Adolescente se touchant dehors
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Adolescente se touchant dehors
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Un adolescent traverse en dehors d'un passage piétons et se fait percuter par une voiture à Laval
Vendredi 1 novembre 2019 Ă 9:16
- Par Charlotte Coutard , France Bleu Mayenne
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Un adolescent qui traversait en dehors d'un passage piéton à Laval a été heurté par une voiture. Il n'est que légÚrement touché.
Un adolescent de 12 ans a Ă©tĂ© percutĂ© par une voiture ce mercredi. Le garçon venait de descendre du bus avenue Pierre de Coubertin Ă Laval, Ă l'arrĂȘt Le Basser, quand il a Ă©tĂ© heurtĂ© vers 17H40.
La victime a traversé derriÚre le bus, en dehors d'un passage piétons , heureusement il ne souffre que d'égratignures.
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Publié le
27/10/2015 Ă 07:00 , mis Ă jour Ă Â 15:43
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"L'adolescent se sent trahi par le monde entier mais aussi par la biologie. Alors dÚs qu'on le touche, au sens propre ou figuré, il hurle."
"Range ta chambre"; "RĂ©ponds moi quand je te parle"; "Ne me parle pas sur ce ton"; "C'est qui ce garçon?"; "Lave-toi, tu sens mauvais"; "Tes cheveux sont gras"; "C'est quoi ce bouton?"; "ArrĂȘte de te gaver de cochonneries avant le repas"; "Tu as eu des notes?"... Si vous ĂȘtes parent(s) d' adolescent , vous avez forcĂ©ment prononcĂ© au moins une fois l'une de ces phrases dans les derniĂšres 24 heures.Â
A moins d'ĂȘtre champion(ne) de la mĂ©ditation et dotĂ©(e) d'un tempĂ©rament plus calme que celui du DalaĂŻ-lama, difficile en effet de ne pas se laisser dĂ©passer par les Ă©vĂ©nements quand l'enfant, cet ĂȘtre de lumiĂšre, se transforme en un dĂ©mon dont il est difficile de croire qu'on ait pu un jour le trouver mignon.Â
Parce que l'adolescence est une pĂ©riode de mutation qui dĂ©stabilise non seulement le principal concernĂ© mais aussi ses parents, les invectives et injonctions censĂ©es le faire obĂ©ir se multiplient, avec Ă la clĂ© un rĂ©sultat quasi nul. Sans parler de toutes ces rĂ©flexions dont on sent bien en les faisant qu'on aurait du les garder pour soi et qui font grimper immĂ©diatement nos rejetons dans les tours. TĂ©moignages et Ă©clairages.Â
"Lorsqu'on vit avec un ado, il faut prendre conscience qu'on a en face de soi une personne qui n'est plus ce qu'elle Ă©tait et qui n'est pas encore ce qu'elle sera", rĂ©sume la psychologue Elisabeth Brami * . "Françoise Dolto comparait l'adolescent Ă un homard, je prĂ©fĂšre quant Ă moi parler de grand brĂ»lĂ©. L'adolescence est une mue douloureuse, parce que changer de peau est une souffrance terrible. L'adolescent se sent trahi par le monde entier mais aussi par la biologie. Alors dĂšs qu'on le touche, au sens propre ou figurĂ©, il hurle."Â
LĂ oĂč en tant que parent on voit de la susceptibilitĂ© , il faudrait donc plutĂŽt voir une incapacitĂ© Ă comprendre ce qui lui arrive, une peau "Ă vif", qu'il convient de panser. Cette fragilitĂ© extrĂȘme explique que tout ce qui est dit soit interprĂ©tĂ© comme une attaque . Sachant que les parents, qui n'ont pas non plus de repĂšres pour affronter cette nouvelle phase de la vie de leur enfant, brillent souvent par leur maladresse .Â
PremiĂšre catĂ©gorie de "phrases qui tuent" pour Elisabeth Brami, "les injonctions , qui ne sont pas toutes illĂ©gitimes en soi, mais qui formulĂ©es comme des ordres ne servent souvent Ă rien." Exemple emblĂ©matique, le fameux "Range ta chambre", qui n'est suivi en gĂ©nĂ©ral d'aucun acte. "Sur ce point prĂ©cis, il faut faire la part des choses entre ce qu'on est en droit d'attendre et ce qu'il vaut mieux laisser tomber", analyse Elisabeth Brami. L'adolescent n'est plus ce petit enfant Ă qui on demande de ranger ses LĂ©go. Il laisse trainer ses affaires? C'est en quelque sorte son problĂšme et son droit . En revanche, tout ce qui touche Ă la propretĂ© de sa chambre, et par extension de la maison ou appartement, est non nĂ©gociable ".Â
Mais, poursuit la psychologue, "au lieu de rĂ©pĂ©ter inlassablement les mĂȘmes invectives, il faut plutĂŽt tenter de passer un contrat avec lui". On peut ainsi rĂ©unir rĂ©guliĂšrement un conseil de famille , dans lequel chacun fait part de ses souhaits et dolĂ©ances. Ou profiter d'un moment de calme , oĂč l'on n'est pas dans le conflit, pour expliquer Ă son enfant ce qu'on attend de lui, ce que l'on peut supporter ou non".Â
Il est aussi important, poursuit Elisabeth Brami, "de parler de soi": "Je ne peux pas vivre dans un appartement qui sent mauvais parce que tu as laissĂ© pourrir une pomme sous ton bureau", par exemple. Ou bien: "Je sais que ça t'agace, moi mĂȘme je l'Ă©tais quand ma mĂšre me faisait ces rĂ©flexions, je ne suis pas parfaite, mais j'ai besoin que tu participes plus Ă la vie de la maison".Â
Une dĂ©marche entreprise par Claire, mĂšre en garde alternĂ©e d'Hugo et ClĂ©mentine, respectivement 15 et 13 ans. "AprĂšs m'ĂȘtre Ă©puisĂ©e Ă leur crier tous les soirs de dĂ©barrasser la table, Ă menacer de faire la grĂšve des repas s'ils ne m'aidaient pas au moins Ă mettre le couvert, j'ai fini par comprendre que plus j'exigeais, moins j'obtenais." Un soir, Claire, au lieu de prononcer pour la milliĂšme fois les fameuses phrases, s'est donc fait son propre repas et s'est installĂ©e tranquillement pour le manger.Â
"Au bout d'un moment, ils sont sortis de leur tanniĂšre et sont tombĂ©s des nues. Comment avais-je pu les priver de manger, j'Ă©tais vraiment atroce, etc. Je ne me suis pas Ă©nervĂ©e et je leur ai expliquĂ© calmement que je n'y arrivais plus. Que je n'Ă©tais pas surhumaine, que j'Ă©tais Ă©puisĂ©e moi aussi, que je comprenais qu'ils en aient assez de mes demandes, mais que j'existais et que j'avais besoin de les sentir impliquĂ©s."Â
Une tirade "bien mieux entendue" qui a dĂ©bouchĂ© sur "une vraie discussion , sur ce qu'ils pouvaient faire et ce que je pouvais faire pour que chacun trouve son compte". "Ma fille ne voyait pas d'inconvĂ©nient Ă s'occuper du repas deux fois par semaine, tĂąche qui lui plaisait bien plus que de mettre le couvert. Et mon fils a semblĂ© entendre enfin mon ras le bol. Depuis, il est plus prĂ©sent dans les tĂąches quotidiennes".Â
Marie pour sa part ne peut s'empĂȘcher depuis que sa fille est au collĂšge de l'accueillir tous les soirs avec la mĂȘme phrase de bienvenue: "Tu as eu des notes?". "Je me dĂ©teste Ă chaque fois que je m'entends, je sais pertinemment qu'Ă son Ăąge ça me donnait envie de griffer. Et pourtant, je ne peux pas m'en empĂȘcher. Je crois que c'est une façon de me rassurer , de lui dire que je m'intĂ©resse. Mais je vois bien que je lui mets la pression ." Dans le mĂȘme esprit, ValĂ©rie raconte: "Ma fille un jour m'a demandĂ© alors que je rentrais du boulot: 'T'as Ă©tĂ© virĂ©e?'. Et, devant mon Ă©tonnement, elle a ajoutĂ©: 'C'est moyennement sympa hein? Alors arrĂȘte de me demander tous les soirs si j'ai pas Ă©tĂ© collĂ©e ou si je ne me suis pas plantĂ©e Ă mon contrĂŽle".Â
Si ces injonctions ont quasiment toujours pour effet d'agacer les ados, elles n'entrent toutefois pas dans la catĂ©gorie des phrases qui traumatisent ou font mal, rassure Elisabeth Brami. Pour la psychologue, sont en revanche bien plus graves les rĂ©flexions qui sont insupportables "parce qu'elles violent l' intimitĂ© de l'adolescent". "On devrait bannir tout ce qui peut ĂȘtre ressenti comme un dĂ©nigrement du physique."Â
"Encore une fois, l'adolescent doit faire face Ă la mĂ©tamorphose de son corps et le vit gĂ©nĂ©ralement trĂšs mal. Il est au courant que sa peau n'est plus si nette, que sa moustache naissante est ingrate ou qu'il ou elle a pris du poids. Le lui faire remarquer, mĂȘme parfois par un simple regard ou des mots qui n'avaient pas vocation Ă blesser revient Ă nouveau Ă verser de l'acide sur ses brĂ»lures". On remise donc au placard les moqueries sur son duvet, sur ce vilain bouton sur le front ou sur des rondeurs naissantes.Â
"Ce qui ne doit pas empĂȘcher d'accompagner l'enfant, en lui offrant un gel assainissant, en lui proposant un rendez-vous chez un dermatologue ou un nutritionniste", conseille Elisabeth Brami. LĂ encore, elle suggĂšre "de parler de soi", en racontant "qu'on a nous mĂȘme eu Ă vivre ça, qu'on aurait aimĂ© que nos propres parents nous aident alors qu'ils n'ont rien fait, qu'on dĂ©testait nous aussi devoir sortir quand on se sentait dĂ©figurĂ©s".Â
Idem avec l' hygiĂšne . Oui, confirme la psychologue, "souvent les adolescents sentent la transpiration et rechignent Ă prendre leur douche". "Mais leur dire 'Tu pues' n'aura comme seule consĂ©quence de les blesser. Il peut arriver que pour certains, rester dans leur odeur et leur crasse soit une façon de se protĂ©ger, parce que l'adolescence est aussi souvent une pĂ©riode propice Ă la rĂ©gression ."Â
On peut les inciter toutefois Ă prendre soin d'eux en leur achetant une eau de toilette, un gel douche qui sent bon... Surtout, en gĂ©nĂ©ral, une fille ou un garçon finira par leur dire cette vĂ©ritĂ© qui semble si difficile Ă entendre de la part de leurs parents. Et lĂ , comme par miracle, ils la prendront cette douche!Â
Enfin, conclut la psychologue, derniĂšre catĂ©gorie de phrases qui tuent et sĂ»rement la plus nĂ©faste, celle des rĂ©flexions qui touchent Ă la vie sentimentale ou sexuelle . "Non, les parents ne sont pas en droit de savoir si leurs ados ont un petit copain ou une petite copine. Cela ne les regarde pas. Qu'ils s'occupent de leur propre vie sentimentale et laissent leurs enfants vivre la leur!", s'emporte-t-elle.Â
"C'est une intrusion d'autant plus dangereuse qu'Ă cet Ăąge lĂ , tout est Ă©rotisĂ©, tout renvoie Ă une peur d' impuissance , Ă l'angoisse d'ĂȘtre anormal, etc. "Le complexe d'Oedipe n'est pas non plus terminĂ© et manifester de la curiositĂ© pour leur vie intime, c'est faire l'inverse de ce qu'on est censĂ© en tant que parent: aider notre enfant Ă s'Ă©loigner de nous. Inutile de prĂ©ciser Ă ce titre que les trĂšs graveleux "Ah mais ça pousse!" ou "Dis donc tu en as des poils" sont Ă bannir. Il y a bien assez du vieil oncle avinĂ© qui ne peut s'empĂȘcher de mettre les pieds dans le plat Ă chaque rĂ©union de famille pour en rajouter.Â
"Dans ces cas prĂ©cis, l'adolescent a tous les droits de se renfermer ou de claquer la porte. Il faut se rappeler qu'Ă 15 ans, on a trĂšs peu d'humour. C'est probablement dĂ©stabilisant quand on a jusque lĂ pu plaisanter sur tout avec son fils ou sa fille, mais c'est caractĂ©ristique de cet Ăąge", dĂ©crypte Elisabeth Brami.Â
En revanche, prĂ©cise-t-elle, "lorsqu'il y a des questions qui sont posĂ©es ou que l'on sent une souffrance liĂ©e Ă la transformation du corps ou la dĂ©couverte de la sexualitĂ©, on peut proposer d'en parler Ă une tierce personne, un mĂ©decin, un psychologue, parfois un ami". Autrement dit, il ne s'agit pas de se taire en toutes circonstances, mais "d'attendre d'ĂȘtre sollicitĂ© pour s'exprimer".Â
Surtout, conclut Elisabeth Brami, plutĂŽt que de verser dans l' inquisition ou, dans une moindre mesure, dans l' indiscrĂ©tion , "on a tout Ă gagner Ă discuter d'autres sujets avec les ados". "On apprend bien plus sur son enfant lors d'une conversation sur un sujet d'actualitĂ©, sur une anecdote familiale, sur tel livre qu'il a lu, sur une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision... Dans ses rĂ©ponses, sa façon d'analyser ce qu'il a vu, de prendre parti, il ou elle livrera bien plus sur soi qu'en vous parlant de sa vie sentimentale. C'est en outre une façon de construire une relation d' Ă©gal Ă Ă©gal , de lui faire comprendre qu'on s'intĂ©resse Ă son avis".Â
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