Accro A La Bite

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Accro A La Bite
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Je me relĂšve en passant ma langue sur mes lĂšvres pour goĂ»ter les derniĂšres traces de sperme pendant qu’il remonte sa braguette. « C’est bien, me dit-il, t’auras une bonne note. » Je souris et sors de la classe, traverse la cour et atteint la rue. Je n’ai qu’une dizaine de minutes de trajet Ă  pied jusqu’à chez moi. Il est encore tĂŽt. En arrivant Ă  l’appartement, je tourne la clef dans la serrure qui est fermĂ©e Ă  double tour. Donc mon pĂšre n’est pas lĂ . C’est con, j’avais encore envie de bite. Il va falloir chercher ailleurs. Je jette mes affaires dans ma chambre et ressors aussitĂŽt. Je me dirige droit vers la rue Saint-Jean ; le nĂ©on est bien allumĂ©, ouf ! C’est ouvert. J’entre dans le sex-shop, Ă  l’accueil JosĂ© me sourit et me lance : « T’arrives tĂŽt aujourd’hui ! C’est vide Ă  cette heure-lĂ . DĂ©solĂ© p’tit gars. » Déçu, je ressors. Je traverse la rue mais, instinctivement, me retourne et aperçoit un type qui s’apprĂȘtait Ă  entrer dans la boutique de JosĂ©. Il me regarde, indĂ©cis. Je m’arrĂȘte. Il me fixe toujours. Il doit ĂȘtre Roumain. Il passe discrĂštement une main sur sa braguette. Je traverse Ă  nouveau, passe devant lui en le regardant puis me dirige vers l’impasse d’Aire-Grand, sur la gauche. Je vĂ©rifie qu’il me suit. ArrivĂ© au fond de la ruelle, je m’appuie contre le mur d’un immeuble dĂ©labrĂ©, entre deux poubelles. Il vient vers moi, je m’agenouille et tend une main vers son entrejambe. Il dĂ©fait la braguette de son jean, rapidement je baisse son slip ; sa queue est dĂ©jĂ  Ă  demi bandĂ©e, je la prends et commence Ă  le sucer. Elle est de taille moyenne, je la prends facilement dans ma bouche. C’est bon. Je le pompe avidement. Il me tient par les cheveux pour m’imposer son rythme. Je caresse ses couilles d’une main. Il n’attend pas plus et, sortant sa queue de mes lĂšvres, me fait signe de me relever. Je me retourne, descend mon pantalon pour dĂ©gager mon cul et m’appuie face au mur. Il crache dans sa main droite et se lubrifie la queue puis place son gland sur mon trou. J’écarte un peu plus les cuisses, me cambre. Qu’il me baise, vite ! Je sens son gland qui entre dĂ©jĂ  un peu en moi. Le passage est serrĂ© mais je veux qu’il force. Je bouge un peu mon cul. Il comprend vite qu’il peut y aller et m’enfonce d’un coup toute sa bite. C’est trop bon ! Il m’attrape par les hanches et commence Ă  me bourriner. Ses couilles claquent sĂšchement sur ma peau. Ses va-et-vient me brĂ»lent un peu mais je m’en fous. Il me laboure le cul quelques minutes puis son souffle s’accĂ©lĂšre. Je sens sa bite gonfler un peu, il rĂąle lĂ©gĂšrement, je sais qu’il se vide en moi. Il se retire aussitĂŽt. Je remonte mon pantalon et le laisse s’éloigner avant de revenir vers la rue Saint-Jean. Je repasse devant le sex-shop, Ă  l’intĂ©rieur deux femmes regardent des godes en rigolant. C’est sans doute pas le bon moment. J’accĂ©lĂšre mon pas et bifurque vers le quartier de la Tour DorĂ©e. Je traverse le square puis m’arrĂȘte face au foyer. Devant, deux types d’origine africaine discutent en fumant des clopes. Je crois que je connais celui de gauche. Mais pas sĂ»r. Il faudrait qu’il me regarde pour voir s’il se souvient de moi. Bingo, il lĂšve la tĂȘte et me fixe quelques secondes. Puis il dit quelque chose Ă  l’autre qui tourne son regard de mon cĂŽtĂ©. Il me fait un petit sourire. Tous les deux rentrent dans le bĂątiment. Je les suis, le mec de l’accueil lĂšve vaguement la tĂȘte, me reconnaĂźt et ne dit rien. J’aperçois les deux mecs devant moi qui prennent l’escalier. Je vais derriĂšre eux, je croise un autre type, atteins le premier Ă©tage. Ils sont entrĂ©s dans une chambre, je les suis et ils referment la porte derriĂšre moi. Sans attendre, je me mets Ă  genoux, ils se caressent dĂ©jĂ  la queue Ă  travers leur jean, j’attire celui que je ne connais pas vers moi et sors sa bite. Encore molle mais dĂ©jĂ  bien large. Un beau gros gland et une peau noire magnifique. Je me jette dessus et commence Ă  le pomper. Je vois l’autre se branler en nous regardant. D’une main, j’attrape aussi sa queue et commence Ă  lĂ©cher leurs deux glands en mĂȘme temps. Ils ont de trop grosses bites pour les sucer ensemble. J’alterne de l’un Ă  l’autre. Je les regarde dans les yeux en pompant pour les exciter. Celui que je connais vient derriĂšre moi et m’enlĂšve mes fringues puis me doigte le cul. Il me donne un de ses doigts Ă  lĂ©cher, ça sent le sperme, c’est bon. Pendant que je suce toujours son copain en essayant de faire des fonds de gorge sur son Ă©norme morceau, je sens que celui derriĂšre moi m’écarte encore les cuisses et se met sur les genoux pour jouer avec son gland sur mon trou. Je gĂ©mis pour l’encourager. Il n’en a pas besoin et pousse dĂ©jĂ  pour me pĂ©nĂ©trer. Putain ce que c’est gros ! L’autre me biffle la gueule avec son gourdin. Je lui lĂšche les couilles. Je sens la queue derriĂšre moi qui s’enfonce toute entiĂšre. Des bons mouvements de va-et-vient qui me dĂ©foncent le cul. Le mec qui m’encule a posĂ© ses mains sur mes Ă©paules pour mieux me contrĂŽler. Le deuxiĂšme me tient la tĂȘte en arriĂšre en m’agrippant les cheveux et me baise la bouche. Ils changent de place, je pompe la queue qui me baisait pendant que l’autre force ma chatte pour y faire entrer son engin. Je me cambre un peu plus pour l’encourager. Celui que je suce prend sa bite dans sa main et se branle. Je tire la langue pour y recevoir trois bons jets de sperme chaud. Un quatriĂšme se balance sur mon visage. Ça excite l’autre qui se dĂ©chaĂźne encore plus et ne tarde pas Ă  me remplir le cul de son jus. Il se retire, chacun remonte son jean, je cherche mes fringues et me rhabille. En descendant l’escalier, je m’essuie le visage d’une main et me lĂšche les doigts. Je croise le mec de l’accueil qui me dit vaguement salut. Dans la rue, je regarde l’heure : il va ĂȘtre temps de rentrer. Je mets une bonne quinzaine de minutes pour parvenir jusqu’à ma rue. En entrant dans l’immeuble, je tombe sur mon pĂšre en pleine discussion avec le mari de la gardienne. Ils me regardent, se sourient l’un Ă  l’autre. Mon pĂšre lui propose de monter boire un coup Ă  la maison. Je les suis ; Ă  peine arrivĂ©s chez nous mon pĂšre propose au gardien Ă  m’accompagner dans ma chambre. Je referme la porte derriĂšre nous et me jette sur sa queue. Il ne se fait pas prier et la sort aussitĂŽt pour me la donner Ă  sucer. Elle est assez courte mais trĂšs Ă©paisse et dĂ©jĂ  bandĂ©e ; je reconnais son odeur, je la lĂšche consciencieusement puis descends vers ses couilles pendant qu’il glisse une main vers mon cul. Il baisse mon pantalon, je me cambre, mais il se redresse et va s’asseoir sur le bord de mon lit. Rapidement je me dĂ©shabille et vient vers lui Ă  quatre pattes pour le pomper encore. Il s’affale en arriĂšre, les mains derriĂšre la tĂȘte, pendant que je m’occupe de sa bite. Je prends mon temps pour bien profiter de sa queue dans ma bouche, je joue avec ma langue sur son gland, je lui fais quelques gorges profondes. Au bout d’un moment, j’ai envie qu’il me prenne, je vais Ă  cĂŽtĂ© de lui sur le lit. Il se relĂšve et vient derriĂšre moi, fait coulisser quelques secondes sa bite entre mes fesses puis s’enfonce brutalement. C’est trop bon. Je gĂ©mis, il me bourre bien, j’en profite d’autant plus que je sais qu’il va jouir vite. À peine une minute plus tard, il sort de mon cul et me balance quelques jets de sperme sur les fesses. Ça coule le long de mon trou. Il reboutonne son jean, me caresse les cheveux et sort de ma chambre. Je l’entends parler et rire avec mon pĂšre. Il est temps de me mettre un peu au boulot, j’attrape mon sac et ouvre un cahier.


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Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


AprĂšs la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pĂ©nis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et Ă©ventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est dĂ©jĂ  masturbĂ© ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de frĂ©quence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsĂ©dĂ©, ni stĂ©rile, ni impuissant, ni sourd
et oui, mĂȘme s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernĂ©es
 et actives !
Quand on dĂ©bute sa pubertĂ©, le corps se transforme. Les organes sexuels (pĂ©nis ou vulve) se dĂ©veloppent et la production d’hormones sexuelles (testostĂ©rone chez les garçons et estrogĂšnes chez les filles) s’accĂ©lĂšre. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulĂ© plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de dĂ©sir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturitĂ© sexuelle (physique et psychologique) et afin de rĂ©guler cette montĂ©e du dĂ©sir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes gĂ©nitaux, appelĂ©e masturbation, plus pudiquement nommĂ©e « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poĂ©sie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle dĂ©tend 
 Elle aide aussi Ă  dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-ĂȘtre !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la dĂ©couverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la pubertĂ© sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas Ă©tĂ© prĂ©parĂ©s Ă  cela. Partir Ă  l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rĂŽle trĂšs important Ă  la prĂ©paration de la sexualitĂ©.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un rĂ©gulateur mĂ©canique de leur Ă©jaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une Ă  deux heures avant), ils rĂ©duisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur Ă©jaculation , pour ĂȘtre capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain
 (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune rĂšgle pour commencer Ă  se masturber. D’ailleurs, dans le ventre de sa mĂšre, le fƓtus semble vĂ©ritablement s’adonner Ă  des attouchements des organes sexuels , cette pratique paraissant se poursuivre durant toute l’enfance avec le tripotage du zizi par les petits garçons ou de la zĂ©zette par la fillette. Des Ă©tudes dĂ©montrent que l’ñge des premiĂšres masturbations coĂŻnciderait avec le dĂ©marrage de la pubertĂ©, vers 12 ans ; mais que le pic de masturbation interviendrait entre 13 et 16 ans
 La masturbation subit des rythmes diffĂ©rents selon l’ñge et la vie sexuelle des individus ; d’une fois par an Ă  plusieurs fois par jour, le rythme semblant dĂ©cliner avec la vie en couple et l’ñge.
La masturbation n’est pas systĂ©matiquement une pratique solitaire destinĂ©e aux « cĂ©libataires ». Certes, l’absence de partenaire est souvent propice Ă  la pratique de la masturbation . Mais il arrive souvent que des partenaires rĂ©guliers aient recours Ă  cette pratique, pour Ă©vacuer un trop plein d’excitation sexuelle entre deux relations (Ă©loignement gĂ©ographique, rythme et besoins diffĂ©rents des deux partenaires,
) ou simplement pour le plaisir de se faire plaisir . Si vous surprenez votre partenaire en train de se masturber, pas de panique ; cela ne signifie pas que vous ne le satisfaites pas sexuellement ou qu’il ou elle ne vous dĂ©sire plus.
La masturbation peut Ă©galement faire partie de la sexualitĂ© de couple. Masturber son partenaire ou se masturber devant lui fait aussi partie des jeux Ă©rotiques et des prĂ©liminaires. Se donner du plaisir sous son regard accroĂźt bien souvent la complicitĂ© et excite l’autre qui en plus de ça dĂ©couvre les gestes que vous aimez.
Il n’y a aucune rĂšgle en la matiĂšre. Chacun se masturbe Ă  sa guise. En gĂ©nĂ©ral, on choisit un lieu calme oĂč personne ne viendra nous dĂ©ranger : lit, douche
 Et on part Ă  la recherche des zones les plus sensibles de notre corps : cuisses, seins, vulve, pour les filles et pĂ©nis pour les garçons qui ont souvent moins besoin de prĂ©liminaires.
La masturbation s’accompagne gĂ©nĂ©ralement de pensĂ©es Ă©rotiques, d’images virtuelles ou rĂ©elles associĂ©es Ă  des personnes connues ou
 pas. Les filles se concentrent plus souvent sur le clitoris , en posant leurs doigts dessus et en faisant des petits mouvements circulaires. Elles jouent aussi avec l’entrĂ©e de leur vagin et l’intĂ©rieur ; elles peuvent s’introduire un doigt ou un sextoy fait pour ! Les garçons placent leurs mains autour de leur sexe en Ă©rection et le caresse dans un mouvement de va-et-vient plus ou moins rapide. Ils stimulent Ă©galement leurs testicules, zones Ă©rogĂšnes.
Pour toujours plus de plaisir, vous pouvez vous amuser Ă  changer de position (pourquoi toujours se masturber allongĂ© ?). Vous pouvez avoir recours Ă  des sextoys (et ça existe pour les hommes ; des sextoys qui simulent un vagin
), utiliser un lubrifiant (Ă  base d’eau de prĂ©fĂ©rence) pour davantage vous exciter.
La masturbation ne traduit aucun comportement pathologique, quelle que soit la frĂ©quence de cette pratique. Ce qui peut poser problĂšme est davantage l’impact d’une masturbation excessive sur la relation avec son partenaire. En effet, la masturbation est lĂ©gitime et Ă©panouissante quand elle contribue Ă  l’équilibre sexuel d’un homme ou d’une femme. Elle ne doit ĂȘtre « surveillĂ©e » qu’à partir du moment oĂč elle joue un rĂŽle soit addictif (quand on ne peut plus s’en passer) ou qu’elle Ă©loigne de son partenaire (lorsqu’on prĂ©fĂšre la masturbation aux rapports sexuels « classiques »).
Si vous avez la sensation que c’est votre cas, il devient important pour votre Ă©quilibre et votre avenir affectif d’en parler avec un sexologue, afin qu’il vous aide Ă  mieux comprendre les enjeux de ce comportement et qu’il vous accompagne dans le rĂ©Ă©quilibrage de vos pratiques.
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«Ce mec, c'Ă©tait une tĂȘte de bite avec une grosse bite.»
«Je suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles était quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quitté aprÚs avoir passé un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idée d'à quel point sa bite était grosse, à chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il était plus gros que la moyenne.»
«Étant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pĂ©nis depuis que j'ai perdu ma virginitĂ© Ă  17 ans. Mais ma premiĂšre expĂ©rience avec quelqu'un du sexe opposĂ© a Ă©tĂ© un homme qui, Ă  ce jour, a le plus gros pĂ©nis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et Ă  cheval, prĂšs de la riviĂšre Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycĂ©e et moi sommes allĂ©s tĂŽt dans ma tente, et l'on s'est lancĂ©s dans une session de cĂąlins assez chauds. AprĂšs m'avoir demandĂ© mon accord, il a sorti un pĂ©nis extrĂȘmement long, dur comme un roc et trĂšs massif.
On a passĂ© les 10 minutes suivantes Ă  essayer de faire rentrer juste le bout. C'Ă©tait Ă©puisant et ça faisait mal, mais lui Ă©tait dĂ©terminĂ© et moi j'Ă©tais en pleine pĂ©riode "j'ai pas envie d'ĂȘtre lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, mĂȘme si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il Ă©tait rentrĂ©, ça n'a pas durĂ© trĂšs longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet Ă©norme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expĂ©rience m'a dĂ©goĂ»tĂ© pour toujours des hommes — je pense que c'Ă©tait dĂ©jĂ  rĂ©glĂ© Ă  ce moment là —, mais j'ai clairement appris Ă  apprĂ©cier le lubrifiant.»
«Il y a quelque temps, j'Ă©tais vraiment AMOUREUSE de ce type qui Ă©tait apparu dans mon Ă©mission de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e. J'Ă©tais fan, et j'allais sur son Instagram dĂšs que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarquĂ© un de mes commentaires, et m'a envoyĂ© un message. On a Ă©changĂ© nos numĂ©ros et on a commencĂ© une relation Ă  distance, et un jour il m'a envoyĂ© une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon cafĂ© de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il Ă©tait ÉNORME. J'Ă©tais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai ratĂ© cette bite.»
«Je prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invitĂ© un de ses potes. On est allĂ© aux toilettes en mĂȘme temps, et, pour faire court, elle Ă©tait si grosse qu'il avait besoin de la tenir Ă  deux mains pour pisser. Je n'Ă©tais mĂȘme pas jaloux Ă  ce niveau-lĂ , seulement effrayĂ©.»
«Je rencontrĂ© un mec sur Tinder, et aprĂšs l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. HonnĂȘtement, j'ai voulu rĂ©sister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vĂȘtements ont volĂ© Ă  travers la piĂšce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tĂȘte qui dĂ©passe du lit et dĂ©faire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retirĂ© son pantalon, sa bite m'a tapĂ© le front, et j'ai eu le souffle coupĂ© en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue Ă  mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a Ă©tĂ© presque dĂ©sagrĂ©able. PRESQUE, car l'Ă©paisseur de cette bite-bĂ»che Ă©tait incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le rappellerai.»
«Quand j'Ă©tais plus jeune, il y avait ce type qui m'a draguĂ© pendant des mois. Il n'arrĂȘtait pas de me dire qu'il avait une
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