Adolescente tombe pour les désirs de son amant

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Par SudOuest.fr Publié le 08/05/2012 à 13h29 Mis à jour le 08/05/2012 à 14h43
Une Allemande a obligé un homme de 31 ans à subir 36 heures de rapports sexuels d'affilée. C'est la deuxième fois qu'elle séquestre un homme. Elle a été hospitalisée
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Le sexe, c'est bien. Sauf quand ça dure - vraiment - trop longtemps. Et à Munich, les désirs d'une femme de 47 ans semblent ne pas avoir de limites. Elle a été surnommée "La Nymphomane de Munich" , indique Le Parisien.
Il y a quelques semaines, raconte le journal allemand Bild , elle s'en était déjà pris à un disc-jockey qui avait été obligé de se réfugier sur un balcon pour éviter un énième ébat dans la même nuit. Elle avait été laissée en liberté par la police.
Visiblement, l'insatiable Allemande n'a pas su se maîtriser puisqu'elle a récidivé il y a quelques jours. Elle a rencontré un homme de 31 ans dans un bus et lui a proposé de monter dans son appartement. Jusque-là, rien d'inhabituel... sauf que le jeune homme ne s'attendait pas à subir 36h de rapports sexuels continus , après que sa partenaire avait verrouillé les accès à l'appartement. Il a finalement réussi à s'enfuir. Des passants l’ont retrouvé en larmes dans la rue.
Il a ensuite alerté la police pour leur faire part de son calvaire.
Les policiers se sont donc rendus au domicile de la quadragénaire. Ils ont alors eu la surprise de tomber sur l'Allemande, complètement nue, qui leur proposait un rapport sexuel de groupe . Une offre pas franchement du goût des fonctionnaires, qui l'ont embarquée sur le champ. Elle a été internée dans un hôpital psychiatrique.
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L'homosexualité n'a jamais eu sa place sur le trône. Même nos monarchies contemporaines ne souhaitent toujours pas aborder ce sujet tabou, que l'on a souvent voulu résumer à des rumeurs de corridors. Pourtant, chaque dynastie européenne peut compter dans ses ancêtres, des rois qui préféraient la compagnie des hommes. Aujourd'hui encore, l'Histoire occulte la face cachée de ces grands princes. Mais il n'est jamais trop tard pour la réhabiliter.
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Titres : Roi d'Angleterre et seigneur d'IrlandeDans son boudoir : En 1169, alors qu'il n'est âgé que de douze ans, Richard – fils aîné d'Henri II d'Angleterre – est promis à Adèle de France, la fille de Louis VII le jeune. Mais alors que le mariage s'apprête à être confirmé, Richard accuse son propre père d'avoir bafoué l'honneur de la jeune fille en la violant. Il rompt brutalement un contrat – plus politique qu'amoureux – signé plusieurs années auparavant. Pourtant, à la cour de France, Richard n'est pas avare en galanteries. Pas avec Adèle qui l'indiffère, mais avec son frère, le roi Philippe II, qu'il fréquente depuis l'enfance.En 1189, alors qu'il vient juste d’accéder au trône d'Angleterre, Richard préfère quitter ce nouveau pays qu'il n'a jamais vraiment aimé. Il convainc son homologue français et ami, Philippe, de l'accompagner dans une nouvelle croisade chrétienne. Un long et périlleux voyage qui ne fera que renforcer leurs liens. Sur la route de Jérusalem, Richard ne laisse aucune femme indifférente. Il est beau, très grand pour l'époque et a la verve inégalable. Visiblement insensible aux charmes féminins, Richard préfère partager sa couche avec Philippe. Amour passionnel ou simple amitié dite virile ? Les historiens sont partagés. Malgré tout, des sources manuscrites confirment que Richard s'est infligé les pires punitions en guise de pénitence pour cause de « sodomie ».Certainement pour faire taire les rumeurs, la mère de Richard, Aliénor d’Aquitaine lui organise un mariage. Lors de son pillage de Chypre, il épouse à la hâte Bérangère de Navarre. À cette femme qu'il verra peu, il ne donnera aucun enfant. Seul et abandonné par Philippe qui a préféré retourner en France, Richard n'arrive pas en Terre Sainte et est capturé par l'armée de l'empereur germanique Henri VI. Seule sa mère – autoritaire mais profondément aimante surtout avec ce fils qu’elle a chéri jusque dans ses derniers jours – accepte de payer l'impressionnante rançon. De retour dans son royaume, Richard doit affronter son ancien amant, devenu l'allié de Jean sans terre son frère usurpateur, dans de longues batailles sur le territoire français. Au cours de l’une d’entre elles, il est atteint par la flèche d'un chevalier ennemi, emportant dans la tombe ses plus sombres secrets…
Titres : Duc d'Orléans, Héritier présomptif de la couronne, connu sous le nom de « Monsieur »Dans son boudoir : Pour qu’il n’ait aucune ambition régalienne, qui aurait pu nuire à celles de son frère – le futur Louis XIV – né deux ans avant lui, Monsieur est élevé « comme une fille ». Un souhait de sa mère, Anne d’Autriche, qui en fait un garçon féminin et faible. Et tout au long de sa vie, Monsieur sera en effet plus préoccupé par ses parures de soirées que par quelques complots et coups d’État.Mais ce sont surtout les hommes qu’il fréquente en nombre qui forment son principal loisir. C’est avec Philippe Mancini, un neveu du Cardinal Mazarin, que Monsieur découvre le « vice italien », terme alors employé pour parler d’homosexualité. Contrairement à d’autres princes, Monsieur n’a jamais eu besoin de cacher ses amours masculines et ses manières féminines. Longtemps, il a conservé l’habitude de se travestir à l’occasion de fêtes et autres bals masqués, sans que cela ne choque personne. « Quand j’arrivai au Louvre, Monsieur était habillé en fille avec les cheveux blonds. La reine me disait qu’il me ressemblait », écrit sa cousine, La grande Mademoiselle dans ses mémoires. Il batifole même dans les jardins de Versailles avec le futur abbé de Choisy, un prêtre amateur de chair en tout genre.Monsieur aura plusieurs amants dont les plus célèbres restent le Comte de Guiche et le Chevalier de Lorraine, avec lequel il vit un amour de plus de trente ans. Malgré ses affinités non dissimulées, son frère Louis XIV lui impose deux mariages. Sa première épouse, Henriette d’Angleterre est follement éprise du roi lui-même mais doit se contenter de son frère homosexuel. Une relation, durant laquelle elle aura trois enfants, mais qui la fera beaucoup souffrir. À seulement 26 ans, elle mourut mystérieusement. En seconde noce, on lui propose la Palatine, une princesse allemande, qui reste enfermée des heures durant dans ses appartements, entourée de ses chiens, décrivant son calvaire marital dans de longues lettres. Dans cette importante correspondance, elle ose qualifier les préférences homosexuelles de son époux de… « mal français ».Ce qu'en disaient les chroniqueurs de l'époque : « C’était un petit homme ventru, monté sur des échasses tant ses souliers étaient hauts, toujours paré comme une femme, plein de bagues, de bracelets et de pierreries partout, avec une longue perruque toute étalée devant, noire et poudrée et des rubans partout où il pouvait mettre, plein de sortes de parfums et en toutes choses la propreté même. On l’accusait de mettre imperceptiblement du rouge», écrit Saint-Simon.
Titre : Sultan ottomanDans son boudoir : Soliman le Magnifique, dixième sultan de la dynastie ottomane, a été l'un des plus grands monarques du XVIe siècle aussi bien en Europe qu'au Moyen-Orient. Mais derrière le faste de ce règne, fait de gloire et de victoires, le Sultan a été déchiré entre deux passions : celle d'une femme, la célèbre Roxelane, et celle d'un homme, Ibrahim, que l'Histoire a voulu oublier. Pourtant, Soliman n'a jamais caché sa bisexualité.Ibrahim, un orphelin grec élevé à l'école des pages du Palais de Topkapi, est le premier amour du prince. Ils deviennent amants alors qu'ils ne sont que des enfants. Quand il monte sur le trône, Soliman devenu Le Magnifique, nomme ce simple serviteur, « Grand fauconnier » et en fait son favori. Plus tard, lors de conflits avec l’Égypte et la Syrie, Soliman enverra même son amant diriger les armées à sa place, puis le nommera, en 1523, Grand vizir, la fonction suprême directement sous les ordres du sultan. Pour être lié à tout jamais à celui qu'il aime, Soliman demande Ibrahim d'épouser sa soeur Hadice Hanim. De cette union naîtra Selim, qui succèdra à Soliman sur le trône, comme s'il était le fils indirect de l'amour infertile entre son père et son oncle.De son côté, Soliman vit une autre histoire, avec l'une des esclaves de son harem. Roxelane – c'est le nom qu'on lui donnera au palais – gravit les échelons jusqu'à devenir la favorite. Soliman décide alors de bousculer les conventions de son rang et l'épouse. Mais la jeune femme est jalouse de l’indéfectible admiration qu'a Soliman pour Ibrahim. Par tous les moyens, elle essaie d'éloigner cet homme qu'elle retrouve trop souvent dans la couche de son mari. Un soir, excédée, elle convainc Soliman que son amant, devenu trop puissant, veut le détrôner et lui conseille même de le tuer. Le lendemain matin, le corps sans vie d'Ibrahim est retrouvé, étranglé avec un lacet...Ce qu'en disaient les chroniqueurs de l'époque :« Le Grec Ibrahim, d’une grande beauté, est le favori du Sultan qui ne le quitte pas un moment, de jour comme de nuit, et le comble de faveurs », écrit l'ambassadeur de Venise en visite chez le sultan.
Titres : Roi de Bavière, Comte palatin du Rhin, Duc de Franconie et de SouabeDans son boudoir : Alors qu’il n’est âgé que de 18 ans, Louis II de Bavière monte sur le trône de Bavière, succédant à son père Maximilien II. Pourtant, le jeune homme n’a pas les épaules pour régner. Dépressif chronique jusqu’à la fin de sa vie, il n’arrive pas à gérer les affaires politiques, trop troublé par son homosexualité qu’il essaie de réprimer. Pour s’empêcher de fréquenter des hommes – souvent des domestiques payés pour l’aimer – il se fiance à Sophie de Bavière, la sœur de la fameuse Sissi . Mais se sentant incapable d’aller plus loin avec cette femme, Louis II préfère rompre le contrat et annule le mariage.Un soulagement pour cet homme qui ne s’imposera plus jamais de se présenter au bras d’une femme mais qui cachera, malgré tout, ses nombreux amants. En 1867, il rencontre Richard Horning, excellent cavalier aux yeux bleus et cheveux blonds ondulés, qu’il engage comme écuyer puis comme secrétaire particulier. Avec lui, Louis II vit une idylle de seize ans… certainement son amour le plus dévorant. Mais quand il apprend que Richard fréquente des femmes et compte même en épouser une, Louis le chasse et noie son chagrin dans le champagne – qu’il boit comme du petit lait – et dans les bras d'un jeune officier, le baron de Varicourt, puis dans ceux d'un acteur. En 1886, à la suite d’une conspiration qui tend à faire chuter ce roi trop faible, Louis II est interné pour cause de « folie ». Le rapport médical ne fait aucune allusion à son homosexualité, mais dans le pays, personne n’est dupe.Ce qu'en disaient les chroniqueurs de l'époque : « Il conçut la vie comme un spectacle dont il prétendit régler les détails à son gré, devant être l'unique spectateur. », écrit Jacques Bainville.
Titres : Roi de Pologne et Roi de FranceDans son boudoir : Mais que fait le roi quand les portes de son cabinet de travail sont fermées ? Depuis qu’Henri III, couronné en 1575, a nommé, pour plus proches conseillers, des jeunes gens – beaux et bien bâtis – de la petite noblesse, plus personne à la cour ne prend au sérieux ces soi-disant réunions politiques.Pour lui éviter les médisances de la cour de France qui exige aux hommes d’exacerber leur virilité, Catherine de Médicis , sa mère, l‘avait élu roi de Pologne. Mais en apprenant la mort de son frère Charles IX, Henri se sent appelé à de plus hautes fonctions et s’échappe en catimini du palais royal de Wawel, traverse l’Europe et monte sur le trône de France. Avec l’arrivée de ce roi jugé efféminé par beaucoup, les gentilshommes apprennent rapidement à se farder, se poudrer, se friser mais aussi à apprécier quelques pas de danse et quelques jolis vers.Pour régner, Henri III s’appuie sur des hommes nouveaux, de bonnes familles mais pas forcément prédestinés à des fonctions ministérielles. Mais ils aiment faire la fête et ont fière allure, voilà le principal. Très rapidement, les chroniqueurs de l’époque les qualifieront de « favoris », puis de « mignons ». Terme qui sera ensuite associé à l’homosexualité.Pourtant Henri III a aimé des femmes… au moins une. Dès son plus jeune âge, il voue un amour passionnel à Marie de Clèves, princesse de Condé, avec laquelle il entretient une relation strictement platonique. Mais en 1574, alors qu’il revient de Pologne et qu’il se décide à l’épouser, il apprend la mort tragique de cette dernière, en couches à l’âge de 21 ans. Malade de chagrin, il épouse quelques mois plus tard – sous la contrainte de sa mère – Louise de Vaudémont de la maison de Lorraine. Il aimera cette femme d’un amour certain – plus teinté d’admiration et de respect que de purs sentiments – mais ne lui donnera jamais d’enfants.Ce qu'en disaient les chroniqueurs de l'époque : « Le roi comme l’on dit, accole, baise et lèche de ses poupins mignons le teint frais, nuit et jour. Eux pour avoir argent, lui prêtent tour à tour leurs fessiers rebondis et endurent la brèche. », écrit Ronsard dans un sonnet.
Titres : Roi de Prusse et Prince-électeur de BrandebourgDans son boudoir : Alors qu’il n’a que 19 ans, Frédéric voit mourir son premier et seul amour, Hans von Katte, avec lequel il s’était enfui à l’étranger, pour échapper au courroux de son père, le roi Frédéric-Guillaume 1er. Ce dernier les retrouve et fait exécuter Hans, sous le regard impuissant de Frédéric. Pour ne pas ébruiter l’histoire, le prince se voit obligé d’épouser Elisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbuttel-Bevern. Le jour des noces, certains invités diront l‘avoir vu pleurer. Car Frédéric reste profondément traumatisé par la fin tragique de son compagnon. Cette femme imposée, il ne la verra qu’à l’occasion de cérémonies officielles. Pour justifier la frigidité du prince, ses proches préfèrent déclarer qu’une vieille blessure mal soignée le fait encore souffrir voire qu’il a été castré accidentellement. Mieux vaut un monarque eunuque qu’homosexuel.Une fois sur le trône, Frédéric II s’installe au château de Sans-Souci à Postdam où il se compose une cour uniquement masculine. Philosophes, musiciens, poètes, et autres grandes plumes de l’Europe des Lumières sont invités à sa table, dont Voltaire qu’il affectionne tout particulièrement. Il entretient avec ce dernier une sorte de relation platonique, qui n’ira jamais plus loin : Voltaire étant particulièrement homophobe. Pourtant, comme toutes les grandes histoires d’amour, leur relation connaît des hauts et des bas et se termine dans la discorde et la violence. Bien qu’il passe peu de nuits seul - soit avec un soldat, soit avec un valet – Frédéric II ne s’attachera plus à aucun homme. Il mourra seul, vieux et malade, à sa table de travail.Ce qu'en disaient les chroniqueurs de l'époque :« Quand Sa Majesté était habillée et bottée, le stoïque donnait quelques moments à la secte d'Épicure : il faisait venir deux ou trois favoris, soit lieutenants de son régiment, soit pages, soit heiduques, ou jeunes cadets. On prenait du café. Celui à qui on jetait le mouchoir restait un quart d'heure en tête-à-tête. Les choses n'allaient pas jusqu'aux dernières extrémités, attendu que le prince, du vivant de son père, avait été fort maltraité dans ses amours de passade, et non moins mal guéri. Il ne pouvait jouer le premier rôle : il fallait se contenter des seconds », écrit Voltaire, qui le connaissait intimement.
Titres : Comte de Provence, Roi de France et de NavarreDans son boudoir : Monarque de la Restauration, Louis XVIII se montre aussi inapte à la vie politique qu’à la vie amoureuse. À l'instar de son frère Louis XVI, il souffre d’une infirmité congénitale qui l’empêche de procréer et de prendre du plaisir dans l’acte sexuel. Il épouse malgré tout Marie-Joséphine de Savoie en 1771 mais ne lui donnera jamais d’enfants. Peu importe, puisque Marie-Joséphine préfère, quant à elle, les femmes.Las de la stérilité de son mariage, il délaisse rapidement les dames pour se tourner vers les hommes, qu’il fréquente ouvertement. À chacun de ses favoris, le roi offre de l’argent et des titres. Ainsi, le duc de Blancas, qu’il a aimé passionnément, s’est vu
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