Agricultrice prête à les écarter

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Culture Agri > Actualités > Améliorer les conditions de travail des agricultrices




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La délégation sénatoriale aux droits des femmes s'est penchée sur la condition des agricultrices. Sur 462 000 chefs d'exploitation recensés en France, 24 % sont des femmes. La délégation a publié le 12 juillet un rapport listant 40 propositions pour améliorer leurs conditions de travail.
Par Vincent Dufau - Publié le 02/08/2017 à 16:21
L’agriculture est encore considéré comme un milieu masculin . Un rapport de la délégation sénatoriale aux droits des femmes, publié le 12 juillet, évoque pourtant une évolution dans les faits, sinon dans les mœurs. Depuis 2000, 24 % des chefs d’exploitations ou co-exploitants sont des femmes , contre 8 % en 1970.
La délégation sénatoriale propose une quarantaine de mesures visant à faciliter la vie de ces agricultrices. Le rapport préconise ainsi de ne plus attribuer l’aide à l’installation en fonction de l’âge, mais plutôt si l’exploitant ou l’exploitante en est à sa première installation. L’idée est de pallier au fait que les femmes s’installent généralement plus tard que les hommes.
Le rapport préconise aussi la consolidation du statut social des agricultrices , leur retraite, et leur reconnaissance auprès des acteurs agricoles. Selon les études de la délégation, les agricultrices ont plus de mal à obtenir des prêts que les agriculteurs, parce que le métier est encore trop souvent considéré comme un “travail d’hommes” . Pourtant, avec la mécanisation, plus rien n’empêche les femmes d’être au moins aussi performantes.
Enfin, le rapport vise aussi à encourager les vocations des jeunes femmes qui souhaitent devenir exploitantes, et à favoriser leur accession aux postes dirigeants des instances agricoles. À ce titre, Christiane Lambert est citée comme exemple : cette éleveuse de porcs en Anjou a été élue présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) le 13 avril 2017.
Crédit photo de couverture : ministère de l’Agriculture
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par Marie-Gabrielle Miossec (publié le 19 novembre 2004)

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C'est un sentiment tenace, un sentiment d'abattement qui s'est emparé du monde agricole ces dernières années. Il s'explique dans certaines productions par la chute des revenus. Mais dans la plupart des secteurs, la baisse de revenu a été contrecarrée par l'augmentation de la taille des exploitations ou la diversification.
Le mal-être des agriculteurs prend racine plus sûrement dans la remise en cause des fondamentaux du métier: le rôle nourricier de l'agriculture battu en brèche par les crises sanitaires, le difficile retour de confiance des consommateurs, la mise en minorité numérique sur le territoire rural, l'individualisme qui s'est emparé de toute la société, la difficulté d'entreprendre avec les réformes de la Pac qui se succèdent, l'impuissance face à des décisions internationales, la difficulté à faire reconnaître les innovations locales par les institutions professionnelles. Nommer les racines du mal-être contribue à le circonscrire pour faire place à l'innovation et à la reconstruction.
Claudine Faure travaille avec son mari et son fils à Lacropte (Dordogne). Ils produisent des fraises et du lait: «Cet hiver les fraisiculteurs ne savent pas tous comment ils paieront leurs factures. Avant nous vivions bien, les mauvaises années étant rattrapées par les bonnes.»
Dans ce coin de Dordogne, les agriculteurs cultivaient «un peu de tout» sur leur petite propriété avant que la fraise apportée par des migrants bretons ne prenne racine. Ce développement a conduit à la prospérité dans le canton de Vergt et a simplifié les systèmes de production.
«Jusqu'à présent, nous avions gardé le lait. Mais la mise aux normes est trop coûteuse face à notre quota de 200.000 litres. La compagne de notre fils travaille à l'extérieur. Ils veulent une vie normale, impossible avec ce troupeau. Lui aussi travaillait à l'extérieur. Il est revenu "pour ne pas être celui qui coupe le fil des générations". Nous sommes trois générations à vivre côte à côte, chacune dans sa maison. Nous préserverons cette qualité de vie si rare. Mais nous nous autorisons à dire que si dans dix ans cela ne va pas, mon fils partira. Nous garderons nos maisons, mais les terres qui le sait?»
Claudine Faure ne baisse pas les bras. Elle s'autorise à parler clair parce que d'autres vont trop mal pour le faire. Elle voudrait que se réveillent les solidarités mises en sommeil au temps de la prospérité: «Quand on souffre, on ne se parle pas. On reste la tête dans le sable. Ici quand cela allait, on n'avait pas besoin des voisins: les gens n'ont plus d'animaux. Il n'y a plus d'ensilage ni de Cuma. Chacun se débrouille de son côté. Ce matin nous avons rendu visite à une agricultrice de ma commune qui fabrique des confitures. J'ai réalisé que je ne lui avais jamais rendu visite jusqu'à ce jour.»
Ce jour-là, des agricultrices de Gironde rendent visite à leurs consoeurs de Vergt (Dordogne). A l'origine de ce déplacement: une pièce de théâtre écrite à partir du témoignage de dix agricultrices du canton de Vergt, en crise depuis cinq ans, à l'instigation de la MSA. De cette pièce se dégagent des sentiments contradictoires: le plaisir de faire un métier que l'on aime, la difficulté de faire reconnaître la qualité de ses produits, des produits dont personne ne veut, un travail que l'on aime mais qui n'en finit pas au moment des 35 heures («Avant on disait, celui-là, il est vaillant. Maintenant on dit: regarde ce c..., il travaille toujours»), les salariés dont il faut se séparer faute de revenu, la famille «unie, forte», les enfants que l'on encourage à aller vers un autre métier. Les spectatrices de Gironde et de Dordogne répondent en écho à la pièce: «Avec la crise des fruits et légumes nous sommes davantage prisonnières de notre exploitation.» Elles s'interrogent: «Qui aujourd'hui a besoin de nos produits? Avant, nous avions l'impression qu'en changeant de techniques culturales, la situation allait s'améliorer. Là on ne voit pas pourquoi cela irait mieux l'an prochain.»
Catherine Catinel, responsable des travailleurs sociaux de la MSA de la Dordogne, est très sensible au mal-être ambiant: «Certains agriculteurs ont perdu ce qui faisait leur vie. Leur activité n'est plus reconnue comme essentielle. Le métier change et certains ont l'impression que l'on n'a plus besoin d'eux. Ce n'est pas seulement leur production qui est en cause mais leur métier. Et leur mode de vie s'éloigne de plus en plus du modèle dominant avec vacances et loisirs. Ils ne voient pas ce qui pourrait naître demain, quel avenir s'offre à eux.»
La France Agricole: Quelle est selon vous la principale racine du mal-être que ressentent les agriculteurs?
Alice Barthez: «La société valorise l'individu pour lui-même et non pour les relations qu'il entretient avec ses semblables. En minimisant l'importance des liens, la société apparaît comme une multitude d'individus isolés. Même en famille, la réussite individuelle devient prioritaire. Les jeunes hésitent à s'associer parce que l'autre est perçu comme un concurrent a priori et non comme un allié. Là est le piège. En vérité, l'individu n'existe qu'en relation.»
La France Agricole: Pourquoi le groupe n'a plus la côte?
Alice Barthez: «La politique des années soixante invitait les agriculteurs à regrouper leurs moyens de production. En groupe, les agriculteurs se pensaient plus solides économiquement. Neuf fois sur dix, ces groupes réunissaient les membres d'une même famille. Et même quand ce n'était pas le cas, ils fonctionnaient selon les règles familiales incluant l'affectivité, la parole donnée plus que l'écrit, les principes de solidarité. Les ruptures de groupes s'expliquent en grande partie par la montée des aspirations individuelles. L'autorité de type familial s'est affaiblie et peu d'associés sont prêts à sacrifier leurs aspirations personnelles à la survie du groupe.»
La France Agricole: Comment retrouver une harmonie?
Alice Barthez: «Rester seul uniquement pour éviter les disputes n'est pas la solution. Mais il faut savoir pourquoi on s'associe. Si un éleveur se met en Gaec uniquement pour des quotas laitiers, il s'expose à vivre des conflits. Le besoin de quotas est différent du désir de se mettre en groupe. Pour s'entendre, les associés doivent cultiver leurs liens comme ils cultivent leurs champs: avec la même vigilance. Le consensus s'établit si chaque associé porte attention à la qualité de ses échanges. Une autorité extérieure ne peut l'imposer. Les assemblées générales, les réunions hebdomadaires doivent retrouver leur fonction de débat avant les prises de décision.»
La France Agricole: Peut-on séparer nettement famille et entreprise pour limiter les conflits?
Alice Barthez: «Si deux frères se mettent en société, ils ne peuvent écarter ce lien préalable qui les unit. Si les conseillers qui les assistent, disent: "La famille ne me concerne pas", les associés risquent de taire des éléments importants de leur fonctionnement. L'histoire de chaque partenaire intervient dans la formation du groupe.»
La France Agricole: Comment retrouver une harmonie avec les autres ruraux?
Alice Barthez: «La population active agricole représente 8,6% de la population rurale active contre 14% en 1990. Savoir que l'on n'aura peut-être plus notre mot à dire, que d'autres imposeront leur point de vue sur notre activité, peut donner le sentiment d'être assiégé. Ce sentiment se renforce si ceux qui s'expriment, ont quitté la ville pour une campagne plus rêvée que réelle. Pour se dégager de ce risque certains agriculteurs élaborent des chartes de bon voisinage en s'appuyant sur ceux des ruraux qui veulent créer une convivialité apaisante et créatrice de lien social.»
Témoignage: CHRISTIAN NICOURT, sociologue à l'Inra, a étudié la souffrance des éleveurs de porcs.
«Les éleveurs de porc parlent entre eux de résultats économiques. Mais ils n'échangent pas sur leur travail comme ils le faisaient du temps des Ceta. Or, le plaisir du travail bien fait, de "la belle ouvrage" fait partie du métier. Si l'éleveur n'est pas reconnu par ses pairs éleveurs, c'est douloureux à vivre. D'autant que la reconnaissance par les personnes extérieures à leur métier est encore moins acquise. Les éleveurs peinent à convaincre quand ils organisent des débats.»
En revanche, Christian Nicourt a étudié le rôle des épouses qui travaillent à l'extérieur. A l'occasion de réunions locales comme celle des parents d'élèves, les femmes d'éleveurs interrogées sur le métier de leur mari, arrivaient à un échange véritable.
Dans le cadre de son métier de consultant au service des centres d'économie rurale du Poitou-Charentes, Michel Debernard a traité plus de deux cents dossiers d'éleveurs. «Depuis 1996, le consommateur n'accorde plus un soutien inconditionnel à l'agriculture modernisée, scientifique. Les agriculteurs se sont sentis atteints dans leur légitimité: nourrir les hommes. Leurs savoir-faire sont remis en cause.
«Les éleveurs dont le troupeau a été abattu pour cause d'ESB parlent de la double peine: eux sont touchés et leurs enfants stigmatisés dans les cours d'école. Le décalage entre l'image que les consommateurs se font d'une production saine et les conditions réelles nécessaires à l'obtention de cette même production ajoute au malaise. Un agriculteur peut passer des heures à expliquer comment il utilise son pulvérisateur: des doses réduites et ajustées aux besoins des cultures. Les ruraux ne retiennent qu'une chose: le pulvérisateur sort souvent. Quand un incinérateur pose un problème, tous sont remis en cause. Les agriculteurs tentent de "parler vrai" et de montrer ce qu'ils font. Mais c'est un travail de longue haleine. Les laitiers réagissent mal en ce moment car les astreintes de leur métier dans cet environnement de suspicion leur paraissent encore plus lourdes à surmonter: entre le contexte de baisse de prix, la mise en place du PMPOA 2, la nouvelle Pac, un changement de fond se dessine.» Ils redoutent la fin de la "paie de lait", ce "salaire" régulier qui tombait tous les mois. Ils craignent un contact rude avec le marché.
«Jusqu'ici, ils ont maintenu leur revenu en augmentant régulièrement leur quota et leur surface. Mais il existe un mur invisible auquel de nombreux éleveurs se heurtent: comment rester pilote au-delà de 70 vaches laitières? Comment trouver le temps de décrocher, de réfléchir? Comment déléguer une part du travail pour cela: le salariat ou la "sous-traitance" d'une partie de l'élevage comme celui des génisses? Le rôle des conseillers évolue vers davantage d'écoute des projets des agriculteurs y compris de leurs projets individuels. En cinq ans, la plupart des agriculteurs ont dû intégrer des exigences réglementaires qui sont nouvelles à 80%. Or, moins ils comprennent le sens, plus c'est lourd, plus ils tardent, plus ils sont dépassés. Les agriculteurs peuvent être tentés de se dégager de la partie administrative. Or si le travail fastidieux peut être délégué, il faut rester le pilote de son entreprise. La mise aux normes par exemple ne doit pas être seulement décidée de l'extérieur si l'éleveur veut échapper à ce sentiment et reprendre son autonomie, sa capacité de gestion.»
Témoignage: ERIC GUYONNET, éleveur dans la Vienne
Eric Guyonnet s'est installé en 1989 près de Châtellerault, dans la Vienne. L'exploitation en Gaec regroupe 400 chèvres. Le quota de lait de vaches du Gaec atteint 460.000 litres et le nombre d'hectares dépasse les 200. «Mes parents voulaient nous décourager mais j'ai toujours voulu être agriculteur.» Le Gaec familial compte deux frères et un salarié. La réforme de la Pac lui fait moins peur que la précédente qui a poussé d'anciens éleveurs à décapitaliser pour cultiver des céréales. «Aujourd'hui, ils n'ont plus de capital pour renouveler leur tracteur. Et nous éleveurs sommes restés moins nombreux. Cela pourrait remettre en cause le ramassage du lait.» Il évite d'écouter les discours trop sombres de la profession agricole sur la Pac ou l'OMC. «Cela nous décourage sans nous donner les moyens d'agir. La prime unique va simplifier les choses et nous ferons davantage de prairies. En revanche l'ESB est une véritable épée de Damoclès. J'y pense toujours quand un animal part à la boucherie.»
La France agricole: La place du travail a-t-elle changé?
«Les agriculteurs aspirent à dégager du temps pour vivre par ailleurs. Leur travail, même s'il leur plaît, est aussi astreignant. Ils ne veulent pas forcément les 35 heures mais avoir une vie familiale et sociale plus diverse. La souffrance au travail progresse en agriculture comme dans toute la société: l'incertitude, la pression, le déclassement du travail face au capital et au monde des loisirs y concourent. La valeur du travail vu sous l'angle moral et politique s'estompe.»
La France agricole: Quelles conséquences pour les conseillers agricoles?
Les dirigeants agricoles soulignent le décalage entre l'offre de service et les préoccupations des agriculteurs. Mais leurs organisations apportent d'abord des réponses techniques avec des schémas de solutions tirées des expériences passées ou des schémas industriels. Lorsque nous proposons aux agriculteurs de qualifier leur situation, les mots "inquiétude", "angoisse", "désespoir" ressortent. Ils attendent davantage d'écoute. Combien d'interviewés nous ont dit "Ce que je vous dis là, je n'en avais jamais parlé avec un technicien"? La souffrance au travail est le signe du passage d'un mode de développement à un autre.
La France agricole: Comment inverser la tendance?
Les organisations économiques et professionnelles devraient réfléchir aux discours de guerre économique et sociale qu'ils prononcent. Cette forme de gestion collective me paraît dangereuse. Les organisations passent leur temps à expliquer la Pac, l'économie de marché. Ils parlent de l'Administration du changement mais pas de son orientation. Pourquoi concevoir tout changement comme une contrainte? Il préfigure aussi les nouvelles façons d'être agriculteurs.
La France agricole: Comment valoriser le travail agricole?
Les responsables négligent le développement local, un domaine où les agriculteurs peuvent être moteurs: ils participent à des projets novateurs y compris avec les autres ruraux. Cette dynamique de projets est souvent sous-estimée voire dénigrée, comme s'ils menaçaient une logique et des structures de développement.
Michel Lapointe, agriculteur dans l'Aisne, veut maîtriser au plus vite les nouvelles réglementations.
Michel Lapointe exploite 170 hectares dans l'Aisne qui se partagent entre céréales, betteraves et autres cultures spécialisées. Son fils l'a rejoint il y a six mois et le Gaec a investi dans un poulailler.
Michel Lapointe est aussi vice-président du syndicat des betteraviers du département de l'Aisne: «Les betteraviers échappaient jusqu'ici à la sinistrose. Aujourd'hui, ils sont en première ligne avec les laitiers. Si nous n'agissons pas notre revenu va perdre au moins 30%. Dans ma Cuma, un seul agriculteur sur les douze adhérents possède une structure qui n'a pas bougé depuis les années de référence (de 2000 à 2003)
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