Adolescente allemande le séduit puis le baise

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Modifié le 09/05/2019
à 12h40


Cyril Féraud n’a pas froid aux yeux ! Alors qu’il effectuait une démonstration de premiers secours, l’animateur vedette de France 3 n’a pas hésité à regarder sous la jupe d’Adriana Karemb
Ce mardi 7 mai, les téléspectateurs de France 2 ont eu le droit à un cours de premiers secours en direct ! En effet, Michel Cymes et Adriana Karembeu étaient aux commandes d’un nouveau numéro du Test qui sauve . Pour l’occasion, un sacré panel de célébrités était réuni, puisque Faustine Bollaert , Sophie Davant , Tiga, Bruno Guillon, Damien Thévenot ou encore Cyril Féraud étaient de la partie. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce dernier n’est pas venu pour rien ! Alors qu’il servait de cobaye pour un pompier, l’animateur de 34 ans a eu le droit à une vue imprenable sous la mini-jupe d’Adriana Karembeu …
Afin d’enseigner aux téléspectateurs comment faire une compression en cas de saignement, Cyril Féraud n’a pas hésité à se porter volontaire. Accompagné par un secouriste, il a accepté de retirer son pullface aux caméras, non sans glisser une pointe d’humour au passage. « Je suis gaulé comme un Dieu » a-t-il en effet ironisé dans l’hilarité générale.
Mais c’est surtout lorsqu’il s’est allongé que l’animateur de Slam a suscité les rires. Alors qu’il était en pleine démonstration, il ne s’est pas gêné pour lever les yeux vers Adriana Karembeu, dont la mini-jupe laissait clairement entrevoir son entrejambe… « Ne restez pas là » , a-t-il alors conseillé, gêné, à la compagne d’André Ohanian . Une curiosité exacerbée qui lui a valu de se faire traiter de « vicieux » par la reine de beauté…

Confessions, séquences choc. . . le meilleur de la Télé.


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Publié le

08/05/2011 à 08:47
| Mis à jour le

01/06/2017 à 22:40



« La finale de la Coupe du monde 2006 et celle que j'ai gagnée avec le Bayern en Ligue des champions sont des moments phares de ma carrière. »

© (dr)


Munichois jusqu'au bout des doigts. Willy Sagnol a passé les deux tiers de sa carrière au Bayern, club de la capitale bavaroise avec lequel il a tout gagné. Depuis qu'il a annoncé officiellement sa retraite en février 2009, Willy Sagnol navigue à la périphérie du monde du football. Consultant télé dans un premier temps, il revient à pas de velours vers ses amours de toujours : le Bayern et peut-être, prochainement, le terrain. On l'a retrouvé il y a quelques semaines à l'institut du football régional, à Châteauroux, où il passe son BE (brevet d'État) en mode accéléré. Vous commencez à passer vos diplômes d'entraîneur, avez-vous un projet précis de reconversion ?

« Pas vraiment, c'est simplement en prévision de l'avenir. Je ne sais pas encore si je reviendrai un jour sur le terrain, mais je passe mes diplômes dans le but d'être formé et d'acquérir une légitimité dans ce domaine. Je m'occupe actuellement du recrutement pour le Bayern et il y a des discussions en cours mais rien de bien défini. Auparavant, j'ai suivi la formation de manager sportif à Limoges. J'avance par étapes... » Quelles sont vos missions au Bayern ?

« Je travaille sur deux secteurs du recrutement. Je supervise des joueurs âgés de 16 à 20 ans et je peux voyager assez loin dans ce domaine. Mais je dois aussi m'occuper de joueurs plus expérimentés, et là, le secteur géographique est plus limité. » Vous sentez-vous aujourd'hui plus Allemand que Stéphanois ?

« J'ai mis du temps à apprécier l'Allemagne à sa juste valeur. Mais quand j'ai ouvert les yeux, j'ai découvert un pays magnifique et une très belle culture, souvent méconnue en France. J'aime leur mentalité et aujourd'hui, footballistiquement, je me sens plus proche de l'Allemagne, effectivement. Ils ont une faculté à se rendre compte de leurs erreurs qui leur permet de ne jamais faire l'autruche. » Pourquoi ne pas avoir poursuivi en tant que consultant sur Canal + ?

« J'y ai travaillé en 2009-2010, mais je ne m'y suis pas vraiment senti à mon aise. Ce n'était pas un monde qui me correspondait. Avec la carrière que j'ai eue, j'ai toujours fait ce qui m'a plu et là, c'était plus une contrainte que du plaisir. C'est un vrai métier que de passer à la télé et de faire des commentaires ou des analyses. On évolue dans un univers où tout le monde a un avis sur tout et moi, je n'avais pas envie de critiquer sans raison les joueurs. Je n'aimais déjà pas ça quand je l'étais moi-même... » Justement, quels sont vos bons souvenirs de votre carrière ?

« J'aime surtout retenir une belle aventure humaine quels que soient les joueurs et les entraîneurs que j'ai fréquentés. Ma carrière, je la vois dans sa globalité et le football m'a aidé à me façonner en tant qu'homme. Après, bien sûr, la finale de la Coupe du monde 2006 et celle que j'ai gagnée avec le Bayern en Ligue des champions sont des moments phares de ma carrière de sportif, mais pas de ma vie d'homme. » Vous avez suivi de près la dernière Coupe du monde en Afrique du Sud, quel est votre avis sur le fiasco de l'équipe de France ?

« Personne ne pensait que ça pouvait aller jusque-là mais le fiasco sportif était prévisible depuis assez longtemps. Domenech ? Je l'ai eu comme sélectionneur pendant quatre ans et j'ai été l'un de ses défenseurs en Afrique du Sud. C'est quelqu'un que j'apprécie et que j'ai appris à connaître. Nous sommes toujours en contact et je prends toujours plaisir à lui parler. Ce n'est peut-être pas le meilleur du monde mais ce n'est pas non plus l'imposture que certains ont voulu décrire. En 2006, il nous avait laissé beaucoup de liberté, mais il avait les joueurs capables d'assumer leurs responsabilités... » Quel regard portez-vous sur le football français ?
« La pression économique a pris le pas sur foot en lui-même. Malheureusement, les entraîneurs préfèrent souvent prendre un point que de risquer de perdre en alignant une équipe plus offensive. Mais il y a tellement de joueurs de qualité que je me dis que s'ils étaient un peu moins bridés, le spectacle serait bien meilleur. »

> Willy Sagnol est né le 18 mars 1977, à Saint-Étienne.
> En 1995, le défenseur latéral droit rejoint l'AS Saint-Étienne et effectue son premier match en Première division en février 1996 à Lyon. Après une saison en deuxième division avec les Verts, il signe en faveur de l'AS Monaco en 1997, club avec lequel il devient champion de France en 2000 avant d'être transféré au Bayern de Munich.
> C'est en Allemagne que Sagnol s'affirme comme l'un des meilleurs arrières latéraux de sa génération. Au cours des huit saisons passées au Bayern de Munich, il devient champion d'Allemagne à cinq reprises (2001, 2003, 2005, 2006, 2008), brandit quatre fois la Coupe d'Allemagne (2003, 2005, 2006, 2008), remporte en 2001 la Ligue des champions et la Coupe intercontinentale.
> International français, il est sélectionné pour la première fois le 5 novembre 2000, face à la Turquie (victoire 4-0). Sélectionné à 58 reprises, il dispute la finale de la Coupe du monde 2006 perdue face à l'Italie et remporte avec l'équipe de France la Coupe des Confédérations en 2001 et 2003. > Il a mis un terme à sa carrière en 2009. Depuis, il a été consultant pour Canal + mais a cessé cette collaboration après la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Il a été nommé au conseil de surveillance de Saint-Étienne en janvier 2010 et, depuis mars 2011, l'ancien international français travaille au sein de la cellule de recrutement du Bayern de Munich.

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Publié le

08/05/2011 à 08:47
| Mis à jour le

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