Adolescentes et personnes âgées

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Santé des adolescents et des jeunes adultes



Grossesse chez les adolescentes
31 janvier 2020


Santé mentale des adolescents
17 novembre 2021


Cancer du col de l'utérus
22 février 2022


Renforcer la santé reproductive et la santé de la mère, du nouveau-né, de l’enfant et de l’adolescent dans le cadre des soins de santé primaires pour accélérer les progrès vers les ODD en République du Congo
18 mai 2022

Orthopoxvirose simienne : les experts renomment les variants du virus
L’OMS lance un appel pour répondre aux besoins urgents en matière de santé dans la région de la Corne de l’Afrique
Lancement d’une nouvelle alliance mondiale pour mettre fin au sida chez les enfants d’ici à 2030
Déclaration conjointe de Catherine Russell, Directrice générale de l’UNICEF, et de Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, à l’occasion de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel
Les chances de survie des adolescents et des jeunes adultes sont très variables à l’échelle mondiale. En 2020, la probabilité de décès chez les 10-24 ans était la plus élevée en
Afrique subsaharienne, en Océanie (à l’exclusion de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande), en Afrique du Nord et en Asie du Sud (1). La probabilité moyenne à l’échelle mondiale qu’un
enfant de 10 ans meure avant l’âge de 24 ans était 6 fois plus élevée en Afrique subsaharienne qu’en Amérique du Nord et en Europe.
Les blessures involontaires sont la principale cause de décès et de handicap chez les adolescents. En 2019, près de 100 000 adolescents (10-19 ans) sont décédés dans un accident de la route (2). Nombre
des victimes sont des « usagers de la route vulnérables » : piétons, cyclistes ou utilisateurs de deux-roues motorisés. De nombreux pays doivent adopter une législation plus complète en
matière de sécurité routière et en renforcer l’application. En outre, les jeunes conducteurs ont besoin de conseils en matière de sécurité routière et les lois interdisant la conduite sous
l’emprise de l’alcool ou de drogues doivent être strictement appliquées quelle que soit la tranche d’âge. Les taux d’alcool dans le sang doivent être inférieurs pour les jeunes conducteurs à
ceux fixés pour les adultes. Il est recommandé d’instaurer des permis progressifs, assortis d’une tolérance zéro de l’alcool au volant, pour les conducteurs débutants.
La noyade est aussi une cause importante de décès chez les adolescents. D’après les estimations, plus de 40 000 adolescents, dont plus des trois quarts sont des garçons, se sont noyés en 2019. Pour prévenir
ces décès, il est essentiel d’apprendre à nager aux enfants et aux adolescents.
La violence interpersonnelle figure parmi les causes de décès les plus fréquentes chez les adolescents et les jeunes adultes à l’échelle mondiale. Son importance varie considérablement selon les Régions.
Elle est la cause de près d’un tiers des décès d’adolescents de sexe masculin survenant dans les pays à revenu faible ou intermédiaire de la Région OMS des Amériques. D’après
l’enquête sur la santé des élèves en milieu scolaire, 42 % des garçons et 37 % des filles sont exposés au harcèlement. La violence sexuelle touche également une proportion importante
de jeunes : 1 jeune sur 8 affirme avoir été victime de violence sexuelle.
La violence pendant l’adolescence augmente également les risques de traumatisme, de contracter le VIH et d’autres infections sexuellement transmissibles, de problèmes de santé mentale, de difficultés scolaires et
d’abandon scolaire, de grossesse précoce, de problèmes de santé reproductive et de maladies transmissibles et non transmissibles.
Pour contribuer à prévenir la violence, il faut favoriser au début de la vie une relation épanouissante entre parents et enfants, lutter contre le harcèlement à l’école, mettre en place des programmes
qui développent les compétences sociales et les aptitudes à la vie quotidienne, et adopter des approches communautaires visant à réduire l’accès à l’alcool et aux armes à feu. En
prodiguant avec empathie des soins efficaces aux adolescents victimes de violence, y compris un soutien continu, on peut les aider à surmonter les conséquences physiques et psychologiques de la violence.
La dépression est l’une des principales causes de maladie et d’incapacité chez les adolescents, et le suicide est la deuxième cause de décès par ordre d’importance chez les 15-19 ans (2). Les troubles
mentaux représentent 16 % de la charge mondiale de morbidité et des traumatismes chez les 10-19 ans. La moitié des troubles de santé mentale à l’âge adulte se manifestent dès 14 ans,
mais la plupart des cas ne sont ni détectés ni traités.
De nombreux facteurs ont un impact sur le bien-être et la santé mentale des adolescents. La violence, la pauvreté, la stigmatisation, l’exclusion et le fait de vivre dans des situations de crise humanitaire et de fragilité
risquent de favoriser l’apparition de problèmes de santé mentale. Si l’on ne s’occupe pas des problèmes de santé mentale des adolescents, les conséquences se font sentir jusqu’à l’âge
adulte, ce qui nuit à leur santé physique et mentale et limite leurs possibilités de mener une vie épanouie quand ils sont adultes.
L’acquisition d’aptitudes socioémotionnelles chez les enfants et les adolescents et l’offre d’un soutien psychosocial dans les établissements scolaires et d’autres cadres communautaires sont à même
de favoriser une bonne santé mentale. Les programmes visant à renforcer les liens entre les adolescents et leur famille et à améliorer la qualité de l’environnement familial ont aussi leur importance. Tout
problème qui survient devrait être détecté et pris en charge rapidement par des agents de santé compétents et attentionnés.
La consommation d’alcool par les adolescents est un sujet de préoccupation majeur dans de nombreux pays. Elle diminue la maîtrise de soi et favorise les comportements à risque, comme les rapports sexuels non protégés
ou un comportement dangereux sur la route. C’est l’une des causes principales de traumatismes (dont ceux dus aux accidents de la route), de violence et de décès prématurés. La consommation d’alcool peut
aussi provoquer des problèmes de santé qui se manifesteront plus tard au cours de la vie et elle réduit l’espérance de vie. Dans le monde, plus d’un quart des 15-19 ans consomment de l’alcool, ce
qui représente 155 millions d’adolescents. La prévalence de la consommation occasionnelle de fortes quantités d’alcool chez les adolescents de 15 à 19 ans s’établissait à 13,6 %
en 2016, la probabilité étant plus forte chez les garçons.
Le cannabis est la substance psychoactive la plus consommée par les jeunes, environ 4,7 % des 15-16 ans en ayant consommé au moins une fois en 2018. La consommation d’alcool et de drogues chez les enfants et les adolescents
est associée à des altérations neurocognitives qui peuvent entraîner des problèmes comportementaux, émotionnels, sociaux et scolaires plus tard dans la vie.
La prévention de la consommation d’alcool et de drogues est un domaine important de l’action de santé publique et peut comprendre des stratégies et des interventions en population ainsi que des activités aux niveaux
scolaire, communautaire, familial et individuel. La fixation d’un âge minimum pour l’achat et la consommation d’alcool et la suppression du marketing et de la publicité auprès des mineurs figurent parmi les principales
stratégies visant à réduire la consommation d’alcool chez les adolescents.
C’est la plupart du temps à l’adolescence qu’on commence à consommer du tabac. L’interdiction de la vente des produits du tabac aux mineurs (moins de 18 ans) et l’augmentation du prix de ces produits moyennant
des taxes plus élevées, l’interdiction de la publicité pour le tabac et l’instauration d’un environnement sans tabac sont des mesures cruciales. Au niveau mondial, au moins 1 jeune adolescent (13-15 ans)
sur 10 consomme du tabac, et ce chiffre est beaucoup plus élevé dans certains endroits.
Selon les estimations, 1,7 million d’adolescents (10-19 ans) vivaient avec le VIH en 2019, dont 90 % environ dans la Région africaine de l’OMS (3). Bien que le nombre de nouvelles infections chez les adolescents ait considérablement
diminué par rapport au pic de 1994, les adolescents représentent toujours environ 10 % des nouvelles infections par le VIH chez les adultes, dont les trois quarts concernent des adolescentes (4). En outre, si les nouvelles infections
ont peut-être reflué dans bon nombre des pays les plus gravement touchés, la couverture du dépistage reste faible, ce qui laisse penser que de nombreux adolescents et jeunes vivant avec le VIH ne connaissent peut-être
pas leur statut sérologique (5).
C’est chez les adolescents vivant avec le VIH que l’accès au traitement antirétroviral, l’observance du traitement, la continuité des soins et la suppression de la charge virale sont les moins satisfaisants. L’un
des principaux problèmes tient à la rareté des services adaptés aux adolescents, notamment en termes d’interventions et de soutien psychosociaux.
Les adolescents et les jeunes doivent savoir comment se protéger et avoir les moyens de le faire. Il s’agit notamment de pouvoir accéder aux interventions de prévention du VIH, y compris la circoncision masculine médicalisée
volontaire, les préservatifs et la prophylaxie préexposition, d’améliorer l’accès aux services de conseil et de dépistage du VIH, et d’établir des liens plus étroits avec les services
de traitement du VIH pour ceux qui, à l’issue des tests, se révèlent séropositifs.
Grâce à une meilleure vaccination de l’enfant, les décès et les incapacités dus à la rougeole ont fortement reculé chez les adolescents ; ainsi, la mortalité des adolescents imputable à
la rougeole a chuté de 90 % dans la Région africaine entre 2000 et 2012.
On estime que la diarrhée et les infections des voies respiratoires inférieures (pneumonie) figurent parmi les dix principales causes de décès chez les adolescents âgés de 10 à 14 ans. Avec la méningite,
ces deux affections font partie des cinq principales causes de décès chez les adolescents dans les pays africains à revenu faible ou intermédiaire.
Les maladies infectieuses, comme l’infection par le papillomavirus humain (PVH) qui se déclenche habituellement après le début de l’activité sexuelle, peuvent entraîner des affections à court terme
(condylomes génitaux) pendant l’adolescence, mais causent surtout des cancers du col de l’utérus et d’autres cancers plusieurs dizaines d’années plus tard. Le meilleur moment pour vacciner contre l’infection
à PVH est le début de l’adolescence (entre 9 et 14 ans), et on estime que si 90 % des jeunes filles étaient vaccinées contre le PVH dans le monde, plus de 40 millions de vies pourraient être sauvées
dans les cent prochaines années. Néanmoins, on estime qu’en 2019, seules 15 % des jeunes filles étaient vaccinées à l’échelle mondiale.
Environ 12 millions de jeunes filles âgées de 15 à 19 ans et au moins 777 000 jeunes filles âgées de moins de 15 ans accouchent chaque année dans les régions en développement. Les
complications de la grossesse et de l’accouchement figurent parmi les principales causes de mortalité chez les jeunes filles de 15 à 19 ans à l’échelle mondiale.
La Division de la population des Nations Unies établit à 41 pour 1000 le taux de natalité chez les adolescentes dans le monde en 2020, taux qui s’échelonne, selon les pays, de 1 à 200 naissances pour
1000 jeunes filles (6). Ce chiffre est en net recul depuis 1990. Cette baisse va de pair avec celle du taux de mortalité maternelle chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.
L’une des cibles particulières des objectifs de développement durable (ODD3) consiste, d’ici à 2030, à assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative,
y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et à veiller à la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux.
Les adolescents ont besoin d’une éducation sexuelle complète, c’est-à-dire d’un processus d’enseignement et d’apprentissage basé sur un programme et portant sur les aspects cognitifs, émotionnels,
physiques et sociaux de la sexualité ; c’est également pour eux un droit. Un meilleur accès à l’information sur la contraception et aux services correspondants pourrait faire baisser le nombre de jeunes
filles enceintes et accouchant à un âge trop précoce. Les lois fixant à 18 ans l’âge minimum du mariage peuvent améliorer cette situation, pour autant qu’elles soient appliquées.
Les jeunes filles qui sont enceintes doivent avoir accès à des soins prénatals de qualité. Lorsque la législation l’autorise, les adolescentes qui choisissent de mettre un terme à leur grossesse doivent
pouvoir avorter dans de bonnes conditions de sécurité.
L’anémie ferriprive se situait au deuxième rang des causes d’années de vie perdues (décès ou incapacité) chez les adolescents en 2019. La supplémentation en fer et en acide folique aide à
promouvoir la santé des adolescents avant qu’ils ne deviennent parents. L’administration régulière de vermifuges dans les zones où les helminthes intestinaux, tels que l’ankylostome, sont fréquents
est recommandée afin d’éviter les carences en micronutriments (y compris en fer).
Inculquer l’habitude de manger sainement à l’adolescence permet de jeter les bases d’une bonne santé à l’âge adulte. Il est important pour tout un chacun, mais en particulier pour les enfants et les adolescents,
de réduire la commercialisation de produits alimentaires ayant une teneur élevée en graisses saturées, en acides gras trans, en sucres libres ou en sel, et de garantir l’accès à une nourriture saine.
Dans les pays en développement, nombreux sont les garçons et les filles qui arrivent dénutris à l’adolescence, ce qui les rend plus vulnérables à la maladie et à un décès prématuré.
À l’opposé, le nombre d’adolescents qui sont en surpoids ou obèses est en augmentation dans les pays à revenu faible, à revenu intermédiaire et à revenu élevé.
À l’échelle mondiale, plus d’un adolescent sur six âgé de 10 à 19 ans était en surpoids en 2016. La prévalence variait considérablement d’une Région de l’OMS à
l’autre : elle était inférieure à 10 % dans la Région OMS de l’Asie du Sud-Est et supérieure à 30 % dans la Région OMS des Amériques.
L’activité physique est fondamentalement bénéfique pour la santé des adolescents, en leur garantissant notamment une meilleure forme cardiorespiratoire et musculaire, une meilleure santé osseuse, le maintien d’un
poids de forme, ainsi que des avantages psychosociaux. L’OMS recommande que les adolescents pratiquent en moyenne chaque jour de la semaine au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée
à intense, que ce soit en jouant ou en pratiquant un sport, pour se déplacer (vélo ou marche), ou dans le cadre des cours d’éducation physique.
À l’échelle mondiale, on estime que seul un adolescent sur cinq atteint ce seuil. La prévalence de l’inactivité est élevée dans toutes les Régions de l’OMS, et plus importante chez les
adolescentes que chez les adolescents.
Pour accroître les niveaux d’activité, les pays, les sociétés et les communautés doivent créer des environnements sûrs et favorables, et offrir à tous les adolescents la possibilité d’avoir
une activité physique.
Le droit des enfants (soit les personnes âgées de moins de 18 ans) de survivre, se développer et s’épanouir est consacré dans des textes juridiques internationaux. Le Comité des droits de l’enfant,
qui encadre la Convention relative aux droits de l’enfant, a publié en 2013 des lignes directrices sur le droit des enfants et des adolescents de jouir du meilleur état de santé possible, puis en 2016 une observation générale
sur la mise en œuvre des droits de l’enfant pendant l’adolescence. Ces textes mettent en avant l’obligation des États de reconnaître les besoins et les droits particuliers des adolescents et des jeunes en matière
de santé et de développement.
La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes énonce également le droit des femmes et des filles de jouir d’un bon état de santé et de recevoir
des soins adaptés.
En mai 2017, l’OMS a publié un rapport de première importance intitulé Action mondiale accélérée en faveur de la santé des adolescents (AA-HA!) : Orientations à l’appui de la mise en œuvre dans les pays . Ces orientations tiennent compte des contributions
reçues dans le cadre de larges consultations tenues avec les États Membres, les organismes du système des Nations Unies, les adolescents et les jeunes, la société civile et d’autres partenaires. Elles visent
à aider les gouvernements à prendre des décisions sur l’action à mener et sur la façon de procéder pour satisfaire aux besoins des adolescents dans le domaine de la santé. Ce document de référence
entend aider les responsables de l’élaboration des politiques et les administrateurs de programmes au niveau national à planifier, mettre en application, suivre et évaluer les programmes portant sur la santé des adolescents.
Des équipes de plus de 68 pays ont été formées à la mise en œuvre des orientations AA-HA! pour ce qui est de l’établissement des priorités nationales, de l’élaboration
de programmes, du suivi et de l’évaluation ; en outre, de nombreux pays utilisent actuellement l’approche AA-HA! pour mettre à jour leurs stratégies et politiques nationales.
Dans le but de mieux évaluer l’état de santé des adolescents dans le monde, l’OMS, en collaboration avec l’ONUSIDA, l’UNESCO, le FNUAP, l’UNICEF, ONU-Femmes, le Groupe de la Banque mondiale et le PAM,
a mis en place un groupe consultatif sur l’action mondiale à mener pour évaluer la santé de l’adolescent ( Global Action for Measurement of Adolescent Health, GAMA ). Ce groupe consultatif fournit des orientations techniques à l’OMS et aux institutions des Nations Unies dont l’OMS
est partenaire pour définir un ensemble fondamental d’indicateurs relatifs à la santé des adolescents, dans le but d’harmoniser l’action portant sur l’évaluation de la santé des adolescents
et l’établissement de rapports en la matière.
Dans l’ensemble, l’OMS agit à plusieurs niveaux dans le but d’améliorer la santé des jeunes, notamment :
(1) Groupe interorganisations des Nations Unies pour l’estimation de la mortalité juvénile. Levels and Trends in Child Mortality: Report 2021 . https://childmortality.org/wp-content/uploads/2021/12/UNICEF-2021-Child-Mortality-Report.pdf .
(2) Liu L, Villavicencio F, Yeung D et al . « National, regional, and global causes of mortality in 5-19-year-olds from 2000 to 2019: a systematic analysis », Lancet Glob Health 2022;10:e337-47.
(5) Consolidated guidelines on the use of antiretroviral drugs for treating and preventing HIV infection: recommendations for a public health approach , 2 e éd. Organisation mondiale de la Santé, 2016.
(6) Département des affaires économiques et sociales de l’Organisation des Nations Unies, Division de la population. World population prospects: fertility data 2020-2025 . 2020. https://population.un.org/wpp/Download/Standard/Fertility/ .




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