Adriana adore un bon gang bang

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Adriana adore un bon gang bang

Iowa Environmental Focus
Environmental news, research and analysis

The official blog of the University of Iowa Center for Global and Regional Environmental Research

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USDA’s Natural Resources Conservation Service (NRCS) recently released the new Iowa Nutrient Management Conservation Practice Standard – the guiding document for implementing nutrient management plans for Iowa farmers.
To learn more, follow the link above, or head over to the National Hog Farmer website.
AP – The Obama administration is offering to destroy some of Syria’s deadliest chemical weapons in international waters aboard a nearly 700-foot, U.S. government-owned ship.
The plan would involve destroying the weapons, likely aboard the MV Cape Ray in the Mediterranean Sea, with U.S. Navy warships patrolling nearby.
This approach would avoid diplomatic, environmental, and security problems posed by disposing of the materials on any nation’s soil
A towboat filled with thousands of gallons of diesel fuel struck a submerged object and sank on the Mississippi River on Monday.
The Coast Guard, the Environmental Protection Agency and local emergency crews responded, shutting down an eight-mile stretch of the river near Davenport, Iowa, as the vessel began leaking fuel.
Approximately 89,000 gallons of petroleum are said to be on the sunken vessel.
To learn more, head over to the Huffington Post. 
This week’s On the Radio segment covers the arrival of Ecovative to Iowa. Listen to the audio below, on continue reading for the transcript.
At a news conference in Nevada, Iowa, Gov. Terry Branstad addressed the Environmental Protection Agency’s new rules that scale back the national transportation fuel supply use requirement by a few billion gallons.
“We’re not just fighting big oil, we’re fighting ignorance,” he said. “We’re fighting ignorance of ethanol.”
To learn more, head over to The Gazette.
Individuals in nine Iowa counties may apply for funds to help replace diesel engines in construction vehicles. $2 million is available in Black Hawk, Harrison, Johnson, Linn, Mills, Polk, Pottawattamie, Scott, and Woodbury Counties, each of has faced challenges in meeting air quality standards.
The grant program is administered by the Environmental Protection Agency (EPA), who estimates health benefits of the program will total up to $8.2 billion, while the costs of the program will be capped at $500 million nationally.
Read more about the grant program through EPA’s press release or here . Applications will be accepted until January 15, 2014.
The EPA, along with other major federal agencies, received failing marks for not being able to meet the requirements of a 2010 law. The law requires bureaucrats to write official documents with the public in mind — less jargon, more verbs.
Agencies “need to write for their intended audience, and it’s not for lawyers. It’s for taxpayers filling out forms, and farmers trying to get government loans, and people applying for HUD loans,” said the law’s author, Rep. Bruce Braley, D-Iowa. “Until every grade is an ‘A,’ we will keep holding these bureaucrats’ feet to the fire.”
To learn more, head over to USAToday.
ANKENY, Iowa (AP) – An environmental advocacy group says it is delivering a petition with 5,000 names to the Iowa Environmental Protection Commission insisting the state crack down on water pollution that comes from large livestock farms.
Iowa Citizens for Community Improvement says it will demand at Tuesday’s commission meeting that the Iowa Department of Natural Resources issue a Clean Water Act operating permit to the Maschhoff Pork farm near Keosauqua in southeast Iowa.
The farm, with nearly 7,500 pigs, spilled thousands of gallons of manure into a creek on Nov. 4, just weeks after a DNR inspection. It has had several spills in recent years.
The state hasn’t issued a water permit to a hog facility before but environmental groups are increasingly pressuring the state to create rules to do so.
This week’s On the Radio segment covers the Audubon certification received by the Lake Rathbun Golf Course. Listen to the audio below, or continue reading for the transcript.
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La grosse limousine noire vient stopper en tanguant sur ses suspensions devant les baraquements du chantier entourés de pièces de bois, de panneaux de construction et divers outils. D´étroites planches servant de passerelle mènent aux différents préfabriqués ; elles disparaissent par endroits dans le sol rendu boueux par les incessantes pluies de la semaine précédente. Le chauffeur portant un uniforme sombre et coiffé d´une casquette contourne le véhicule pour venir ouvrir la portière arrière. Deux longues jambes gainées de bas noirs apparaissent ; une très belle femme, vêtue d´un imperméable ciré noir sort du véhicule ; le chauffeur délace la ceinture du vêtement pour le retirer des épaules de la belle créature et le jeter sur le siège arrière de la voiture. La femme est nue, les jarretières de ses bas noirs tranchent sur sa peau claire. Après lui avoir menotté les poignets dans le dos, le chauffeur fixe une longue laisse au collier de chien qui lui ceint le cou, puis l´entraîne à sa suite sur les planches instables en direction d´un hangar de tôles. Incapable de résister à la traction de l´homme, elle avance en titubant sur ses escarpins. Son maquillage délavé par de grosses larmes dégouline sur ses joues sans réussir à enlaidir son fin visage encadré par des cheveux de jais taillés à la garçonne. Ses seins, deux ogives de chair blanche, incroyablement développés par rapport à sa silhouette élancée et défiant la loi de l´apesanteur, tressautent à chacun de ses mouvements. Brusquement, elle perd l´équilibre sur une planche moins rigide et s´affale de tout son long dans une flaque boueuse en poussant un cri aigu. « Debout, petite salope ! Dépêche-toi ! Ne cherche pas à te défiler, c´est inutile » dit le chauffeur en tirant sur la laisse pour obliger la jeune femme à se relever. Elle essaie à plusieurs reprises de se mettre à genoux puis debout, mais glissant sur la terre détrempée, elle retombe à chaque fois dans le cloaque. Finalement empoignée par les cheveux, elle se redresse, titubante, pleurant et toussant, son corps superbe recouvert d´une boue gluante, ses cheveux collés. Ils entrent enfin dans le hangar, accueillis par un homme trapu . « Vous voilà enfin ! Je veux bien donner du bon temps à mes gars, mais faudrait pas qu´ils prennent trop de retard dans le boulot. »
Puis avisant la jeune femme ruisselante d´eau boueuse : « Dites donc, elle est pas très reluisante votre pute ! ». « Vous avez bien un jet d´eau dans votre atelier » lui réponds le chauffeur d´un air amusé. L´homme déroule un long tuyau d´arrosage et se met en devoir d´asperger la pauvre jeune femme qui tire sur sa laisse en criant, pour tenter en vain d´échapper au jet glacé. Au bout quelques minutes, les traces de boue ont totalement disparues ; tremblante et suffocante, elle est entraînée sous un palan par le chauffeur. Ses poignets, libérés des menottes sont liés au crochet du palan par une solide corde de chanvre. La chaîne remonte lentement jusqu´à ce que la jeune femme se retrouve bras étirés au-dessus de sa tête Entre temps plusieurs ouvriers sont entrés dans le local, ainsi que l´occupant de la grosse limousine, un sexagénaire distingué qui s´est assis, un peu en retrait sur une caisse de bois. « Approchez, messieurs ! Venez tâter la marchandise ! » Les hommes s´avancent, presque timidement, ils sont maintenant une vingtaine, noirs, magrébins, en combinaison de travail. Cinq, plus hardis, commencent à palper le corps frissonnant ; leurs mains calleuses et pas toujours très propres caressent la peau couverte de chair de poule, leurs gros doigts, bientôt, s´insinuent entre les fesses rebondies, puis écartant fermement les cuisses de leur victime sanglotant de honte, ils fouillent sans ménagement son entrecuisse dépourvu de toute pilosité, tandis que d´autres malaxent avec délectation les gros seins aux aréoles fripées et aux mamelons durcis par la douche glacée. Les commentaires salaces commencent à fuser avec l´excitation qui monte : « Putain ! ! Quels nichons elle a ! ! » « Et ce cul ! je vais la défoncer cette salope » « T´as vu sa chatte complètement rasée ? Et elle mouille la garce ! » « Bordel ! ! J´ lui est mis un doigt dans le trou du cul ! Ca rentre tout seul » « HAAH ! ! ! .... NOOON ! ! ! OOHOOO ! ! NON, PITIE » Le visage noyé de larmes, la jeune femme, humiliée, mortifiée, supplie, tandis que les mains qui explorent ses orifices lui arrachent un cri de douleur. Le chauffeur vient tempérer l´ardeur grandissante des ouvriers. «Attendez, les gars ! Vous allez pouvoir tous la baiser, mais avant, il faut que je fasse les présentations ! » « Adriana est la femme de mon patron, ici présent. C´est une vraie nymphomane et elle aime les émotions fortes, aussi comme leur différence d´age ne permet pas à mon patron de la satisfaire, il lui organise des séances comme celle d´aujourd´hui. Mais pour qu´elle prenne bien son pied, cette salope a besoin qu´on lui chauffe le cul. » Tout en disant cela, il était allé prendre un martinet muni des longues lanières de cuir dans la sacoche posée aux pieds de son patron. Se campant fermement sur ses jambes à deux mètres derrière sa patronne qui jette un regard affolé par-dessus son épaule, il assure le manche du martinet dans sa main. « Pas trop fort, je t´en prie ! ! » supplie-t-elle dans un sanglot. « Compte sur moi, ma belle » répond-il narquoisement. Puis d´un ample mouvement, il lance le martinet en direction des fesses crispées.
Les lanières percutent les belles rondeurs dans un crépitement sec. Adriana bondit en poussant un cri strident. Déséquilibrée par le rappel de chaîne du palan, elle repart en arrière en pivotant sur elle-même ; Ramenant d´un geste sec son bras dans l´autre sens, Kurt cingle à la volée la poitrine offerte qui s´écrase sous le choc. « AAHHAARRRR.... ! ! ! NOONNN.... PAS CAAAA ! ! ! ! » Se replaçant rapidement, le chauffeur flagelle une nouvelle fois le derrière trémulant d´Adriana qui effectue un saut de carpe. Son tortionnaire lui avive les fesses d´une hanche à l´autre et du bas du dos jusqu´en haut des cuisses, frappant à un rythme soutenu. Variant ses angles, il donne six ou sept petits coups secs et rapides au même endroit puis, assène un coup très appuyé, pour recommencer immédiatement plus loin. Au début sa victime se contentait de crier sa douleur, mais maintenant, ses nerfs craquent, braillant comme une folle à chaque cinglée, elle trépigne, se tord, bondit comme une possédée en suppliant ou insultant son bourreau qui insensible continue de la flageller avec un plaisir évident. « AAAAHHAARRRR ! ! ! !....SALAUD ! ....PAS LES SEINS ! ... NOOOHHAARRRHHHAAA ! ! ....ASSEZ.... PITIE AAHHHAARRR ... ARRETEZ... ORDURAAHHAAARR ! ! ! » Quatre fois de suite, Kurt vient de lancer son martinet sur la poitrine tressautante de sa patronne, imprimant des traînées écarlates sur les deux gros obus. Puis sans lui laisser le moindre répit, il reprend la flagellation du derrière dont la couleur vire au rouge vif. Les hommes observent, les yeux exorbités, le spectacle que leur donne bien involontairement la pauvre femme dont les cris stridents résonnent dans le hangar. Les coups cessent enfin et elle se laisse prendre à la chaîne, secouée de hoquets. Etendant son bras dans une attitude théâtrale pour désigner sa victime, il s´adresse aux ouvriers : « La voilà bien échauffée, cette salope, mais pour qu´elle profite mieux de toutes vos grosses bites et qu´elle jouisse comme une chienne en chaleur, je vais maintenant lui rôtir le cul et les nichons à coups de fouet. » A l´annonce de ce surcroît de torture, Adriana, paniquée, se met à crier et supplier : « NOOONNN... JE T´EN SUPPLIE... DETACHE MOI....JE N´EN PEUX PLUS... ASSSSEZ ! ! ... HUBERT, DIS-LUI D´ARRETER...OOOHHH ...JE FERAIS CE QUE TU VEUX... » Le sexagénaire sortant de son mutisme ordonne d´une voix grave. « KURT, METTEZ LUI LES PINCES A CETTE COLOMBE... JE VEUX L´ENTENDRE GEULER » « BIEN MONSIEUR » « NOOONNNN... NOOONN....PAS LES PINCES... JE NE VEUX PAS....ORDURES ! ! ! VOUS N´AVEZ PAS LE DROIT...LAISSEZ MOI PARTIR ! !...OOHH PITIEEEE.... NOOOOONNNRRHHHH..... » Elle se débat comme une forcenée au bout de sa chaîne sous les encouragements et les quolibets des hommes. Un noir vient, à la demande du chauffeur, ceinturer la pauvre femme qui se contorsionne en hurlant de terreur. Kurt empoignant à pleine main un sein, le presse comme un énorme fruit pour en faire saillir le mamelon, puis d´un geste rapide et précis, il pose une pince métallique aux mâchoires crantées sur le téton et lâche la chaînette pourvue d´une grosse boule d´acier. Le cri d´Adriana se transforme en hurlement. Une deuxième pince placée sur l´autre sein produit le même effet. Elle se convulse et trépigne, essayant vainement d´échapper aux bras puissants qui la maintiennent ; mais ce n´est pas tout, l´obligeant à écarter largement les jambes, son chauffeur à genoux devant elle, glisse deux doigts dans sa vulve pour capturer son clitoris humide et gonflé. Un beuglement assourdissant jaillit de la bouche grande ouverte de la pauvre esclave, Kurt vient de poser une troisième pince emboulée sur la petite excroissance de chair. Incapable de supporter stoïkement l´étirement des trois points les plus sensibles de son corps, crispée à se rompre les os, tremblante de la tête aux pieds, les yeux exorbités, Adriana hurle interminablement. Son bourreau revient vers elle avec à la main un fouet fait de fines bandes de cuir tressées. Il attend quelques minutes qu´elle se calme, laissant les hommes se repaîtrent du spectacle. Maintenant, pendue par les poignets à la chaîne, ses jambes ne la portant plus, elle râle lamentablement. Armant son bras, Kurt lance d´un air sadique : « APRES LES HORS D´OEUVRES, VOILA LE PLAT DE RESISTANCE. REGALE TOI MA BELLE ! » Manié avec adresse, le fouet siffle et percute les fesses déjà enflammées. Adriana bondit, semblant vouloir grimper au palan, en poussant un hurlement formidable, suivi des cris abominables. Kurt s´étant placé assez loin de sa victime, seuls les derniers cinquante centimètres de la lanière viennent cingler violemment le derrière tressautant pour y imprimer de fines traînées purpurines, qui se boursouflent immédiatement. Les bondissements et les contorsions de la malheureuse entraînent les boules d´acier dans tous les sens, sautant, tournant et retombant sans arrêt, elles tiraillent abominablement sur le clitoris et les seins. Insensible aux vociférations de sa patronne affolée de douleur, le chauffeur continue de plus belle de lui ravager le postérieur zébré de traces violacées qui s´entrecroisent en un réseau de feu.
A plusieurs reprises, changeant de position, Kurt cingle sauvagement la superbe poitrine qui s´écrase sous le choc et s´orne de balafres enflammées. Rugissante de l´abominable douleur qui lui ravage les seins, Adriana se tord comme une possédée, la bouche ouverte sur un rictus terrible, bavante, braillant de toutes ses forces. Vingt, trente, quarante fois ou plus le terrible instrument vient claquer furieusement sur le beau corps nu de la pauvre esclave qui bégaie des mots incompréhensibles entre ses beuglements atroces qui couvrent les commentaires et les exclamations d´encouragement des spectateurs. Les coups cessent enfin, mais n´ayant pas pris conscience de la fin de son supplice, la malheureuse crie pendant plusieurs minutes. Les pinces lui sont retirées, lui arrachant encore des hurlements déchirants. Détachée, elle s´effondre sur le sol de terre battue, gémissante, râlante, le visage noyé de larmes. « Elle est à vous messieurs ! Prenez là par tous les trous, elle adore ca ! ! ! » Déjà deux hommes se sont précipités et ouvrent fébrilement leurs combinaisons de travail pour en extirper leurs verges congestionnées. Saisissant sans ménagement Adriana par les hanches, l´un d´eux la met à quatre pattes et s´agenouillant derrière elle, la pénètre d´un grand coup de reins en poussant un cri de victoire. « HAAARRAAHH ! ! ! ... JE NE VEUX PAHHMMUUMMMFF ! ! ! » une deuxième bite vient de la bâillonner. Une main crochée dans ses cheveux, l´homme, un arabe, grand et maigre, lui pistonne la bouche, enfonçant sa verge sombre et cambrée jusqu´aux testicules. Ils jouissent rapidement et presque simultanément en poussant des grognements de plaisir. Immédiatement, deux autres les remplacent et un troisième présente lui aussi sa verge devant le visage d´Adriana. Petit à petit, une vague de plaisir l´envahit, complètement passive quelques instants plus tôt, elle commence à lancer ses fesses au devant du dard qui la pénètre, ses cris deviennent râles alors qu´elle passe d´une queue à l´autre, la bouche dégoulinante de salive. La douleur de la terrible flagellation ne s´est pas apaisée et mêlée à l´humiliation d´être traitée comme un objet et exhibée comme une bête cela la précipite vers un orgasme formidable que rien ne peut endiguer. Elle se met à crier et à ahaner de plus en plus fort et lorsque les deux hommes devant elle éjaculent ensemble en longs jets épais sur sa figure et que le troisième se retirant de son vagin détrempé lui englue littéralement la raie des fesses avec sa semence, elle joui en poussant un long cri rauque qui se termine en violents sanglots. Les hommes agglutinés autour de la fille s´écartent brusquement pour laisser passer un colosse noir entièrement nu qui s´avance la bouche ouverte sur un large sourire. Son sexe, semblable par sa taille et sa forme à une massue préhistorique, bat contre son ventre proéminent au rythme de sa démarche lourde. « Regarde ce que tu va prendre dans le cul, ma belle » lance un des ouvriers Un concert d´exclamations enthousiastes accueille la hideuse proposition. La fille agenouillée, coudes au sol redresse la tête et apercevant la monstrueuse mantule se met à trembler et à crier de terreur. Alors que le géant vient se placer derrière elle, Adriana rassemblant ses forces bondit entre les ouvriers surpris, mais elle est stoppée net dans son élan par son chauffeur qui l´entraîne à nouveau sous le palan auquel elle se retrouve bientôt attachée. Le noir, un instant contrarié, saisi fermement les hanches enflammées par le fouet de ses mains puissantes et ployant les genoux, il tente de glisser son sexe démesuré entre les fesses désespérément crispées de la pauvre qui hurle de désespoir. « NOOOONNNN... PAS CA ! ! !... IL EST TROP GROS.... NNNOOHHAAA...ARRETEEEEZ, VOUS ETES FOUS ! ! ! ! IL VA ME DECHIRER.. NNOOOONNNNN » Soufflant et suant, l´homme tente en vain de forcer le passage. Le chauffeur décide d´intervenir ; il place à nouveau les terribles pinces sur les tétons déjà tuméfiés et tire sur les chaînettes pour faire hurler sa patronne comme une folle. Sous l´acuité de la douleur, Adriana oublie de crisper ses muscles fessiers, profitant de l´occasi
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