Action de bouche avec un sextoy devient réelle
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Action de bouche avec un sextoy devient réelle
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Secret Housewife > Man > Nude Men > Jouer avec son Sextoy Bouche Suceuse, un réel plaisir !
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Album entier, so sexy ce string en cuir
Petit tease de mon soumis, moi en bustier, lui en cage...(Seule la photo de couverture est floutée)
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Quand un petit selfbondage devient une réelle rencontre BDSM
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Ayant découvert la discipline du selfbondage il y a quelques semaines, j’avais passé commande et enfin reçu le matériel nécessaire, soigneusement sélectionné sur internet, et expédié par colis discret jusqu’à la maison que je partageais avec mes colocataires. J’avais inscris cet évènement en rouge – en nom de code bien entendu – dans mon agenda, ayant prévu de profiter de l’absence de tous mes colocataires pendant quatre jours.
Le temps d’expérimenter encore et encore, donc.
Je rentrais à la maison, et me déshabillais dans le hall, certaine d’être tranquille. J’abandonnais mes vêtements et montais à l’étage prendre une douche. Une fois douchée, séchée, enduite de crème parfumée et de soins en tout genre, je me préparais pour cette aventure érotique délicieuse.
Je disposais sur le lit mon équipement. Deux paires de menottes, du scotch de déménagement, un bâillon-boule, un œuf vibrant puissant. Et le collier en cuir. J’avais le matin même mis à congeler deux clefs de menottes dans des gros pains de glace au congélateur ; une fois que je serais harnachée, il me faudrait attendre qu’ils aient fondus pour récupérer les clefs de ma délivrance. Pieds et poings liés, je ne pouvais me libérer de ma ceinture de chasteté cadenassée, dont la clef se trouvait sur ma commode ; je devrais donc subir les vibrations incessantes de l’œuf.
Je pris plaisir à laisser toutes les portes ouvertes dans la maison – exceptée la porte d’entrée, bien entendu – toute à ma joie d’être seule ; et puis cela me prodiguait l’excitation d’un éventuel imprévu… Je commençais par attacher mon bâillon. Je me sentis aussitôt scandaleuse, vulgaire.
Celle-ci était percée de trous pour permettre de respirer même en cas de problème, mais aussi pour faire abondamment saliver son porteur… Je mouillais déjà à l’idée de la salive gouttant de mon menton.
Ensuite j’enfilais l’œuf dans mon vagin. Je frissonnais au contact du métal froid. Je n’eu pas besoin de le lubrifier, étant déjà bien humide. J’enfilais ensuite ma ceinture de chasteté. C’était une belle pièce, de cuir rigide, avec des boucles d’acier rutilantes. Il me fallut m’assoir au moment de boucler le cadenas, tant la situation me faisait de l’effet. Je vérifiais que la clef était bien posée sur le meuble, et fermais définitivement le cadenas.
Ensuite j’enfilais mes hauts talons, ceux avec des lanières aux chevilles ; ce n’étaient pas à proprement parler des accessoires de bondage ni de BDSM, mais tout ce qui s’apparentait à des liens sur mes membres me ravissait. Perchée sur mes talons, seulement vêtue de la ceinture de chasteté, et bâillonnée, je descendis les escaliers vers la cuisine pour aller chercher les pains de glace. La tâche ne fut pas aisée tandis que les pains me glissaient des mains et que je vacillais sur mes talons, mais qu’est-ce que je mouillais !
Je posais les pains de glace dans deux bassines de part et d’autre de ma chambre, puis m’assit sur mon lit. Je liais mes genoux avec de solides morceaux de scotch, puis réalisais que j’avais oublié de mettre mon collier en cuir ! Je m’en saisis et l’enfilais tant que j’avais encore les mains libres. Je jetais un œil à mon réveil ; plus que cinq minutes avant que l’œuf ne commence ses vibrations, suivant le réglage programmé sur l’application sur mon téléphone, que j’avais laissé exprès sur le meuble de l’entrée, pour le rendre difficile d’accès.
Enfin, ayant vérifié que tout était prêt, je serrais le deuxième bracelet de menotte sur mon poignet et aussitôt je ressentis un vertige délicieux dans le creux de mon ventre. La partie rationnelle de mon cerveau m’assurait que je venais de commettre une grave erreur, que je me mettais inutilement en danger, tandis que mon sexe qui mouillait abondamment criait victoire. Je me délectais de ma position, tirais sur mes liens pour en éprouver la résistance. Je me regardais dans le miroir fixé sur mon armoire et éprouvais de la honte à me voir ainsi harnachée. Une honte délicieuse !
J’attendais avec impatience et inquiétude que l’œuf ne démarre ses vibrations. Je ne pouvais m’empêcher de me balancer d’avant en arrière, cherchant à effectuer un frottement du cuir de ma ceinture contre mon sexe. En vain.
Soudain, l’œuf se lança et ce fut plusieurs vagues de plaisir successives, qui me conduisirent presque jusqu’à l’extase. Je me régalais de cet insupportable plaisir ininterrompu. Je mouillais abondamment, et poussais des gémissements sans aucune retenue. Les yeux fermés, tout abandonnée à cette t o r t u r e érotique, je planais.
Il me sembla que je perdis la notion du temps. Lorsque je rouvris les yeux, le pain de glace dans le saladier n’était qu’à moitié fondu. Trois quart d’heure étaient déjà passés, et j’avais l’impression de ne plus pouvoir endurer plus. Le plaisir me submergea à cette idée, et j’arque boutais mon corps, proche de l’orgasme. Au milieu de ma jouissance, je ressentis soudain la désagréable sensation d’être observée. Ma fenêtre ne donnait que sur la forêt. Je tournais la tête vers ma porte et mon cœur fit un bon lorsque je vis, narquoisement appuyé dans l’embrasure de la porte, mon colocataire Damien. La honte d’être surprise harnachée dans un tel attirail, et toujours aussi stimulée par l’œuf vibrant, cela me fit l’effet d’une bombe. J’étais tétanisée, mais j’en ressentais un vif plaisir.
Je voulu lui dire de s’en aller, de me laisser tranquille, mais j’étais entravée par le bâillon que je m’étais moi-même attaché.
Il sortit mon smartphone de sa poche de jean. Je poussais un cri, mi-suppliant et mi-terrorisée.
Il appuya sur l’écran. Les vibrations du sextoy devinrent proprement infernales. Je ne gémissais plus, je criais, je pleurais. Je mouillais abondamment, j’eu rapidement l’impression d’être entièrement trempée, recouverte de transpiration et de cyprine. Je me tortillais dans tous les sens, comme pour essayer d’échapper aux vibrations incessantes.
Je lui lançais un regard désespéré. Je n’avais jamais essayé ce niveau de puissance, climaxant toujours bien avant de l’atteindre. Mon cœur battait à tout rompre, je me tordais comme une suppliciée. Etre observée et moquée me provoquait des ondes de choc au cerveau, mais aussi alimentait mon fantasme. Je passais un long moment à me démener contre cette vibration intérieure intenable.
Damien coupa soudainement les vibrations. Cette brusque interruption provoqua un ultime orgasme proprement céleste. Il me fallut bien dix minutes pour reprendre mes esprits. Il avait très bien compris l’objectif de ma mise en scène et dès qu’elles furent libérées de la glace, il empocha les deux clefs plus celle de la ceinture sur la commode. J’étais dans un sacré pétrin.
Je protestais bruyamment ; glissant un doigt sous la s a n g le humide de cuir du bâillon, il me rendit la parole.
Même pas en rêve ! Donne-moi les clefs et casse toi, je ne t’ai rien demandé.
Allez, fais moi confiance. Tu ne penses pas qu’un vraiment trip de soumission te ferais bien plus d’effet qu’un petit délire d’a d o l e s c e n t e avec tes joujoux ? Moi je vais te fais goûter la vraie domination. On a bien vu tous les deux que le fait que je te surprenne t’a mise dans tous tes états.
Ça restera entre nous. Et tu pourras me soumettre en retour à la fin, si tu veux.
Je commençais à peser le pour et le contre. C’était incroyablement tentant… le selfbondage était une alternative à une vie sexuelle de soumission que je ne pouvais pas encore me permettre. Damien me faisait une proposition très alléchante. Qu’avais-je à perdre ? Je le connaissais depuis trois ans et je le savais digne de conscience, même si c’était un sacré blagueur.
D’accord, dis-je finalement avec réticence. Mais tu n’en parles à personne et à la fin je te renvoie l’ascenceur, ok ?
Très bien, alors voilà mes conditions. Tu obéis à toutes mes consignes, même les plus gênantes. Pendant trois jours, le quatrième on avisera, tu es entièrement à ma merci. Tu vas me donner tes papiers, ta carte bancaire, tes clefs et tout ton matos informatique.
Je fis mine de réfléchir, alors qu’intérieurement j’étais follement enthousiasmée par ces contraintes.
Tu devras m’appeler « Maître » tout le temps.
Je ne plaisante pas. Tu seras punie si tu ne le fais pas.
Je ne veux pas de coups ni blessures qui marquent.
Je prends note. Ça commence maintenant. Une dernière chose : tu as le droit de m’interrompre à tout moment avec un mot de code. Disons… code rouge. Si tu es bâillonnée, tu gémiras quatre fois d’affilée.
Il ne me laissa pas le temps de finir, replaçant mon bâillon dans ma bouche.
Il posa une main sur ma fesse droite. Je frissonnais.
Il prit dans mon sac à main mes papiers et mes clefs, prit sur mon bureau mon ordinateur et quitta la pièce, me laissant entravée sur mon lit. Le temps me sembla bien long. Je me doutais qu’il prenait son temps. Pendant ce temps là, je tergiversais. Je commençais à penser que j’avais commis une grosse erreur. Je vivais avec ce type, mais je n’étais manifestement pas très avertie de ce dont il était capable… qui sait ce qu’il allait me faire ? Je sentis l’excitation revenir durant ces considérations. L’idée du danger et la gêne me faisait véritablement un certain effet.
Damien revint enfin. Sans dire un mot, il sortit une clef de sa poche et déverrouilla ma ceinture de chasteté. Elle était encore bien humide cyprine et exhalait une forte odeur.
Me plaquant sur le lit, il décolla le scotch, m’écarta les cuisses et introduisit doucement mais fermement ses doigts dans mon vagin. Je soupirais d’aise. Il retira l’œuf et me le présenta.
Il essuya l’œuf avec mes cheveux. Je protestais. Il me punit d’une petite tape sur le sexe, qui m’excita terriblement. J’avais très envie qu’il me fasse l’amour brutalement.
Il détacha les menottes sur mes chevilles mais laissa mes poignets liés. Avisant le carton remplis de mes nouveaux accessoires de jeux, il fouilla dedans. Il en sortit victorieusement une laisse. J’eu soudainement envie d’arrêter. Me faire trainer en laisse par mon colocataire si provocateur, c’était trop. Mais quelque chose me retint de l’interrompre. Il accrocha la laisse à l’anneau du collier – un ruban de cuir solide sur lequel était écrit « esclave ».
Ensuite il sortit de sa poche un tissu d’étoffe noir. Je reconnu la culotte que j’avais abandonnée dans l’entrée.
Ma culotte sentait une odeur forte d’hormone, de sexe. C’était humiliant qu’il ait touché à ma lingerie et encore plus qu’il l’ait reniflée. Je sentis mon sexe produire une grande quantité de cyprine alors qu’il me f o r ç a i t à sentir le morceau de tissu. Il me l’enfila lui-même, et avisant mon sexe bien humide, il me caressa les cuisses. Mon désir de lui monta encore d’un cran.
Je le foudroyais du regard. Il se leva, et tirant sur ma laisse, me f o r ç a à le suivre. Il m’emmena dans la cuisine et me fit assoir à la table.
C’est vrai que j’avais la bouche sèche. J’accueillais cette intention avec soulagement. Il sortit du frigidaire une bouteille d’un litre. Détachant mon bâillon, il me fit boire en penchant la bouteille à la hauteur de mon visage. Je bu goulûment, et nous appréciâmes tout deux la symbolique érotique du geste. Arrivée à la moitié de la bouteille, je lui fis signe que je m’étais suffisamment abreuvée. Il me fit signe de continuer à boire. A la fin de la bouteille, je lui dis que j’avais plus soif, mais sortant une deuxième bouteille du frigidaire, il me fit encore boire. Je craignais le pire pour la suite – que voulait-il me faire, et pour combien de temps, pour m’hydrater ainsi ?
Je bus au total deux litres d’eau. Avant que j’ai pu dire un mot, il me rebâillonna et tira sur la laisse.
Celle-ci jouxtant un bois touffu, personne ne pouvait nous voir lorsque nous nous trouvions au jardin, à moins de passer par la forêt, mais nous ne voyions que très rarement des visiteurs. Ce jardin à l’abri des regards offrait un endroit de rêve pour faire la fête pendant les belles saisons.
Descendant maladroitement – j’avais toujours mes talons – les marches du perron à sa suite, je me demandais quels étaient ses projets. Avisant la clôture du jardin, il y attacha ma laisse, ce qui m’obligeait à rester accroupie, la laisse étant attachée trop court pour que je puisse me redresser. Je le regardais tirer un transat dans la partie ensoleillée du jardin, sans comprendre. Bâillonnée, je n’étais pas en mesure de demander plus d’information. Il s’étendit sur le transat et sortit son téléphone. Il appela un ami et bavarda longuement avec lui.
J’eus rapidement très envie d’uriner. Les deux litres d’eau se manifestaient. Je tentais de gémir à travers le bâillon boule pour attirer l’attention de Damien sans être entendue de son interlocuteur, mais il m’ignora superbement.
Je compris alors que tout était calculé, et désespérais de mon innocence. Il m’avait fait boire autant dans le but de m’infliger la t o r t u r e d’avoir à attendre, attachée. Je serrai les cuisses et tentai de prendre mon mal en patience. Mes jambes me lançaient, mes épaules étaient raides et douloureuses, et ma vessie pleine se manifestait à chaque instant par une douleur lancinante. Le fait de me retenir d’uriner avait toujours sur moi un effet excitant. Mais je ressentis pleinement le ridicule de la situation – une étudiante de vingt et un ans, attachée à la clôture de son jardin, par son colocataire dominateur qui refusait de la laisser aller uriner.
Damien finit son appel et vint enfin s’intéresser à moi. Il s’approcha et s’accroupit pour être à ma hauteur. Caressant ma poitrine du bout des doigts, il me demanda :
Je gémis pour lui répondre, en indiquant de la tête la maison.
Je protestais avec véhémence. Il me planta là et rentra dans la maison. Il ressortit avec mon appareil photo reflex, que j’avais reçu de mes parents à mon anniversaire. Je paniquais.
Il s’assit à deux mètres de moi et me prit en photo dans cette position rabaissante, attachée comme un chien. Il attendit ensuite, me fixant, l’appareil à la main. Je compris qu’il n’attendait qu’une chose. Je n’arrivais pas à me résoudre à m’uriner dessus. C’était trop. Trop sale, trop extrême, trop dégradant. Et en même temps, cette excitation omniprésente depuis le début, si tentante, exacerbée par le poids de ma vessie gonflée…
Au bout d’un certain temps, ne pouvant plus me retenir, je sentis soudain l’urine commencer à s’écouler. Je poussais un petit cri d’horreur et me dandinais ; j’écartais les jambes pour ne pas mouiller mes chaussures. Damien ne loupa pas l’occasion, mitraillant toute la scène. L’urine commença par inonder ma culotte qui s’assombrit et me colla à la peau. Puis l’urine transperça le tissu et commença à s’écouler en jet et en rigole le long de mes cuisses. La miction me soulagea tant qu’elle me fit l’effet d’un acte sexuel. Je m’abandonnais à cette action si primitive mais si agréable, fermais les yeux, sans pouvoir ignorer les clics de l’objectif de mon appareil photo. J’urinais longuement – j’avais plus de deux litres à évacuer, après tout – et me délectais presque de la situation. Lorsque j’eu fini, je ressentis profondément la honte de mon action. L’odeur de l’urine était très forte et m’entourais ; ma culotte me collait salement à la peau et l’urine séchant sur mes jambes me grattait. Damien éteignit l’appareil, satisfait. Il alla chercher dans la maison un rouleau de sopalin et m’essuya les jambes.
Je gémis. Le regard mêlé de moquerie et de dégout qu’il m’adressait me rendait folle. Il me détacha de la barrière et me tira vers la maison. Mes jambes me lançais, j’étais ankylosée d’avoir gardé la même position pendant si longtemps.
J’haussais les épaules, peu rassurée.
Il me conduisit au salon et posa mon reflex sur le manteau de la cheminée, arrangea le cadre, et appuya sur le bouton pour lancer la vidéo. Je frémis de honte. J’espérais qu’il allait tenir parole quant à sa promesse de ne rien divulguer de ce week-end.
Il s’assit dans le canapé, poussa la table basse d’un coup de pied et me fit signe de venir m’accroupir devant lui. Il défit sa braguette et sortit son sexe de son pantalon. Il avait un pénis de taille moyenne, d’une apparence plutôt saine. Cela me fit quelque chose d’étrange de le voir nu. Nous nous côtoyons quotidiennement, mais jamais il n’y avait eu d’ambiguïté sexuelle entre nous, jusqu’à aujourd’hui.
Je compris que j’avais intérêt à bien m’appliquer. Il commençait à avoir une sacré gaule. Il m’ôta mon bâillon et je me penchais entre ses jambes et refermais mes lèvres sur son gland que je suçais d’abord doucement, puis de plus en plus rapidement. Je m’appliquais vraiment, aussi bien que je pu, malgré mes mains liées et mon équilibre instable sur mes talons. Je vis que je lui faisais de l’effet, il se crispait sur le canapé et grogna rapidement. Il se retira de ma bouche et éjacula dans un morceau de sopalin.
Je me sentais toute excitée, j’avais des bouffées de chaleur. J’étais fière de l’avoir fait jouir si vite.
Je le regardais sans comprendre. Il désigna son pied.
Je sentis mon cœur tomber comme une pierre dans ma poitrine. Il n’y avait donc pas moyen de toucher le fond dans l’humiliation avec lui…
Je pris une profonde inspiration et m’accroupis sur son pied. Il portait une chaussure en cuir avec des gros lacet épais. Ma culotte était encore un peu humide d’urine mais cela ne sembla pas le déranger. Mon inhibition m’empêcha tout d’abord de profiter de l’expérience. Je commençais par effectuer un mouvement de va et viens sur le soulier. Les frottements du relief de la chaussure n’étaient pas très agréables. Je commençais à avoir terriblement envie de jouir, étant sur les nerfs sexuellement depuis qu’il s’était invité dans mon jeu de selfbondage.
J’accélérais le rythme de mes frottements, au point de me faire mal au sexe. Je levais les yeux vers lui et me sentis gênée en croisant son regard. Je ne baissais pas les yeux et continuais de le regarder ; encore ce mélange de moqu
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