Ados prennent du bon temps

Ados prennent du bon temps




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ados prennent du bon temps


Publié le 11/02/2017 à 16h22




copy url


facebook


twitter


linkedin


mail


partage


imprimer






Je m'abonne

Tous les contenus du Point en illimité


Vous lisez actuellement : Scolarité : et si on laissait nos ados tranquilles ?



Par guy bernard le 12/02/2017 à 09:21




Par tyno97fois le 12/02/2017 à 04:48




Par Petit malin le 11/02/2017 à 21:25


Vous avez déjà un compte LePoint.fr ?
Vous êtes abonné au magazine dans sa version papier ?
Soutenez notre journalisme libre et exigeant


Je m'abonne pour 1€


J'accepte les cookies


Jusqu'où les parents devraient-ils s'investir dans la scolarité, les activités et l'épanouissement de leurs enfants ? De nombreux psychologues et sociologues dénoncent ces derniers temps le trop-plein d'attention déployé par les « parents hélicoptères », ainsi désignés, car ils restent en position stationnaire au-dessus de leur progéniture, à l'affût du moindre de leurs besoins. La question se pose avec d'autant plus d'acuité à l'adolescence, période de l'apprentissage supposé de l'autonomie.
Notre équipe de thérapeutes s'est fait connaître par son approche originale du harcèlement scolaire, visant à donner à l'enfant harcelé les moyens de se défendre lui-même. Depuis 2016, cette façon inédite d'aborder les situations de souffrance scolaire fait l'objet d'un enseignement à l'université de Bourgogne. Nous nous appuyons sur les travaux du Mental Research Institute (MRI), à Palo Alto ( États-Unis ), héritier de « l'école de Palo Alto », un courant fondé dans les années 1950 par le psychologue américain Gregory Bateson.
Nous avons ouvert dans plusieurs villes en France des consultations pour dénouer les problèmes fréquents de relations avec l'école. Et reçu de nombreux parents d'adolescents venus chercher de l'aide, non pas pour une phobie scolaire, mais plutôt l'inverse, ce que nous pourrions qualifier d'apathie scolaire.
Nous entendons souvent des pères et des mères confier leurs inquiétudes quant à la léthargie académique de leur rejeton, son inconscience face à son avenir professionnel, et les conséquences dramatiques auxquelles ces défauts préoccupants ne manqueront pas de l'exposer dans un futur proche. D'une façon stratégique, pour ne pas les heurter dans leur volonté de faire pour le mieux, nous tentons de les amener à faire assumer les conséquences de cette inaction scolaire à leur adolescent lui-même, pour mettre en place un contexte qui le responsabilise. Avec cette idée qu'en faisant ou voulant à sa place, ils lui interdisent de prendre l'élan essentiel lors de cette dernière ligne droite que représente l'adolescence, avant la falaise qui se présentera devant lui – l'émancipation.
C'est ce que j'ai tenté de faire avec la maman de Léopold, 15 ans, en lui proposant de ne plus jamais insister lorsque ce dernier montrerait des signes de déconcentration pendant les devoirs, le soir. Et même d'inviter Léopold à aller plutôt jouer aux jeux vidéo au premier de ces signes, pour observer ce que cela générerait comme comportement chez son fils. Et ce pendant une semaine afin, ai-je prétendu, d'affiner mon diagnostic quant à un éventuel trouble du déficit de l'attention ou TDAH, le nom que les psychologues donnent à l'hyperactivité et ses troubles de la concentration. Un prétexte, en réalité, pour faire vivre à cette maman préoccupée l'expérience émotionnelle de la responsabilisation et de ses bienfaits.
Cette maman revient en consultation une semaine plus tard.
- « J'ai réussi, me dit-elle, et pourtant… Le premier jour, Léopold est parti jouer lorsque je lui ai dit que son cerveau était en train de fumer et qu'il valait mieux qu'on arrête, vu qu'il regardait en l'air en bâillant au lieu de lire les consignes de son DM [devoir à la maison]. Le deuxième jour, idem. J'aime autant vous dire que je trouvais l'exercice difficile. Deux jours sans aucun travail scolaire…
- Et puis le troisième jour, il s'est déconcentré pareil, mais seulement au bout de dix minutes, ce qui est une sorte de record mondial le concernant, il a eu le temps de faire un exercice d'anglais. Puis il est allé jouer quand je lui ai proposé, vu son agitation. Et le quatrième jour, grandiose : il est resté environ dix minutes à son bureau avant que je lui dise d'aller jouer parce qu'il s'agitait ; il est parti ; et revenu au bout de cinq minutes en disant : Allez, si on s'y met sérieusement, on n'en a pas pour longtemps. Je me suis retenue pour ne pas rire, c'est exactement ce que je lui disais à chaque fois, avant qu'on mette l'observation en place avec vous. Il a tenu une demi-heure, jusqu'au dernier exercice qui consistait à légender une carte ; là, il en avait trop marre, il a commencé à gratter le livre avec son cutter. J'ai dit : Stop, tu es vraiment trop fatigué, Léop, regarde, ton corps le dit, va jouer.

- Vous avez vraiment été remarquable, Madame.
- Oui, je sais, se rengorge-t-elle, attendez, vous allez voir le bouquet final. Le soir même, à 22 heures, il arrive en pyjama et dit : Maman, s'il te plaît, aide-moi pour la carte, j'y arrive pas, je comprends pas ce que ça veut dire légender, c'est sans doute à cause de mon TDAH… . Et là je dis Chéri, je suis très fatiguée et franchement, ce n'est plus l'heure des devoirs, je trouve que tu as bien travaillé aujourd'hui ; tant pis, tu auras un zéro en géographie, ce n'est pas la fin du monde. Et là, il s'est littéralement déchaîné, j'avais rarement vu ça. Il m'a dit que j'étais la pire mère du monde, qu'il le raconterait à tout le monde, qu'il allait contacter un avocat, Enfance et partage et pour ça aller voir l'assistante sociale du collège le lendemain à la première heure.
- Waouh, la puissance de cet enfant ! Je suis impressionnée !
- Mais j'ai tenu. Franchement, c'était vraiment difficile. Et… une heure plus tard, il est venu me voir, sa carte à la main. Il m'a demandé d'un air revêche si je voulais bien regarder. Là, c'était trop dur de dire non, alors j'ai regardé en râlant un peu. C'était franchement pas trop mal. Je lui ai dit, il avait l'air fier de lui. J'étais perturbée, parce que je me suis dit : je ne le pensais pas capable de faire ça. C'est dur quand même, penser ça de son fils, à tort !
- Alors, votre diagnostic sur son TDAH ?
- J'ai comme l'impression que son TDAH est assez réactionnel. C'est-à-dire que la responsabilisation l'atténue, non ? Mais pour en être sûres à 100 %, il faudrait que nous continuions sur cette voie-là. »
La prise en charge de l'adolescent par ses parents (ce qui consiste à faire à sa place ce qu'il devrait être capable d'assumer, par exemple sa scolarité) lui envoie deux messages implicites : le premier, c'est qu'on l'aime, c'est pour cela qu'on est inquiet pour lui ; le deuxième, c'est qu'on l'estime tellement incapable – scolairement, en l'espèce – qu'il nous semble essentiel de faire les choses à sa place. En dépit de la qualité du premier message, le deuxième message qui est très confortable pour l'adolescent à court terme (il est donc générateur de cette fameuse paresse que paradoxalement on lui reproche) est en fait assez destructeur de sa confiance en lui. « Tu n'es pas capable », lui dit-on en substance.
Notre approche, fondée sur la thérapie dite « brève et stratégique » née de l'école de Palo Alto, nous amène, nous thérapeutes, à nous poser la question suivante : est-ce que ce ne seraient pas précisément toutes ces modalités de prise en charge qui génèrent la léthargie chez cet adolescent ? Ainsi, au lieu de percevoir le problème de façon linéaire – c'est parce que Léopold ne fait rien qu'on est obligé de le prendre en charge – nous le regardons alors de façon circulaire. Il ne travaille pas. Donc ses parents le prennent en charge. Il se démobilise encore plus puisqu'il est pris en charge (et qu'en quelque sorte on se mobilise à sa place). Cette démobilisation accrue inquiète les parents qui donc le prennent encore plus en charge. Il se démobilise un peu plus. Et les parents intensifient encore la prise en charge à la culotte et ainsi de suite.
La démobilisation qui désole les parents et leur semble incompréhensible – en dehors d'une mauvaise volonté ou d'un problème psychique de la part de leur fils – devient, dans cette perspective circulaire, une réponse logique à une prise en charge excessive.
Ce changement de perspective est l'apport de Gregory Bateson, le fondateur de l'école de Palo Alto, que son collègue Paul Watzlavick désigne comme « mutation méthodologique fondamentale » dans son livre Les cheveux du baron de Münchhausen (Seuil). Cette prise en charge excessive peut revêtir plusieurs formes, le parent d'adolescent inquiet étant très créatif pour la mettre en œuvre. Il y a la stimulation affectueuse et souriante : « Allez, chéri, c'est l'heure de se mettre aux devoirs, la la la la lère ! » Il y a aussi la promesse de récompense ou de sanction, tenue ou pas.
- On avait dit 11 de moyenne pour le smartphone…
Il y a aussi les noms d'oiseaux, les cours particuliers imposés, les discours-fleuve sur la crise économique et tout autre subterfuge qui consistera à prendre à son propre compte de parent, la motivation scolaire qui devrait pourtant être celle de l'adolescent.
Toutes ces manœuvres constituent ce que les psychologues de l'école de Palo Alto appellent les « tentatives de régulation ». Elles sont mises en place pour résoudre un problème ou apaiser une souffrance et elles provoquent très précisément l'inverse de ce qui était souhaité. Ce mode d'interaction infructueux est précisément décrit dans l'article « Thérapie courte, résolution d'un problème circonscrit », signé de quatre chercheurs de cette école et repris dans la somme collective des travaux menés de 1965 à 1974, Sur l'interaction (Seuil).
C'est sur ce concept fondateur que nous nous appuyons pour proposer à des patients chaque fois particuliers (enfants, adolescents, mais aussi adultes), pour des problèmes tous différents (la phobie scolaire, le harcèlement au travail) un nouveau comportement, à 180° de ceux qui maintiennent le problème pour lequel ils sont venus chercher de l'aide. Avec cette idée que cessant d'être alimenté par ces tentatives de régulation, le problème diminuera et la souffrance s'apaisera. Ce fut le cas avec la maman de Léopold, pour laquelle le virage à 180° a consisté à passer de la prise en charge à la responsabilisation d'un garçon par ailleurs… tout à fait représentatif de sa génération.

*Emmanuelle Piquet est psychopraticienne, intervenante à l'École supérieure du professorat et de l'éducation à l'université de Bourgogne. Elle vient de publier Mon ado, ma bataille. Comment apaiser la relation avec nos adolescents , Payot, 240 p, 18 €

Il y a du monde et beaucoup de chercheurs à Palo Alto, et des bons, mais je ne partage pas cette analyse qui porte sur des remédiations et des corrections.
"c'est ce qui semble evident qui doit etre souligné" (c'est la semaine de P. Drucker).

ce qui est evident et qu'on oublie, c'est de CONNAITRE SES ENFANTS.

partant de là, on pourra alors aller dans le sens de leurs centre d’intérêt et les développer avec des techniques, de la considération et de l'affection, en les orientant dans des secteurs où ils pourront s’épanouir.
mes enfants qui ont des carrières enviables, sont devenus ce qu'ils étaient, même à l’état de bribes.

Le problème, c'est qu'il faudrait éduquer l'enfant depuis le bas âge, lorsque le cerveau est le plus performant et ne pas attendre l'adolescence car il est déjà trop tard pour rectifier le tir (conséquences trop lourdes à gérer pour lui et la société en général). Ensuite, le problème de cette société (mondiale) est systémique : vous aurez beau vous casser la tête dans tous les sens, si la motivation de l'élève n'y est pas, vous n'aurez aucun résultat ; il faut être réaliste : L'effort n'est pas récompensé, tandis que l'argent facile et l'injustice abondent. Le jeune ne veut pas travailler parce qu'il a des exemples autour de lui de gens qui ne font pas grand-chose et qui "gagnent" bien mieux leur vie que ceux qui font des efforts et qui sont méritants. L'éducation est comme le système de crédits fractionnés, il est cumulatif avec les années, il aurait donc fallu reprendre l'éducation des parents des générations précédentes.
En effet, nous sommes maintenant dans une société où nous ne contrôlons plus le flux d'informations, mais où nous le subissons, cela se traduit par des actes : Nous faisons inconsciemment des choses volontaires et nous faisons consciemment des choses involontaires à cause du manque de repères moraux... Cela les industriels l'ont bien compris, car ils exploitent nos 5 sens dans un unique objectif avide : la consommation.
Ils sont pas beaux nos psychologues et sociologues !

Il faut encourager les ados à ne rien faire "et même à jouer à la console" !
C'est sûr qu'il n'en font pas assez, alors que c'est si bon pour la santé de rester 14h00 devant un jeu de tuerie à agiter la manette de jeu 6. 0 ! Ne pas oublier le Coca et les hamburgers à volonté à n'importe quelle heure du jour et de la nuit. Faut pas les traumatiser...
C'est sûr que si les parents ne disent plus rien, il n'y aura plus de tensions...
Laissons les donc perdre deux ou trois ans de scolarité, se droguer, se prostituer pour avoir un peu d'argent, devenir obèses, voir tabasser papa ou maman pour piquer la voiture.
Les bons parents ne devront rien dire pour ne pas les "mettre en souffrance" !
Les mauvais, remettront leur progéniture dans l'axe. Encore un ou deux mandats de Gauche et ils seront poursuivis en Justice !

C'est certain tout va s'arranger tout seul...
Il faut croire que la religion revient en force chez les psy, car leurs solution tient de la croyance au miracle, vu que c'est pas du tout ce qu'on observe.
Tous les ados livrés à eux-mêmes dans les quartiers ou ailleurs, finissent plutôt délinquants ou chômeurs, qu'en "math spé" ou hypokhâgne !
Pauvre de nous...
Vous devez renseigner un pseudo avant de pouvoir commenter un article.
un brouillon est déjà présent dans votre espace commentaire.
Pour conserver le précédent brouillon , cliquez sur annuler.
Pour sauvegarder le nouveau brouillon , cliquez sur enregistrer
Erreur lors de la sauvegarde du brouillon.

Consultez les articles de la rubrique Société ,
suivez les informations en temps réel et accédez à nos analyses de l’actualité.



Créez un compte afin d'accéder à la version numérique du magazine et à l'intégralité des contenus du Point inclus dans votre offre.



Pour ce faire, renseignez
votre numéro d’abonné dans les paramètres de création de compte.
Vous avez un compte Facebook ? Connectez-vous plus rapidement
Vous avez un compte Facebook ? Créez votre compte plus rapidement
Veuillez saisir l'adresse mail qui a servi à créer votre compte LePoint.fr
Cet article a été ajouté dans vos favoris.

Vous avez refusé les cookies. Soutenez Le Point en acceptant la
publicité personnalisée, ou abonnez-vous.


Pourquoi ma fille de treize ans prend-elle autant de temps sous la douche ?
Est-il légal pour un père de se doucher avec sa fille de 13 ans ?
Est-il préférable de se doucher le matin au réveil ou le soir avant de dormir ? Ou bien les deux ? Pourquoi ?
Est-ce que les filles prennent plus facilement leur douche ensemble que les garçons ?
Les filles matent-t-elles les garçons ?
J’ai trouvé des jouets inappropriés dans la chambre de ma fille de 14 ans. Que devrais-je faire ?
Prothésiste dentaire · L'auteur a 503 réponses et 101 k vues de réponse · 2 ans
Est-il légal pour un père de se doucher avec sa fille de 13 ans ?
Est-il préférable de se doucher le matin au réveil ou le soir avant de dormir ? Ou bien les deux ? Pourquoi ?
Est-ce que les filles prennent plus facilement leur douche ensemble que les garçons ?
Les filles matent-t-elles les garçons ?
J’ai trouvé des jouets inappropriés dans la chambre de ma fille de 14 ans. Que devrais-je faire ?
Est-il légal pour une mère de prendre une douche avec son fils de 14 ans ?
Puis-je laisser ma fille de 13 ans dormir dans la même chambre que son frère de 16 ans ?
Est-ce que je peux prendre une douche après une vaccination ?
Comment se fait-il que la douche nous ressource autant ?
Est-ce que les parents peuvent prendre une douche devant leurs enfants ?
Pourquoi les femmes passent-elles tant de temps sous la douche ?
Je suis O + et la mère de ma fille AB + comment notre fille peut-elle être AB +?
Pourquoi les filles écrivent-elles mieux ?
Pourquoi c'est sous la douche qu'on a une grande répartie et pas lors d'une altercation ?
J'ai trouvé des sites inappropriés sur l'ordinateur de ma fille de 16 ans. Que devrais-je faire ?
Est-il légal pour un père de se doucher avec sa fille de 13 ans ?
Est-il préférable de se doucher le matin au réveil ou le soir avant de dormir ? Ou bien les deux ? Pourquoi ?
Est-ce que les filles prennent plus facilement leur douche ensemble que les garçons ?
Les filles matent-t-elles les garçons ?
J’ai trouvé des jouets inappropriés dans la chambre de ma fille de 14 ans. Que devrais-je faire ?
Est-il légal pour une mère de prendre une douche avec son fils de 14 ans ?
Puis-je laisser ma fille de 13 ans dormir dans la même chambre que son frère de 16 ans ?
Est-ce que je peux prendre une douche après une vaccination ?
Comment se fait-il que la douche nous ressource autant ?
Est-ce que les parents peuvent prendre une douche devant leurs enfants ?
Un problème est survenu. Veuillez patienter et réessayer plus tard.
Parce que l'eau chaude a un effet apaisant pour certaines personnes. Aussi c'est un espace sain, sécurisant ou elle est sure d'etre seule et en paix. Le genre d'environnement qui attire particulièrement un adolescent.
Bah ! Les ados , ils ont les bras trop courts ! Pour fermer les robinets "j'peux pas j'ai pas de bras " … Célèbre phrase tirée d'une pub ….Et moi de répondre : Ben …. Pas d'bras ?? Pas d'chocolats / pu plutôt d'argent de poche 👋👏👋👏

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Source : Enquête Diese, Caisse d'Assurance maladie et Académie de Paris, décembre 2008.
E-santé.fr. respecte votre vie privée. Nous vous donnons un contrôle total sur les données que nous collectons et utilisons, cette confiance est une des valeurs fondamentales de notre entreprise.
L’acceptation des cookies nous permet de générer des revenus publicitaires et ainsi nous donne la possibilité de vous délivrer quotidiennement une information gratuite.
Après avoir choisi, vous pourrez revenir modifier vos préférences cookies à tout moment en cliquant sur "Vos consentements" en bas de page. Pour en savoir plus visitez notre Politique de confidentialité .
Publié par Rédaction E-sante.fr , le 29/12/2008 à 01:00
Les résultats de l'enquête dénommée Diese (Dispositif informationnel sur les environnements de santé des élèves), qui a été menée par la Caisse primaire d'Assurance maladie et l'Académie de Paris, livrent un tableau des habitudes de vie des adolescents .
8.000 élèves parisiens issus de 22 collèges (20% des effectifs des collèges publics
Blonde plantureuse se prend une bite
Peau sombre et chatte poilue baise au rythme du piano
Une jolie salope se fait baiser par derrière

Report Page