiquement affirmé. Jasmine n'hésite pas à désobéir à son père ou utiliser ses
charmes pour parvenir à ses fins. Pour autant, son fond est pur : elle arbore
une vraie gentillesse et rêve d'amour éternel. Parfaitement moderne, elle
incarne la femme des années 1990 et voit des générations entières de petites
filles s'identifier à elle, à travers le monde.

La véritable réussite du casting d' Aladdin n'est pas à rechercher
parmi ses premiers rôles, masculin et féminin, mais bien chez un personnage
secondaire qui finit par leur voler la vedette. Le Génie est, en effet, un des
rares toons Disney, qui, de simple acolyte, finit en star incontournable. Il est
d'ailleurs à l'origine du succès commercial du film, ayant attiré à lui toute
une frange de spectateurs ayant déserté, depuis bien longtemps, le label Disney.
Il a apporté au long-métrage un ton moderne, enlevé, et finalement irrésistible.
Sa bonne humeur et son comique en font une véritable usine à fous-rires
communicatifs. Il doit d'ailleurs sa première marche sur le podium à Eric
Goldberg. Fraichement embauché aux studios Disney, cet animateur confirmé
propose, en effet, contre toute attente, un génie en total décalage avec sa
représentation habituelle dans l'inconscient collectif. Il reçoit un allié de
poids dans sa démarche de dynamitage des codes par la performance exceptionnelle
de la voix américaine retenue. Assurée par un Robin Williams ( Good Morning
Vietnam ,
Le cercle des poètes disparus ) plus en
forme que jamais, qui va au delà de son texte, se livre à de l'improvisation
générale, débite de truculents calembours, s'essaye à des imitations délirantes,
accumule les clins d'œil savoureux et autres shows personnels, elle permet au
Génie d'irradier pendant tout le film. Si l'acteur assure une prestation haut de
gamme, son cachet est pour ainsi dire, ridiculement bas. Personne n'avait, en
réalité,
vraiment prévu le succès du film. Disney est impressionné par ses recettes,
notamment de marchandisage, et commet même l'écart de ne pas respecter ses
engagements qui prévoyaient de limiter la présence du Génie dans les produits
dérivés du film à 25% de leur total. L'acteur a bien essayé de renégocier les
royalties mais sans succès. Mickey et ses amis sont restés insensibles à ses
sollicitations. Même son refus de participer à la suite vidéo et à la série télé
tirée du long-métrage n'y change rien. Un sou est un sou chez Picsou ! Robin
Williams revient, à la faveur d'un cachet conséquent, à de meilleures
dispositions et accepte finalement de doubler la deuxième et dernière suite
vidéo.

Aucun Grand Classique Disney n'est réussi si son Méchant n'est pas digne de ce
nom. Jafar ne déroge, bien évidemment, pas à la règle. Son succès complet se
doit à l'artiste de renom, Andreas Deja. Il signe, en effet, un impressionnant
personnage au physique longiligne et étonnamment grand. Son caractère est
faussement posé, hypocrite à souhait, sombre à l'excès et sujet à des accès de
colère révélant au final sa véritable personnalité, avide de pouvoir et emplie
de vanité. L'autre particularité des Vilains de Disney est d'être toujours
affublés d'un acolyte, souvent peu digne de confiance car fourbe et peureux.
C'est Iago, le perroquet, qui endosse ici ce rôle et apporte au film, après le
Génie, l'autre élément comique récurrent. Sa taille, son apparence, son
comportement et sa voix sont en tous points l'exact contraire de Jafar. Il est
bien sûr ridiculement petit par rapport à l'imposante carrure (tenue aidante !)
de son maitre. Il affiche aussi un plumage haut en couleur qui entretient le
contraste voulu entre les deux compères. N'arrêtant pas de bouger et geindre,
faisant montre d'un sale caractère permanent, usant et abusant d'un langage cru
et direct, envisageant toujours avec recul n'importe quelle situation, sa
personnalité est également à l'opposé de celle de Jafar. Même sa voix,
interprétée à l'origine par Gilbert Gottfried, affiche une tonalité radicalement
différente du timbre grave de son Maitre.

Le Tapis, au même titre que Iago, est un personnage secondaire remarquable. Il
constitue d'ailleurs une grande innovation aux studios Disney puisqu'il est la
toute première représen
Superbe fille en jean serré se fait baiser
Une bonne sodomie pour Trinity St Clair
Couple baise en publique

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